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Dons d'organes: des miracles presque
à notre portée… |
Lors de la conférence de presse
tenue le vendredi dernier à
Marrakech sous le thème «Le don
et la greffe d'organes et tissus
humains : un programme en évolution»,
M. Mohamed Harif, et le Pr. Mohamed
Nacer Samkaoui, respectivement
Directeur du CHU de Mohamed VI et
président du comité de greffe
d'organes dans ce même centre, ont
brossé un état des lieux des greffes
d'organe dans la vile ocre.
Lors de leurs exposés, ils ont
rappelé que la première greffe de
cornée a été réalisée par l'équipe
du Pr. Nacer Semkaoui en 2009 et la
première greffe rénale en 2010.
L'expertise acquise par cette équipe
et la mise en place d'une banque des
yeux, ont permis de réaliser depuis
2009, 169 greffes de cornée, 9
transplantations rénales et deux
greffes du foie.
Ils ont aussi annoncé à l'assistance
qu'une une opération "don
multi-organes" a permis, pour la
première fois, de greffer au Maroc 5
jeunes filles simultanément en
faisant appel à des organes issus
d'un même donneur.
Malgré ces exploits qui doivent être
salués, le Maroc peine à rattraper
son retard par rapport aux autres
pays dans ce domaine. A titre
d'exemple, les États Unis ont
démarré les greffes rénales entre
personnes non apparentées dès les
années 60. Quant à la France,
l'apport des immunosuppresseurs et
l'adoption en 1976 de la loi
Caillavet qui a introduit le
consentement présumé, ont permis aux
opérations de greffe d'organes de
décoller. En 1982, on
dénombrait déjà plus de 2400
transplantations.
Lors de la conférence de presse du
vendredi 11 juillet, M. Mohamed
Harif a attribué le défaut de
développement de la transplantation
au Maroc à l'insuffisance des
ressources humaines et matérielles
mises à la disposition des équipes
médicales spécialisées. Ces
insuffisances et les problèmes
d'ordre légal ont longtemps
compromis le développement de ces
techniques au Maroc.
Pendant cette même conférence de
presse, le cas de la jeune Hasna
transplanté le 19 juin dernier a été
évoqué. Cette petite fille de dix
ans originaire d'Agadir, ne doit la
vie sauve qu'à l'intervention du
ministre de la santé qui a donné ses
ordres pour qu'elle soit transférée
au CHU de Marrakech pour y subir une
transplantation dont les frais ont
été totalement pris en charge par le
ministère de la santé.
Le cas émouvant de cette petite
fille ne doit pas nous faire oublier
les nombreux malades attendant
désespérément, la peur au ventre, de
pouvoir bénéficier à leur tour de
ces greffes salvatrices.
Pour finir, ces transplantations ne
peuvent être possible sans un socle
de générosité et de solidarité.
D'une part, il faut que les donneurs
potentiels soient suffisamment
informés et sensibilisés aux dons
d'organe et d'autre part, il faut
prévoir des mécanismes permettant la
prise en charge des donneurs et des
receveurs d'organes. Faute de quoi,
des familles continueront à voir
leurs proches dépérir sous leurs
yeux sans pouvoir bénéficier
d'opération devenues presque
routinières sous d'autres cieux…
Abderrahim
Derraji |
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Nous nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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Hépatite C : 14 pays européens unis
pour une baisse de prix(1)
Si le Sovaldi (sofosbuvir,
Laboratoire Gilead), est un
traitement très efficace contre
l’hépatite C, son coût faramineux -
plus de 50 000 euros demandés pour
l’instant par le laboratoire pour
une cure de 12 semaines - inquiète
vivement les autorités sanitaires.
C’est pour cette raison que 14 pays
européens, dont la France, se sont
alliés pour négocier une baisse de
son prix. La ministre de la santé
française, Marisol Touraine, a
avancé « nous allons négocier pays
par pays », comme le veut la
procédure européenne, « mais en
échangeant nos informations et en
discutant entre pays européens.»
« Si on accepte un prix aussi élevé,
on ne pourra pas soigner tout le
monde et on fera courir un risque
pour la Sécurité sociale,
c’est-à-dire pour les autres malades
», conclut-elle.
Bientôt un implant contraceptif
contrôlé par télécommande ?(2)
Une entreprise vient de développer
une puce contraceptive qui pourrait
être activée et désactivée par
l'utilisatrice grâce à une simple
télécommande sans fil. Une invention
qui parait prometteuse dans la
chasse au moyen de contraception qui
dure depuis déjà un certain temps.
C'est la start-up MicroCHIPS, basée
à Lexington, aux États-Unis qui
vient de développer une nouvelle
méthode de contraception, une puce
contraceptive qui pourrait être
activée et désactivée par
l'utilisatrice grâce à une simple
télécommande sans fil. Concrètement,
il s'agirait d'un implant
contraceptif emportant une puce de
fertilité pouvant être contrôlée à
l'aide d'une télécommande. Si elle
passe les tests pré-cliniques,
prévus pour 2015 outre-Atlantique,
cette nouvelle puce pourrait être
très pratique pour de nombreuses
femmes. En effet, actuellement, il
existe déjà des puces
contraceptives. En revanche, il est
nécessaire de se rendre chez un
gynécologue pour la désactiver. Ce
nouvel implant, lui, pourrait être
activé puis désactivé par son
utilisatrice, sans visite chez le
médecin obligatoire. Le plus ? Elle
fonctionnerait pendant près de la
moitié de la période reproductrice
d'une femme, soit environ 16 ans,
indique le MIT Technology Review. La
puce mesure 20 mm de long sur 20mm
de large et 7mm d'épaisseur. Elle a
été développée pour être implantée
sous la peau des patientes au niveau
des fessiers, du bras ou de
l'abdomen. Elle diffuse ensuite,
quotidiennement, 30 microgrammes de
lévonorgestrel, une hormone déjà
utilisée dans de nombreux moyens de
contraception. La quantité peut
ensuite être ajustée par un médecin
en fonction de chaque patiente.
La micro-puce de 1,5 cm située à
l'intérieur de l'appareil est ainsi
composée de plusieurs réservoirs
contenant l'équivalent de 16 années
d'hormones. Une batterie interne
fait passer un courant électrique
dans l'implant, faisant fondre
temporairement l'hormone afin que
celui-ci puisse être libérée chaque
jour.
Lorsqu'elles souhaitent avoir un
enfant, les femmes désactivent
simplement l'implant à l'aide d'une
télécommande.
Une fillette «guérie» du sida a été
testée séropositive(3)
La petite américaine de 4 ans, née
séropositive mais considérée comme
guérie grâce à un traitement aux
rétroviraux, a vu le virus
réapparaître. Le cas de la fillette
avait soulevé de nombreux espoirs.
La petite fille avait reçu des
anti-rétroviraux moins de 30 heures
après sa venue au monde, beaucoup
plus tôt que ce qui est normalement
fait pour les nouveau-nés. Elle
avait été traitée jusqu'à 18 mois,
âge à partir duquel les médecins
avaient perdu sa trace pendant dix
mois et durant lesquels elle n'avait
eu aucun traitement. Aucun des tests
sanguins effectués ensuite n'avait
détecté la présence du VIH.
«Généralement, lorsque le traitement
est arrêté, les niveaux de VIH
remontent en quelques semaines et
non en quelques années», explique
Deborah Persaud, spécialiste des
maladies infectieuses au centre
pédiatrique Johns-Hopkins à
Baltimore. Du coup, le cas de cette
fillette est, d'après elle, «sans
précédent».
Son histoire avait soulevé les
espoirs des médecins qui pensaient
qu'un traitement précoce des
nouveau-nés séropositifs pourrait
permettre de les guérir. Mais un
test de routine au début du mois a
révélé que la fillette avait des
niveaux détectables du VIH dans le
sang, associés à une quantité
moindre de lymphocytes et à la
présence d'anticorps qui prouvent
que le VIH a fait sa réapparition.
«C'est bien évidemment un
rebondissement très décevant pour
l'enfant, les médecins impliqués
dans son traitement et les
chercheurs spécialisés dans le VIH/sida»,
a regretté Anthony Fauci, directeur
de l'institut national de l'allergie
et des maladies infectieuses (NIAID).
Selon le Dr Fauci, la petite fille
est à nouveau soumise à des
anti-rétroviraux et se porte bien.
«Le cas de cet enfant du Mississippi
montre que le traitement précoce aux
anti-rétroviraux n'a pas
complètement éradiqué le réservoir
de cellules touchées par le VIH.
Mais il pourrait avoir
considérablement limité son
développement et permis d'éviter
qu'elle ne prenne des
anti-rétroviraux pendant une longue
période», a-t-il expliqué.
Trop de télé tue plus vite(4)
Selon une très sérieuse étude de
chercheurs espagnols de l'université
de Navarre, à Pampelune, publiée
dans le Journal of the American
Heart Association, les adultes
regardant la télévision trois heures
ou plus par jour pourraient voir
doubler leur risque de mort
prématurée par rapport à ceux qui la
regardent moins longtemps.
Les chercheurs ont suivi plusieurs
années (en moyenne 8,2) une cohorte
de 13.284 personnes (âge moyen 37
ans) en bonne santé, dont 60% de
femmes. Leurs comportements
sédentaires ont été étudiés sous
trois axes: le temps passé devant la
télévision, celui passé devant
l'ordinateur et le temps passé en
voiture. Puis le risque de décès a
été évalué.
Les chercheurs ont constaté 97 décès
dans le groupe étudié, 19 par des
causes cardio-vasculaires, 46 par
cancer et 32 par d'autres causes. Le
risque de décès est deux fois plus
élevé chez les personnes regardant
la télévision trois heures ou plus
quotidiennement, comparé à ceux qui
passaient 1 heure ou moins devant le
petit écran. Par contre, aucun lien
n'est apparu concernant le temps
passé devant un ordinateur ou en
voiture vis-à-vis du risque de
décès.
«Regarder la télévision est un
comportement sédentaire majeur,
estime Miguel Martinez-Gonzalez,
auteur principal de l'étude. Il
s'inscrit de plus dans une tendance
générale d'augmentation des
comportements sédentaires. Avec le
vieillissement de la population, ces
comportements devraient augmenter.
Notre étude montre qu'il est donc
important de conseiller aux adultes
d'augmenter leurs activités
physiques et de réduire le temps
passé devant la télévision à une
heure ou deux par jour.»
Le sucre augmenterait le risque de
cancer du sein(5)
Une étude menée par 3 chercheuses
auprès de 1555 femmes révèle
l'existence d'un lien entre la
consommation d'aliments et de
boissons contenant du sucre ajouté
et la densité mammaire, un facteur
de risque du cancer du sein.
Les femmes devaient indiquer, à
l'aide d'une liste de 161 éléments,
la fréquence à laquelle elles
avaient consommé divers produits au
cours de l'année précédente. "Nous
avons considéré le sucre ajouté dans
les aliments et les boissons,
précise la professeure Diorio. Nos
données ne tiennent pas compte des
sucres naturellement présents dans
les aliments comme les fruits et les
légumes par exemple." La densité
mammaire a été établie à partir
d'une mammographie de chaque
participante. "Cette variable ne
correspond pas directement à la
fermeté du sein. C'est une mesure de
l'abondance relative des glandes et
des canaux dans le tissu mammaire",
explique-t-elle.
L'article que les trois chercheuses
publient dans le dernier numéro de
BMC Public Health révèle une
tendance générale: la densité
mammaire augmenterait en fonction de
la consommation de sucre. Même si
cette hausse est relativement faible
– on parle de différences d'à peine
trois points de pourcentage dans la
densité mammaire entre les quarts
inférieur et supérieur de
consommation de sucre –, ils ont une
portée certaine sur le risque de
cancer du sein, estime Caroline
Diorio. "En guise de comparaison, la
prise de tamoxifène – un médicament
qui prévient le cancer du sein –
pendant 30 à 54 mois réduit la
densité mammaire de 6 points de
pourcentage, et cette baisse se
traduit par une diminution de 30 à
50% des risques de cancer du sein."
La chercheuse soupçonne également
que les écarts seraient plus
prononcés dans des populations qui
consomment davantage de sucre
ajouté. Dans le groupe de femmes
étudiées par les chercheuses, la
moyenne de consommation de boissons
sucrées était d'environ deux par
semaine, ce qui est très bas
comparativement à ce qui est
rapporté ailleurs.
L’EFPIA dénonce l’amendement Avastin/Lucentis(5)
L’Assemblée nationale a voté mardi 8
juillet 2014 son projet de loi de
Sécurité Sociale rectificatif, qui
pourrait autoriser les médecins à
prescrire des médicaments hors du
cadre des indications de leur AMM,
même dans le cas où il existe sur le
marché un médicament disponible dans
ces indications.
Le projet de loi cible
spécifiquement un médicament
anti-cancéreux du Laboratoire Roche
(Avastin), comme solution
alternative à un médicament utilisé
pour soigner la forme humide de la
dégénérescence maculaire liée à
l’âge (DMLA), une indication pour
laquelle il n’a pas été approuvé,
alors qu’il existe deux médicaments
autorisés dans cette indication.
Richard Bergström, Directeur général
de l’EFPIA, a affirmé : « il y a une
tendance croissante préoccupante des
gouvernements européens à contourner
les mesures de protection de la
santé et à prendre des décisions
impactant la santé publique sur des
fondements purement économiques de
court terme. Cette décision est une
violation grave des dispositions
réglementaires en vigueur, créées
pour préserver en Europe le meilleur
niveau de sécurité possible pour les
patients.»
Et Richard Bergström ajoute : « il
s’agit d’un vrai problème sanitaire
dont doit se saisir la Commission
européenne dans les plus brefs
délais avant que ce mouvement ne
prenne davantage d’ampleur. Les
Etats membres de l’Union européenne
ne devraient pas créer une autre
voie d’autorisation nationale de
mise sur le marché remettant en
cause le cadre réglementaire
européen et pouvant menacer la
sécurité des malades pour n’apporter
que des avantages économiques de
court terme.»
Zitouni Imounachen, docteur en
pharmacie
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Sources:
(1) http://www.lequotidiendupharmacien.fr
(2) http://www.maxisciences.com
(3) http://www.24heures.ch
(4) http://sante.lefigaro.fr
(5) http://www.techno-science.net
(6) http://www.mypharma-editions.com |
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INDUSTRIE PHARMA
Sanofi: résultats positifs d'une étude du dupilumab |
Sanofi et Regeneron ont annoncé que
les résultats de quatre études cliniques antérieures consacrées au
dupilumab dans le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère
viennent d'être publiés dans le New England Journal of Medicine (NEJM).
Le dupilumab est un anticorps monoclonal expérimental qui bloque la
signalisation d'IL-4 and IL-13, deux cytokines qui jouent un rôle clé
dans la pathogenèse de la dermatite atopique modérée à sévère.
Selon George D. Yancopoulos, M.D., Ph. D., Directeur Scientifique de
Regeneron et Président de Regeneron Laboratories, l'inhibition de la
signalisation d'IL4/IL-13 pourrait être une nouvelle approche importante
dans le traitement des maladies atopiques, comme l'asthme, la dermatite
atopique et la polypose naso-sinusienne.
« Ces derniers résultats vont dans le même sens que ceux obtenus dans le
cadre d'études cliniques antérieures et confortent le corpus de données
illustrant le rôle que pourrait jouer ce médicament expérimental
dupilumab dans le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère.
Nous sommes aujourd'hui en mesure de sélectionner les doses optimales
pour les études de Phase 3, que nous espérons lancer vers la fin de
l'année. » a déclaré Dr Elias Zerhouni, Président Monde de la R&D de
Sanofi.
Source: http://bourse.lefigaro.fr |
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PROCHAINS
RDV |
12 et 13
septembre 2014
Événement : 2èmes Journées
Internationales Francophones de
Stérilisation
Lieu : Hôtel Palm Plaza
Ville : Marrakech
Pays : Maroc
Lien : www.beyondcom.ma
20
septembre 2014
Événement :
Première Journée Scientifique de la
société Marocaine de Management
Thème : "L'apport des
sciences de gestion dans la
pérennité et le développement de
l'entreprise pharmaceutique"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : société Marocaine de
Management Pharmaceutique
Lien : www.smmaph.org
22-26
septembre 2014
Événement : 1er Meeting de
pharmacovigilance arabe
Thème : "STRENGTHENING
PHARMACOVIGILANCE IN ARABIC-SPEAKING
COUNTRIES"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Centre Antipoison et
de Pharmacovigilance du Maroc
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FORMATIONS |
MBA
MARKETING-MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET
DES PRODUITS DE SANTÉ
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plus :
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Diplôme
interuniversitaire de vaccinologie
Année 2014-2015 |
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Diplôme d'Université Supérieur de
Pharmacie Clinique : Appel à
candidature ( 2014-2015 ) |
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Diplôme universitaire de
vaccinologie / Rabat |
Cliquez sur le lien
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Tu nous
manqueras Khalid |
Nous avons appris avec beaucoup de
tristesse le décès de notre confrère
Khalid Sentissi ( Pharmacien à Rabat
)
Dans ces douloureuses circonstances,
nous présentons nos condoléances à
sa famille et à ses amis.
"Inna lillahi ou inna Ilyhi Rajioune"
Comité de rédaction |
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Pour informer les pharmaciens et les médecins
au sujet des nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons, sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux
médicaments à
l'email suivant:
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ACIDE
ALENDRONIQUE NORMON
Laboratoire : IBERMA
Composition : Alendronate monosodique
trihydraté 91,36 mg, Croscarmellose sodique,
Cellulose microcristalline, Lactose monohydraté,
Stéarate de magnésium.
Indication : Traitement de l’ostéoporose.
Forme et présentation : Boite de 4 comprimés
dosés à 70 mg
PPV : 176 DH
ASUMATE®
20
Laboratoire : BOTTU
Composition : Lévonorgestrel 100ug
Ethinylestradiol 20 ug
Indication : Contraceptif
estroprogestatif oral monophasique
PPV : 52,30 DH
MALTOFER®
fol
Laboratoire : ZENITH PHARMA
Indication : Traitement et la
prophylaxie des carences en fer latente et de
l'anémie ferriprive avec besoin accru d'acide
folique durant la grossesse.
PPV : 47,30 DH
CLAZEN
®
125
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Clarithromycine
Présentation : Flacon de 60ml
Indication : Antibiotique de la famille
des macrolides
PPV : 58,10 DH
CLAZEN
®
250
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Clarithromycine
Présentation : Flacon de 70ml
Indication : Antibiotique de la famille
des macrolides
PPV : 115,20 DH
LANZEN
®
15
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 14 gélules
à libération prolongée
Indication : Inhibiteur de la pompe
à proton
PPV : 24,80 DH
LANZEN
®
15
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 28 gélules
à libération prolongée
Indication : Inhibiteur de la pompe
à proton
PPV : 39,60 DH
LANZEN
®
30
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 14 gélules
à libération prolongée
Indication : Inhibiteur de la pompe
à proton
PPV : 42,00 DH
LANZEN
®
30
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 28 gélules
à libération prolongée
Indication : Inhibiteur de la pompe
à proton
PPV : 67,20 DH
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