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Tout vient
à point à celui qui sait
« entendre »… |
Lors du dernier colloque organisé
par le Syndicat des Pharmaciens de
Marrakech, les intervenants comme
les participants ont unanimement
émis leur souhait de voir toutes les
composantes de la profession se
mobiliser pour mieux défendre les
intérêts des pharmaciens. Parmi les
recommandations qu’ils ont formulées
: la mise en place de la
régionalisation des conseils de
l’Ordre, d’une fiscalité plus juste,
d’un mode de rémunération moins
pénalisant pour le pharmacien, d’une
formation post universitaire
réglementée et de mesures
nécessaires pour défendre le
monopole du pharmacien.
Pour ce faire, les instances
professionnelles devraient étudier
toutes ces problématiques avant
d’élaborer un projet résumant la
vision de la profession et intégrant
aussi bien ses revendications que
ses propositions.
Par le passé, nos aînés s’étaient
retrouvés en 1984 à Ifrane pour
préparer la refonte du Dahir de
1960. Trois jours leur ont été
nécessaires pour passer en revue
toutes les dispositions de ce texte.
A l’époque les pharmaciens étaient
peu nombreux et toutes les bonnes
volontés avaient fait le déplacement
à cette ville.
En 2005, la Fédération Nationale des
Syndicats des Pharmaciens du Maroc
avait procédé de la même manière.
Une rencontre à Moulay Yaâcoub a
permis l’étude de la première
mouture du code du médicament et de
la pharmacie et l’élaboration d’une
contre proposition excluant un grand
nombre de dispositions en défaveur
du pharmacien d’officine. Ce
travail a été rendu possible grâce à
la contribution des représentants
des différents organismes
professionnels et d’autres
pharmaciens choisis pour leurs
compétences et leur maîtrise du
secteur du médicament.
A l’instar de ces exemples, les
syndicats doivent aujourd’hui se
réunir à leur tour afin de relever
le défi de constituer une vraie
force de proposition car ni les
lamentations, ni la politique de
l’autruche ne pourraient sortir la
pharmacie de la situation peu
enviable qu’elle traverse
aujourd’hui. Seule une analyse pertinente, une stratégie bien pensée et une
bonne dose d’abnégation pourraient
sortir la pharmacie d’officine de
son
marasme.
De leur côté, les conseils de
l’Ordre régionaux, le conseil de
l’Ordre des biologistes et le
conseil de l’Ordre des pharmaciens
fabricants répartiteurs ne
pourraient faire l’économie d’une
large concertation et œuvrer pour la
régionalisation de leurs instances.
Celle-ci permettrait aux conseils de
mieux réguler le secteur de la
pharmacie. Cette régionalisation gagnerait à
prévoir la possibilité d’inscription
au tableau du conseil de l’ordre des
pharmaciens du secteur publique, des
pharmaciens enseignants et des
pharmaciens militaires
Par la suite, toutes les instances
devraient se retrouver, se concerter
et élaborer un projet commun
respectant les prérogatives de
chaque organisme professionnel. Dans
le cas contraire, elles ne pourront constituer, ni
cette force de proposition dont on a
tant besoin, ni cet interlocuteur
essentiel à l’administration pour
asseoir une vraie politique du
médicament. |
Abderrahim Derraji |
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OUTILS PRATIQUES |
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Le SNSP reçu
par Hossein El Ouardi : Vers la tenue d’un
colloque national sur la santé (1)
Une réunion s’est déroulée lundi, sur demande du
ministre de la santé, au siège de son
département. Au cours de cette rencontre avec le
Syndicat national de la santé publique, affilié
à la FDT, en présence du secrétaire général du
ministère et du directeur des ressources
humaines, le ministre de la Santé, Hossein El
Ouardi, a exposé, de manière claire, sa vision
de la politique de gestion qu’il compte mettre
en œuvre et réitéré son engagement pour le
dialogue avec les différents partenaires en vue
de trouver des solutions aux problèmes du
secteur et de mener à leur terme les chantiers
ouverts au niveau sectoriel. Particulièrement
ceux concernant l’élargissement de la couverture
sociale, la politique du médicament, la
régionalisation, ainsi que la création d’un
Observatoire de la recherche scientifique dans
le domaine de la santé, la réhabilitation du
rôle prépondérant des professionnels en vue de
développer le système de santé, entre autres.
Le ministre de la Santé a annoncé son engagement
à respecter les dispositions de l’accord du 05
juillet 2011 et sa disposition pour la tenue
d’un colloque national sur la santé qui
permettra d’élaborer une Charte nationale et qui
donnera lieu, à son tour, à un statut
particulier de la Fonction publique pour les
seuls fonctionnaires du secteur de la santé.
La journée de lutte contre le cancer:
Priorité à la prévention(2)
C'est le 4 février que Le monde a célébré la
Journée internationale contre le cancer. Selon
l'Organisation mondiale de la santé (OMS), cette
pathologie est la première cause de mortalité.
Cette maladie a causé le décès de 7,6 millions
de malades en 2008, soit environ 13% de la
mortalité mondiale.
Selon l'OMS, plus de 30% des cas de cancer
pourraient être évités en modifiant ou en
évitant les principaux facteurs de risque tels
que le tabagisme, la consommation insuffisante
de fruits et légumes, la consommation d'alcool,
etc. Le dépistage précoce permet également de
réduire la mortalité due au cancer.
Au Maroc, pays qui s'est doté d'un Plan national
de prévention et de contrôle du cancer
2012-2019, il y a environ 30 000 nouveaux cas de
cancer par an. Le cancer est responsable de 7,2%
des cas de décès, selon l'Association Lalla
Selma de lutte contre le cancer, présidée par
S.A.R. Lalla Selma.
L'objectif de ce plan est de réduire la
morbidité et la mortalité imputables au cancer
et d'améliorer la qualité de vie des patients et
de leurs proches. Pour cela, la stratégie
d'action se décline sous forme de mesures
opérationnelles à entreprendre sur les domaines
stratégiques suivants : la prévention, la
détection précoce, la prise en charge
diagnostique et thérapeutique et assurer les
soins palliatifs.
Un pharmacien condamné à 5 ans de
prison et d’une privation définitive d’exercer
(3)
Le tribunal de première instance de la ville de
Settat a condamné un pharmacien à 5 ans de
prison ferme, à une amende de 5000 DH et à
verser 75.670 DH à l’Administration des douanes,
le tout assorti d’une privation définitive
d’exercice.
Ce pharmacien a été poursuivi pour vente de
médicaments périmés, commercialisation de
substances nocives pour la santé publique,
possession et commercialisation d’équipements
médicaux périmés, outrage à la police judiciaire
en lui communiquant des données fausses, vente
de produits d’utilité publique, possession de
marchandises sans autorisation, non-respect des
procédures d’admission temporaires des moyens de
transport et d’exercer, sans autorisation, une
profession encadrée par la loi et fraude.
Deux autres personnes, un conducteur d’ambulance
et le gardien du centre hospitalier Hassan II de
Settat, poursuivies dans la même affaire, ont
été condamnées respectivement à trois et deux
ans de prison ferme.
Le pharmacien a été arrêté, au cours de la
première semaine de janvier, suite à une plainte
déposée par le Syndicat des pharmaciens de la
ville.
Lien entre douleurs menstruelles et maladies
cardiovasculaires(4)
Alors qu’il étudiait la fonction utérine aux
niveaux cellulaire et moléculaire dans le
contexte de la fertilité et en début de
gestation, le Dr Michel A. Fortier, professeur
titulaire à l'Université Laval, a fait une
découverte importante au sujet des
prostaglandines, hormones à action locale qui
sont essentielles à la reproduction, mais aussi
responsables de l'inflammation, de la douleur,
de la fièvre et des maux de tête.
En effet, une des prostaglandines, la
PGF2-alpha, cause une vasoconstriction, ce qui
peut entraîner des douleurs menstruelles, voire
un AVC ou une crise cardiaque. En cherchant le
processus biologique produisant la PGF2-alpha
dans l'utérus, le Dr Fortier et ses collègues
ont découvert que l'enzyme humaine appelée
aldose réductase joue un rôle important à ce
niveau. Cette découverte laisse entrevoir de
nouvelles voies pour traiter les douleurs
menstruelles, mais aussi d'aborder les
complications cardiovasculaires, notamment les
AVC et les crises cardiaques.
Selon Joy Johnson, directrice scientifique de
l'Institut de la santé des femmes et des hommes
des IRSC, il est fascinant qu'une étude de la
fonction utérine puisse mener à de nouveaux
traitements pour les maladies cardiaques. Cette
recherche illustre combien il est important de
tenir compte de l'influence des facteurs
biologiques liés au sexe sur des problèmes de
santé à première vue indépendants.
Cancer du sein: la HAS privilégie le
dépistage organisé(5)
Malgré une nette augmentation depuis 2004, la
participation au dépistage organisé (DO) du
cancer du sein reste inférieure à l’objectif
cible de 80% au niveau national et varie très
fortement selon les départements.
La moitié seulement des 4,3 millions de femmes
concernées chaque année se fait dépister via le
dépistage organisé du cancer du sein et environ
10% dans le cadre du dépistage individuel.
Dans son dernier rapport, la HAS plaide pour que
le dépistage organisé devienne progressivement
la modalité unique de dépistage du cancer du
sein pour les femmes de 50 à 74 ans. Elle
propose la mise en œuvre de mesures incitatives
fortes en faveur du dépistage organisé auprès
des femmes et des professionnels de santé.
- Avec les radiologues, les médecins
généralistes et les gynécologues sont les
contacts privilégiés des femmes. Ils doivent
devenir acteurs à part entière du dépistage
organisé. La HAS recommande de les associer
étroitement aux étapes d’invitation et de suivi
des résultats du dépistage. Elle préconise, par
exemple, que les médecins prescrivent
directement et systématiquement des
mammographies de dépistage organisé plutôt que
des mammographies de dépistage individuel.
- Etendre la gratuité à l’échographie
médicalement justifiée dans le dépistage
organisé
La HAS recommande que l’échographie immédiate
réalisée quand elle est nécessaire selon les
indications du cahier des charges du dépistage
organisé puisse être prise en charge à 100%, ce
qui n’est pas le cas actuellement.
- Informer les femmes de la qualité supérieure
du dépistage organisé
Il importe de compléter le niveau de
connaissance et d’information des femmes de
manière personnalisée, c’est-à-dire avec les
messages les plus adaptés à leurs
caractéristiques et à leurs habitudes vis-à-vis
du dépistage (non participantes, pratiquant le
DI, etc.).
Prothèses mammaires : vers un renforcement des
contrôles (6)
Le ministre de la Santé Xavier Bertrand vient
d’annoncer le renforcement des contrôles des
prothèses et autres dispositifs médicaux. Cette
décision prise suite à la publication d'un
rapport de la Direction générale de la santé (DGS)
et de l'Afssaps jugeant ce renforcement
"nécessaire" avant et après la mise sur le
marché, en France comme en Europe. Le texte
prône également de "favoriser le signalement des
effets indésirables".
Le ministre s'est engagé à suivre ces
recommandations, promettant au niveau national
des contrôles "plus nombreux et inopinés, tant
sur les lieux de production que dans les
établissements de santé". Au niveau
communautaire, la DGS et l'Afssaps prônent une
révision de la directive 93/42/CEE relative aux
dispositifs médicaux, visant à renforcer les
exigences et l'évaluation pour leur mise sur le
marché.
Xavier Bertrand a en outre commandé auprès de
l’Afssaps une liste des dispositifs médicaux
implantables à risque qui devra lui être remise
au mois de mars.
Une mâchoire en titane créée par imagerie 3D
greffée sur une patiente (7)
Lors d'une conférence de presse à Hasselt, dans
le nord-est de la Belgique, une équipe de
médecins a annoncé avoir réalisé la
transplantation d’une mâchoire en titane qui
avait spécialement été conçue pour une patiente
de 83 ans par imagerie 3D. La technique a en
fait consisté à modéliser en trois dimensions,
sur ordinateur, la partie du squelette malade,
ici une grave inflammation de la mâchoire, et à
"imprimer" une prothèse en titane reprenant
exactement ses dimensions.
"C'est la première fois qu'une mâchoire
inférieure complète est réimplantée chez un
patient", a souligné le Dr Jules Poukens qui a
dirigé l'équipe. "L'opération s'est déroulée il
y a quelques mois sur une patiente néerlandaise
de 83 ans. Ce procédé a permis de sauvegarder
d'importantes fonctions vitales (respiration,
parole, mastication, facultés gustatives) ainsi
que l'aspect esthétique, qui autrement auraient
été perdues".
Cette prothèse "sur mesure" diminue
considérablement la durée de l'intervention qui
ne nécessite alors "plus" que 3 à 4 heures,
contre 12 à 20 heures pour une opération
classique. Toutefois, le coût de cette mâchoire
artificielle de 107 grammes reste tout de même
élevé : environ 9.000 euros.
Cette prouesse ouvre la voie à une utilisation
future de prothèses poreuses qui pourraient être
associées à des cellules souches pour obtenir
des implants qui s'intégreraient alors encore
mieux dans le corps du patient.
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Zitouni
Imounachen
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Sources:
(1) libe.ma;
(2)
lematin.ma;
(3)
libe.ma;
(4)
techno-science.net;
(5) mypharma-editions.com;
(6) maxisciences.com;
(7) maxisciences.com; |
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CAT devantune rétention
aiguë
des urines
En savoir plus |
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INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE |
AB
Science annonce de nouveaux
résultats cliniques pour Masitinib
Masitinib, médicament de la société
pharmaceutique AB Science, a donné
des résultats encourageants lors de
son étude clinique de phase 2, dans
les tumeurs gastro-intestinales
stromales (GIST) résistantes au
Glivec®. Le masitinib a amélioré de
manière significative la survie
globale chez les patients atteints
de GIST résistant au Glivec® par
rapport au Sutent® de Pfizer (sunitinib),
un produit approuvé dans le
traitement de la GIST en seconde
ligne et qui est actuellement le
traitement de référence pour ces
patients.
Dans cette étude, 44 patients avec
un GIST non-opérable, localement
avancé ou métastasé et ayant une
progression de la maladie sous
traitement avec Glivec® (imatinib)
ont reçu soit du masitinib (23
patients), soit du Sutent® (21
patients) jusqu’à progression de la
maladie. Après un suivi médian de 14
mois, la médiane globale de survie
n’était pas atteinte pour le
masitinib alors qu’elle
s’établissait à 15 mois pour le
Sutent® (p = 0,022 HR : 3,2). Après
18 mois, 79% des patients traités
avec le masitinib étaient toujours
en vie, contre 20% pour ceux traités
avec le Sutent®. Après 2 ans, 54%
des patients traités avec le
masitinib étaient toujours en vie
contre 0% pour ceux traités avec le
Sutent®. L’étude a aussi démontré
que le masitinib était
significativement mieux toléré que
le Sutent®.
Le Dr. Axel Le Cesne (Institut
Gustave Roussy, France),
l’investigateur principal de cette
étude, a déclaré : « Étant donné
l’avantage substantiel du masitinib
sur la survie des patients, associé
à une toxicité moindre en
comparaison avec le Sutent®, nous
pensons que le masitinib est une
avancée importante dans le
traitement du GIST».
Source: maxisciences.com |
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Colloque de
Marrakech:
rien ne vaut une bonne stratégie |
C’est sous le thème « Constat actuel
et contraintes socio-économiques de
la pharmacie d’officine, quel avenir
?» que le syndicat des pharmaciens
de Marrakech a organisé son colloque
annuel les 27 et 28 janvier 2011.
Comme à l’accoutumée, cette
rencontre a débuté par une séance
d’hommages. Cette année, le comité
d’organisation a rendu hommage à
deux pharmaciens d’officine de la
ville ocre, M. Jamal Eddine
Benazzouz et M. Hassan Sebti. Ces
deux confrères qui jouissent d’une
excellente réputation, ont occupé
par le passé des postes de
responsabilité au sein des
organismes professionnels.
Suite à ces deux
premières consécrations, plusieurs
pharmaciens de Marrakech se sont
succédés au podium pour rendre un
vibrant hommage à M. Jaouad Cheikh
Lahlou, Président Directeur Général
de COOPER PHARMA. Ce pharmacien
s’est illustré dans l’industrie
comme dans la répartition par son
sérieux, sa passion et son
engagement pour la profession.
Après cette séance émouvante, les
travaux de ce colloque ont démarré
par une table ronde qui a eu pour
thème : « Quelles stratégies
prévoient nos instances pour sauver
l’équilibre de l’officine face aux
menaces (Génériques, baisses des
prix, effritement continu du
monopole, absences des décrets
d’application,…) ?».
Cette table ronde qui a été présidée
par M. Mohamed Belghazi, a permis à
Mme Sabah Boucham député de Salé, M.
Noureddine Al Barkani député de
Nador, M. Cherif Lamrani président
du CNOP et M. Laghdaf Rhaouti
président du CRPON de partager avec
l’assistance leurs visions aux
sujets des problèmes conjoncturels
et structurels que vit la
profession. Tous ces orateurs se
sont accordés sur la nécessité
d’asseoir une stratégie globale et
surtout d’œuvrer pour que les
responsables des instances
professionnelles oublient leurs
divergences pour adopter et défendre
cette stratégie commune.
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Congrès
National de Chirurgie
APPEL A
CANDIDATURE |
La Société
Marocaine de Chirurgie et
la Société
Marocaine de Chirurgie Digestive organisent
le Congrès
National de Chirurgie du 23
au 25 mai 2012 au Palais
des congrès de Fès.
Nous vous invitons à soumettre vos
résumés de communications orales,
affichées et vidéos.
La soumission des
résumés se fait exclusivement
en ligne en
vous connectant au site de la
Société Marocaine de Chirurgie:
www.somachir.ma
Nous vous prions de
lire attentivement les
recommandations aux auteurs avant
de soumettre vos travaux.
Le dernier délai pour
la soumission des résumés est le: 4
mars 2012
Pour toute
information, n’hésitez pas à nous
contacter:
soumission.somachir@gmail.com
Tél. & Fax: +212 (0)
5 37 67 03 30
Recommandation aux auteurs |
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NOUVEAUX AU MAROC |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
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correspondants à leurs nouveaux produits à
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