Pour vous assurer de recevoir nos messages, nous vous recommandons d'ajouter l'adresse
info@pharmacies.ma à votre carnet d'adresses

Cliquez ici si vous avez
un problème d'affichage

Numéro: 114

19 décembre 2011

10112 destinataires

 
 
Sous notification des effets indésirables:
tous concernés

Lors du 5éme Congrès de Pharmacovigilance qui a eu lieu le 15 décembre à l’amphithéâtre du Centre Marocain de Pharmacovigilance (CMPV) à Rabat, le Docteur Said Salah Youssouf, représentant de l’OMS au Maroc, a annoncé aux participants à cette manifestation la désignation du CMPV comme centre collaborateur de L’OMS. Cette désignation va conférer à ce centre un rôle important dans la région puisqu’il sera amené à contribuer à la formation et à la mise à niveau des centres de pharmacovigilance des pays africains francophones et des pays arabes.

On ne peut que féliciter le Pr. Rachida Soulaymani, Directrice du CMPV qui mène, depuis plus de deux décennies, une vraie croisade pour mettre en place une pharmacovigilance nationale de qualité parfaitement intégrée au réseau international de pharmacovigilance.

Lors de cette rencontre, le Pr. Soulaymani a animé une conférence qui a mis en avant tous les acquis en matière de pharmacovigilance au Maroc, tout en signalant le problème récurent de sous notification des effets indésirables dont souffre cette discipline au Maroc.En effet, malgré les efforts déployés par le centre, la notification des effets indésirables ne dépasse pas 112,5 cas déclarés par million d’habitants par an, et ce à l’heure où la Nouvelle Zélande caracole en tête avec presque 1000 cas par million d’habitants par an suivie des Etats Unis avec plus de 600 cas par million d’habitants par an. Et eu égard à la faible progression des notifications au Maroc, 30 années seront nécessaires pour que celle-ci puisse atteindre la moyenne internationale actuelle qui est de 360 cas déclarés par million d’habitants par an.
En ce qui concerne le profil des déclarants au Maroc, les médecins sont en tête avec 128 notification par 10000 praticiens par an avec une disparité entre le secteur privé et le secteur publique qui s’implique davantage dans la pharmacovigilance. Les industriels ne déclarent que 3,4 cas par firme par an, ce qui est très faible par rapport aux autres pays. Quant-aux pharmaciens d'officine, ils déclarent 10 fois moins que les médecins.
L'autre spécificité de la pharmacovigilance marocaine, la disparité entre les différentes villes du royaume. La ville de Rabat par exemple, déclare plus d’effets indésirables que les autres villes. Ceci s’explique en partie par la proximité des différents hôpitaux du CMPV et également par l’adoption par ce centre d’une pharmacovigilance active.

Enfin, gageons qu’en 2012, on aura une meilleure coordination entre les différents centres de pharmacovigilance et surtout une mobilisation collective de tous les acteurs de la santé pour que ce centre ait un nombre conséquent de notifications lui permettant de fournir, à chaque fois que c’est nécessaire, une expertise imparable permettant aux décideurs de prendre les bonnes décisions dans les meilleurs délais.

Abderrahim Derraji

 
 

253 nouveaux cas déclarés à fin octobre : Le Sida progresse au Maroc (1)
D’après Sidaction, 2.7 millions de nouvelles infections ont été observées en 2010 de par le monde, et l’Afrique reste le continent le plus touché par cette épidémie.
Au Maroc, selon le dernier rapport de l’ONUSida, 235 cas de Sida et 259 cas d’infections VIH ont été déclarés du 1er janvier au 31 octobre dernier, portant ainsi le nombre de personnes atteintes de cette maladie dans notre pays à 28.000. Actuellement, 4.000 personnes sont traitées dans les 12 Centres de prise en charge du royaume.
Face à cette situation alarmante, plusieurs associations joignent leurs voix et joignent leurs efforts pour un « Zéro décès liés au VIH », thème de la journée mondiale de lutte contre le sida.
Si la transmission du virus de la mère à l’enfant a été presque éradiquée dans les pays du Nord, elle continue malheureusement à provoquer des ravages dans les pays du Sud où 370.000 personnes en meurent annuellement.
Dans ce domaine, le Maroc ne fait pas exception et multiplie ses efforts. Il ambitionne ainsi de réduire à moitié le taux de transmission du VIH. Sur ce, notre pays a mis en place une "Stratégie nationale de lutte contre le Sida pour la période 2012-2016". Ce plan vise à un renforcement de la prise en charge globale des patients séropositifs et des malades du Sida (soins médicaux, traitement antirétroviral, appui psychologique et social), il ambitionne aussi à réduire à zéro les risques de transmission du virus de la femme enceinte à son bébé, ainsi que le nombre de mortalité maternelle à cause du VIH.
Cette stratégie prévoit, enfin, des orientations de lutte contre la stigmatisation et la discrimination à l'égard des personnes séropositives leur garantissant ainsi le respect de leurs droits. Pour que le Maroc puisse mener à bien cette stratégie, le Ministère de la Santé a mobilisé un budget qui s'élève annuellement à 19,5 millions de dirhams. Cette somme augmentera durant les cinq prochaines années pour faire face aux besoins de la stratégie.

Lutte contre l'insuffisance rénale chronique (2)
Malgré les efforts fournis ses dernières années pour améliorer la prise en charge des insuffisants rénaux, de nombreux patients meurent tous les jours faute de bénéficier de traitement.
Pour faire face à cette situation alarmante, l'association ISAAD «Initiatives, santé et aide au développement» a vu le jour à Fès le 20 mai 2008 sous l'impulsion de médecins spécialistes des maladies rénales, d'autres professionnels de santé ainsi que de bénévoles de différents profils.
Selon Dr. Tariq Skalli Houssaini, président de ISSAD, le cheval de bataille de cette association est la prise en charge des patients insuffisants rénaux et des personnes susceptibles de le devenir (diabétiques, hypertendus….) dans la région Fès-Boulemane qui compte des milliers de personnes qui sont à des stades plus ou moins avancés de la maladie rénale.

Ainsi, cette association a mis en place le plan «Agir» qui constitue une approche globale du problème de l'insuffisance rénale chronique dans la région Fès-Boulemane. Le plan Agir (Action globale contre l'insuffisance rénale) est sa première initiative. A travers ce plan d'action, l'association ISAAD propose une approche globale du problème de l'insuffisance rénale chronique dans la région Fès-Boulemane, reposant sur la prévention et le dépistage précoce des maladies rénales ainsi que sur la promotion des différents traitements de suppléance de l'insuffisance rénale chronique à son stade terminal : hémodialyse, dialyse péritonéale et transplantation rénale.
Cette association œuvre aussi afin d'augmenter la capacité d'accueil et de prise en charge des insuffisants rénaux au niveau de la région Fès-boulemane. Elle a mis en placeun centre destiné aux maladies rénales qui consiste à la mise à niveau et la réhabilitation du service d'hémodialyse de l'hôpital Al Ghassani et la construction d'un nouveau bâtiment annexé à celui existant actuellement. Ceci permettra d'augmenter le nombre de patients traités de 84 à 160 personnes (1000 séances de dialyse supplémentaires par mois).

Prothèses du sein : le lien avec le cancer n'est pas prouvé(3)
Lors de la première réunion du Comité de suivi des femmes porteuses de prothèses mammaires PIP mercredi au ministère de la Santé (France), huit nouveaux cas ont été annoncés, un lymphome néoplasique à petites cellules, cinq cancers du sein, un lymphome de l'amygdale et une leucémie aiguë. La principale préoccupation est de déterminer s’il y a oui ou non, un lien entre ces cancers et les prothèses en silicone défectueuses.
Sachant qu’une femme sur dix souffrira d’un cancer du sein au cours de sa vie. Il reste à vérifier qu'il n'y a pas plus de risque dans ce groupe que dans la population générale. Pour les autres localisations, la question reste également débattue. D'ailleurs, le groupe de travail du ministère de la Santé a clairement dit mercredi que «l'imputabilité des prothèses mammaires PIP, dans ces cas de cancer n'a pas été établie».
En janvier 2011, la Food and Drug Administration (FDA)a publié sur son site un rapport préliminaire sur le lien entre implants mammaires en silicone (de toutes marques) et lymphome. Les experts ont conclu qu'il y avait éventuellement un lien possible mais très faible. La FDA soulignait malgré tout que les implants mammaires étaient sûrs quand ils étaient produits selon les règles de l'art.
De crainte sans doute d'être accusée de cacher la vérité, l'Afssaps a commencé à communiquer tous les cas de cancers. Et notamment ceux du sein.
Le comité de suivi réuni cette semaine a demandé aux femmes concernées de bénéficier d'une surveillance régulière. Toute rupture ou suintement doit conduire à l'explantation des prothèses. Toutes les femmes porteuses d'implants PIP seront remboursées de leurs frais médicaux et chirurgicaux liés à l'explantation. Les femmes qui relèvent d'une reconstruction après chirurgie du cancer du sein seront également remboursées pour la pose d'une nouvelle prothèse.


Une nouvelle piste de traitement contre le diabète ?
(4)
Selon la revue Science et avenir, des chercheurs californiens se sont aperçus au cours de leurs travaux sur le diabète de type2, que cette forme était liée à une famille de facteurs de croissance du fibroblaste, appelés FGF, et à ses récepteurs. Ainsi, ces éléments constituent une piste prometteuse dans la lutte contre le diabète et les maladies qu'il peut engendrer comme l'obésité. Par le passé, des études avaient démontré que le facteur FGF21 permettait à des souris diabétiques et en surpoids de retrouver un métabolisme normal et de perdre du poids, mais cet effet n’a pas pu être reproduit chez l’homme.
Toutefois, des chercheurs californiens ont décidé de persévérer dans cette voie et ont mis au point un anticorps qui mime le FGF21 en se liant à FGFR1, l'un des récepteurs du facteur de croissance présent dans le pancréas et les tissus adipeux.
Les résultats, publiés dans la revue Science Translational Medicine, ont montré que l’injection de cet anticorps chez des souris diabétiques, a permis à leur taux de sucre de revenir à un niveau normal et leur a également fait perdre du poids aux rongeurs. L’équipe américaine espère pouvoir tester le procédé chez l'homme et obtenir de bons résultats.

L'Afssaps alerte sur l'usage abusif de certains médicaments contre le "nez bouché"
(5)
Depuis le 1er janvier 2011, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a recensé pas moins de quinze "cas graves d'effets indésirables" chez des patients ayant pris un médicament contenant un vasoconstricteur. Ces traitements sont utilisés pour diminuer la sensation de nez bouché, en cas de rhume et peuvent se présenter sous différentes formes. Il s’agit de solutions pour pulvérisation nasale ou de médicaments à prendre par voie orale, seuls ou associés à une autre substance active.
Ces molécules, qui sont aujourd'hui largement utilisées, peuvent causer des effets indésirables graves au niveau cardiaque tel que de l'hypertension artérielle, crise d'angor ou angine de poitrine mais aussi au niveau neurologique avec des convulsions, des troubles du comportement ou des accidents vasculaires.
L’Afssaps rappelle aussi aux patients de "ne pas recourir de manière abusive à ces médicaments", de "toujours vérifier auprès de leur médecin ou de leur pharmacien s'ils sont bien adaptés à leur cas" ainsi que de "ne pas les associer entre eux".
Ces médicaments sont contre-indiqués chez l'enfant de moins de 15 ans, et ils sont également déconseillés en cas d'hypertension artérielle, d'antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque d'AVC, d'insuffisance coronarienne sévère, d'antécédents de convulsions. En outre, la durée maximale de traitement ne doit pas excéder 5 jours et la posologie maximale journalière ne doit pas être dépassée.
Enfin, l'Afssaps précise: "une actualisation de l'enquête française est en cours, afin d'envisager si besoin des actions supplémentaires".

Maladie d’Alzheimer : nouvelle recommandation de la HAS
(6)

La Haute Autorité de Santé a actualisé sa recommandation « Diagnostic et prise en charge de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées » publiée en mars 2008 puis retirée en mai 2011. La version publiée aujourd’hui a été révisée par un nouveau groupe de travail qui tient compte des évolutions récentes autour de la prise en charge de la maladie.
Cette nouvelle recommandation suit les étapes du parcours de soins du patient, depuis les premiers symptômes (troubles cognitifs) jusqu’à la prise en charge pluridisciplinaire nécessaire à un stade avancé de la maladie.
Le médecin généraliste traitant est le pilote de l’organisation des soins centrée sur le patient. Il réalise l’évaluation initiale du patient présentant des troubles de la mémoire. Dans les cas où cette évaluation ne révèle pas d’altération des facultés de mémoire, de jugement, de compréhension, etc., il est recommandé au médecin généraliste traitant de proposer un suivi au patient, à 6 mois et à 12 mois.
En revanche, si une altération est avérée, le binôme médecin généraliste traitant/ spécialiste réalise les tests et examens nécessaires. Le médecin spécialiste pose le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et l’annonce au patient. C’est ensuite le médecin généraliste traitant qui propose au patient et son entourage un plan de soin et d’aides.
Le médecin généraliste traitant se chargera de mettre en œuvre les mesures d’accompagnement en lien étroit avec les aidants naturels, etc.
Deux notions clés de l’avis de la Commission de la Transparence sur les médicaments de l’Alzheimer rendu le 27 octobre dernier ont été intégrées dans cette recommandation :
- le traitement médicamenteux est une option dont l’instauration ou le renouvellement est laissée à l’appréciation du médecin spécialiste prescripteur ;
- au-delà d’un an, une concertation pluri professionnelle avec le patient (si son état le permet), son aidant, le médecin généraliste traitant, le gériatre et le neurologue ou le psychiatre est préconisée pour réviser la prescription et vérifier l’intérêt pour le patient de poursuivre le traitement et ce, afin d’assurer un suivi de qualité et personnalisé.
En savoir plus

Zitouni Imounachen

 
 
 

 
 

Médicaments au Maroc : pas de concession sur la qualité
Interview du Dr Omar Bouazza,
Directeur du Médicament
et de la Pharmacie
(L'Officinal n° 88 )
En savoir plus

 

MISE EN GARDE
Utilisation hors AMM de la dompéridone dans la stimulation de la lactation : mise en garde - Point d’information
(Afssaps/France)
En savoir plus

 

RECOMMANDATIONS
Maladie d'Alzheimer
 et maladies apparentées :
Diagnostic et prise en charge : Recommandations (PDF:352.33 Ko)
( Source: HAS/France )
Cliquez ici

 

INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE

Sanofi : Jan Liska nommé directeur international d’Oenobiol®
Le groupe pharmaceutique Sanofi a annoncé la nomination récente de Jan Liska au poste de directeur international de la marque Oenobiol, en charge de son déploiement à travers le monde. N°1 des compléments de beauté en France, Oenobiol est déjà présent en Europe, notamment en Italie, en Espagne, en Belgique, et se développe désormais en Asie et Amérique latine.
Vincent Warnery, vice-président, Consumer Healthcare Europe et Développement global, Sanofi, a déclaré à l’occasion que Jan Liska est porteur d’une excellente expérience du développement des marques de l’univers de la beauté, qu’il s’agisse de stratégie, de marketing opérationnel, de développement de produits. Jean Liska et son équipe vont piloter le développement de la marque Oenobiol à l’international et continuer à révéler son formidable potentiel.
Depuis ses débuts professionnels, Jan Liska a participé à la construction de marques beauté porteuses d’une forte identité. Il a notamment été en charge de plusieurs marques beauté au sein du groupe L’Oréal (Agnès b. Jean-Marc Maniatis hair care, Franck Provost hair care, Le Club des Créateurs de Beauté, Kérastase et L’Oéral Professionnel, …). Depuis 2008 Jan Liska avait rejoint le groupe Shiseido pour assurer le déploiement des marques Shiseido et Serge Lutens.
Source: Mypharma


Roche reçoit un avis favorable du CHMP pour Zelboraf
Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) a recommandé que Zelboraf bénéficie d’une pleine autorisation de mise sur le marché à titre de monothérapie chez les patients adultes souffrant de mélanome métastatique ou non résécable à gène BRAF présentant la mutation V600. C’est ce que vient d’annoncer le groupe pharmaceutique suisse Roche. « La recommandation du CHMP préconisant l’homologation de Zelboraf est une étape importante pour tous les patients atteints de mélanome métastatique, qui ne disposaient jusqu’à peu que d’un nombre restreint d’options thérapeutiques. Nous travaillons étroitement avec les autorités de santé dans le monde pour faire en sorte que les patients atteints de cette maladie mortelle aient accès à Zelboraf le plus rapidement possible. », commente Hal Barron, M.D., chief medical officer et responsable de Global Product Development de Roche.
Le mélanome métastatique est la forme la plus mortelle et la plus agressive de cancer de la peau, avec moins d’une personne sur quatre susceptible d’être encore en vie 12 mois après le diagnostic.
Zelboraf est conçu pour cibler sélectivement et inhiber des formes mutées de la protéine BRAF que l’on retrouve dans environ la moitié des cas de mélanome. La décision de la Commission européenne quant à l’autorisation de mise sur le marché de Zelboraf est attendue pour février 2012.
Alors que Roche s’emploie à obtenir l’agrément de Zelboraf dans divers pays, une étude mondiale d’innocuité donne accès à ce médicament aux patients qui présentent un mélanome métastatique BRAF V600-positif déjà traité ou non.
Source: Mypharma

 
Circulaires adressées aux professionnels de la santé:
-
Cloprame
®
-
Staphymicine
®
 
Prochains RDV

Table ronde à Salé
Date:  Mardi 20 décembre à 9H30
Lieu: Dawliz Salé 
Thème:" La pharmacie d'officine: les techniques quantitatives de gestion" 
Organisateur:
Association des pharmaciens du Maroc (APM)
Frais de participation: 100 Dhs
Contact:  avant le lundi 19 décembre 2011
Tél.:  05 37 87 87 64


13ème Edition du Salon Médical Expo

Date: 12-15 janvier 2012
Lieu: Foire de Casablanca
Programme:
www.medicalexpo-maroc.com
Contact: Rue d'Agadir 20000 Casablanca
Tél.: 05 22 49 01 98
Fax: 05 22 49 01 31
E-mail:
info@medicalexpo-maroc.com


3ème Edition du SRPOO
Date: 20-21 janvier 2012
Lieu: Oujda
Contact: Syndicat des Pharmaciens d'Oujda

Tél.: 05 36 68 34 90
E-mail: fatiha_miri@hotmail.com

 

6ème Assisses Pharmaceutiques d'Errachidia

Le Syndicat des pharmaciens d'Errachidia et environs a organisé ses 6èmes assises pharmaceutiques sous le thème:" la formation continue: quel impact sur l'exercice de la pharmacie?"
En savoir plus 

 

QUESTIONNAIRE 
FORMATION CONTINUE

 

NOUVEAUX AU MAROC

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant: info@pharmacies.ma.


GEL-LARMES
®

Laboratoires:
Théa/ Cooper Pharma
Composition:
carbomère
Présentation:
Tube de 10g
 
PPM:
41,00 Dhs



SOLIAN
® 200 mg

Laboratoires:
Sanofi-Aventis
Composition:
Amisulpride
Présentation:
B
oite de 60 cp
PPM:
590,00 Dhs


AMLODIPINE WIN
®
 5 mg
Laboratoires:
Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine
Présentation:
Boite de 14 cp
PPM:
19,00 Dhs


AMLODIPINE WIN
® 5 mg
Laboratoires: Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine

Présentation: Boite de 28 cp
PPM:
36,20 Dhs


AMLODIPINE WIN
® 10 mg
Laboratoires: Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine

Présentation: Boite de 14 cp
PPM:
33,60 Dhs


AMLODIPINE WIN
® 10 mg
Laboratoires: Maphar-Winthrop
Composition:
Amlodipine

Présentation: Boite de 28 cp
PPM:
64,00 Dhs


ISTACYNE®  

Laboratoires: Synthemedic
Composition: doxycycline
Présentations:
Boite de 10 comprimés dosés à 100mg
PPM: 22,00 Dhs

Boite de 10 comprimés dosés à 200mg
PPM: 33,00 Dhs


LANPROL®  

Laboratoires: PHI
Composition: Lansoprazole
Présentations:
- Boite de 7  gélules
PPM: 30 Dhs

- Boite de 28 gélules
PPM: 80 Dhs

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
 

Vos remarques et vos suggestions seront les bienvenues.

 
BON A SAVOIR

Anciennes Pharmanews
Cliquer sur le lien suivant pour consulter les anciennes Pharmanews.
[+]

A vos plumes
N'hésitez pas de nous envoyer vos écrits, vos remarques et vos suggestions à l'adresse:
info@pharmacies.ma

Syndicats et associations: à vos claviers
Nous vous informons que nous sommes disposés à diffuser toute information en provenance des syndicats , des conseils ou des associations.
Pour ce faire, les syndicats et les associations sont priés de nous envoyer leur écrits à l'adresse électronique :
info@pharmacies.ma

Partagez Pharmanews avec vos amis
Si vous souhaitez qu'un ou plusieurs de vos amis  reçoivent Pharmanews, il vous suffit d'envoyer leurs adresses électroniques à l'adresse:
info@pharmacies.ma
 
Pour toute information concernant Pharmanews:
FACILACOM
BP: 2085 Hassania II
Mohammedia Maroc
Tél.: +212 (0) 5 23 28 77 57
Fax: +212 (0) 5 23 28 09 79
Email:
info@pharmacies.ma

Mentions légales
Visiter pharmacies.ma
Qui sommes-nous?

 

Sources:

(1) ALBAYANE;
(2) lematin.ma; 
(3) lefigaro.fr ; 
(4) maxisciences.com;
(5) Afssaps;
(6) HAS;
 
 
   

Pharmanews- Tous droits réservés