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Capital "e-matériel" et e-santé
au Maroc |
L'équipe de recherche de
pharmaco-épidémiologie et de
pharmaco-économie a organisé son
colloque annuel les 10 et 11 octobre
2014 au centre d'accueil et de
conférence de la fondation Mohammed
VI des œuvres sociales de Rabat.
Durant cette rencontre, des experts
nationaux et internationaux ainsi
que des intervenants du secteur de
la santé et du médicament ont pu
suivre avec beaucoup d'intérêt trois
thématiques : Les études de
pharmaco-économie au Maroc, la place
de la pharmacovigilance en
pharmaco-épidémiologie et les enjeux
et le développement de la e-santé.
Cette dernière thématique vient nous
rappeler que les techniques de
l'information et de la communication
s'invitent de plus en plus dans le
secteur de la santé en donnant
naissance à diverses applications
qui sont regroupées aujourd'hui dans
la e-santé.
Le Maroc n'est pas en marge de cette
évolution puisque de nombreuses
expériences y ont été menées,
notamment en télémédecine et en
e-learning et ce n'est qu'un début
puisque le Maroc serait le 27ème
pays le plus connecté au monde sur
les 198 pays recensés par le site
internetlivestats.com.
Selon une enquête menée par l'ANRT
et publiée en juin 2014, 93% des
marocains possèdent au moins un
téléphone mobile, près de la moitié
des ménages du Royaume est équipée
d’au moins un ordinateur ou d'une
tablette et dispose d’une connexion
Internet à domicile.
Ces chiffres encourageants
réconfortent les décideurs
politiques qui ont engagé le pays
dans le projet e-Gouvernement. Ce
projet qui semblait, de prime abord,
futuriste et peu réaliste, permet
aujourd'hui d’exploiter les
technologies de l’information et de
la communication pour reconfigurer
les outils dont dispose
l'administration et les rendre
efficaces pour mieux servir les
citoyens et les entreprises. Cette
expérience devrait nous inciter à
oser entreprendre d'autres projets
aussi prometteurs notamment en
e-santé.
La première phase devrait consister
en une exploration des expériences
menées en e-santé par d'autres
nations pour en sélectionner celles
qui ont le plus de chance d'aboutir
au Maroc. La e-santé pourrait, par
exemple, constituer un levier
d'amélioration de l'accès aux soins
dans les régions enclavées du
royaume, à l'image du projet «
Mobile Ultrasound Patrol» qui a été
mené à Oulmès, Boulemane et Ribat El
Kheir. Ce projet pilote a démontré,
chiffres à la clef, l'apport de ces
nouvelles technologies dans la
réduction du taux de mortalité chez
les femmes enceintes.
Par ailleurs, la e-expertise et le
e-learning commencent à faire partie
du quotidien des professionnels de
santé au Maroc. Leur apport est
incontesté dans la formation et dans
le partage d'expériences entre les
différentes facultés et hôpitaux de
part et d'autre de la méditerranée.
Même si ces expériences semblent
constituer un bon début avec une
valeur ajoutée indéniable, le Maroc
ne peut faire l'économie d'une
stratégie nationale globale et
efficiente en e-santé. À l'instar
d'autres pays précurseurs en la
matière, notre pays doit réunir
toutes les conditions nécessaires
pour réussir la "révolution e-santé".
L'implication de tous les
intervenants dans les phases
initiales de ce projet est
nécessaire et permet, au passage, de
ne pas réduire la e-santé à sa
composante technique.
Pour conclure, les conditions sont
aujourd'hui réunies pour un projet
global de e-santé au Maroc : les
ressources humaines, la volonté
politique et l’équipement des
individus et des ménages sont au
rendez-vous. Mais rien ne peut être
fait sans l’apport d’acteurs engagés
qui doivent former des groupes de
réflexion pour explorer toutes les
voies permettant la mise en place
des premiers jalons de la e-santé au
Maroc. La formation, l’information
et la régulation constitueront les
piliers de ce projet.
Abderrahim
Derraji |
E-Santé au Maroc :
État des lieu et perspectives
d'avenir
Cliquez sur le lien pour télécharger
la présentation |
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Nous nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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Ebola : le Maroc demande le report
de la CAN-2015 (1)
La Coupe d'Afrique des nations de
football (CAN-2015), prévue du 17
janvier au 8 février au Maroc,
risque d’être reportée en raison de
l'épidémie de fièvre Ebola. Cette
demande du ministre de la santé
intervient pour prévenir la
propagation de ce virus parmi les
nombreux spectateurs qui prendront
part à cet événement
footballistique.
Une délégation officielle aura une
rencontre, la semaine prochaine,
avec le président de la
Confédération africaine de football
(CAF), Issa Hayatou, pour examiner
les mesures de mise en œuvre de ce
report.
Santé
mentale : Le Maroc doit tout revoir (2)
La Journée mondiale de la santé
mentale, célébrée le 10 octobre de
chaque année, offre l’occasion de
faire le point sur cette question et
les défis qui restent à relever pour
mettre à niveau ce secteur au Maroc.
D’après l’OMS, 400 millions de
personnes dans le monde sont
atteintes de troubles mentaux ou
neurologiques ou souffrant de
problèmes psychosociaux, associés
notamment à l’alcoolisme ou à la
toxicomanie.
Au Maroc, la dernière étude
consacrée à ce sujet, en
l’occurrence le rapport établi par
le Conseil national des droits de
l’Homme (CNDH) intitulé « Santé
mentale et droits de l’Homme : la
situation des établissements
hospitaliers chargés de la
prévention et du traitement des
maladies mentales », a tiré la
sonnette d’alarme. Elle a mis en
avant la « désuétude de l’arsenal
juridique, sa non-conformité, le
manque d’infrastructures et leur
inadéquation au vu des standards de
la répartition géographique, de
l’architecture, des équipements mais
aussi des normes de sécurité et de
surveillance, le manque de
ressources humaines et le
mauvais traitement des patients ».
Les visites effectuées par le CNDH
dans 20 établissements hospitaliers
spécialisés dans le traitement des
maladies mentales et psychiques ont
fait état d’anomalies se rapportant
essentiellement à « la qualité
des prestations médicales et non
médicales fournies aux patients, aux
conditions d’hospitalisation et à
l’absence d’une prise en charge
spéciale des enfants, des mineurs,
des personnes âgées et des
délinquants ».
Pour pallier cette situation
alarmante, le rapport a proposé de
procéder à « la refonte de la loi
du 30 avril 1959 relative à la
prévention des maladies mentales et
à la protection et au traitement des
malades mentaux, en harmonie avec
les normes internationales en la
matière ».
Le CNDH a également préconisé de
« réviser le cadre légal relatif à
la sécurité sociale, aux
assurances-maladies et à l’ouverture
des cliniques privées et d’adopter
un statut adéquat régissant
l’exercice du métier d’infirmier
spécialisé en psychiatrie ».
Face à cet état de fait, la
stratégie sectorielle de santé
2012-2016 a érigé en priorité la
question de la santé mentale avec un
plan d’action détaillé comportant
une cinquantaine de mesures.
L’objectif est d’augmenter le nombre
de psychiatres, de pédopsychiatres
et d’addictologues formés, de
renforcer la formation d’infirmiers
spécialisés, et les compétences des
intervenants en santé mentale.
L'abus de morphiniques a fait plus
de morts que la guerre du Vietnam
aux USA (3)
Une recommandation diffusée par
l’Association américaine de
neurologie (AAN) souligne que la
balance bénéfice-risque des opioïdes
n'est pas toujours favorable ; les
experts rappellent ainsi que plus de
100.000 personnes sont mortes depuis
que la législation américaine sur la
prescription d'opioïdes s'est
relâchée à la fin des années 1990.
Cet assouplissement législatif
constituait à l'époque un véritable
progrès, car il s'agissait de
vaincre une certaine réticence des
médecins à prescrire ces molécules
qui sont pourtant les plus puissants
antalgiques connus. Notamment dans
certaines douleurs cancéreuses, et
les experts de l'AAN prennent bien
soin de rappeler que leurs
recommandations, publiées dans la
revue Neurology, ne concernent pas
les douleurs liées aux cancers. Mais
en dehors du cancer, les doses
utilisées aux États-Unis ont
nettement augmenté ces quinze
dernières années.
Professeur émérite de thérapeutique
et membre de l'Académie de médecine,
le Pr Patrice Queneau déclare qu’«il
faut réévaluer au fil du temps
l'intérêt d'une prescription
prolongée. Revoir son efficacité, la
façon dont elle est tolérée et,
éventuellement, procéder à des
ajustements de la dose prescrite.
C'est une règle d'or pour tout
traitement, et pour les opioïdes en
particulier. Le patient doit être
copilote du traitement.»
Car le risque de dépendance est bien
réel avec les opioïdes. «Il faut
extrêmement bien peser l'intérêt de
prescrire ces médicaments, insiste
le Pr Queneau, et ne pas oublier
qu'il y a une place pour des
approches complémentaires du type
hypnose, relaxation, kinésithérapie,
thermalisme ou réhabilitation. Ça ne
paraît pas très spectaculaire mais
c'est très efficace.»
En pratique, il conseille «d'éviter
les opioïdes chaque fois que la
douleur est floue, mal identifiée»
et suggère «une évaluation
multidisciplinaire» lorsque la prise
est prolongée.
Des chercheurs font une découverte
sur l’anorexie et la boulimie (4)
L’équipe de professeur de
physiologie Sergueï Fetissov - au
sein de l’unité mixte de recherche
1073 dirigée par le professeur
Pierre Déchelotte - étudie les liens
entre l’intestin et le cerveau, qui
pourraient expliquer les Troubles du
comportement alimentaire (TCA). «
Nous avons mis à jour l’implication
d’une protéine produite par
certaines bactéries intestinales,
qui serait à l’origine de ces
troubles alimentaires », explique
Sergueï Fetissov.
Les anticorps produits par
l’organisme contre cette protéine
réagissent aussi avec la principale
hormone de la satiété. Selon les
chercheurs, ce mécanisme qui induit
des variations de la prise
alimentaire pourrait à terme être
corrigé. Ils travaillent
actuellement au développement d’un
test sanguin basé sur la détection
de la protéine bactérienne ClpB. «
Si nous y arrivons, il permettrait
la mise en place de thérapies
spécifiques et individualisées des
troubles du comportement alimentaire
», souligne le professeur Fetissov.
Les résultats ont été publiés dans
la revue Translational Psychiatry,
le 7 octobre 2014.
« Cette protéine est le sosie de
l’hormone de la satiété (mélanotropine).
Cette protéine (ClpB) est fabriquée
par certaines bactéries telles qu’Escherichia
coli présentes naturellement dans la
flore intestinale. En présence de la
protéine, des anticorps sont
produits par l’organisme et dirigés
contre celle-ci. Ils vont aussi se
lier à l’hormone de la satiété du
fait de son homologie de structure
et donc modifier l’effet satiétogène
de l’hormone. La sensation de
satiété est atteinte (anorexie) ou
n’est plus atteinte (boulimie-hyperphagie).
Par ailleurs, la protéine
bactérienne apparaît elle-même avoir
des propriétés anorexigènes »,
résume le scientifique d’origine
russe. Pour aboutir à ces résultats,
les chercheurs ont modifié la
composition de la flore intestinale
de souris pour étudier leur réponse
immunologique et comportementale.
Cette étude a été réalisée en
collaboration avec d’autres équipes
et plateformes de l’Institut de
Recherche et de l’Innovation de
Normandie (IRIB) à Rouen et avec
l’Université de Tartu (Estonie).
Elle prolonge d’autres travaux de
l’équipe de recherche publiés en
2013. Ils révélaient des mécanismes
moléculaires d’augmentation de
l’appétit par des immunoglobulines
protégeant l’hormone de la faim (ghréline)
au cours de l’obésité. Ces travaux
ont fait l’objet de deux demandes de
brevets déposés par Inserm
Transfert.
Contraception d’urgence : un rapport
bénéfice/risque favorable quel que
soit le poids(5)
Le rapport bénéfice/risque de la
contraception d’urgence hormonale (Norlevo,
EllaOne) a été jugé favorable par la
Commission européenne, quel que soit
le poids de la femme. Elle a ainsi
décidé de suivre l’avis du Comité
des médicaments à usage humain
(CHMP) de l’Agence européenne des
médicaments (EMA), rendu suite à un
arbitrage européen.
Pour rappel, à la fin de 2013, une
évaluation européenne avait conclu à
une réduction de l’efficacité du
Norlevo chez les femmes pesant plus
de 75 kg et à son inefficacité pour
un poids supérieur à 80 kg. Cette
mise en garde avait été mentionnée
dans le Résumé des caractéristiques
du produit (RCP) du médicament. Mais
lors de l’arbitrage, l’analyse des
données a montré des résultats
contradictoires, certaines études
montrant une réduction de
l’efficacité, tandis que d’autres ne
permettaient pas de retrouver ce
lien. Le CHMP a donc conclu à
rapport bénéfice/risque favorable et
proposé une mise à jour du RCP et de
la notice des contraceptifs
hormonaux d’urgence. La mise en
garde sur la réduction d’efficacité
en fonction du poids ne devrait
prochainement plus y figurer.
Zitouni Imounachen, docteur en
pharmacie
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Sources:
(1) http://www.lavieeco.com
(2) http://www.Aufait.ma
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4) http://www.paris-normandie.fr
(5) http://www.lequotidiendupharmacien.fr |
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Cliquez sur le lien pour télécharger le
5ème numéro d'Infosanté.
Lien |
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Johnson et Johnson débourse 1,75 Mrd $ pour
Alios BioPharma |
Le géant américain Johnson and Johnson
(J&J) va muscler son pipeline de produits dans l'infectiologie. Il est
prêt à mettre sur la table 1,75 milliard de dollars (1,39 Mrd €) pour
acquérir Alios BioPharma, spécialisée dans les maladies virales et basée
à San Francisco, en Californie.
Cette transaction a déjà été approuvée par les conseils d'administration
des deux parties. Sa finalisation, qui devrait intervenir au 4e
trimestre, reste sujette à l'approbation des autorités de la concurrence
et à d'autres conditions usuelles. Une fois l'opération bouclée, Alios
sera intégré à Janssen, une filiale de J&J.
Fondée en 2008, Alios BioPharma développe des traitements contre les
maladies virales. Elle s'appuie sur une plateforme composée d'une
bibliothèque d'analogues de nucléosides (qui sont des produits
antiviraux) et de systèmes de criblage. Son pipeline comprend huit
composés à divers stades de développement ciblant le virus respiratoire
syncytial (VRS), la grippe, le rhinovirus et le coronavirus. Son produit
le plus avancé est l'AL-8176. Il est actuellement en phase II d'étude
clinique pour le traitement des enfants infectés par le VRS. L'AL-8176
vise à inhiber la réplication de ce virus en ciblant la polymérase
virale. Selon Alios, il n'existe actuellement aucune thérapie efficace
pour soigner les infections au VRS.
Dans le domaine des maladies infectieuses, Janssen a récemment déposé
une demande de mise sur le marché pour un nouveau traitement anti-VIH,
qui combine deux principes actifs (darunavir et cobicistat). Au cours
des derniers mois, la filiale a aussi obtenu une AMM de la part de la
FDA et de l'EMA pour l'Olysio (simeprivir), un traitement contre le
virus de l'hépatite C (VHC). L'an dernier, les anti-infectieux ont
dégagé des ventes de 3,5 Mrds $, soit environ 12,5 % du chiffre
d'affaires total des produits pharmaceutiques de J&J. Dans cette aire
thérapeutique, la majorité des ventes a été générée par les anti-VIH
Prezista (darunavir, 1,67 Mrd $ de chiffre d'affaires) et Intelence (étavirine,
379 M$) ainsi que l'anti-VHC Incivo (télaprévir, 583 M$). Et le chiffre
d'affaires de J&J dans ce domaine devrait encore grimper au cours des
prochaines années. |
Source : http://www.industrie.com |
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PROCHAINS
RDV |
Dimanche 19
octobre 2014
Événement :
Sixièmes
Rencontres Internationales de
pharmacies de pharmacie d'Alger
Thème : "EXERCICE DE LA PHARMACIE,
POLITIQUE DU MÉDICAMENT
ET RÉFORME DE LA LOI SANITAIRE"
Lieu : Hôtel EL AURASSI -
Alger
Pays : Algérie
Organisateur : Conseil de
l’Ordre des Pharmaciens
Contact :
Adresse: LOT 10 AMARA
II – 67 RUE BEDJI ABDELKADER -
CHERAGA - ALGER
Tél./Fax : 023 30 13 96 - 023
30 14 06 – 023 30 14 08
Email :
ordre.pharmaciens.alger@hotmail.fr
Vendredi 31 octobre2014
Événement :
Industrie Pharmaexpo 2014 ( IPEXPO
2014 )
4ème Édition du Forum/Salon de la
pharmacie Industrielle et
Hospitalière
Lieu : Hôtel Golden Tulip
Farah
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Affiche : lien
Organisateur : Easy Com
Site Web :
www.ipexpo.ma
Samedi 8 novembre 2014
Événement :
Quatrième Journée de l'Auto-immunité
Thème : " L'inflammation et
maladies Auto-immunes et
systémiques"
Lieu : Hôtel Royal Mansour
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Programme :
lien
Organisateur : Association
Marocaine des Maladies Auto-immunes
et systémiques "AMMAIS" |
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FORMATIONS |
- Diplôme Universitaire de
Cosmétologie et Dermopharmacie
Lien- Diplôme d'Université de
pharmacoépidémiologie et
pharmacoéconomie
2014-2015
Lien
- CU de BIOEQUIVALNCE
Lien
- MBA
MARKETING-MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET
DES PRODUITS DE SANTÉ
Lien
-
Certificat
universitaire de pharmacovigilance
lien
- Diplôme
interuniversitaire de vaccinologie
Année 2014-2015
Lien
-
Diplôme d'Université Supérieur de
Pharmacie Clinique : Appel à
candidature ( 2014-2015 )
Lien
-
Diplôme universitaire de
vaccinologie / Rabat
Lien |
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Pour informer les pharmaciens et les médecins
au sujet des nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons, sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux
médicaments à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma
YODOCEFOL®
Laboratoire : IBERMA
Composition : Acide folique, Iode et
Vitamine B12
Présentation : Boite de 28 Comprimés.
PPV : 71 DH
OVUSITOL®
Laboratoires : IBERMA
Composition : Inositol et Acide folique
Présentation : Boite de 30 sachets
PPV : 165 DH
BICALUTAMIDE COOPER®
Laboratoire : C00PER-PHARMA
Composition : Bicalutamide
Forme et présentation : 30 comprimés
pelliculés dosés à 50mg.
Propriété : Antiandrogène non stéroïdien.
PPV :545 DH
P. Hôp. : 465 Dhs
INROS®
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Acide Alendronique
Indication : est un médicament
anti-résorptif
qui permet de lutter contre la perte osseuse à
l’origine de
l’ostéoporose. Il permet d’éviter la survenue de
fractures vertébrales ou non vertébrales que ce
soit
pour des femmes avec antécédent de fractures ou
sans.
Formes et présentations :
- Boite de 4 comprimés
dosés à 70 mg correspondant à un mois de
traitement
PPV : 170 DH
- Boite de 12 comprimés dosés à 70 mg
correspondant à trois mois de traitement
PPV : 455 DH
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Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...
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Pour vous permettre de gagner un
temps précieux, notre équipe a développé
en partenariat avec les
LABORATOIRES LAPROPHAN plus
d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les
différents outils.
Vos remarques et vos suggestions
seront les bienvenues. |
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