Dans son numéro 409, la revue «Prescrire» tire la sonnette d’alarme au sujet du Néfopam (Acupan®), antalgique qui est, selon ce support, à l’origine d’effets secondaires graves comme un état confusionnel ou un coma.

Cette spécialité pharmaceutique commercialisée en France uniquement sous forme injectable est indiquée dans la prise en charge des affections douloureuses aiguës, notamment des douleurs post-opératoires.

D’après «Préscrire», Néfopam est déjà connu pour des effets secondaires sérieux (agitations, irritabilité, nausées, bouche sèche, désorientation...) qui figurent sur sa notice. Mais depuis mai 2017, l'Agence européenne du médicament (EMA) souhaite que deux nouveaux risques soient également mentionnés sur cette dernière.

«Quelle que soit la voie d'administration, l'effet antalgique du Néfopam est mal établi et au mieux modeste, sans supériorité prouvée par rapport à un anti-inflammatoire non stéroïdien», rapportent les auteurs de l’article qui préconisent d’évaluer le rapport bénéfice/risque avant d’envisager toute administration de ce médicament à un patient.
Source : http://www.medisite.fr

Un enfant de 20 mois atteint d’une tumeur cérébrale a eu des complications à la suite d’un surdosage en Dépakine®. L’interne l’ayant pris en charge aurait commis une erreur de conversion entre milligrammes et millilitres et lui a administré 6,5 fois la dose qu’il aurait dû prendre.

D’après «France Bleu Provence», les parents de l’enfant, qui a été admis dans un état comateux, ont eu des doutes concernant la dose qui lui a été administrée.

«Nilo s’endormait presque tout de suite après avoir pris ses médicaments», a expliqué le père à l’antenne de radio locale, avant d’ajouter : «On a appelé l’hôpital pour voir s’il n’y avait pas d’erreur, mais l’interne nous a pris de haut et nous a presque envoyés balader en nous disant que c’était le bon dosage».

Les parents ont déposé une plainte auprès de la gendarmerie et pourraient envisager d’emmener leur fils se faire soigner à Paris.
Source : http://www.leparisien.fr

La Food and Drug Administration (FDA) a mis en garde les gros consommateurs de bonbons à la réglisse. D’après cette agence, au-delà de 52 grammes par jours, ils mettent leur santé en danger.

Cette toxicité est liée à l’acide glycyrrhizique qui peut accélérer l’élimination du potassium dans le corps et entraîner une augmentation de la pression artérielle, une arythmie, une insuffisance cardiaque, des œdèmes, etc.

Ces effets sont plus fréquents chez les consommateurs de réglisse de plus de 40 ans et les personnes souffrant de problèmes cardiaques.

La FDA recommande une consommation limitée en volume et dans le temps de ces bonbons. Elle préconise également l’arrêt immédiat de la consommation de bonbons à la réglisse et une consultation médicale en cas de problèmes cardiaques.
Source : http://www.lavoixdunord.fr

Vyzulta®, médicament indiqué dans la réduction de la pression intraoculaire chez les patients atteints de glaucome à angle ouvert ou d'hypertension oculaire, vient d’obtenir le feu vert de l'agence américaine du médicament (FDA). 

«Le lancement commercial de Vyzulta® par notre partenaire Bausch + Lomb», laboratoire américain filiale du canadien Valeant, est «attendu pour la fin de l'année», a affirmé le patron de Nicox, Michel Garufi.
Source : http://www.lefigaro.fr