Cliquez ici si vous avez un problème d'affichage

Pour vous assurer de recevoir nos messages,
nous vous recommandons d'ajouter l'adresse
info@pharmacies.ma à votre carnet d'adresses

Numéro: 229

03 mars  2014  

14216  destinataires

 
Baisse des prix des médicaments: à l'impossible nul n'est tenu

Si la baisse des prix des médicaments a été entérinée avec plus ou moins d’amertumes et de tracas chez les uns et les autres, il n’en demeure pas moins que beaucoup de flou et un grand manque de visibilité persistent encore quant aux modalités de sa mise en application, et particulièrement celles relatives à la généralisation de l'étiquetage en prix public de vente (PPV).

À moins de quatre mois de la date butoir du 19 juin, date à laquelle le décret 2-13-853(1) relatif à la fixation des prix des médicaments rentrera en vigueur, les industriels, les grossistes et les pharmaciens d’officine se posent beaucoup de questions par rapport à sa mise en application. 

En effet, les termes de la dernière note d'information (2) et les dispositions du nouveau décret pourraient laisser entendre que tous les médicaments doivent changer d’étiquetage (3). Et même si le prix reste inchangé, l'étiquetage en PPV risque d'être obligatoire à partir du 19 juin prochain. Or, de l’avis de la quasi-totalité des intervenants du secteur du médicament, cette opération relève de l’impossible si elle est maintenue pour le 19 juin 2014, et elle risque d’induire un tarissement du marché du médicament, privant ainsi les patients de leurs traitements. Car, si tous les médicaments devaient être ré-étiquetés, le nombre de boîtes de médicaments qui seraient concernées par ces changements avoisinerait les 60 millions. Une telle opération peut être qualifiée de fastidieuse, et avec toute la bonne volonté du monde, elle s’avérerait impossible à réaliser en si peu de temps.

L’autre conséquence, non moins grave, de l’éventualité d’un ré-étiquetage généralisé, concerne le pharmacien d’officine. Celui-ci serait amené à rendre tout son stock résiduel étiqueté en PPM au grossiste. Celui-ci devrait, alors, selon les règles élémentaires de bonnes pratiques de distribution, contrôler les produits retournés, les trier et les retourner aux fabricants. Ce dernier aura la lourde tâche de ré-étiqueter le stock concerné selon les bonnes pratiques de distribution. Cette opération prendra probablement plusieurs semaines, et les pharmaciens d’officine se retrouveront dans l’obligation de stopper leur activité en attendant la réception et la mise en place de leur stock avec le nouvel étiquetage.

Les grossistes, à leur tour, pâtiront de cette situation puisqu’ils seront confrontés à une énorme surcharge de travail essentiellement en matière de logistique pour faire la réception des produits de toutes les pharmacies du Royaume et pour les acheminer aux laboratoires concernés!

Vu l’ampleur d’une telle opération, tous les représentants du secteur du médicament jugent une telle opération impossible à réaliser et sont unanimes quant à l'inutilité du ré-étiquetage des médicaments non concernés par la baisse pour les malades.

Aujourd’hui, si un allongement suffisant de la période de transition pour écouler les médicaments avec PPM (période où coexisteront les deux étiquetages pour les médicaments dont les prix ne changent pas) n’est pas adopté, l’essence et la philosophie qui ont animé cette baisse des prix des médicaments se retrouveront écornées. Car, l’accessibilité aux soins des citoyens marocains a été le leitmotiv que l’administration a toujours mis en avant pour justifier sa réforme. Et cette opération sera inéluctablement à l’origine d’un très grand nombre de rupture de stock, étant donné que les pharmaciens d’officine et les grossistes s’attèleront à assécher leur stock en médicament avec PPM et le réduire au strict minimum.

Enfin, tous les intervenants du secteur du médicament ont accepté à leurs dépens et tant bien que mal, de participer à rendre le médicament plus accessible à leurs concitoyens. La baisse des prix des médicaments va engendrer, de toute évidence, une baisse de leurs revenus. Seulement, le tribut à payer est très grand chez les industriels. Car, à cause du flou qui règne autour des modalités d’application du décret, les ventes des laboratoires en médicaments ont connu et connaîtront des baisses abyssales. Si, en plus, on les accule à modifier les étiquettes de tous les médicaments, soit environ 60 millions d’unités, cela risque d’être le coup de grâce porté à une industrie souvent qualifiée comme étant un des fleurons de l'industrie marocaine.

Zitouni Imounachen,
Docteur en pharmacie

(1) Décret 2-13-853 Lien
(2) Note d'information: Lien
(3)
Soit par ce que leur prix est supérieur au prix moyen du benchmark, soit parce que le prix d'un princeps est devenu inférieur à un plusieurs médicaments appartenant à son groupe de générique (article 5 du décret 2-13-853) ou tous simplement par ce que l'article 11 du même décret stipule que le prix du médicament doit être arrondi.

 

Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.


Mortalité infantile : 10 000 bébés à sauver au Maroc !(1)  
Chaque année, sur les 600.000 nouveau-nés au Maroc, 12.000 décèdent ainsi que 700 mères lors de l’accouchement. A ces drames s’ajoutent aussi quelque 12.000 handicaps chez les mamans et près de 24.000 handicaps néonataux souvent neurologiques sévères.
Malgré ces chiffres, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le Royaume est sur la bonne voie pour réduire de 70% la mortalité infantile et de 82% la mortalité maternelle d’ici 2015, par rapport au niveau de 1990. C’est ce qui ressort d’une publication parue le mois dernier sur son site Internet.
D’après l’OMS, des efforts importants ont été réalisés durant les deux dernières décennies. Le taux de mortalité infantile a régressé de 60% entre 1990 et 2011.
Il en va de même pour le taux de mortalité maternelle qui a chuté de 60% en 20 ans. Rappelons que l’objectif fixé par le ministère de la santé étant de réduire la mortalité maternelle de 112 à 50 décès pour 100.000 naissances vivantes et la mortalité néonatale de 19 à 12 décès pour 1.000 naissances vivantes d’ici 2016.

Fécondation in vitro : bientôt des bébés nés de trois parents ?(2)
Mise au point dans les années 1970, la FIV est aujourd'hui couramment utilisée. Son succès a ainsi ouvert de nouvelles voies en matière de procréation. Mais certaines sont pour le moins controversées : c'est le cas de la "fécondation in vitro avec trois parents". Comme son nom l'indique, cette technique consiste à concevoir un embryon en utilisant les cellules (et l'ADN) de trois parents au lieu de deux. L'objectif ? Créer un embryon qui ne présenterait pas certains défauts génétiques responsables de maladies héréditaires incurables. Il s'agirait surtout de défauts génétiques présents dans l'ADN des mitochondries (le générateur d'énergie des cellules) qui est uniquement transmis par la mère. Ces défauts peuvent être responsables de problèmes cardiaques graves, de dysfonctionnement au niveau du foie, de troubles neurologiques, de cécité ou encore de dystrophie musculaire.
La FIV avec trois parents permettrait alors à un couple dont la femme est porteuse d'un tel défaut génétique de contourner le risque que leur futur enfant soit atteint d'une maladie, ceci en remplaçant la mitochondrie "défectueuse" par une fonctionnelle. Concrètement, l'embryon serait conçu à partir des cellules et de l'ADN de trois individus, de la mère, du père et d'une femme donneuse. La technologie la plus couramment évoquée consiste à prélever le noyau de l'ovule de la mère et à l'insérer dans la cellule sans noyau d'une donneuse dont la mitochondrie n'est pas défectueuse. L'ovule peut alors être mis en contact avec le spermatozoïde du père pour créer un embryon qui sera implanté dans l'utérus de la mère. La grossesse se déroulerait ensuite normalement.
La technique de la FIV avec trois parents pose des questions éthiques qui ont poussé de nombreux pays à l'interdire, notamment les États-unis. Les détracteurs estiment qu'il s'agit de manipulations génétiques destinées à concevoir des bébés sur mesure.

L'imagerie médicale risque la panne (3)
Le monde risque la pénurie prochaine de technétium 99m, un élément radioactif utilisé dans près de 75 % des examens scintigraphiques, pour les pathologies les plus diverses et dans de multiples spécialités médicales. Le technétium 99m présente le triple avantage d'être relativement peu cher, pas toxique, et d'avoir une demi-vie courte (la moitié du produit injecté est éliminée en six heures), donc la dose délivrée au patient est faible.
Mais le technétium 99m est issu du molybdène 99, produit par très peu de réacteurs dans le monde. Or beaucoup sont âgés, et les fermetures, prévues ou non, définitives ou provisoires, sont de plus en plus fréquentes.
Saisie par les ministres de la Santé et de la Recherche, l'Académie de médecine a publié la semaine dernière un avis sur les conséquences potentielles de cette pénurie et les possibilités de substitution.
La réponse est limpide, explique le Pr André Aurengo, chef du service de médecine nucléaire à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et rapporteur de l'avis : « Il y a six indications pour lesquelles rien d'autre n'existe.» En tout, on réalise en France quelque 60 000 examens chaque année pour lesquels la médecine ne disposera tout simplement pas d'alternatives. Certains sont très fréquents: la recherche du ganglion sentinelle (quasi systématique en cas d'opération pour un cancer du sein), de l'embolie pulmonaire chez la femme enceinte, d'une hyperparathyroïdie, ainsi que la plupart des scintigraphies réalisées sur l'enfant et les scintigraphies rénales, permettant d'observer le fonctionnement séparé de chacun des reins.

Les enfants de pères âgés souffriraient plus de troubles psychiatriques (4)
Selon une vaste étude américano-suédoise publiée mercredi aux Etats-Unis, les enfants nés de père âgés ne sont pas franchement rassurantes. Ils auraient plus de risques de souffrir de troubles psychiatriques et de problèmes d'apprentissage,
Les chercheurs ont constaté un lien très fort entre l'âge avancé du père à la naissance des enfants et un éventail de pathologies psychiatriques dont l'autisme, le déficit d'attention, le trouble bipolaire, la schizophrénie, des tentatives de suicide et des problèmes de drogues ainsi que d'échec scolaire et des résultats faibles aux tests de quotient intellectuel.

Ainsi, comparé à un enfant né quand le père avait 24 ans, celui dont le père avait 45 ans à sa naissance avait 3,5 fois plus de risque de souffrir d'autisme et 13 fois plus de probabilité d'avoir des troubles de l'attention. Le risque d'être bipolaire était aussi 25 fois plus grand tandis que la probabilité d'avoir un comportement suicidaire et des problèmes de drogue étaient 2,5 fois plus élevé.
"Nous avons été choqué par les résultats de cette étude", a affirmé Brian D'Onofrio, professeur adjoint de psychologie à l'Université d'Indiana, principal auteur de ces travaux parus dans le Journal of the American Medical Association Psychiatry daté du 26 février.

"Les liens spécifiques entre l'âge paternel étaient beaucoup plus marqués que dans les études précédentes", a-t-il précisé. Les chercheurs ont aussi pris en compte le niveau de formation des parents et leurs revenus, des facteurs qui peuvent contrebalancer les effets négatifs d'une paternité tardive sur les enfants.

Méningite : régression du taux de mortalité   (5)
Selon un communiqué du ministère de la Santé, les décès imputés aux méningites sont en régression. Le taux de mortalité parmi les cas de méningites confirmées est passé de 10,8% en 2013, à 9,8% durant les mois de janvier-février 2014.
«A chaque cas détecté de méningite, les services sanitaires provinciaux réalisent dans les 24h, une enquête épidémiologique autour des cas, et des mesures prophylactiques sont entreprises au profit des personnes contacts, par chimio-prophylaxie et par vaccination, dans le cas des méningites bactériennes à méningocoque», a poursuivi la même source.
Ce département, ajoute-t-on de même source, suit de près la situation épidémiologique et informera l'opinion publique sur les mesures de veille et de vigilance sanitaires requises pour protéger la santé des citoyens.
   
 
L'oméga-3 pour prévenir le cancer du sein (6)
La revue Cancer Causes Control vient de publier une étude réalisée par deux chercheuses de la Faculté de Médecine sur 1500 femmes.
Caroline Diorio et Isabelle Dumas ont fait prendre de l'oméga-3 à 777 femmes pré ménopausées et 783 femmes ménopausées. Elles ont également étudié le cas de l'oméga-6, un acide gras qui provoque de nombreux problèmes de santé. Elles ont pu relever la densité mammaire des participantes après une mammographie durant la même période. D'après les résultats, les femmes qui ont consommé une quantité importante d'oméga-3 ont une densité mammaire très faible, ce qui diminue le risque de cancer du sein.

Chez les femmes ménopausées, plus la consommation d'oméga-3 augmente, plus la densité mammaire diminue. Par contre, une grande ration oméga-6/oméga-3 augmente la densité mammaire chez les femmes ménopausées et pré ménopausées. Les chercheuses ont pu conclure qu'une forte consommation d'oméga-3 pourrait augmenter l'effet protecteur de ces derniers en diminuant la densité mammaire. Toutefois, pour confirmer les effets bénéfiques de l'oméga-3, il faudrait suivre un groupe de femmes pendant une longue période
 
En bref : l’ail, une arme redoutable contre les germes (7)
Selon Tim Holm Jakobsen, un chercheur de la faculté de médecine de Copenhague, une substance contenue dans l’ail, appelée ajoène, permettrait de contrer les bactéries les plus virulentes. « Nous savions que l’ail renfermait un composé susceptible de neutraliser des bactéries résistantes en paralysant leur système de communication au sein des biofilms, explique Tim Holm Jakobsen. Dans mon mémoire, je démontre que l’ajoène empêche aussi les bactéries de sécréter une toxine qui détruit les globules blancs, et par conséquent qui affaiblit le système immunitaire. »
Pour ce travail, le chercheur s’est intéressé à Pseudomonas aeruginosa, une bactérie pathogène responsable de 11 % des infections nosocomiales. Il a montré que l’ajoène améliorait les traitements conventionnels par antibiothérapie. La combinaison antibiotiques-ajoène permet ainsi de tuer plus de 90 % des bactéries ciblées.
Inutile toutefois de se jeter sur l’ail dans l’espoir d’un quelconque effet thérapeutique. « L’ajoène est présent en si faibles quantités dans l’ail qu’il faudrait en consommer 55 gousses par jour pour observer l’effet désiré, tempère Tim Holm Jakobsen. Nous espérons que l’industrie pharmaceutique s’y intéressera et produira de l’ajoène à grande échelle. »
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie

Sources:
(1) http://www.aujourdhui.ma
(2) http://www.maxisciences.com
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4) http://www.bfmtv.com
(5) http://www.lematin.ma
(6) http://www.techno-science.net
(7) http://www.futura-sciences.com
 
 

 

 

 

Insuline glargine et risque de cancer : conclusion de l’évaluation des nouvelles données de sécurité - Point d'Information

L’insuline glargine, analogue de l’insuline humaine, est autorisée dans l’Union européenne depuis le 9 juin 2000 dans le traitement du diabète non insulinodépendant (dit de type 2) de l’adulte, de l’adolescent et de l’enfant à partir de 2 ans.

En 2009, la publication de quatre études observationnelles dans la revue Diabetologia a entraîné des interrogations au sein de la communauté scientifique quant à une possible relation entre un traitement par l’insuline glargine et le risque de survenue de tumeurs malignes chez les diabétiques. Compte-tenu des limites méthodologiques importantes de ces études, aucune conclusion sur ce lien éventuel n’avait pu être tirée.

Dans ce contexte, l’ANSM avait demandé à la Caisse Nationale d’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) de réaliser une étude portant sur les données du Système national d’informations inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM) à partir d’un protocole élaboré conjointement.

Dans une première phase, l’étude a ainsi inclu plus de 70 000 diabétiques de type 2, âgés de 40 à 79 ans, ayant initié un traitement par insuline glargine, détémir ou insuline humaine. Ces patients ont été suivis en moyenne un peu moins de 3 ans. L’analyse principale a porté sur l’ensemble des cancers (toute localisation confondue) et sur des cancers spécifiques (sein, colorectal ou prostate). Les résultats n’ont pas mis en évidence d’association significative entre la consommation d’insuline glargine et le risque de survenue de cancers (toute localisation confondue ou spécifiques). Les résultats de cette étude ont été publiés dans Diabetes care[1] en février 2013.../....
  
Lire la suite : lien

 
Appel à candidature au 5ème Édition du Prix Scientifique du SRPOO  AVANT 10 AVRIL 2014

Cliquez sur le lien pour en savoir plus: lien

 
PROCHAINS RDV
18 mars 2014
Événement: 
Workshop sur la
pré-qualification OMS
 
Thème: 
"Technical Assistance toward WHO Prequalification of Second-line Anti-tuberculosis (TB) Medicines and Medicines for other Diseases"
Lieu : Hôtel Sheraton à Casablanca
En savoir plus: lien

9 au 23 mars 2014 
Événement: MEDICAL EXPO 2014   
Thème: "Renforcement de la Coopération Arabo africaine pour le développement de la Santé"
Lieu: OFEC ( Office des Foires et Expositions de Casablanca) 
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Organisateur: OFEC & BH Events
Contact: 
Adresse: BH Event : Angle Bd Moulay Youssef et Rue Nadaud Casablanca
Tél.: 05 22 47 44 35
Email: info@medicalexpo-maroc.com
Site web: www.medicalexpo.ma    /     www.africaarabhealth.com


29 et 30 mars 2014
Événement : PHARMAGORA
Lieu : Paris Porte de Versailles
Ville : Paris
Pays : France
En savoir plus : Lien
 
Télécharger la version PDF: lien 
Feuilleter la revue: lien
 

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

DESENIL® 5mg et DESENIL® 10mg
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Donépézil
Propriété : Inhibiteur de
l’acétylchlinestérase indiqué dans le traitement symptomatique des formes légères à modérément sévères de la maladie d’Alzheimer
Présentations :  
DESENIL
® 5MG
Boite de 30 comprimés
PPM : 298 DH

DESENIL
® 10MG
Boite de 30 comprimés
PPM : 498 DH

CO-VALSARTAN Win ® 80/12,5        
Laboratoires : Maphar
Composition :
Valsartan+HCTZ    
Propriétés: Antagoniste
de l’angiotensine II  associé à un diurétique
Formes et présentation: Boite de 28 comprimés
.
PPM : 148 DH

CO-VALSARTAN Win® 160/25        
Laboratoires : Maphar
Composition :
Valsartan+HCTZ    
Propriétés :  Antagoniste
de l’angiotensine II  associé à un diurétique
Formes et présentation: Boite de 28 comprimés
.
PPM: 186,30 DH

LOTEMAX®         
Laboratoires : ZENITHPHARMA
Composition :Loteprednol etabonate
   
Indication :  Traitement des affections inflammatoires de l'oeil.
Formes et présentation: Solution ophtalmique à 0,5% ( 5mg/ml). Flacon de 5 ml.

PPM: 112,50 DH

ROSUSTAR® 10 mg et 20 mg,
Laboratoires : SANDOZ/ NOVARTIS
Composition : Rosuvastatine
Indication : Traitement des
hypercholéstérolémies 
Présentations :
Boîte de 28 comprimés pelliculés
dosés à 10mg
PPM : 157,70,00 DH

Boîte de 28 comprimés pelliculés
dosés à 20mg
PPM : 255,00 DH

RHINACARE®
Laboratoire : SANOFI
Composition : Eau de mer isotonique
Présentations :
Eau de mer isotonique stérilisée en vaporisation nasale 
PPC: 89 DH

Sérum physiologique en unidose
20 unidoses
PPC: 49 DH

40 unidoses
PPC: 89 DH

C-BAC® 500 mg,       
Laboratoires : PROMOPHARM
Composition : 
Clarithromycine
Propriété : Macrolide en C14
Formes et présentation: Boite de 14 comprimés
dosés à 500mg.
PPM : 132 DH

PROGRAF® 1 mg,       
Laboratoire : PROMOPHARM
Composition :
Tacrolimus  
Indication :
Immunologie, transplantation, immunosuppresseurs sélectifs : Inhibiteurs des cytokines  
Formes et présentation : Boite de 100 gélules dosées à 1 Mg

PPM : 3610 DH

EXJAD® 250 mg,       
Laboratoires : NOVARTIS PHARMA
Composition :
Déférasirox  
Indication :
Traitement de la surcharge en fer chronique  
Présentation : 28, sous plaquettes thermoformées.
PPM : 2700 DH

TABUNEX® 0,05        
Laboratoire :ZENITH PHARMA
Composition :
Mométasone furoate  
Propriété :
Corticoïde 
Présentation :
 Spray nasal de 120 doses

PPM : 110 DH

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
Vos remarques et vos suggestions seront les bienvenues.

 
BON A SAVOIR

Anciennes Pharmanews
Cliquer sur le lien suivant pour consulter les anciennes Pharmanews. Lien 

A vos plumes
N'hésitez pas de nous envoyer vos écrits, vos remarques et vos suggestions à l'adresse:
info@pharmacies.ma

Syndicats et associations: à vos claviers
Nous vous informons que nous sommes disposés à diffuser toute information en provenance des syndicats , des conseils ou des associations.
Pour ce faire, les syndicats et les associations sont priés de nous envoyer leur écrits à l'adresse électronique :
info@pharmacies.ma

Partagez Pharmanews avec vos amis
Si vous souhaitez qu'un ou plusieurs de vos amis  reçoivent Pharmanews, il vous suffit d'envoyer leurs adresses électroniques à l'adresse:
info@pharmacies.ma
 
Mentions légales
Visiter pharmacies.ma
Qui sommes-nous?