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Numéro: 258

 22 septembre  2014 

14614 destinataires

 

Lutte contre la maladie d’Alzheimer :
quel rôle pour le pharmacien?

Ils étaient jusqu’ici les parents, les soutiens, les médiateurs, les décideurs et les sages de la famille. Avec la maladie d’Alzheimer, ils sont devenus les plus vulnérables, totalement dépendants des autres et parfois même dangereux pour eux et même pour leur entourage. C’est d’abord leur mémoire qui flanche. Ensuite, c’est leur capacité de raisonnement qui est affectée puis ils perdent leurs repères, et pour finir ce sont leurs proches qui les perdent puisqu'ils ne les reconnaissent plus. 

Le 21 septembre de chaque année, on célèbre à travers le monde, la journée mondiale contre la maladie d’Alzheimer. À l’occasion de la 21éme édition de cette journée, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a rappelé que cette maladie chronique est la forme la plus courante de démence au niveau mondial, et que le nombre de personnes atteintes de démence dans le monde, qui est estimé actuellement à 35,6 millions, devrait doubler d'ici à 2030.

Au Maroc, on recense environ 100 000 cas d’Alzheimer, mais il ne s’agit là que d’une estimation. Selon Ahmed Naïm, Président de l’association «Espoir Maroc Alzheimer», ce nombre devrait être multiplié par 4. Cette maladie risque, donc, de poser un véritable problème de santé publique dans les années à venir, car 5% de la population marocaine sera âgée de 65 ans et plus en 2020.

Parce que les malades et leurs proches, souvent dans le déni, ne cherchent pas de l’aide et ne savent pas où s’adresser, un retard de plusieurs années est constaté entre les premiers symptômes et le diagnostic clinique. Une situation qui engendre une dégradation rapide de l’état du patient, mais aussi l’épuisement des aidants tant sur le plan physique que psychologique.

Le pharmacien d’officine peut jouer un rôle primordial dans la lutte contre cette maladie. Sa formation, sa proximité et sa disponibilité sont autant d’atouts qu’il peut mettre à la disposition des patients. En plus des missions qui lui reviennent en tant que spécialiste du médicament, il peut jouer un rôle très important dans la détection précoce des symptômes, dans l’orientation des patients et dans le soutien des aidants et de la famille.

Seulement, pour qu’il puisse jouer ce rôle, le pharmacien d’officine doit enrichir ses connaissances par rapport à cette maladie par une formation de base et une formation continue spécifique. Il devrait aussi être le relais naturel de toute politique ou initiative associative, publique ou privée ayant pour but la sensibilisation et la lutte contre la maladie d’Alzheimer. Ce qui n’est guère le cas aujourd’hui !

Après quelques années d’exercice en officine les pharmaciens apprennent à évaluer, à leur manière, l’évolution de cette la maladie. Dans un premier temps, les patients atteints de cette maladie se présentent seuls ou accompagnés à leur pharmacie, par la suite ils viennent toujours accompagnés et à la fin, l’aidant vient seul chercher les médicaments.

En cette journée de lutte contre la maladie d’Alzheimer, ayons tous une pensée pour ces malades et rendons hommage aux vaillantes personnes qui veillent sur eux.    
Zitouni Imounachen

Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

Décret d’application sur les dispositifs médicaux: Fini les complaisances!  (1)
Le projet de décret n° 2-14-607 pris pour l’application de la loi n 84-12 relative aux dispositifs médicaux vient d’être déposé au Secrétariat général du gouvernement (SGG) par le ministère de la santé.
Le texte accorde un intérêt particulier aux conditions de mise sur le marché et d’utilisation des dispositifs médicaux. En outre, il comporte plusieurs dispositions relatives au système national de matériovigilance, aux modalités d’inspection des établissements de fabrication, d’importation, d’exportation, de distribution des dispositifs médicaux. En vertu de l’article 4, la demande d’obtention du certificat d’enregistrement d’un dispositif médical est adressée au ministre de la santé. Ce dernier dispose d’un délai maximum de 120 jours à compter de la date du dépôt de dossier pour statuer sur la demande d’enregistrement.
Le certificat d’enregistrement est valable pour une durée de 5 ans renouvelable selon les conditions fixées par arrêté du ministre de la santé. Rappelons à ce sujet qu’en vertu de l’article 12 de la loi n° 84-12, la mise sur le marché d’un dispositif médical est subordonnée à l’obtention préalable d’un certificat d’enregistrement délivré par le ministère de la santé, après avis de la Commission nationale consultative des dispositifs médicaux.
S’agissant de la publicité des dispositifs auprès du public, le projet de décret précise que la demande de visa de publicité doit être adressée au ministre de la santé. Il décidera de l’octroi du visa après avis de la Commission nationale, et ce dans un délai maximum de 60 jours à compter de la date du dépôt du dossier.
Quant au système national de matériovigilance, il comporte le signalement des incidents ou des risques d’incidents résultant de l’utilisation des dispositifs médicaux. Il sera également destiné à l’enregistrement, l’évaluation et l’exploitation des informations relatives aux incidents ou risques d’incidents et ce par mesure de prévention.
Parmi les dispositions importantes du projet de décret, on notera la composition et les modalités de fonctionnement de la Commission nationale consultative des dispositifs médicaux. Cette structure est composée des représentants du ministère de la santé, l’inspecteur des services de santé des Forces Armées Royales, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins dentistes, le président du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et les directeurs des CHU.
Comme le prévoit la loi n° 84-12, la commission aura pour mission de donner son avis sur les demandes d’enregistrement, la suspension ou le retrait de l’enregistrement, le retrait d’un dispositif médical pour des raisons de santé publique, les demandes de visa de publicité et les décisions de retrait des visas.
 
Pourquoi le virus Ebola inquiète tout de même les experts (2)
Interrogé par le Figaro, Norbert Gualde, professeur d'immunologie et auteur de L'Épidémie et la démorésilience (L'Harmattan, 2011) se refuse à tout pronostic sur l'épidémie actuelle, mais accepte d'en tisser la toile de fond.
D'abord un constat virologique. «C'est un virus à ARN, ce qui signifie que sa probabilité de mutation est plus élevée», explique-t-il. D'ailleurs, les chercheurs qui travaillent sur la souche d'Ebola qui circule actuellement (Zaïre Ebola) ont noté les rapides mutations du virus. Faut-il craindre alors la «mutation catastrophe» qui lui permettrait d'acquérir la capacité à se transmettre par les airs? «Il n'y a aujourd'hui aucun argument pour dire que le germe a changé en termes de transmissibilité ou en termes de virulence », tempère le Pr Arnaud Fontanet, responsable de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur. La publication par la revue Nature en 2012 de chercheurs canadiens évoquant la possibilité d'une transmission aérienne d'Ebola de porcs à des macaques n'a pas convaincu les experts.
Plus sombre est la dynamique actuelle de l'épidémie. «Ce que je trouve très inquiétant, explique le Pr Fontanet, c'est que l'épidémie actuelle ne soit pas maîtrisée. Cela augmente les possibilités pour le virus de s'adapter.» La directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé, Margaret Chan, avait pourtant tiré la sonnette d'alarme au mois d'août: «Il serait extrêmement imprudent pour les autorités nationales et la communauté internationale de permettre au virus Ebola de circuler largement et pendant une longue période dans les populations humaines.»
Autre sujet d'inquiétude, le fait que, dans ces pays où les soins mobilisent toutes les ressources, les éléments scientifiques manquent pour analyser réellement les mutations du virus. «Le virus est en train de s'adapter à son nouvel hôte, l'homme. Mais, aujourd'hui, rien ne permet de savoir si cela se fera dans un sens plus ou moins transmissible, plus ou moins virulent», insiste le Pr Fontanet. «Le virus ne fait pas l'épidémie, rappelle le Pr Gualde. Ce qui fait l'épidémie, c'est sa rencontre avec l'homme.» Malheureusement, cette rencontre ne se fait plus seulement, dans le cas d'Ebola, dans des villages isolés, mais dans les villes, voire les capitales. Et si l'on sait comment arrêter Ebola (identification rapide des cas, isolement des patients et des contacts), la mise en application reste délicate en Afrique. «Nous ne devons pas donner à ce virus l'opportunité de nous faire d'autres surprises», insiste le Dr Margaret Chan.

La taille de la pupille prédit la justesse du choix lors d’une prise de décision  (3)
Selon une étude publiée dans PloS Computational Biology, pour prendre une bonne décision, il faut être réactif, « éveillé », mais pas trop. Et cela pourrait se mesurer au fond des yeux.
L’étude menée par une équipe néerlandaise a consisté à mesurer la taille de la pupille chez 26 volontaires puis à leur demander dans quelle direction se déplaçait un nuage de points. La taille de la pupille est connue pour être un très bon marqueur de l’état d’éveil et de vigilance. Les chercheurs de l’université de Leiden ont constaté que plus elle était large, plus le sujet allait hésiter, se tromper et revenir sur son choix. Un état « d’hyperactivité » s’est ainsi révélé être contre-productif.
Pour le Dr Peter Murphy, l’auteur principal : « Les chercheurs savent depuis longtemps que la précision et la fiabilité des décisions prises au quotidien sont extrêmement variables d’une personne à l’autre et d’un moment à l’autre, mais nous en savons très peu sur les raisons d’une telle variabilité. Dans cette étude, nous avons montré que la manière dont une personne va être fiable pour une décision simple comme un mouvement peut être anticipé en mesurant simplement la taille de la pupille. Notre étude suggère que la fiabilité avec laquelle un individu prend une décision (...) pourrait être déterminée à la volée. »
 
Les édulcorants aggraveraient le risque de diabète et d'obésité (4)
Une nouvelle étude publiée dans Nature vient confirmer que les édulcorants artificiels, largement prônés ces dernières années comme des outils de prévention, pourraient en réalité entraîner des changements métaboliques et contribuer à aggraver les risques de diabète et d'obésité.
En étudiant l'impact des édulcorants artificiels sur des souris de laboratoire et sur un petit groupe de sept personnes, des chercheurs ont découvert qu'ils perturbaient la composition et la fonction de la flore intestinale.
"Les édulcorants artificiels ont été introduits très largement dans notre alimentation avec l'idée de réduire les apports caloriques et de normaliser les niveaux de glucose sanguin sans remettre en cause notre appétence pour le sucré" rappellent les chercheurs dans la revue scientifique britannique. Mais, ajoutent-ils "nos travaux suggèrent que les édulcorants artificiels pourraient avoir directement contribué à renforcer l'épidémie qu'ils étaient censés combattre".
L'expérience a consisté à ajouter trois édulcorants très courants - l'aspartame, le sucralose et la saccharine - dans l'eau ingérée par les souris, aux doses journalières admissibles fixées par l'agence américaine de santé FDA et ajustées au poids des animaux.
Les souris ont développé une intolérance au glucose contrairement à celles qui n'avaient ingéré que de l'eau ou de l'eau contenant du sucre. L'expérience a été répétée sur d'autres souris et à des doses variables d'édulcorants, avec toujours le même résultat.
L'intolérance au glucose survient lorsque l'organisme réagit moins aux effets de l'insuline et doit redoubler d'efforts pour contrôler les taux de sucre dans le sang. On l'observe fréquemment dans les états pré-diabétiques.
Soupçonnant la flore intestinale d'être impliquée dans le phénomène, des chercheurs ont transplanté des excréments provenant de souris nourries avec des édulcorants sur des souris débarrassées de leurs propres bactéries grâce à un traitement antibiotique.
Ces dernières ont présenté à leur tour une intolérance au glucose, suggérant que les changements intervenus dans leur flore microbienne avaient eu un impact négatif sur leur métabolisme.
Les chercheurs ont alors testé leur hypothèse sur sept personnes volontaires qui n'avaient pas l'habitude de consommer des édulcorants. Après avoir pendant sept jours reçu les doses journalières admissibles, quatre d'entre elles ont présenté des taux élevés de glucose ainsi que des modifications de leur flore intestinale.
Selon le Dr Eran Elinav, certaines bactéries pourraient interagir avec les composés chimiques des édulcorants - qui ne sont pas absorbés par l'intestin - en secrétant des réactions inflammatoires exacerbant les troubles métaboliques tels que l'intolérance au glucose ou le diabète. Elles pourraient également avoir des effets sur l'obésité. Ces résultats "invitent à un réexamen de la consommation massive et non contrôlée de ces substances aujourd'hui", estime-t-il.

Nouvelles perspectives pour le traitement du diabète de type 2  (5) 
Dans une étude publiée dans Nature Communications, Marc Foretz et son équipe de l'Institut Cochin viennent d'identifier, en collaboration avec des chercheurs de l'Université de Dundee, un nouveau mécanisme d'inhibition de la production de glucose dans le foie qui pourrait représenter une nouvelle cible thérapeutique pour le traitement du diabète de type 2.

Marc Foretz et ses collègues avaient montré que l'ablation de la protéine kinase LKB1 spécifiquement dans le foie provoque une augmentation de la production de glucose dans les hépatocytes in vitro et une hyperglycémie in vivo. La protéine LKB1 est une kinase activatrice qui régule le métabolisme et la croissance cellulaire via l'activation de l'AMPK (AMP-activated protein kinase) et de 12 autres protéines kinases apparentées. Les chercheurs avaient montré que la modulation de l'activité de l'AMPK n'a pas de conséquence directe sur la production de glucose dans le foie. L'identité d'une autre protéine kinase en aval de LKB1 contrôlant la production de glucose restait donc à découvrir.
La nouvelle étude de l'équipe de Marc Foretz, et de leurs collaborateurs de l'Université de Dundee (Ecosse), démontre que les salt-inductible kinases (SIK1, 2 et 3), des protéines kinases apparentées à l'AMPK, jouent un rôle clé en aval de LKB1 pour réprimer la voie de synthèse de glucose endogène (gluconéogenèse) dans le foie. L'inhibition pharmacologique spécifique des SIK conduit à la déphosphorylation des coactivateurs transcriptionnels CRTC2/3 entraînant une augmentation de l'expression des gènes de la gluconéogenèse et une production de glucose accrue dans les hépatocytes.

Les résultats de ce travail démontrent que la voie LKB1-SIK réprime de manière constitutive la gluconéogenèse hépatique. Marc Foretz estime que ce nouveau mécanisme de régulation de la production de glucose dans le foie pourrait être impliqué dans la pathogenèse du diabète de type 2. En effet, une réduction de l'activité des SIK pourrait contribuer à l'augmentation de la glycémie observée dans le diabète. Inversement, l'activation ou la réactivation des SIK pourrait améliorer l'hyperglycémie chez les patients diabétiques, et ainsi constituer de nouvelles cibles pour le traitement du diabète de
type 2.
 
Cancer du pancréas : résultats de Phase 2 du simtuzumab de Gilead  (6)
L’américain Gilead vient d’annoncer les résultats d’une étude de Phase 2 évaluant le simtuzumab, un inhibiteur expérimental du lysyl oxydase-like-2 (LOXL2), en combinaison avec la gemcitabine pour des patients atteints d’un cancer du pancréas avancé non précédemment traité. Les données seront présentées à l’occasion du congrès de la Société européenne d’Oncologie médicale à Madrid.
Dans cette étude, l’ajout du simtuzumab (200 mg ou 700 mg) à la gemcitabine n’a pas augmenté de manière significative la survie sans progression (SSP) comparé au placebo plus gemcitabine.
Dans cet essai randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo de Phase 2, 236 patients atteints d’un cancer du pancréas avancé ont reçu la gemcitabine par intraveineuse plus le simtuzumab par intraveineuse (200 mg, n=76 ; 700 mg, n=79) ou un placebo (n=81) en cycles de 28 jours. La survie médiane sans progression des groupes simtuzumab 200 mg, simtuzumab 700 mg et placebo a été de 3,5 mois, 3,7 mois et 3,7 mois, respectivement. La différence au niveau de la SSP entre les bras simtuzumab et placebo n’a pas été statistiquement significative.

Le simtuzumab est un anticorps monoclonal expérimental qui est hautement sélectif pour le LOXL2, un enzyme qui modifie la matrice extracellulaire en promouvant la réticulation des fibres de collagène. On pense que le LOXL2 joue un rôle important dans la progression et la métastase de la tumeur et dans le développement des maladies fibrotiques.  
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie


Sources:
(1) http://www.aujourdhui.ma
(2) http://sante.lefigaro.fr
(3) http://www.lequotidiendumedecin.fr
(4) http://www.lexpress.fr
(5) http://www.techno-science.net
(6) http://www.mypharma-editions.com
 
 

 

 

 
DISPOSITIFS MÉDICAUX : LE DÉCRET D'APPLICATION EST POUR BIENTÔT...
Cliquer sur le lien suivant pour consulter la version arabe du projet de décret
n° 2.14.607 pris pour l'application de la loi 84-12 relative aux dispositifs médicaux
Lien
 
 
PROCHAINS RDV
22-26 septembre 2014
Événement : 1er Meeting de pharmacovigilance arabe
Thème : "STRENGTHENING PHARMACOVIGILANCE IN ARABIC-SPEAKING COUNTRIES"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Centre Antipoison et de Pharmacovigilance du Maroc
En savoir plus :
lien

Vendredi 10 et samedi 11 octobre 2014
Évènement : 2ème Colloque National de Pharmacoépidémiologie et Pharmacoéconomie.
Lieu : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Équipe de Recherche Pharmacoépidémiologie & Pharmacoéconomie
Site Web : www.cnpee.org


S
amedi 11 octobre2014
Événement : Journée Pharmaceutique Internationale de Casablanca
Thème :
"Les bonnes pratiques officinales : une exigence pour la qualité à l'officine "
Lieu : Hyatt Regency
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Organisateur : SPOWC
Programme: ultérieurement
Contact : Tél. : 05 22 85 11 82 ou 05 22 85 11 86 Fax : 05 22 85 11 62

Dimanche 19 octobre 2014
Événement :
Sixièmes Rencontres Internationales de pharmacies de pharmacie d'Alger
Thème : "EXERCICE DE LA PHARMACIE, POLITIQUE DU MÉDICAMENT
ET REFORME DE LA LOI SANITAIRE"
Lieu : Hôtel EL AURASSI - Alger
Pays : Algérie
Organisateur : Conseil de l’Ordre des Pharmaciens
Contact :
Adresse:  LOT 10 AMARA II – 67 RUE BEDJI ABDELKADER - CHERAGA - ALGER
Tél./Fax : 023 30 13 96 - 023 30 14 06 – 023 30 14 08
Email :
ordre.pharmaciens.alger@hotmail.fr

Samedi 31 octobre2014
Événement : Industrie Pharmaexpo 2014 ( IPEXPO 2014 )
4ème Édition du Forum/Salon de la pharmacie Industrielle et Hospitalière
Lieu : Hôtel Golden Tulipp Farah
Ville : Casablanca
Pays : Maroc
Affiche : lien
Organisateur : Easy Com
Site Web : www.ipexpo.ma
 

 

FORMATIONS

- Diplôme Universitaire de Cosmétologie et Dermopharmacie  NEW
Lien

- Diplôme d'Université de pharmacoépidémiologie et pharmacoéconomie
2014-2015
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- CU de BIOEQUIVALNCE
Lien

- MBA MARKETING-MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET DES PRODUITS DE SANTÉ 
Lien

- Certificat universitaire
de pharmacovigilance
lien

- Diplôme interuniversitaire de vaccinologie
Année 2014-2015
Lien

- Diplôme d'Université Supérieur de Pharmacie Clinique : Appel à candidature ( 2014-2015 )
Lien

- Diplôme universitaire de vaccinologie / Rabat
Lien

 

Pour informer les pharmaciens et les médecins au sujet des nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons, sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux médicaments à l'email suivant:
info@pharmacies.ma

BICALUTAMIDE COOPER®  
Laboratoire : C00PER-PHARMA
Composition : Bicalutamide
Forme et présentation : 30 comprimés pelliculés dosés à 50mg.
Propriété : Antiandrogène non stéroïdien.
PPV :545 DH
P. Hôp. : 465 Dhs


INROS®  
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Acide Alendronique  
Indication : est un médicament
anti-résorptif qui permet de lutter contre la perte osseuse à l’origine de
l’ostéoporose. Il permet d’éviter la survenue de fractures vertébrales ou non vertébrales que ce soit
pour des femmes avec antécédent de fractures ou sans.
Formes et présentations :
- Boite de 4 comprimés dosés à 70 mg correspondant à un mois de traitement 
PPV : 170 DH

- Boite de 12 comprimés dosés à 70 mg correspondant à trois mois de traitement 
PPV : 455 DH

ISPERID ®
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Rispéridone
Propriétés: Antipsychotique de 2ème génération
Présentations:

- Boite de 30 comprimés dosés à 1mg de Rispéridone
PPV : 81,90 DH

 

- Boite de 60 comprimés dosés à 1mg de Rispéridone
PPV : 141,10 DH

- Boite de 30 comprimés dosés à 2 mg de Rispéridone
PPV : 134,30 DH

- Boite de 60 comprimés dosés à 2mg de Rispéridone
PPV : 236,00 DH

- Boite de 30 comprimés dosés à 3 mg de Rispéridone
PPV : 186,70 DH

Boite de 30 comprimés dosés à 4 mg de Rispéridone
PPV : 220,00 DH


OLMADIP®
Laboratoire : IPHARMA
Propriété :  Antihypertenseur de la famille des inhibiteurs calciques.
Présentations:
OLMADIP
® 10mg
Boite de 14 cps
PPV :
47,30 DH

OLMADIP® 10mg
Boite de 28 cps
PPV :
54,90 DH

OLMADIP® 5mg
Boite de 14 cps
PPV :
19,00 DH

OLMADIP® 5mg
Boite de 28 cps
PPV :
33,40 DH

MELICAM®  
Laboratoire : IPAHRMA
Propriété :   AINS
Présentations:
MELICAM
® 7,5mg
Boite de 20 Cps
PPV : 51,00 DH

MELICAM
® 15mg
Boite de 20 cps
PPV : 83,60 DH

 

 

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