|
|
|
Sous
notification des effets indésirables:
tous concernés |
Lors du 5éme Congrès de
Pharmacovigilance qui a eu lieu le
15 décembre à l’amphithéâtre du
Centre Marocain de Pharmacovigilance
(CMPV) à Rabat, le Docteur Said
Salah Youssouf, représentant de
l’OMS au Maroc, a annoncé aux
participants à cette manifestation
la désignation du CMPV comme centre
collaborateur de L’OMS. Cette
désignation va conférer à ce centre
un rôle important dans la région
puisqu’il sera amené à contribuer à
la formation et à la mise à niveau
des centres de pharmacovigilance des
pays africains francophones et des
pays arabes.
On ne peut que féliciter le Pr.
Rachida Soulaymani, Directrice du
CMPV qui mène, depuis plus de deux
décennies, une vraie croisade pour
mettre en place une
pharmacovigilance nationale de
qualité parfaitement intégrée au
réseau international de
pharmacovigilance.
Lors de cette rencontre, le Pr.
Soulaymani a animé une conférence
qui a mis en avant tous les acquis
en matière de pharmacovigilance au
Maroc, tout en signalant le problème
récurent de sous notification des
effets indésirables dont souffre
cette discipline au Maroc.En effet, malgré les efforts
déployés par le centre, la
notification des effets indésirables
ne dépasse pas 112,5 cas déclarés par million
d’habitants par an, et ce à l’heure où la
Nouvelle Zélande caracole en tête
avec presque 1000 cas par million
d’habitants par an suivie des Etats
Unis avec plus de 600 cas par
million d’habitants par an. Et eu
égard à la faible progression des
notifications au Maroc, 30 années
seront nécessaires pour que celle-ci
puisse atteindre la moyenne
internationale actuelle qui est de
360 cas déclarés par million
d’habitants par an.
En ce qui concerne le profil des
déclarants au Maroc, les médecins
sont en tête avec 128 notification
par 10000 praticiens par an avec une
disparité entre le secteur privé et
le secteur publique qui s’implique
davantage dans la pharmacovigilance.
Les industriels ne déclarent que 3,4
cas par firme par an, ce qui est
très faible par rapport aux autres
pays. Quant-aux pharmaciens
d'officine, ils
déclarent 10 fois moins que les
médecins.
L'autre spécificité de la
pharmacovigilance marocaine, la
disparité entre les différentes
villes du royaume. La ville de Rabat
par exemple, déclare plus d’effets
indésirables que les autres villes.
Ceci s’explique en partie par la
proximité des différents hôpitaux du CMPV et également par l’adoption par
ce centre d’une pharmacovigilance
active.
Enfin, gageons qu’en 2012, on aura une
meilleure coordination entre les
différents centres de
pharmacovigilance et surtout une
mobilisation collective de tous les
acteurs de la santé pour que ce
centre ait un nombre conséquent de
notifications lui permettant de
fournir, à chaque fois que c’est
nécessaire, une expertise imparable
permettant aux décideurs de prendre
les bonnes décisions dans les
meilleurs délais. |
Abderrahim Derraji |
|
|
|
|
253 nouveaux cas déclarés à fin octobre : Le
Sida progresse au Maroc
(1)
D’après Sidaction, 2.7 millions de nouvelles
infections ont été observées en 2010 de par le
monde, et l’Afrique reste le continent le plus
touché par cette épidémie.
Au Maroc, selon le dernier rapport de l’ONUSida,
235 cas de Sida et 259 cas d’infections VIH ont
été déclarés du 1er janvier au 31 octobre
dernier, portant ainsi le nombre de personnes
atteintes de cette maladie dans notre pays à
28.000. Actuellement, 4.000 personnes sont
traitées dans les 12 Centres de prise en charge
du royaume.
Face à cette situation alarmante, plusieurs
associations joignent leurs voix et joignent
leurs efforts pour un « Zéro décès liés au VIH
», thème de la journée mondiale de lutte contre
le sida.
Si la transmission du virus de la mère à
l’enfant a été presque éradiquée dans les pays
du Nord, elle continue malheureusement à
provoquer des ravages dans les pays du Sud où
370.000 personnes en meurent annuellement.
Dans ce domaine, le Maroc ne fait pas exception
et multiplie ses efforts. Il ambitionne ainsi de
réduire à moitié le taux de transmission du VIH.
Sur ce, notre pays a mis en place une "Stratégie
nationale de lutte contre le Sida pour la
période 2012-2016". Ce plan vise à un
renforcement de la prise en charge globale des
patients séropositifs et des malades du Sida
(soins médicaux, traitement antirétroviral,
appui psychologique et social), il ambitionne
aussi à réduire à zéro les risques de
transmission du virus de la femme enceinte à son
bébé, ainsi que le nombre de mortalité
maternelle à cause du VIH.
Cette stratégie prévoit, enfin, des orientations
de lutte contre la stigmatisation et la
discrimination à l'égard des personnes
séropositives leur garantissant ainsi le respect
de leurs droits. Pour que le Maroc puisse mener
à bien cette stratégie, le Ministère de la Santé
a mobilisé un budget qui s'élève annuellement à
19,5 millions de dirhams. Cette somme augmentera
durant les cinq prochaines années pour faire
face aux besoins de la stratégie.
Lutte contre
l'insuffisance rénale chronique (2)
Malgré les efforts fournis ses dernières
années pour améliorer la prise en charge des
insuffisants rénaux, de nombreux patients
meurent tous les jours faute de bénéficier de
traitement.
Pour faire face à cette situation alarmante,
l'association ISAAD «Initiatives, santé et aide
au développement» a vu le jour à Fès le 20 mai
2008 sous l'impulsion de médecins spécialistes
des maladies rénales, d'autres professionnels de
santé ainsi que de bénévoles de différents
profils.
Selon Dr. Tariq Skalli Houssaini, président de
ISSAD, le cheval de bataille de cette
association est la prise en charge des patients
insuffisants rénaux et des personnes
susceptibles de le devenir (diabétiques,
hypertendus….) dans la région Fès-Boulemane qui
compte des milliers de personnes qui sont à des
stades plus ou moins avancés de la maladie
rénale.
Ainsi, cette association a mis en place le plan
«Agir» qui constitue une approche globale du
problème de l'insuffisance rénale chronique dans
la région Fès-Boulemane. Le plan Agir (Action
globale contre l'insuffisance rénale) est sa
première initiative. A travers ce plan d'action,
l'association ISAAD propose une approche globale
du problème de l'insuffisance rénale chronique
dans la région Fès-Boulemane, reposant sur la
prévention et le dépistage précoce des maladies
rénales ainsi que sur la promotion des
différents traitements de suppléance de
l'insuffisance rénale chronique à son stade
terminal : hémodialyse, dialyse péritonéale et
transplantation rénale.
Cette association œuvre aussi afin d'augmenter
la capacité d'accueil et de prise en charge des
insuffisants rénaux au niveau de la région Fès-boulemane.
Elle a mis en placeun centre destiné aux
maladies rénales qui consiste à la mise à niveau
et la réhabilitation du service d'hémodialyse de
l'hôpital Al Ghassani et la construction d'un
nouveau bâtiment annexé à celui existant
actuellement. Ceci permettra d'augmenter le
nombre de patients traités de 84 à 160 personnes
(1000 séances de dialyse supplémentaires par
mois).
Prothèses du sein : le lien avec le cancer
n'est pas prouvé(3)
Lors de la première
réunion du Comité de suivi des femmes porteuses
de prothèses mammaires PIP mercredi au ministère
de la Santé (France), huit nouveaux cas ont été
annoncés, un lymphome néoplasique à petites
cellules, cinq cancers du sein, un lymphome de
l'amygdale et une leucémie aiguë. La principale
préoccupation est de déterminer s’il y a oui ou
non, un lien entre ces cancers et les prothèses
en silicone défectueuses.
Sachant qu’une femme sur dix souffrira d’un
cancer du sein au cours de sa vie. Il reste à
vérifier qu'il n'y a pas plus de risque dans ce
groupe que dans la population générale. Pour les
autres localisations, la question reste
également débattue. D'ailleurs, le groupe de
travail du ministère de la Santé a clairement
dit mercredi que «l'imputabilité des prothèses
mammaires PIP, dans ces cas de cancer n'a pas
été établie».
En janvier 2011, la Food and Drug Administration
(FDA)a publié sur son site un rapport
préliminaire sur le lien entre implants
mammaires en silicone (de toutes marques) et
lymphome. Les experts ont conclu qu'il y avait
éventuellement un lien possible mais très
faible. La FDA soulignait malgré tout que les
implants mammaires étaient sûrs quand ils
étaient produits selon les règles de l'art.
De crainte sans doute d'être accusée de cacher
la vérité, l'Afssaps a commencé à communiquer
tous les cas de cancers. Et notamment ceux du
sein.
Le comité de suivi réuni cette semaine a demandé
aux femmes concernées de bénéficier d'une
surveillance régulière. Toute rupture ou
suintement doit conduire à l'explantation des
prothèses. Toutes les femmes porteuses
d'implants PIP seront remboursées de leurs frais
médicaux et chirurgicaux liés à l'explantation.
Les femmes qui relèvent d'une reconstruction
après chirurgie du cancer du sein seront
également remboursées pour la pose d'une
nouvelle prothèse.
Une nouvelle piste de
traitement contre le diabète ?(4)
Selon la revue Science et avenir, des chercheurs
californiens se sont aperçus au cours de leurs
travaux sur le diabète de type2, que cette forme
était liée à une famille de facteurs de
croissance du fibroblaste, appelés FGF, et à ses
récepteurs. Ainsi, ces éléments constituent une
piste prometteuse dans la lutte contre le
diabète et les maladies qu'il peut engendrer
comme l'obésité. Par le passé, des études
avaient démontré que le facteur FGF21 permettait
à des souris diabétiques et en surpoids de
retrouver un métabolisme normal et de perdre du
poids, mais cet effet n’a pas pu être reproduit
chez l’homme.
Toutefois, des chercheurs californiens ont
décidé de persévérer dans cette voie et ont mis
au point un anticorps qui mime le FGF21 en se
liant à FGFR1, l'un des récepteurs du facteur de
croissance présent dans le pancréas et les
tissus adipeux.
Les résultats, publiés dans la revue Science
Translational Medicine, ont montré que
l’injection de cet anticorps chez des souris
diabétiques, a permis à leur taux de sucre de
revenir à un niveau normal et leur a également
fait perdre du poids aux rongeurs. L’équipe
américaine espère pouvoir tester le procédé chez
l'homme et obtenir de bons résultats.
L'Afssaps alerte sur
l'usage abusif de certains médicaments contre le
"nez bouché"(5)
Depuis le 1er janvier 2011, l'Agence française
de sécurité sanitaire des produits de santé
(Afssaps) a recensé pas moins de quinze "cas
graves d'effets indésirables" chez des patients
ayant pris un médicament contenant un
vasoconstricteur. Ces traitements sont utilisés
pour diminuer la sensation de nez bouché, en cas
de rhume et peuvent se présenter sous
différentes formes. Il s’agit de solutions pour
pulvérisation nasale ou de médicaments à prendre
par voie orale, seuls ou associés à une autre
substance active.
Ces molécules, qui sont aujourd'hui largement
utilisées, peuvent causer des effets
indésirables graves au niveau cardiaque tel que
de l'hypertension artérielle, crise d'angor ou
angine de poitrine mais aussi au niveau
neurologique avec des convulsions, des troubles
du comportement ou des accidents vasculaires.
L’Afssaps rappelle aussi aux patients de "ne pas
recourir de manière abusive à ces médicaments",
de "toujours vérifier auprès de leur médecin ou
de leur pharmacien s'ils sont bien adaptés à
leur cas" ainsi que de "ne pas les associer
entre eux".
Ces médicaments sont contre-indiqués chez
l'enfant de moins de 15 ans, et ils sont
également déconseillés en cas d'hypertension
artérielle, d'antécédents d'accident vasculaire
cérébral ou de facteurs de risque d'AVC,
d'insuffisance coronarienne sévère,
d'antécédents de convulsions. En outre, la durée
maximale de traitement ne doit pas excéder 5
jours et la posologie maximale journalière ne
doit pas être dépassée.
Enfin, l'Afssaps précise: "une actualisation de
l'enquête française est en cours, afin
d'envisager si besoin des actions
supplémentaires".
Maladie d’Alzheimer : nouvelle recommandation de
la HAS (6)
La Haute Autorité de Santé a actualisé sa
recommandation « Diagnostic et prise en charge
de la maladie d’Alzheimer et des maladies
apparentées » publiée en mars 2008 puis retirée
en mai 2011. La version publiée aujourd’hui a
été révisée par un nouveau groupe de travail qui
tient compte des évolutions récentes autour de
la prise en charge de la maladie.
Cette nouvelle recommandation suit les étapes du
parcours de soins du patient, depuis les
premiers symptômes (troubles cognitifs) jusqu’à
la prise en charge pluridisciplinaire nécessaire
à un stade avancé de la maladie.
Le médecin généraliste traitant est le pilote de
l’organisation des soins centrée sur le patient.
Il réalise l’évaluation initiale du patient
présentant des troubles de la mémoire. Dans les
cas où cette évaluation ne révèle pas
d’altération des facultés de mémoire, de
jugement, de compréhension, etc., il est
recommandé au médecin généraliste traitant de
proposer un suivi au patient, à 6 mois et à 12
mois.
En revanche, si une altération est avérée, le
binôme médecin généraliste traitant/ spécialiste
réalise les tests et examens nécessaires. Le
médecin spécialiste pose le diagnostic de la
maladie d’Alzheimer et l’annonce au patient.
C’est ensuite le médecin généraliste traitant
qui propose au patient et son entourage un plan
de soin et d’aides.
Le médecin généraliste traitant se chargera de
mettre en œuvre les mesures d’accompagnement en
lien étroit avec les aidants naturels, etc.
Deux notions clés de l’avis de la Commission de
la Transparence sur les médicaments de
l’Alzheimer rendu le 27 octobre dernier ont été
intégrées dans cette recommandation :
- le traitement médicamenteux est une option
dont l’instauration ou le renouvellement est
laissée à l’appréciation du médecin spécialiste
prescripteur ;
- au-delà d’un an, une concertation pluri
professionnelle avec le patient (si son état le
permet), son aidant, le médecin généraliste
traitant, le gériatre et le neurologue ou le
psychiatre est préconisée pour réviser la
prescription et vérifier l’intérêt pour le
patient de poursuivre le traitement et ce, afin
d’assurer un suivi de qualité et personnalisé.
En savoir
plus |
Zitouni
Imounachen |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Médicaments au Maroc :
pas de concession sur la qualité
Interview du Dr Omar Bouazza,
Directeur du Médicament
et de la Pharmacie
(L'Officinal n° 88 )
En savoir plus |
|
MISE EN GARDE
Utilisation hors AMM de la
dompéridone dans la stimulation de
la lactation : mise en garde - Point
d’information
(Afssaps/France)
En savoir plus |
|
RECOMMANDATIONS
Maladie d'Alzheimer
et maladies apparentées :
Diagnostic et prise en charge :
Recommandations (PDF:352.33 Ko)
( Source: HAS/France )
Cliquez ici |
|
INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE |
Sanofi : Jan Liska nommé directeur
international d’Oenobiol®
Le groupe pharmaceutique Sanofi a
annoncé la nomination récente de Jan
Liska au poste de directeur
international de la marque Oenobiol,
en charge de son déploiement à
travers le monde. N°1 des
compléments de beauté en France,
Oenobiol est déjà présent en Europe,
notamment en Italie, en Espagne, en
Belgique, et se développe désormais
en Asie et Amérique latine.
Vincent Warnery, vice-président,
Consumer Healthcare Europe et
Développement global, Sanofi, a
déclaré à l’occasion que Jan Liska
est porteur d’une excellente
expérience du développement des
marques de l’univers de la beauté,
qu’il s’agisse de stratégie, de
marketing opérationnel, de
développement de produits. Jean
Liska et son équipe vont piloter le
développement de la marque Oenobiol
à l’international et continuer à
révéler son formidable potentiel.
Depuis ses débuts professionnels,
Jan Liska a participé à la
construction de marques beauté
porteuses d’une forte identité. Il a
notamment été en charge de plusieurs
marques beauté au sein du groupe
L’Oréal (Agnès b. Jean-Marc Maniatis
hair care, Franck Provost hair care,
Le Club des Créateurs de Beauté,
Kérastase et L’Oéral Professionnel,
…). Depuis 2008 Jan Liska avait
rejoint le groupe Shiseido pour
assurer le déploiement des marques
Shiseido et Serge Lutens.
Source: Mypharma
Roche reçoit un avis favorable
du CHMP pour Zelboraf
Le Comité des médicaments à
usage humain (CHMP) a recommandé que
Zelboraf bénéficie d’une pleine
autorisation de mise sur le marché à
titre de monothérapie chez les
patients adultes souffrant de
mélanome métastatique ou non
résécable à gène BRAF présentant la
mutation V600. C’est ce que vient
d’annoncer le groupe pharmaceutique
suisse Roche. « La recommandation du
CHMP préconisant l’homologation de
Zelboraf est une étape importante
pour tous les patients atteints de
mélanome métastatique, qui ne
disposaient jusqu’à peu que d’un
nombre restreint d’options
thérapeutiques. Nous travaillons
étroitement avec les autorités de
santé dans le monde pour faire en
sorte que les patients atteints de
cette maladie mortelle aient accès à
Zelboraf le plus rapidement
possible. », commente Hal Barron,
M.D., chief medical officer et
responsable de Global Product
Development de Roche.
Le mélanome métastatique est la
forme la plus mortelle et la plus
agressive de cancer de la peau, avec
moins d’une personne sur quatre
susceptible d’être encore en vie 12
mois après le diagnostic.
Zelboraf est conçu pour cibler
sélectivement et inhiber des formes
mutées de la protéine BRAF que l’on
retrouve dans environ la moitié des
cas de mélanome. La décision de la
Commission européenne quant
à l’autorisation de mise sur le
marché de Zelboraf est attendue pour
février 2012.
Alors que Roche s’emploie à obtenir
l’agrément de Zelboraf dans divers
pays, une étude mondiale d’innocuité
donne accès à ce médicament aux
patients qui présentent un mélanome
métastatique BRAF V600-positif déjà
traité ou non.
Source: Mypharma |
|
Circulaires adressées aux
professionnels de la santé:
-
Cloprame®
-
Staphymicine® |
|
Prochains
RDV |
Table ronde à Salé
Date: Mardi 20 décembre
à 9H30
Lieu: Dawliz Salé
Thème:" La pharmacie
d'officine: les techniques
quantitatives de gestion"
Organisateur: Association des
pharmaciens du Maroc (APM)
Frais de participation: 100 Dhs
Contact: avant le lundi
19 décembre 2011
Tél.: 05 37 87 87 64
13ème Edition du Salon Médical Expo
Date: 12-15 janvier 2012
Lieu: Foire de Casablanca
Programme:
www.medicalexpo-maroc.com
Contact: Rue d'Agadir 20000
Casablanca
Tél.: 05 22 49 01 98
Fax: 05 22 49 01 31
E-mail:
info@medicalexpo-maroc.com
3ème Edition du
SRPOO
Date: 20-21 janvier 2012
Lieu: Oujda
Contact: Syndicat des
Pharmaciens d'Oujda
Tél.: 05 36 68 34 90
E-mail:
fatiha_miri@hotmail.com |
|
6ème Assisses Pharmaceutiques d'Errachidia |
Le
Syndicat des pharmaciens d'Errachidia
et environs a organisé ses 6èmes
assises pharmaceutiques sous le
thème:" la formation continue:
quel impact sur l'exercice de la
pharmacie?"
En savoir plus
|
|
QUESTIONNAIRE
FORMATION CONTINUE |
|
NOUVEAUX AU MAROC |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma.
GEL-LARMES®
Laboratoires:
Théa/ Cooper Pharma
Composition:
carbomère
Présentation:
Tube de 10g
PPM:
41,00 Dhs
SOLIAN® 200 mg
Laboratoires:
Sanofi-Aventis
Composition:
Amisulpride
Présentation:
Boite
de 60 cp
PPM:
590,00 Dhs
AMLODIPINE WIN® 5
mg
Laboratoires:
Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine
Présentation:
Boite
de 14 cp
PPM:
19,00 Dhs
AMLODIPINE WIN® 5
mg
Laboratoires:
Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine
Présentation:
Boite
de 28 cp
PPM:
36,20
Dhs
AMLODIPINE WIN® 10
mg
Laboratoires:
Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine
Présentation:
Boite
de 14 cp
PPM:
33,60
Dhs
AMLODIPINE WIN® 10
mg
Laboratoires:
Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine
Présentation:
Boite
de 28 cp
PPM:
64,00
Dhs
ISTACYNE®
Laboratoires: Synthemedic
Composition: doxycycline
Présentations:
Boite de 10 comprimés dosés à 100mg
PPM: 22,00 Dhs
Boite de 10 comprimés dosés à 200mg
PPM: 33,00 Dhs
LANPROL®
Laboratoires: PHI
Composition: Lansoprazole
Présentations:
- Boite de 7 gélules
PPM: 30 Dhs
- Boite de 28 gélules
PPM: 80 Dhs |
|
Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre... |
Pour vous permettre de gagner un
temps précieux, notre équipe a développé
en partenariat avec les
LABORATOIRES LAPROPHAN plus
d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les
différents outils.
Vos remarques et vos suggestions
seront les bienvenues. |
|
BON A
SAVOIR |
Anciennes
Pharmanews
Cliquer sur le lien suivant pour consulter
les
anciennes Pharmanews.
[+]
A vos plumes
N'hésitez pas de nous envoyer vos écrits, vos
remarques et vos suggestions à l'adresse:
info@pharmacies.ma
Syndicats
et associations: à vos claviers
Nous vous informons que nous sommes disposés à diffuser toute
information en provenance des syndicats , des conseils ou des
associations.
Pour ce faire, les syndicats et les associations sont priés de
nous envoyer leur écrits à l'adresse électronique :
info@pharmacies.ma
Partagez Pharmanews avec vos amis
Si vous souhaitez qu'un ou
plusieurs de vos amis reçoivent Pharmanews, il vous suffit
d'envoyer leurs adresses électroniques à l'adresse:
info@pharmacies.ma
Pour toute information concernant Pharmanews:
FACILACOM
BP: 2085 Hassania II
Mohammedia Maroc
Tél.: +212 (0) 5 23 28 77 57
Fax: +212 (0) 5 23 28 09 79
Email:
info@pharmacies.ma
Mentions légales
Visiter pharmacies.ma
Qui sommes-nous? |
|
Sources:
(1) ALBAYANE;
(2)
lematin.ma;
(3)
lefigaro.fr ;
(4) maxisciences.com;
(5) Afssaps;
(6) HAS;
|
|
|