Un nouveau test de dépistage du cancer colorectal plus performant et plus simple d'utilisation sera disponible en 2015.

«Ce nouveau test est une grande avancée pour la médecine et la population française», ont indiqué dans un communiqué les principales sociétés savantes de la gastroentérologie. Celles-ci militaient depuis plusieurs années pour la mise en place de ce test «immunologique», annoncée dans un premier temps pour 2013 mais qui avait pris du retard.

L'Institut National du Cancer (Inca) et la Caisse nationale d'assurance maladie ont annoncé à la fin de la semaine dernière que la procédure d'achat nécessaire à la mise en place du nouveau test venait d'aboutir et que les premiers tests pourraient être disponibles dès mars 2015.

Selon les gastroentérologues, le nouveau test devrait «permettre de dépister huit cancers sur dix, à un stade le plus souvent curable, au lieu de quatre cancers pour l'ancien test et aussi quatre fois plus de lésions précancéreuses».
ZITOUNI IMOUNACHEN - SOURCE : http://www.ladepeche.fr 

Une analyse de la Banque de Données Nationale sur la Mortalité, menée aux Etats-Unis entre 1999 et 2010, a révélé que l'allergie médicamenteuse était la première cause d'anaphylaxie fatale. Cette dernière est arrivé avant l'anaphylaxie de « cause non spécifiée », l'allergie au venin, et l'allergie alimentaire.

Sur les 1 446 décès par anaphylaxie médicamenteuse (soit 58,8 % de tous les décès par anaphylaxie sur la période étudiée), 49 (3,4 %) concernaient les moins de 19 ans. La plupart des morts (58,6 %) sont survenues dans un milieu médical.

Aucune différence n'a été notée selon le sexe des patients.

Le taux d'anaphylaxie mortelle médicamenteuse s'est accru avec le temps sur la période étudiée. Le médicament responsable n'était pas signalé pour 1 078 décès (74,5 %). Parmi les 368 autres cas, 40,5 % étaient dus à un antibiotique, avec par ordre de croissance parmi les 77 cas pour lesquels un nom était spécifié, les pénicillines (n = 35), puis les céphalosporines (n = 33), les sulfamides et les macrolides.

Les produits de contraste suivaient les antibiotiques par ordre de fréquence puis les antinéoplasiques. Les autres médicaments en cause étaient le sérum, les opiacés, les antihypertenseurs, les AINS et les anesthésiques.
?Zitouni IMOUNACHEN - SOURCE : http://www.univadis.fr

Suite aux inondations qu’ont connues certaines régions du royaume, la Mutuelle générale du personnel des administrations publiques (MGPAP) a offert des examens médicaux au profit de la population touchée.

Un total de 1.695 examens médicaux ont été réalisés sur trois jours, notamment dans le domaine de la médecine dentaire, de l’ophtalmologie, du diabète et de la tension artérielle, indique un communiqué de la MGPAP. Cette initiative a concerné les villes de Tiznit, Guelmim et Tioughza, considérées parmi les plus touchées de la province de Sidi Ifni.

Selon le président du conseil d’administration de la Mutuelle générale, Abdelmoula Abdelmoumni, ce programme illustre le rôle que pourrait jouer l’économie sociale de solidarité pour alléger le fardeau sur la population. Il a ajouté que la MGPAP, et afin de combler ces besoins, s’engagera à étendre ses programmes médicaux annuels lancés depuis 2012 à la population de ces régions.
Zitouni IMOUNACHEN - Source : http://lnt.ma

La «nintendinite» ou «nintendonite», pathologie qui menace les joueurs compulsifs de la célèbre console japonaise, vient d'être officiellement décrite par une équipe de médecins néerlandais. Cette tendinite causée par l'utilisation effrénée des manettes se traduit par l'apparition d'une douleur dans le pouce, la main ou le poignet et peut être traitée par le repos ou la prise d'anti-inflammatoires stéroïdiens.

Le premier cas documenté de «nintendinite» date de 1990: une femme de 35 ans a ressenti de sévères douleurs au pouce droit après avoir passé cinq heures sans interruption devant sa console, comme le relate l'article publié dans l'édition de Noël du British Medical Journal le 16 décembre. L'équipe de l'université de Groningue s'est intéressée à la sécurité d'emploi des consoles Nintendo et a analysé 38 publications concernant les blessures liées à ces consoles vendues par millions à travers le monde.

Outre les «nintendinites», les chercheurs relèvent des cas d'énurésie chez des enfants tellement absorbés par Super Mario Bros qu'ils en oubliaient d'aller aux toilettes. D'autres troubles ont fait leur apparition avec l'introduction d'une manette munie d'un joystick. «Dans certains jeux comme Mario Party, les joueurs devaient faire tourner le plus rapidement possible le joystick. Ils se sont vite aperçus qu'il était plus efficace d'effectuer ces mouvements avec la paume de la main plutôt qu'avec le pouce. Ce qui a provoqué des ulcérations de la paume», écrivent les auteurs de l'article.

Après avoir reçu près d'une centaine de plaintes, Nintendo a commercialisé un gant spécial de protection.
Zitouni IMOUNACHEN - Source : http://sante.lefigaro.fr