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Lutte contre la maladie d’Alzheimer
:
quel rôle pour le pharmacien? |
Ils étaient jusqu’ici les parents,
les soutiens, les médiateurs, les
décideurs et les sages de la
famille. Avec la maladie
d’Alzheimer, ils sont devenus les
plus vulnérables, totalement
dépendants des autres et parfois
même dangereux pour eux et même pour
leur entourage. C’est d’abord leur
mémoire qui flanche. Ensuite, c’est
leur capacité de raisonnement qui
est affectée puis ils perdent leurs
repères, et pour finir ce sont leurs
proches qui les perdent puisqu'ils
ne les reconnaissent plus.
Le 21 septembre de chaque année, on
célèbre à travers le monde, la
journée mondiale contre la maladie
d’Alzheimer. À l’occasion de la
21éme édition de cette journée,
l'Organisation mondiale de la santé
(OMS), a rappelé que cette maladie
chronique est la forme la plus
courante de démence au niveau
mondial, et que le nombre de
personnes atteintes de démence dans
le monde, qui est estimé
actuellement à 35,6 millions,
devrait doubler d'ici à 2030.
Au Maroc, on recense environ 100 000
cas d’Alzheimer, mais il ne s’agit
là que d’une estimation. Selon Ahmed
Naïm, Président de l’association
«Espoir Maroc Alzheimer», ce nombre
devrait être multiplié par 4. Cette
maladie risque, donc, de poser un
véritable problème de santé publique
dans les années à venir, car 5% de
la population marocaine sera âgée de
65 ans et plus en 2020.
Parce que les malades et leurs
proches, souvent dans le déni, ne
cherchent pas de l’aide et ne savent
pas où s’adresser, un retard de
plusieurs années est constaté entre
les premiers symptômes et le
diagnostic clinique. Une situation
qui engendre une dégradation rapide
de l’état du patient, mais aussi
l’épuisement des aidants tant sur le
plan physique que psychologique.
Le pharmacien d’officine peut jouer
un rôle primordial dans la lutte
contre cette maladie. Sa formation,
sa proximité et sa disponibilité
sont autant d’atouts qu’il peut
mettre à la disposition des
patients. En plus des missions qui
lui reviennent en tant que
spécialiste du médicament, il peut
jouer un rôle très important dans la
détection précoce des symptômes,
dans l’orientation des patients et
dans le soutien des aidants et de la
famille.
Seulement, pour qu’il puisse jouer
ce rôle, le pharmacien d’officine
doit enrichir ses connaissances par
rapport à cette maladie par une
formation de base et une formation
continue spécifique. Il devrait
aussi être le relais naturel de
toute politique ou initiative
associative, publique ou privée
ayant pour but la sensibilisation et
la lutte contre la maladie
d’Alzheimer. Ce qui n’est guère le
cas aujourd’hui !
Après quelques années d’exercice en
officine les pharmaciens apprennent
à évaluer, à leur manière,
l’évolution de cette la maladie.
Dans un premier temps, les patients
atteints de cette maladie se
présentent seuls ou accompagnés à
leur pharmacie, par la suite ils
viennent toujours accompagnés et à
la fin, l’aidant vient seul chercher
les médicaments.
En cette journée de lutte contre la
maladie d’Alzheimer, ayons tous une
pensée pour ces malades et rendons
hommage aux vaillantes personnes qui
veillent sur eux.
Zitouni
Imounachen |
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Nous nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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Décret d’application sur les
dispositifs médicaux: Fini les
complaisances! (1)
Le projet de décret n° 2-14-607 pris
pour l’application de la loi n 84-12
relative aux dispositifs médicaux
vient d’être déposé au Secrétariat
général du gouvernement (SGG) par le
ministère de la santé.
Le texte accorde un intérêt
particulier aux conditions de mise
sur le marché et d’utilisation des
dispositifs médicaux. En outre, il
comporte plusieurs dispositions
relatives au système national de
matériovigilance, aux modalités
d’inspection des établissements de
fabrication, d’importation,
d’exportation, de distribution des
dispositifs médicaux. En vertu de
l’article 4, la demande d’obtention
du certificat d’enregistrement d’un
dispositif médical est adressée au
ministre de la santé. Ce dernier
dispose d’un délai maximum de 120
jours à compter de la date du dépôt
de dossier pour statuer sur la
demande d’enregistrement.
Le certificat d’enregistrement est
valable pour une durée de 5 ans
renouvelable selon les conditions
fixées par arrêté du ministre de la
santé. Rappelons à ce sujet qu’en
vertu de l’article 12 de la loi n°
84-12, la mise sur le marché d’un
dispositif médical est subordonnée à
l’obtention préalable d’un
certificat d’enregistrement délivré
par le ministère de la santé, après
avis de la Commission nationale
consultative des dispositifs
médicaux.
S’agissant de la publicité des
dispositifs auprès du public, le
projet de décret précise que la
demande de visa de publicité doit
être adressée au ministre de la
santé. Il décidera de l’octroi du
visa après avis de la Commission
nationale, et ce dans un délai
maximum de 60 jours à compter de la
date du dépôt du dossier.
Quant au système national de
matériovigilance, il comporte le
signalement des incidents ou des
risques d’incidents résultant de
l’utilisation des dispositifs
médicaux. Il sera également destiné
à l’enregistrement, l’évaluation et
l’exploitation des informations
relatives aux incidents ou risques
d’incidents et ce par mesure de
prévention.
Parmi les dispositions importantes
du projet de décret, on notera la
composition et les modalités de
fonctionnement de la Commission
nationale consultative des
dispositifs médicaux. Cette
structure est composée des
représentants du ministère de la
santé, l’inspecteur des services de
santé des Forces Armées Royales, le
président du Conseil national de
l’Ordre des médecins, le président
du Conseil national de l’Ordre des
médecins dentistes, le président du
Conseil national de l’Ordre des
pharmaciens et les directeurs des
CHU.
Comme le prévoit la loi n° 84-12, la
commission aura pour mission de
donner son avis sur les demandes
d’enregistrement, la suspension ou
le retrait de l’enregistrement, le
retrait d’un dispositif médical pour
des raisons de santé publique, les
demandes de visa de publicité et les
décisions de retrait des visas.
Pourquoi le virus Ebola inquiète
tout de même les experts (2)
Interrogé par le Figaro, Norbert
Gualde, professeur d'immunologie et
auteur de L'Épidémie et la
démorésilience (L'Harmattan, 2011)
se refuse à tout pronostic sur
l'épidémie actuelle, mais accepte
d'en tisser la toile de fond.
D'abord un constat virologique.
«C'est un virus à ARN, ce qui
signifie que sa probabilité de
mutation est plus élevée»,
explique-t-il. D'ailleurs, les
chercheurs qui travaillent sur la
souche d'Ebola qui circule
actuellement (Zaïre Ebola) ont noté
les rapides mutations du virus.
Faut-il craindre alors la «mutation
catastrophe» qui lui permettrait
d'acquérir la capacité à se
transmettre par les airs? «Il n'y a
aujourd'hui aucun argument pour dire
que le germe a changé en termes de
transmissibilité ou en termes de
virulence », tempère le Pr Arnaud
Fontanet, responsable de l'unité
d'épidémiologie des maladies
émergentes à l'Institut Pasteur. La
publication par la revue Nature en
2012 de chercheurs canadiens
évoquant la possibilité d'une
transmission aérienne d'Ebola de
porcs à des macaques n'a pas
convaincu les experts.
Plus sombre est la dynamique
actuelle de l'épidémie. «Ce que je
trouve très inquiétant, explique le
Pr Fontanet, c'est que l'épidémie
actuelle ne soit pas maîtrisée. Cela
augmente les possibilités pour le
virus de s'adapter.» La directrice
générale de l'Organisation mondiale
de la santé, Margaret Chan, avait
pourtant tiré la sonnette d'alarme
au mois d'août: «Il serait
extrêmement imprudent pour les
autorités nationales et la
communauté internationale de
permettre au virus Ebola de circuler
largement et pendant une longue
période dans les populations
humaines.»
Autre sujet d'inquiétude, le fait
que, dans ces pays où les soins
mobilisent toutes les ressources,
les éléments scientifiques manquent
pour analyser réellement les
mutations du virus. «Le virus est en
train de s'adapter à son nouvel
hôte, l'homme. Mais, aujourd'hui,
rien ne permet de savoir si cela se
fera dans un sens plus ou moins
transmissible, plus ou moins
virulent», insiste le Pr Fontanet.
«Le virus ne fait pas l'épidémie,
rappelle le Pr Gualde. Ce qui fait
l'épidémie, c'est sa rencontre avec
l'homme.» Malheureusement, cette
rencontre ne se fait plus seulement,
dans le cas d'Ebola, dans des
villages isolés, mais dans les
villes, voire les capitales. Et si
l'on sait comment arrêter Ebola
(identification rapide des cas,
isolement des patients et des
contacts), la mise en application
reste délicate en Afrique. «Nous ne
devons pas donner à ce virus
l'opportunité de nous faire d'autres
surprises», insiste le Dr Margaret
Chan.
La taille de la pupille prédit la
justesse du choix lors d’une prise
de décision (3)
Selon une étude publiée dans PloS
Computational Biology, pour prendre
une bonne décision, il faut être
réactif, « éveillé », mais pas trop.
Et cela pourrait se mesurer au fond
des yeux.
L’étude menée par une équipe
néerlandaise a consisté à mesurer la
taille de la pupille chez 26
volontaires puis à leur demander
dans quelle direction se déplaçait
un nuage de points. La taille de la
pupille est connue pour être un très
bon marqueur de l’état d’éveil et de
vigilance. Les chercheurs de
l’université de Leiden ont constaté
que plus elle était large, plus le
sujet allait hésiter, se tromper et
revenir sur son choix. Un état «
d’hyperactivité » s’est ainsi révélé
être contre-productif.
Pour le Dr Peter Murphy, l’auteur
principal : « Les chercheurs savent
depuis longtemps que la précision et
la fiabilité des décisions prises au
quotidien sont extrêmement variables
d’une personne à l’autre et d’un
moment à l’autre, mais nous en
savons très peu sur les raisons
d’une telle variabilité. Dans cette
étude, nous avons montré que la
manière dont une personne va être
fiable pour une décision simple
comme un mouvement peut être
anticipé en mesurant simplement la
taille de la pupille. Notre étude
suggère que la fiabilité avec
laquelle un individu prend une
décision (...) pourrait être
déterminée à la volée. »
Les édulcorants aggraveraient le
risque de diabète et d'obésité (4)
Une nouvelle étude publiée dans
Nature vient confirmer que les
édulcorants artificiels, largement
prônés ces dernières années comme
des outils de prévention, pourraient
en réalité entraîner des changements
métaboliques et contribuer à
aggraver les risques de diabète et
d'obésité.
En étudiant l'impact des édulcorants
artificiels sur des souris de
laboratoire et sur un petit groupe
de sept personnes, des chercheurs
ont découvert qu'ils perturbaient la
composition et la fonction de la
flore intestinale.
"Les édulcorants artificiels ont été
introduits très largement dans notre
alimentation avec l'idée de réduire
les apports caloriques et de
normaliser les niveaux de glucose
sanguin sans remettre en cause notre
appétence pour le sucré" rappellent
les chercheurs dans la revue
scientifique britannique. Mais,
ajoutent-ils "nos travaux suggèrent
que les édulcorants artificiels
pourraient avoir directement
contribué à renforcer l'épidémie
qu'ils étaient censés combattre".
L'expérience a consisté à ajouter
trois édulcorants très courants -
l'aspartame, le sucralose et la
saccharine - dans l'eau ingérée par
les souris, aux doses journalières
admissibles fixées par l'agence
américaine de santé FDA et ajustées
au poids des animaux.
Les souris ont développé une
intolérance au glucose contrairement
à celles qui n'avaient ingéré que de
l'eau ou de l'eau contenant du
sucre. L'expérience a été répétée
sur d'autres souris et à des doses
variables d'édulcorants, avec
toujours le même résultat.
L'intolérance au glucose survient
lorsque l'organisme réagit moins aux
effets de l'insuline et doit
redoubler d'efforts pour contrôler
les taux de sucre dans le sang. On
l'observe fréquemment dans les états
pré-diabétiques.
Soupçonnant la flore intestinale
d'être impliquée dans le phénomène,
des chercheurs ont transplanté des
excréments provenant de souris
nourries avec des édulcorants sur
des souris débarrassées de leurs
propres bactéries grâce à un
traitement antibiotique.
Ces dernières ont présenté à leur
tour une intolérance au glucose,
suggérant que les changements
intervenus dans leur flore
microbienne avaient eu un impact
négatif sur leur métabolisme.
Les chercheurs ont alors testé leur
hypothèse sur sept personnes
volontaires qui n'avaient pas
l'habitude de consommer des
édulcorants. Après avoir pendant
sept jours reçu les doses
journalières admissibles, quatre
d'entre elles ont présenté des taux
élevés de glucose ainsi que des
modifications de leur flore
intestinale.
Selon le Dr Eran Elinav, certaines
bactéries pourraient interagir avec
les composés chimiques des
édulcorants - qui ne sont pas
absorbés par l'intestin - en
secrétant des réactions
inflammatoires exacerbant les
troubles métaboliques tels que
l'intolérance au glucose ou le
diabète. Elles pourraient également
avoir des effets sur l'obésité. Ces
résultats "invitent à un réexamen de
la consommation massive et non
contrôlée de ces substances
aujourd'hui", estime-t-il.
Nouvelles perspectives pour le
traitement du diabète de type 2 (5)
Dans une étude publiée dans Nature
Communications, Marc Foretz et son
équipe de l'Institut Cochin viennent
d'identifier, en collaboration avec
des chercheurs de l'Université de
Dundee, un nouveau mécanisme
d'inhibition de la production de
glucose dans le foie qui pourrait
représenter une nouvelle cible
thérapeutique pour le traitement du
diabète de type 2.
Marc Foretz et ses collègues avaient
montré que l'ablation de la protéine
kinase LKB1 spécifiquement dans le
foie provoque une augmentation de la
production de glucose dans les
hépatocytes in vitro et une
hyperglycémie in vivo. La protéine
LKB1 est une kinase activatrice qui
régule le métabolisme et la
croissance cellulaire via
l'activation de l'AMPK (AMP-activated
protein kinase) et de 12 autres
protéines kinases apparentées. Les
chercheurs avaient montré que la
modulation de l'activité de l'AMPK
n'a pas de conséquence directe sur
la production de glucose dans le
foie. L'identité d'une autre
protéine kinase en aval de LKB1
contrôlant la production de glucose
restait donc à découvrir.
La nouvelle étude de l'équipe de
Marc Foretz, et de leurs
collaborateurs de l'Université de
Dundee (Ecosse), démontre que les
salt-inductible kinases (SIK1, 2 et
3), des protéines kinases
apparentées à l'AMPK, jouent un rôle
clé en aval de LKB1 pour réprimer la
voie de synthèse de glucose endogène
(gluconéogenèse) dans le foie.
L'inhibition pharmacologique
spécifique des SIK conduit à la
déphosphorylation des coactivateurs
transcriptionnels CRTC2/3 entraînant
une augmentation de l'expression des
gènes de la gluconéogenèse et une
production de glucose accrue dans
les hépatocytes.
Les résultats de ce travail
démontrent que la voie LKB1-SIK
réprime de manière constitutive la
gluconéogenèse hépatique. Marc
Foretz estime que ce nouveau
mécanisme de régulation de la
production de glucose dans le foie
pourrait être impliqué dans la
pathogenèse du diabète de type 2. En
effet, une réduction de l'activité
des SIK pourrait contribuer à
l'augmentation de la glycémie
observée dans le diabète.
Inversement, l'activation ou la
réactivation des SIK pourrait
améliorer l'hyperglycémie chez les
patients diabétiques, et ainsi
constituer de nouvelles cibles pour
le traitement du diabète de
type 2.
Cancer du pancréas : résultats de
Phase 2 du simtuzumab de Gilead (6)
L’américain Gilead vient d’annoncer
les résultats d’une étude de Phase 2
évaluant le simtuzumab, un
inhibiteur expérimental du lysyl
oxydase-like-2 (LOXL2), en
combinaison avec la gemcitabine pour
des patients atteints d’un cancer du
pancréas avancé non précédemment
traité. Les données seront
présentées à l’occasion du congrès
de la Société européenne d’Oncologie
médicale à Madrid.
Dans cette étude, l’ajout du
simtuzumab (200 mg ou 700 mg) à la
gemcitabine n’a pas augmenté de
manière significative la survie sans
progression (SSP) comparé au placebo
plus gemcitabine.
Dans cet essai randomisé, en double
aveugle, contrôlé par placebo de
Phase 2, 236 patients atteints d’un
cancer du pancréas avancé ont reçu
la gemcitabine par intraveineuse
plus le simtuzumab par intraveineuse
(200 mg, n=76 ; 700 mg, n=79) ou un
placebo (n=81) en cycles de 28
jours. La survie médiane sans
progression des groupes simtuzumab
200 mg, simtuzumab 700 mg et placebo
a été de 3,5 mois, 3,7 mois et 3,7
mois, respectivement. La différence
au niveau de la SSP entre les bras
simtuzumab et placebo n’a pas été
statistiquement significative.
Le simtuzumab est un anticorps
monoclonal expérimental qui est
hautement sélectif pour le LOXL2, un
enzyme qui modifie la matrice
extracellulaire en promouvant la
réticulation des fibres de
collagène. On pense que le LOXL2
joue un rôle important dans la
progression et la métastase de la
tumeur et dans le développement des
maladies fibrotiques.
Zitouni Imounachen, docteur en
pharmacie
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Sources:
(1)
http://www.aujourdhui.ma
(2) http://sante.lefigaro.fr
(3) http://www.lequotidiendumedecin.fr
(4) http://www.lexpress.fr
(5) http://www.techno-science.net
(6) http://www.mypharma-editions.com |
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DISPOSITIFS MÉDICAUX : LE DÉCRET D'APPLICATION EST POUR BIENTÔT...
Cliquer sur le lien suivant pour consulter la version arabe du
projet de décret
n° 2.14.607 pris pour l'application de la loi 84-12 relative aux
dispositifs médicaux
Lien |
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PROCHAINS
RDV |
22-26
septembre 2014
Événement : 1er Meeting de
pharmacovigilance arabe
Thème : "STRENGTHENING
PHARMACOVIGILANCE IN ARABIC-SPEAKING
COUNTRIES"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Centre Antipoison et
de Pharmacovigilance du Maroc
En savoir plus :
lien
Vendredi
10 et samedi 11 octobre 2014
Évènement :
2ème Colloque National de
Pharmacoépidémiologie et
Pharmacoéconomie.
Lieu : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Équipe de Recherche
Pharmacoépidémiologie &
Pharmacoéconomie
Site Web : www.cnpee.org
Samedi
11 octobre2014
Événement : Journée Pharmaceutique
Internationale de Casablanca
Thème :
"Les bonnes
pratiques officinales : une exigence
pour la qualité à l'officine "
Lieu : Hyatt Regency
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Organisateur : SPOWC
Programme: ultérieurement
Contact : Tél. : 05 22 85 11 82 ou 05
22 85 11 86 Fax : 05 22 85 11 62
Dimanche 19
octobre 2014
Événement :
Sixièmes
Rencontres Internationales de
pharmacies de pharmacie d'Alger
Thème : "EXERCICE DE LA PHARMACIE,
POLITIQUE DU MÉDICAMENT
ET REFORME DE LA LOI SANITAIRE"
Lieu : Hôtel EL AURASSI -
Alger
Pays : Algérie
Organisateur : Conseil de
l’Ordre des Pharmaciens
Contact :
Adresse: LOT 10 AMARA
II – 67 RUE BEDJI ABDELKADER -
CHERAGA - ALGER
Tél./Fax : 023 30 13 96 - 023
30 14 06 – 023 30 14 08
Email :
ordre.pharmaciens.alger@hotmail.fr
Samedi 31 octobre2014
Événement :
Industrie Pharmaexpo 2014 ( IPEXPO
2014 )
4ème Édition du Forum/Salon de la
pharmacie Industrielle et
Hospitalière
Lieu : Hôtel Golden Tulipp
Farah
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Affiche : lien
Organisateur : Easy Com
Site Web :
www.ipexpo.ma
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FORMATIONS |
- Diplôme Universitaire de
Cosmétologie et Dermopharmacie
NEW
Lien- Diplôme d'Université de
pharmacoépidémiologie et
pharmacoéconomie
2014-2015
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- CU de BIOEQUIVALNCE
Lien
- MBA
MARKETING-MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET
DES PRODUITS DE SANTÉ
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Certificat
universitaire de pharmacovigilance
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- Diplôme
interuniversitaire de vaccinologie
Année 2014-2015
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-
Diplôme d'Université Supérieur de
Pharmacie Clinique : Appel à
candidature ( 2014-2015 )
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-
Diplôme universitaire de
vaccinologie / Rabat
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au sujet des nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons, sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux
médicaments à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma
BICALUTAMIDE COOPER®
Laboratoire : C00PER-PHARMA
Composition : Bicalutamide
Forme et présentation : 30 comprimés
pelliculés dosés à 50mg.
Propriété : Antiandrogène non stéroïdien.
PPV :545 DH
P. Hôp. : 465 Dhs
INROS®
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Acide Alendronique
Indication : est un médicament
anti-résorptif
qui permet de lutter contre la perte osseuse à
l’origine de
l’ostéoporose. Il permet d’éviter la survenue de
fractures vertébrales ou non vertébrales que ce
soit
pour des femmes avec antécédent de fractures ou
sans.
Formes et présentations :
- Boite de 4 comprimés
dosés à 70 mg correspondant à un mois de
traitement
PPV : 170 DH
- Boite de 12 comprimés dosés à 70 mg
correspondant à trois mois de traitement
PPV : 455 DH
ISPERID ®
Laboratoire :
COOPER-PHARMA
Composition : Rispéridone
Propriétés: Antipsychotique de 2ème
génération
Présentations:
- Boite de 30 comprimés dosés à
1mg de Rispéridone
PPV : 81,90 DH
- Boite de 60 comprimés
dosés à 1mg de Rispéridone
PPV : 141,10 DH
- Boite de 30 comprimés
dosés à 2 mg de Rispéridone
PPV : 134,30 DH
- Boite de 60 comprimés
dosés à 2mg de Rispéridone
PPV : 236,00 DH
- Boite de 30 comprimés
dosés à 3 mg de Rispéridone
PPV : 186,70 DH
Boite de 30 comprimés dosés à 4 mg de
Rispéridone
PPV : 220,00 DH
OLMADIP®
Laboratoire : IPHARMA
Propriété : Antihypertenseur de la
famille des inhibiteurs calciques.
Présentations:
OLMADIP®
10mg
Boite de 14 cps
PPV : 47,30 DH
OLMADIP®
10mg
Boite de 28 cps
PPV : 54,90 DH
OLMADIP®
5mg
Boite de 14 cps
PPV : 19,00 DH
OLMADIP®
5mg
Boite de 28 cps
PPV : 33,40 DH
MELICAM®
Laboratoire : IPAHRMA
Propriété : AINS
Présentations:
MELICAM®
7,5mg
Boite de 20 Cps
PPV : 51,00 DH
MELICAM®
15mg
Boite de 20 cps
PPV : 83,60 DH
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