Une nouvelle génération de pilule contraceptive contenant 50 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone) en plus de l'estradiol et de la progestérone fait actuellement l’objet d’essais cliniques de phase III.

Les chercheurs néerlandais, qui sont actuellement en train d’étudier cette pilule baptisée ARC (Androgen Restored Contraceptive), tablent sur la DHEA pour contrecarrer la baisse de libido induite par la chute de testostérone accompagnant habituellement le recours à la pilule contraceptive.  

D’après la chercheuse néerlandaise Xantha Yvette Zimmerman de l'Université d'Utrecht, l'ARC peut constituer une réponse à la minorité de jeunes femmes qui abandonnent les contraceptifs oraux combinés après quelques mois d'utilisation. Cet abandon s’explique par l'augmentation du taux du Sex Hormone-Binding Globulin (SHGB) qui provoque la chute du taux de testostérone. Or, le désir sexuel est étroitement lié au taux de testostérone.
Source : Lequotidiendupharmacien.fr

Dans un communiqué du 26 octobre, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF – France) a déclaré que des produits cosmétiques contenant des conservateurs interdits étaient toujours commercialisés en France. Ceci leur a valu une demande de retrait immédiat du marché.

Parmi les conservateurs incriminés, les plus courants sont : la Methylisothiazolinone (MIT) et l’Isobutylparaben, substances dont l’utilisation a été prohibée respectivement en février 2017 et en juillet 2015. Ces molécules sont utilisées afin d’empêcher le développement des micro-organismes dans les produits cosmétiques.

Les enquêteurs de la DGCCRF ont découvert plusieurs cas de figure.

Tout d’abord, ils ont identifié des produits dont la formulation a été changée, mais comportaient encore l’ancien étiquetage.

Ensuite, ils ont découvert que certains produits commercialisés renfermaient les conservateurs prohibés. Dans ces cas, les fabricants n’auraient pas informé leurs distributeurs.

Enfin, certains fabricants «se sont efforcés d’écouler leurs stocks jusqu’à une date très proche de l’entrée en vigueur de cette interdiction».

Les gérants de commerces de type «bazar» ont reçu de simples avertissements de la DGCCRF, par ce que cette dernière estime que leur connaissance de la règlementation applicable à ces produits reste limitée.  
Source : http://sante.lefigaro.fr/ 

Dans un communiqué du mercredi 25 octobre, le groupe pharmaceutique Sanofi a annoncé qu’il avait intenté une action en justice contre le laboratoire Mylan devant le tribunal de district du New Jersey aux États-Unis pour défendre les brevets de ses insulines Lantus® et de Lantus® SoloStar®.

Selon le même communiqué, le laboratoire Sanofi a révélé que «la plainte a été motivée par une notification, reçue de Mylan à la mi-septembre, dans laquelle Mylan déclarait avoir déposé à la FDA une demande d’approbation de nouveau médicament (New Drug Application – NDA (505(b)(2)) pour une insuline glargine dans un stylo prérempli et en flacon. Il a aussi indiqué que «Mylan mentionnait également que sa demande d’approbation comportait une certification «paragraphe IV», contestant tous les brevets de Sanofi répertoriés dans l’Orange Book de la FDA pour les produits Lantus® (insuline glargine injectable, 100 unités/ml) et Lantus® SoloStar®».
Source : Mypharma-édition

La Ligue marocaine de lutte contre le diabète fête la Journée mondiale du diabète les 10, 11 et 12 novembre 2017 à Benguérir. Cette manifestation placée sous le thème «Les femmes et le diabète» sera organisée en collaboration avec l’Université Mohammed VI polytechnique de Benguérir.

Les organisateurs de cette manifestation ont prévu un programme scientifique avec des invités et des experts d’Afrique, de la région MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord), d’Europe et des différents CHU du Maroc ainsi qu’un programme de formation médicale continue au profit des médecins et des professionnels de santé de la région.

Également au menu de cette manifestation : des séances d’éducation, de sensibilisation et de dépistage du diabète, de l’obésité et de l’hypertension artérielle au profit des diabétiques et de la population en général de la province ainsi qu’une campagne de vaccination antigrippale en collaboration avec le ministère de la Santé.
Source : PMA