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Numéro: 215

25 novembre  2013  

13748   destinataires

 

Quand les cubains ciblent les biothérapies
À Cuba, le cancer constitue la deuxième cause de décès après les maladies cardiovasculaires. Le nombre de cas de cancer diagnostiqués annuellement avoisine 31000 (1) et chaque année cette maladie fait 21000 (1) victimes. Cette prévalence élevée s'explique en grande partie par la surconsommation d'alcool et du tabac chez une population de plus en plus vieillissante. Les cancers les plus courants à Cuba sont ceux du poumon et de la prostate chez l'homme et ceux du col de l'utérus et du sein chez la femme.

À l'instar d'autres nations, Cuba a adopté un plan national de lutte contre le cancer en suivant les recommandations de l'OMS. Ce pays, appelé jadis Île aux pins, a fait des soins primaires sa pierre angulaire puisque les patients bénéficient de visites médicales régulières permettant de détecter précocement tout problème de santé. Ceux d'entre eux chez qui on suspecte un cancer, sont systématiquement orientés vers des centres dédiés à cette maladie pour confirmer le diagnostic, et si besoin est, les thérapies appropriées leur sont prodiguées.
Ce qui caractérise ce pays d'Amérique centrale, ce sont les efforts exceptionnels déployés pour développer la biotechnologie, et ce en dépit d'une situation économique qui ne le prédispose guère à ce choix. En effet, le gouvernement cubain a investi massivement dans ce domaine, ce qui a permis aux scientifiques cubains de faire des progrès considérables dans la recherche de nouvelles thérapies anti cancéreuses et des outils permettant d'améliorer le diagnostic et la prévention de cette maladie.
En 2008, par exemple, le ministre de la santé cubain a homologué un premier vaccin thérapeutique contre les formes avancées de cancer du poumon. Ce vaccin a été mis au point par le Centre d’immunologie moléculaire (CIM) de La Havane. Ce pôle d'excellence a aussi mis au point le nimotuzumab, anticorps monoclonal qui peut s'avérer très précieux dans la prise en charge de patients soufrant de tumeur arrivée à un stade avancé. Ce médicament fait actuellement l’objet d’essais cliniques au Japon et en Europe. Par ailleurs, les chercheurs cubains qui ont trouvé un deuxième vaccin contre le cancer du poumon en 2013, se penchent sur un projet de vaccin contre la dengue, des vaccins préventifs et thérapeutiques contre le Sida, contre le cholera et un vaccin thérapeutique contre le cancer.
Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard mais plutôt d'un engagement politique et financier du gouvernement cubain, y compris durant les périodes de vaches maigres. L'investissement d'un milliard de dollars dans la recherche et développement en biotechnologie qui s'est étalé sur une vingtaine d'années, n'a pas été vain puisque les cubains détiennent aujourd'hui 1200 brevets internationaux dont 400 en biotechnologie. Ils commercialisent des produits pharmaceutiques et des vaccins dans 50 pays leur permettant de générer plusieurs centaines de millions de dollars de recette par an avec une progression constante.
  
L'expérience de ce pays comme celles d'autres pays d'Amérique latine en matière de biotechnologie méritent qu'on s'y intéresse de très près. Car on peut se demander si le Maroc, qui a réussi à développer une industrie pharmaceutique souvent qualifiée de " fleuron de l'industrie nationale", est aujourd'hui capable de soutenir la recherche et réussir le défi de la biotechnologie.
Ce n'est qu'en faisant de la sorte, qu'il permettra à notre industrie de ne pas dépérir en raison de l'étroitesse du marché local et d'un positionnement qui pourrait la desservir.   
Abderrahim Derraji, Docteur en pharmacie

(1) données de l'OMS

 



Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

 
Pas de problème de contrefaçon des médicaments au Maroc (1)
Selon M. Mahly Mohamed Abdelmoumen, directeur  du Laboratoire national de contrôle du médicament au ministère de la Santé, la contrefaçon des produits médicaux ne constitue pas à l’heure actuelle un problème aigu au Maroc.
Lors des travaux de la Conférence pour la promotion de la Convention “Medicrime”, tenue jeudi et vendredi dans la capitale espagnole, Mr Mahli a rappelé que le Maroc est le premier pays arabe et de l’Afrique du Nord à avoir signé en 2012 la Convention Medicrime, traité international spécifique de droit pénal contre les produits médicaux contrefaits. Il a ensuite signalé que les rares cas de contrefaçon de médicaments enregistrés dans le Royaume ont fait l’objet de poursuites et de condamnations en vertu de la législation générale contre la fraude. A cette occasion, le responsable a plaidé pour la ratification de la Convention Medicrime et la mise en place d’une législation pénale spécifique pour punir les infractions liées à la contrefaçon des produits de santé, ce qui permettra, selon lui, aux pays signataires d’agir de façon plus efficace contre les contrefacteurs, a-t-il dit. La Convention internationale Medicrime, dont le Maroc est signataire, est le premier et le seul outil juridique disponible actuellement pour la communauté internationale en matière de lutte contre la contrefaçon des médicaments.
Son principal intérêt est d’introduire des sanctions pénales pour des actes intentionnels comme la fabrication de produits médicaux contrefaits, la fourniture, l’offre de fourniture ou le trafic de produits médicaux contrefaits, la falsification des documents, ainsi que la fabrication et la fourniture de produits médicaux sans autorisation et la mise sur le marché de médicaments ne remplissant pas les exigences de conformité aux normes de l’industrie pharmaceutique.

Journée nationale de lutte contre le cancer : restructurer la recherche (2)
Comme tous les 22 novembre, le Maroc a célébré la Journée nationale de lutte contre le cancer. Décrétée depuis 2007, cette journée est l'occasion de sensibiliser les Marocains à l'importance du diagnostic précoce, de dresser le bilan des moyens mis à disposition pour traiter cette pathologie et de lancer de nouvelles actions dans la stratégie de lutte contre le cancer dans notre pays.
Dr Habib Faouzi, président de la Fédération des centres d'oncologie privés, souligne que le Maroc “a réalisé d'importantes avancées dans le domaine du traitement du cancer”. Ce radiothérapeute met en avant la création de nombreux centres d'oncologie au Maroc : “avec 19 centres, la carte sanitaire a beaucoup changé. En 2005, le pays ne comptait que 3 centres de traitement privés et 2 publics”. Et le spécialiste d'ajouter que la maladie n'est plus considérée comme une fatalité et que les traitements sont efficaces à condition d'effectuer le dépistage dans les premiers stades.
Le Dr Latifa Belakhel, chef de Service de la prévention et du contrôle du cancer à la Direction de l'épidémiologie et de lutte contre les maladies, a fait état d'importantes avancées dans le domaine : la détection se fait plus rapidement qu'auparavant et les délais d'attente pour bénéficier d'un traitement ont été réduits significativement, insiste-t-elle. Une amélioration imputée directement aux différents programmes engagés en matière de lutte contre le cancer, dont le Plan national de prévention et de contrôle du Cancer (PNPCC) 2010-2019, sous l'impulsion de la Fondation Lalla Salma.
La Fondation Lalla Salma - Prévention et traitement des cancers compte, grâce à la création d'un institut de recherche sur le cancer, restructurer son action dans cette direction, afin de créer les conditions nécessaires pour le développement de la recherche en cancérologie au Maroc.

La wilaya s'attaque à l'abattage clandestin (3)
Le wali de la région du Grand Casablanca a tenu récemment une réunion à propos de l’abattage clandestin avec les gouverneurs des différentes préfectures, le préfet de police de la ville, les chefs des divisions des affaires générales dans l’ensemble des préfectures ainsi que le directeur régional de la Douane.
Au cours de cette rencontre, il a appelé les différentes parties à faire « un effort exceptionnel » afin d’éradiquer l’ensemble des points d’abattage clandestin. Selon des sources bien informées, ce phénomène a augmenté récemment au niveau de la capitale économique, d’où la mobilisation des services concernés. La régression du nombre de têtes de bovins et d’ovins abattus dans les abattoirs de Casablanca confirme ce constat.
En haute saison, les abattoirs produisent 350 têtes de bovins et 800 à 1000 têtes d’ovins. Actuellement, ce chiffre a régressé de moitié, selon une source bien informée. Néanmoins, ce recul est aussi dû à la période d’après Aïd Al Adha, ou plutôt la crise d’Aïd Al Adha, comme l’appellent certains professionnels.
Parmi les effets négatifs de ce phénomène, les professionnels parlent d’un manque de confiance entre les clients et les bouchers : «La viande issue de l'abattage clandestin inonde la métropole. Mis à part quelques points connus et difficiles à contrôler, n’importe quelle surface de vente peut en dissimuler parmi la viande contrôlée. Ceci nuit aux liens de confiance avec les clients qui peuvent penser que tous les professionnels exercent cette pratique illicite».
La viande issue de l'abattage clandestin et non contrôlée peut être à l'origine de plusieurs maladies, dont la tuberculose. En effet, une personne qui consomme des produits animaliers atteints de tuberculose peut contracter, soit la tuberculose intestinale ou osseuse, dont les symptômes chez l’homme sont la toux chronique, la douleur à la poitrine, la fatigue, la paralysie et l’amaigrissement. À un stade avancé, le malade crache du sang et lorsque la tuberculose n’est pas traitée, elle peut conduire à la mort.

Arrêt cardiaque: repérer les signes avant-coureurs (4)
 Selon une étude présentée lors du congrès de cardiologie américain, plus de la moitié des arrêts cardiaques seraient précédés de signes d'alerte bien avant leur survenue. Pour parvenir à ce résultat, le Dr Éloi Marijon, médecin français actuellement en poste au centre médical Cedars-Sinai de Los Angeles, a étudié les antécédents de 507 hommes victimes de mort subite à Portland, dans l'Oregon. «Plus de la moitié de ces hommes avaient eu des ¬signes avant-coureurs dans les quatre semaines qui précédaient cet arrêt cardiaque, et au moins une heure avant. Ce qui laisse largement le temps d'intervenir», explique le Dr Éloi Marijon.
Dans 56 % des cas, ces hommes avaient ressenti une douleur dans la poitrine, 13 % avaient eu un essoufflement et 4 % des étourdissements, des évanouissements ou des palpitations. Le Dr Éloi Marijon précise que dans deux cas sur trois les douleurs de la poitrine étaient caractéristiques d'un problème cardiaque, avec une douleur en étau dans la poitrine. «Mais elles avaient été intermittentes jusqu'à la survenue de l'arrêt cardiaque. En revanche, lorsque c'est une difficulté de respiration qui apparaissait, elle démarrait quelques jours avant et était continue jusqu'à l'arrêt cardiaque», précise le cardiologue.
Pour le chercheur, il ne s'agit pas pour autant de s'affoler à la moindre douleur ou à la plus petite palpitation, mais il ne faut pas balayer d'un revers de main certains signes annonciateurs. Comme toujours en médecine, mieux vaut prévenir que guérir. «Car, en cas d'arrêt cardiaque, le taux de survie dans le monde ne dépasse pas les 7 %! Et ce depuis trente ans», met en garde Éloi Marijon.

Boire du lait ne protègerait pas les os contre les fractures (5)
Publiée dans la revue JAMA Pediatrics, une étude suggère que boire du lait ne diminuerait pas le risque de fractures osseuses et ne protègerait pas non plus contre l'ostéoporose. Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’université de Harvard à Boston se sont intéressés à la consommation de lait de 96.000 jeunes Américains âgés de 13 à 18 ans, 61.000 étaient des femmes et 35.000 des hommes. Les participants ont été suivis pendant 22 ans, une période durant laquelle les chercheurs se sont penchés sur leur consommation de lait et le nombre de fractures. Durant ces recherches, l'équipe dirigée par Diane Feskanich a en tout recensé 1.226 fractures de hanche chez les femmes et 490 chez les hommes. Plus de 90% des ces fractures ont été causées en trébuchant ou en chutant. Ces données ont été mises en parallèle avec plusieurs facteurs, y compris la consommation de lait. Les chercheurs ont alors constaté qu'une plus grande consommation de lait ne faisait pas diminuer le risque de fractures. Les sujets qui avaient bu moins de lait durant l'adolescence n'ont pas montré plus de fractures que les autres.
Chez les hommes, c'est même le contraire qui est survenu. En effet, d'après les résultats de l'étude, chaque verre de lait supplémentaire bu par jour au cours de l'adolescence chez les garçons aurait fait augmenter le risque de fractures de la hanche de 9%. Mais comment expliquer une telle observation ? Au cours de leurs recherches, l'équipe a observé que la consommation de lait à l’adolescence coïncidait avec une taille plus importante des adultes. Pour expliquer la hausse du risque, ils émettent ainsi l’hypothèse que l’augmentation de la taille des os conduirait à une plus grande fragilité. "Le renforcement de la masse osseuse due à la consommation de lait serait contrebalancée par une fragilité due à une taille plus élevée. Et une taille élevée serait un facteur de risque d’ostéoporose", a estimé le Dr Diane Feskanich, l’auteur principal de l’étude. En revanche, "nous n’avons pas retrouvé d’augmentation du risque de fractures chez les femmes", a-t-elle souligné. Une différence qui pourrait s'expliquer par plusieurs facteurs et notamment le fait que les filles ne grandissent pas au même rythme que les garçons.
Le Dr Feskanich et ses collègues tiennent tout de même à tempérer leur découverte : celle-ci ne doit pas non plus inciter les plus jeunes à tourner le dos au lait et aux produits laitiers.
 
Des bactéries intestinales pour traiter la dépression? (6)
Lors d’une situation de stress ou d’un épisode dépressif, les concentrations de sérotonine et de Gaba baissent. La plupart des antidépresseurs améliore la sécrétion de ces molécules afin de rétablir les niveaux normaux et d’améliorer l’humeur des patients. Une équipe irlandaise de l’University College Cork s’est alors demandée si les microbes digestifs pouvaient remplacer les médicaments antidépresseurs, souvent associés à des effets secondaires déplaisants. En d’autres termes, pourrait-on atténuer les signes de la dépression grâce aux probiotiques ? Pour répondre à cette question, ils sont allés fouiller dans la littérature scientifique des dernières années sur le sujet.
Leurs conclusions, publiées dans la revue Biological Psychiatry, suggèrent que les probiotiques améliorent les troubles de l’humeur chez les animaux. Une étude montre par exemple que les souriceaux séparés de leurs mères surmontent mieux la situation si leur alimentation est complétée par certains probiotiques. Par leurs vertus anxiolytiques et antidépressives, ces microbes favorisent à la fois le comportement et la réponse immunitaire des rongeurs.
D’autres recherches se sont intéressées aux effets des probiotiques sur les troubles dépressifs et le stress chez l’Homme. Jusqu’ici, les psychobiotiques ont été principalement étudiés chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable, une maladie intestinale souvent associé à des problèmes d’humeur. Les résultats suggèrent un effet positif de plusieurs micro-organismes, notamment Bifidobacterium infantis, dans le traitement de ces troubles. Selon les auteurs, ces bénéfices seraient dus à leur action anti-inflammatoire ainsi qu’à leur capacité à réduire l'activité de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien appelé plus communément axe du stress.
 
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie



Sources:

(1) http://www.lnt.ma/
(2)
http://www.aufaitmaroc.com

(3)
http://www.lematin.ma
(4)
http://sante.lefigaro.fr
(5)
http://www.maxisciences.com
(6)
http://www.futura-sciences.com

 
 

 

 

 

 
INDUSTRIE PHARMA

Sanofi : résultats positifs pour sarilumab dans la polyarthrite rhumatoïde.
Sanofi et Regeneron ont annoncé vendredi des résultats positifs issus de
L’essai clinique de phase 3 sur sarilumab (1er anticorps anti-IL-6R entièrement humanisé) en association avec méthotrexate (MTX) dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde s’est révélé concluant.
Dans un communiqué, les laboratoires Sanofi et Regeneron, ont annoncé que le traitement par sarilumab en association avec MTX a permis d’améliorer les signes et symptômes de la maladie ainsi que la fonction physique et a inhibé la progression des lésions articulaires.
L’essai de phase 3 SARIL-RA-MOBILITY, d’une durée de 52 semaines, a inclus environ 1 200 patients atteints de polyarthrite rhumatoïde active modérée qui ne répondaient pas adéquatement au traitement par MTX. Les patients des deux groupes traités par sarilumab ont présenté des améliorations
statistiquement et cliniquement significatives.
Source: Mypharma-editions

 
LIENS CHOISIS POUR VOUS  
SANOFI DIABÈTE: UN CONTINUUM PERMANENT D'INNOVATION ET DE SUCCÈS  
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GRAND ORAL-EL HOUSAINE LOUARDI  
Émission diffusée le 21 novembre  par Luxe Radio
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Dissolution des conseils régionaux des pharmaciens d'officine
Publié le : 18 novembre 2013 -
Hajjar El Haiti, LE MATIN
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RETRAIT DE LOTS

Le laboratoire Maphar procède au rappel de tous les lots des spécialités suivantes:

ISKEDYL FORT comprimés
SEGLOR 5 Mg Boite de 30 gellules
IKARAN 2Mg Solution buvable /50ml
IKARAN LP 5mg boite de 30 comprimés

A titre d'information, vingt-et-un médicaments contenant des dérivés ergotés feront prochainement l'objet d'une suspension d'AMM (autorisation de mise sur le marché), en raison d'un rapport bénéfice/risque jugé défavorable. par l'ANSM (FRANCE).
En savoir plus: lien

 
PROCHAINS RDV
L’Amicale des  Médecins Privés de Mohammedia  organise 4 conférences: au YACHT CLUB DE MOHAMMEDIA  à  19 H 30.
 
Jeudi 21 novembre 2013
INFECTIONS RESPIRATOIRES BASSES 
Pr MARHOUM   
Sponsor: Laboratoires PHARMA 5.
 
Jeudi  28 novembre 2013
LYMPHOMES
Pr ZAFAD (Clinique Hématologie Casablanca).
 
Jeudi  05 décembre 2013
GLAUCOME 
Dr EZZOUHAIRI et Pr LAMARI  (Ophtalmologues).
                                        
Jeudi 12 décembre 2013
SOMATISATION 
Pr M. BOUCHIKHI  (Psychiatre Casablanca).
Laboratoires  PHI.

 30 novembre 2013 
Événement: 17ème Journée du Conseil de l'Ordre des Pharmaciens Fabricants Répartiteurs 
Thème: "ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIE EN INDUSTRIE ET RÉPARTITION PHARMACEUTIQUE"
Lieu: Hôtel Sofitel 
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact:  COPFR
Programme: lien

Bulletin d'inscription: lien
Accès réservé aux inscrits .

 28 au 30 novembre et 1er  décembre 2013  
Événement: Congrès International des Pharmaciens 
Lieu: Hôtel Sofitel Impérial Ile Maurice
Pays: Ile Maurice
En savoir plus: Lien 

 5 au 7 decembre  2013 
Événement: JIEL2013
6èmes Journées Internationales sur les lipides   
Lieu:Hôtel Idou Anfa 
Ville:Casablanca
Pays: Maroc
Organisateur: SMEL
Site Internet: Lien

 12 & 13 décembre 2013 
Événement: PREMIER CONGRÈS AFRICAIN DE PHARMACOVIGILANCE AU MAROC
Thème:" L’INTÉRÊT DES PARTENARIATS 
POUR UNE PHARMACOVIGILANCE EFFICIENTE EN AFRIQUE”
Organisateurs: La société marocaine de Pharmacovigilance et la société Africaine de Pharmacovigilance
Lieu: Amphithéatre du CMPV 
Ville:  Rabat
Pays: Maroc
En savoir plus: Lien 
CONTACT: raja.benkirane@gmail.com

 

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

FERPLEX ® 40 MG      
Laboratoires: IBERMA
Composition: Fer proteinsuccinylate (FPS)
Indications: prévention et traitement des anémies férriprives.
Formes et présentations:

Boite de 10 flacons prêt à l'emploi.
PPM: 60 Dhs

EUPANATOL ® 20 MG      
Laboratoires: COOPER PHARMA
( TAKEDA)

Composition:  pantoprazole
Propriété: Inhibiteurs de la pompe à protons
Formes et présentations:

Boite de 28 comprimés
PPM: 198 Dhs


EUPANATOL ® 40 MG      
Laboratoires: COOPER PHARMA
(TAKEDA)

Composition:  pantoprazole
Propriété:
Inhibiteurs de la pompe à protons
Formes et présentations:

Boite de 30 comprimés
PPM: 198 Dhs

VISOPHINE®       
Laboratoires: PHARMACEUTICAL INSTITUT
Composition: lutéine, vitamine (A,C,E) zinc, chrome et sélénium
Propriété:
complément alimentaire
Formes et présentations:

Boite de 28 comprimés
PPM: non communiqué


ARTROVIAL®     
Laboratoires: SOTHEMA
Composition: Hyaluronate de sodium
Indication: Traitement de l'arthrose par injection intra=articulaire d'acide hyaluronique
Formes et présentations:


-
Boite renfermant une seringue stérile pré remplie de 2 ml et une aiguille
PPM: 295 Dhs

- Boite renfermant 3 seringues stériles pré remplies de 2 ml et 3 aiguilles
PPM: 840 Dhs

LOVANIC® 500Mg     
Laboratoires: SOTHEMA
Composition: Levofloxacine
Propriété: antibiotique appartenant à la famille des fluoroquinolones 

Formes et présentations:

-
Boite de 5 comprimés
PPM: 80 Dhs

- Boite de 10 comprimés
PPM: 140,80 Dhs

DIFAL® Gel 2%     
Laboratoires:Galenica
Composition:  Diclofénac sodique
Propriété: AINS
Formes et présentations:

- Tube 20 g 19,00 Dhs
- Tube 50 g 38,20 Dhs

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
Vos remarques et vos suggestions seront les bienvenues.
 
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