Dons d'organe: des miracles presque à notre portée…

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Numéro: 248

 14 juillet 2014  

14479  destinataires

 

Dons d'organes: des miracles presque à notre portée…

Lors de la conférence de presse tenue le vendredi dernier à Marrakech sous le thème «Le don et la greffe d'organes et tissus humains : un programme en évolution», M. Mohamed Harif, et le Pr. Mohamed Nacer Samkaoui, respectivement Directeur du CHU de Mohamed VI et président du comité de greffe d'organes dans ce même centre, ont brossé un état des lieux des greffes d'organe dans la vile ocre.

Lors de leurs exposés, ils ont rappelé que la première greffe de cornée a été réalisée par l'équipe du Pr. Nacer Semkaoui en 2009 et la première greffe rénale en 2010.
L'expertise acquise par cette équipe et la mise en place d'une banque des yeux, ont permis de réaliser depuis 2009, 169 greffes de cornée, 9 transplantations rénales et deux greffes du foie.
Ils ont aussi annoncé à l'assistance  qu'une une opération "don multi-organes" a permis, pour la première fois, de greffer au Maroc 5 jeunes filles simultanément en faisant appel à des organes issus d'un même donneur.

Malgré ces exploits qui doivent être salués, le Maroc peine à rattraper son retard par rapport aux autres pays dans ce domaine. A titre d'exemple, les États Unis ont démarré les greffes rénales entre personnes non apparentées dès les années 60. Quant à la France, l'apport des immunosuppresseurs et l'adoption en 1976 de la loi Caillavet qui a introduit le consentement présumé, ont permis aux opérations de greffe d'organes de décoller.  En 1982, on dénombrait déjà plus de 2400 transplantations.

Lors de la conférence de presse du vendredi 11 juillet, M. Mohamed Harif a attribué le défaut de développement de la transplantation au Maroc à  l'insuffisance des ressources humaines et matérielles mises à la disposition des équipes médicales spécialisées. Ces insuffisances et les problèmes d'ordre légal ont longtemps compromis le développement de ces techniques au Maroc.

Pendant cette même conférence de presse, le cas de la jeune Hasna transplanté le 19 juin dernier a été évoqué. Cette petite fille de dix ans originaire d'Agadir, ne doit la vie sauve qu'à l'intervention du ministre de la santé qui a donné ses ordres pour qu'elle soit transférée au CHU de Marrakech pour y subir une transplantation dont les frais ont été totalement pris en charge par le ministère de la santé.

Le cas émouvant de cette petite fille ne doit pas nous faire oublier les nombreux malades attendant désespérément, la peur au ventre, de pouvoir bénéficier à leur tour de ces greffes salvatrices.

Pour finir, ces transplantations ne peuvent être possible sans un socle de générosité et de solidarité. D'une part, il faut que les donneurs potentiels soient suffisamment informés et sensibilisés aux dons d'organe et d'autre part, il faut prévoir des mécanismes permettant la prise en charge des donneurs et des receveurs d'organes. Faute de quoi, des familles continueront à voir leurs proches dépérir sous leurs yeux sans pouvoir bénéficier d'opération devenues presque routinières sous d'autres cieux…
Abderrahim Derraji

Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

Hépatite C : 14 pays européens unis pour une baisse de prix(1)
Si le Sovaldi (sofosbuvir, Laboratoire Gilead), est un traitement très efficace contre l’hépatite C, son coût faramineux - plus de 50 000 euros demandés pour l’instant par le laboratoire pour une cure de 12 semaines - inquiète vivement les autorités sanitaires. C’est pour cette raison que 14 pays européens, dont la France, se sont alliés pour négocier une baisse de son prix. La ministre de la santé française, Marisol Touraine, a avancé « nous allons négocier pays par pays », comme le veut la procédure européenne, « mais en échangeant nos informations et en discutant entre pays européens.»
« Si on accepte un prix aussi élevé, on ne pourra pas soigner tout le monde et on fera courir un risque pour la Sécurité sociale, c’est-à-dire pour les autres malades », conclut-elle.

Bientôt un implant contraceptif contrôlé par télécommande ?(2)
Une entreprise vient de développer une puce contraceptive qui pourrait être activée et désactivée par l'utilisatrice grâce à une simple télécommande sans fil. Une invention qui parait prometteuse dans la chasse au moyen de contraception qui dure depuis déjà un certain temps. C'est la start-up MicroCHIPS, basée à Lexington, aux États-Unis qui vient de développer une nouvelle méthode de contraception, une puce contraceptive qui pourrait être activée et désactivée par l'utilisatrice grâce à une simple télécommande sans fil. Concrètement, il s'agirait d'un implant contraceptif emportant une puce de fertilité pouvant être contrôlée à l'aide d'une télécommande. Si elle passe les tests pré-cliniques, prévus pour 2015 outre-Atlantique, cette nouvelle puce pourrait être très pratique pour de nombreuses femmes. En effet, actuellement, il existe déjà des puces contraceptives. En revanche, il est nécessaire de se rendre chez un gynécologue pour la désactiver. Ce nouvel implant, lui, pourrait être activé puis désactivé par son utilisatrice, sans visite chez le médecin obligatoire. Le plus ? Elle fonctionnerait pendant près de la moitié de la période reproductrice d'une femme, soit environ 16 ans, indique le MIT Technology Review. La puce mesure 20 mm de long sur 20mm de large et 7mm d'épaisseur. Elle a été développée pour être implantée sous la peau des patientes au niveau des fessiers, du bras ou de l'abdomen. Elle diffuse ensuite, quotidiennement, 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone déjà utilisée dans de nombreux moyens de contraception. La quantité peut ensuite être ajustée par un médecin en fonction de chaque patiente.
La micro-puce de 1,5 cm située à l'intérieur de l'appareil est ainsi composée de plusieurs réservoirs contenant l'équivalent de 16 années d'hormones. Une batterie interne fait passer un courant électrique dans l'implant, faisant fondre temporairement l'hormone afin que celui-ci puisse être libérée chaque jour.
Lorsqu'elles souhaitent avoir un enfant, les femmes désactivent simplement l'implant à l'aide d'une télécommande.

Une fillette «guérie» du sida a été testée séropositive(3)
La petite américaine de 4 ans, née séropositive mais considérée comme guérie grâce à un traitement aux rétroviraux, a vu le virus réapparaître. Le cas de la fillette avait soulevé de nombreux espoirs.
La petite fille avait reçu des anti-rétroviraux moins de 30 heures après sa venue au monde, beaucoup plus tôt que ce qui est normalement fait pour les nouveau-nés. Elle avait été traitée jusqu'à 18 mois, âge à partir duquel les médecins avaient perdu sa trace pendant dix mois et durant lesquels elle n'avait eu aucun traitement. Aucun des tests sanguins effectués ensuite n'avait détecté la présence du VIH.
«Généralement, lorsque le traitement est arrêté, les niveaux de VIH remontent en quelques semaines et non en quelques années», explique Deborah Persaud, spécialiste des maladies infectieuses au centre pédiatrique Johns-Hopkins à Baltimore. Du coup, le cas de cette fillette est, d'après elle, «sans précédent».
Son histoire avait soulevé les espoirs des médecins qui pensaient qu'un traitement précoce des nouveau-nés séropositifs pourrait permettre de les guérir. Mais un test de routine au début du mois a révélé que la fillette avait des niveaux détectables du VIH dans le sang, associés à une quantité moindre de lymphocytes et à la présence d'anticorps qui prouvent que le VIH a fait sa réapparition.
«C'est bien évidemment un rebondissement très décevant pour l'enfant, les médecins impliqués dans son traitement et les chercheurs spécialisés dans le VIH/sida», a regretté Anthony Fauci, directeur de l'institut national de l'allergie et des maladies infectieuses (NIAID). Selon le Dr Fauci, la petite fille est à nouveau soumise à des anti-rétroviraux et se porte bien.
«Le cas de cet enfant du Mississippi montre que le traitement précoce aux anti-rétroviraux n'a pas complètement éradiqué le réservoir de cellules touchées par le VIH. Mais il pourrait avoir considérablement limité son développement et permis d'éviter qu'elle ne prenne des anti-rétroviraux pendant une longue période», a-t-il expliqué.

Trop de télé tue plus vite(4)
Selon une très sérieuse étude de chercheurs espagnols de l'université de Navarre, à Pampelune, publiée dans le Journal of the American Heart Association, les adultes regardant la télévision trois heures ou plus par jour pourraient voir doubler leur risque de mort prématurée par rapport à ceux qui la regardent moins longtemps.
Les chercheurs ont suivi plusieurs années (en moyenne 8,2) une cohorte de 13.284 personnes (âge moyen 37 ans) en bonne santé, dont 60% de femmes. Leurs comportements sédentaires ont été étudiés sous trois axes: le temps passé devant la télévision, celui passé devant l'ordinateur et le temps passé en voiture. Puis le risque de décès a été évalué.

Les chercheurs ont constaté 97 décès dans le groupe étudié, 19 par des causes cardio-vasculaires, 46 par cancer et 32 par d'autres causes. Le risque de décès est deux fois plus élevé chez les personnes regardant la télévision trois heures ou plus quotidiennement, comparé à ceux qui passaient 1 heure ou moins devant le petit écran. Par contre, aucun lien n'est apparu concernant le temps passé devant un ordinateur ou en voiture vis-à-vis du risque de décès.
«Regarder la télévision est un comportement sédentaire majeur, estime Miguel Martinez-Gonzalez, auteur principal de l'étude. Il s'inscrit de plus dans une tendance générale d'augmentation des comportements sédentaires. Avec le vieillissement de la population, ces comportements devraient augmenter. Notre étude montre qu'il est donc important de conseiller aux adultes d'augmenter leurs activités physiques et de réduire le temps passé devant la télévision à une heure ou deux par jour.»

Le sucre augmenterait le risque de cancer du sein(5)
Une étude menée par 3 chercheuses auprès de 1555 femmes révèle l'existence d'un lien entre la consommation d'aliments et de boissons contenant du sucre ajouté et la densité mammaire, un facteur de risque du cancer du sein.
Les femmes devaient indiquer, à l'aide d'une liste de 161 éléments, la fréquence à laquelle elles avaient consommé divers produits au cours de l'année précédente. "Nous avons considéré le sucre ajouté dans les aliments et les boissons, précise la professeure Diorio. Nos données ne tiennent pas compte des sucres naturellement présents dans les aliments comme les fruits et les légumes par exemple." La densité mammaire a été établie à partir d'une mammographie de chaque participante. "Cette variable ne correspond pas directement à la fermeté du sein. C'est une mesure de l'abondance relative des glandes et des canaux dans le tissu mammaire", explique-t-elle.

L'article que les trois chercheuses publient dans le dernier numéro de BMC Public Health révèle une tendance générale: la densité mammaire augmenterait en fonction de la consommation de sucre. Même si cette hausse est relativement faible – on parle de différences d'à peine trois points de pourcentage dans la densité mammaire entre les quarts inférieur et supérieur de consommation de sucre –, ils ont une portée certaine sur le risque de cancer du sein, estime Caroline Diorio. "En guise de comparaison, la prise de tamoxifène – un médicament qui prévient le cancer du sein – pendant 30 à 54 mois réduit la densité mammaire de 6 points de pourcentage, et cette baisse se traduit par une diminution de 30 à 50% des risques de cancer du sein." La chercheuse soupçonne également que les écarts seraient plus prononcés dans des populations qui consomment davantage de sucre ajouté. Dans le groupe de femmes étudiées par les chercheuses, la moyenne de consommation de boissons sucrées était d'environ deux par semaine, ce qui est très bas comparativement à ce qui est rapporté ailleurs.

L’EFPIA dénonce l’amendement Avastin/Lucentis(5)
L’Assemblée nationale a voté mardi 8 juillet 2014 son projet de loi de Sécurité Sociale rectificatif, qui pourrait autoriser les médecins à prescrire des médicaments hors du cadre des indications de leur AMM, même dans le cas où il existe sur le marché un médicament disponible dans ces indications.
Le projet de loi cible spécifiquement un médicament anti-cancéreux du Laboratoire Roche (Avastin), comme solution alternative à un médicament utilisé pour soigner la forme humide de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une indication pour laquelle il n’a pas été approuvé, alors qu’il existe deux médicaments autorisés dans cette indication.
Richard Bergström, Directeur général de l’EFPIA, a affirmé : « il y a une tendance croissante préoccupante des gouvernements européens à contourner les mesures de protection de la santé et à prendre des décisions impactant la santé publique sur des fondements purement économiques de court terme. Cette décision est une violation grave des dispositions réglementaires en vigueur, créées pour préserver en Europe le meilleur niveau de sécurité possible pour les patients.»
Et Richard Bergström ajoute : « il s’agit d’un vrai problème sanitaire dont doit se saisir la Commission européenne dans les plus brefs délais avant que ce mouvement ne prenne davantage d’ampleur. Les Etats membres de l’Union européenne ne devraient pas créer une autre voie d’autorisation nationale de mise sur le marché remettant en cause le cadre réglementaire européen et pouvant menacer la sécurité des malades pour n’apporter que des avantages économiques de court terme.»
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie


Sources:
(1) http://www.lequotidiendupharmacien.fr
(2) http://www.maxisciences.com
(3) http://www.24heures.ch
(4) http://sante.lefigaro.fr
(5) http://www.techno-science.net
(6) http://www.mypharma-editions.com
 
 

 

 

 
INDUSTRIE PHARMA
Sanofi: résultats positifs d'une étude du dupilumab

Sanofi et Regeneron ont annoncé que les résultats de quatre études cliniques antérieures consacrées au dupilumab dans le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère viennent d'être publiés dans le New England Journal of Medicine (NEJM).

Le dupilumab est un anticorps monoclonal expérimental qui bloque la signalisation d'IL-4 and IL-13, deux cytokines qui jouent un rôle clé dans la pathogenèse de la dermatite atopique modérée à sévère.

Selon George D. Yancopoulos, M.D., Ph. D., Directeur Scientifique de Regeneron et Président de Regeneron Laboratories, l'inhibition de la signalisation d'IL4/IL-13 pourrait être une nouvelle approche importante dans le traitement des maladies atopiques, comme l'asthme, la dermatite atopique et la polypose naso-sinusienne.

« Ces derniers résultats vont dans le même sens que ceux obtenus dans le cadre d'études cliniques antérieures et confortent le corpus de données illustrant le rôle que pourrait jouer ce médicament expérimental dupilumab dans le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère. Nous sommes aujourd'hui en mesure de sélectionner les doses optimales pour les études de Phase 3, que nous espérons lancer vers la fin de l'année. » a déclaré Dr Elias Zerhouni, Président Monde de la R&D de Sanofi.
Source: http://bourse.lefigaro.fr

 
PROCHAINS RDV
12 et 13 septembre 2014
Événement : 2èmes Journées Internationales Francophones de Stérilisation
Lieu : Hôtel Palm Plaza
Ville : Marrakech
Pays : Maroc
Lien : www.beyondcom.ma

20 septembre 2014
Événement : Première Journée Scientifique de la société Marocaine de Management
Thème : "L'apport des sciences de gestion dans la pérennité et le développement de l'entreprise pharmaceutique"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : société Marocaine de Management Pharmaceutique
Lien : www.smmaph.org

22-26 septembre 2014
Événement : 1er Meeting de pharmacovigilance arabe
Thème : "STRENGTHENING PHARMACOVIGILANCE IN ARABIC-SPEAKING COUNTRIES"
Ville : Rabat
Pays : Maroc
Organisateur : Centre Antipoison et de Pharmacovigilance du Maroc
En savoir plus : lien
 

FORMATIONS

MBA MARKETING-MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET DES PRODUITS DE SANTÉ 
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Diplôme interuniversitaire de vaccinologie
Année 2014-2015

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Diplôme d'Université Supérieur de Pharmacie Clinique : Appel à candidature ( 2014-2015 )

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Diplôme universitaire de vaccinologie / Rabat
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Lien
 
Tu nous manqueras Khalid

Nous avons appris avec beaucoup de tristesse le décès de notre confrère Khalid Sentissi ( Pharmacien à Rabat )
Dans ces douloureuses circonstances, nous présentons nos condoléances à sa famille et à ses amis.
"Inna lillahi ou inna Ilyhi Rajioune"
Comité de rédaction

 

Pour informer les pharmaciens et les médecins au sujet des nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons, sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux médicaments à l'email suivant:
info@pharmacies.ma


ACIDE ALENDRONIQUE NORMON
Laboratoire : IBERMA
Composition : Alendronate monosodique
trihydraté 91,36 mg, Croscarmellose sodique, Cellulose microcristalline, Lactose monohydraté, Stéarate de magnésium.
Indication : Traitement de l’ostéoporose.
Forme et présentation : Boite de 4 comprimés dosés à 70 mg
PPV : 176 DH

ASUMATE® 20
Laboratoire : BOTTU
Composition : Lévonorgestrel 100ug
Ethinylestradiol 20 ug
Indication : Contraceptif estroprogestatif oral monophasique
PPV : 52,30 DH

MALTOFER® fol
Laboratoire : ZENITH PHARMA
Indication :  Traitement et la prophylaxie des carences en fer latente et de l'anémie ferriprive avec besoin accru d'acide folique durant la grossesse.
PPV : 47,30 DH

CLAZEN ® 125
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Clarithromycine 
Présentation : Flacon de 60ml
Indication : Antibiotique de la famille des macrolides
PPV : 58,10 DH

CLAZEN ® 250
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Clarithromycine
Présentation : Flacon de 70ml
Indication : Antibiotique de la famille des macrolides
PPV : 115,20 DH

LANZEN ® 15
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 14 gélules  à libération prolongée
Indication :  Inhibiteur de la pompe à proton
PPV : 24,80 DH

LANZEN ® 15
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 28 gélules  à libération prolongée
Indication :  Inhibiteur de la pompe à proton
PPV : 39,60 DH

LANZEN ® 30
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 14 gélules  à libération prolongée
Indication :  Inhibiteur de la pompe à proton
PPV : 42,00 DH

LANZEN ® 30
Laboratoire : ZENITHPHARMA
Composition : Lansoprazole
Présentation : Boite de 28 gélules  à libération prolongée
Indication :  Inhibiteur de la pompe à proton
PPV : 67,20 DH

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
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