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Baisse des
prix des médicaments: à l'impossible
nul n'est tenu
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Si la baisse des prix des
médicaments a été entérinée avec
plus ou moins d’amertumes et de
tracas chez les uns et les autres,
il n’en demeure pas moins que
beaucoup de flou et un grand manque
de visibilité persistent encore
quant aux modalités de sa mise en
application, et particulièrement
celles relatives à la généralisation
de l'étiquetage en prix public de
vente (PPV).
À
moins de quatre mois de la date
butoir du 19 juin, date à laquelle
le décret 2-13-853(1) relatif à la
fixation des prix des médicaments
rentrera en vigueur, les
industriels, les grossistes et les
pharmaciens d’officine se posent
beaucoup de questions par rapport à
sa mise en application.
En effet, les termes de la dernière
note d'information (2) et les
dispositions du nouveau décret
pourraient laisser entendre que tous
les médicaments doivent changer
d’étiquetage (3). Et même si le prix
reste inchangé, l'étiquetage en PPV
risque d'être obligatoire à partir
du 19 juin prochain. Or, de l’avis
de la quasi-totalité des
intervenants du secteur du
médicament, cette opération relève
de l’impossible si elle est
maintenue pour le 19 juin 2014, et
elle risque d’induire un tarissement
du marché du médicament, privant
ainsi les patients de leurs
traitements. Car,
si tous les médicaments devaient
être ré-étiquetés, le nombre de
boîtes de médicaments qui seraient
concernées par ces changements
avoisinerait les 60 millions. Une
telle opération peut être qualifiée
de fastidieuse, et avec toute la
bonne volonté du monde, elle
s’avérerait impossible à réaliser en
si peu de temps.
L’autre conséquence, non moins
grave, de l’éventualité d’un
ré-étiquetage généralisé, concerne
le pharmacien d’officine. Celui-ci
serait amené à rendre tout son stock
résiduel étiqueté en PPM au
grossiste. Celui-ci devrait, alors,
selon les règles élémentaires de
bonnes pratiques de distribution,
contrôler les produits retournés,
les trier et les retourner aux
fabricants. Ce dernier aura la
lourde tâche de ré-étiqueter le
stock concerné selon les bonnes
pratiques de distribution. Cette
opération prendra probablement
plusieurs semaines, et les
pharmaciens d’officine se
retrouveront dans l’obligation de
stopper leur activité en attendant
la réception et la mise en place de
leur stock avec le nouvel
étiquetage.
Les grossistes, à leur tour,
pâtiront de cette situation
puisqu’ils seront confrontés à une
énorme surcharge de travail
essentiellement en matière de
logistique pour faire la réception
des produits de toutes les
pharmacies du Royaume et pour les
acheminer aux laboratoires
concernés!
Vu l’ampleur d’une telle opération,
tous les représentants du secteur du
médicament jugent une telle
opération impossible à réaliser et
sont unanimes quant à l'inutilité du
ré-étiquetage des médicaments non
concernés par la baisse pour les
malades.
Aujourd’hui, si un allongement
suffisant de la période de
transition pour écouler les
médicaments avec PPM (période où
coexisteront les deux étiquetages
pour les médicaments dont les prix
ne changent pas) n’est pas adopté,
l’essence et la philosophie qui ont
animé cette baisse des prix des
médicaments se retrouveront
écornées. Car, l’accessibilité aux
soins des citoyens marocains a été
le leitmotiv que l’administration a
toujours mis en avant pour justifier
sa réforme. Et cette opération sera
inéluctablement à l’origine d’un
très grand nombre de rupture de
stock, étant donné que les
pharmaciens d’officine et les
grossistes s’attèleront à assécher
leur stock en médicament avec PPM et
le réduire au strict minimum.
Enfin, tous les intervenants du
secteur du médicament ont accepté à
leurs dépens et tant bien que mal,
de participer à rendre le médicament
plus accessible à leurs concitoyens.
La baisse des prix des médicaments
va engendrer, de toute évidence, une
baisse de leurs
revenus. Seulement, le tribut à
payer est très grand chez les
industriels. Car, à cause du flou
qui règne autour des modalités
d’application du décret, les ventes
des laboratoires en médicaments ont
connu et connaîtront des baisses
abyssales. Si, en plus, on les
accule à modifier les étiquettes de
tous les médicaments, soit environ
60 millions d’unités, cela risque
d’être le coup de grâce porté à une
industrie souvent qualifiée comme
étant un des fleurons de l'industrie
marocaine.
Zitouni
Imounachen,
Docteur en pharmacie
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(1)
Décret
2-13-853
Lien
(2) Note d'information:
Lien
(3)
Soit par ce que leur prix est
supérieur au prix moyen du
benchmark, soit parce que le prix
d'un princeps est devenu inférieur à
un plusieurs médicaments appartenant
à son groupe de générique (article 5
du décret 2-13-853) ou tous
simplement par ce que l'article 11
du même décret stipule que le prix
du médicament doit être arrondi. |
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Nous nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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Mortalité infantile : 10 000 bébés à
sauver au Maroc !(1)
Chaque année, sur les 600.000
nouveau-nés au Maroc, 12.000
décèdent ainsi que 700 mères lors de
l’accouchement. A ces drames
s’ajoutent aussi quelque 12.000
handicaps chez les mamans et près de
24.000 handicaps néonataux souvent
neurologiques sévères.
Malgré ces chiffres, l’Organisation
mondiale de la santé (OMS) estime
que le Royaume est sur la bonne voie
pour réduire de 70% la mortalité
infantile et de 82% la mortalité
maternelle d’ici 2015, par rapport
au niveau de 1990. C’est ce qui
ressort d’une publication parue le
mois dernier sur son site Internet.
D’après l’OMS, des efforts
importants ont été réalisés durant
les deux dernières décennies. Le
taux de mortalité infantile a
régressé de 60% entre 1990 et 2011.
Il en va de même pour le taux de
mortalité maternelle qui a chuté de
60% en 20 ans. Rappelons que
l’objectif fixé par le ministère de
la santé étant de réduire la
mortalité maternelle de 112 à 50
décès pour 100.000 naissances
vivantes et la mortalité néonatale
de 19 à 12 décès pour 1.000
naissances vivantes d’ici 2016.
Fécondation in vitro : bientôt des
bébés nés de trois parents ?(2)
Mise au point dans les années 1970,
la FIV est aujourd'hui couramment
utilisée. Son succès a ainsi ouvert
de nouvelles voies en matière de
procréation. Mais certaines sont
pour le moins controversées : c'est
le cas de la "fécondation in vitro
avec trois parents". Comme son nom
l'indique, cette technique consiste
à concevoir un embryon en utilisant
les cellules (et l'ADN) de trois
parents au lieu de deux. L'objectif
? Créer un embryon qui ne
présenterait pas certains défauts
génétiques responsables de maladies
héréditaires incurables. Il
s'agirait surtout de défauts
génétiques présents dans l'ADN des
mitochondries (le générateur
d'énergie des cellules) qui est
uniquement transmis par la mère. Ces
défauts peuvent être responsables de
problèmes cardiaques graves, de
dysfonctionnement au niveau du foie,
de troubles neurologiques, de cécité
ou encore de dystrophie musculaire.
La FIV avec trois parents
permettrait alors à un couple dont
la femme est porteuse d'un tel
défaut génétique de contourner le
risque que leur futur enfant soit
atteint d'une maladie, ceci en
remplaçant la mitochondrie
"défectueuse" par une fonctionnelle.
Concrètement, l'embryon serait conçu
à partir des cellules et de l'ADN de
trois individus, de la mère, du père
et d'une femme donneuse. La
technologie la plus couramment
évoquée consiste à prélever le noyau
de l'ovule de la mère et à l'insérer
dans la cellule sans noyau d'une
donneuse dont la mitochondrie n'est
pas défectueuse. L'ovule peut alors
être mis en contact avec le
spermatozoïde du père pour créer un
embryon qui sera implanté dans
l'utérus de la mère. La grossesse se
déroulerait ensuite normalement.
La technique de la FIV avec trois
parents pose des questions éthiques
qui ont poussé de nombreux pays à
l'interdire, notamment les
États-unis. Les détracteurs estiment
qu'il s'agit de manipulations
génétiques destinées à concevoir des
bébés sur mesure.
L'imagerie médicale risque la panne
(3)
Le monde risque la pénurie prochaine
de technétium 99m, un élément
radioactif utilisé dans près de 75 %
des examens scintigraphiques, pour
les pathologies les plus diverses et
dans de multiples spécialités
médicales. Le technétium 99m
présente le triple avantage d'être
relativement peu cher, pas toxique,
et d'avoir une demi-vie courte (la
moitié du produit injecté est
éliminée en six heures), donc la
dose délivrée au patient est faible.
Mais le technétium 99m est issu du
molybdène 99, produit par très peu
de réacteurs dans le monde. Or
beaucoup sont âgés, et les
fermetures, prévues ou non,
définitives ou provisoires, sont de
plus en plus fréquentes.
Saisie par les ministres de la Santé
et de la Recherche, l'Académie de
médecine a publié la semaine
dernière un avis sur les
conséquences potentielles de cette
pénurie et les possibilités de
substitution.
La réponse est limpide, explique le
Pr André Aurengo, chef du service de
médecine nucléaire à l'hôpital de la
Pitié-Salpêtrière et rapporteur de
l'avis : « Il y a six indications
pour lesquelles rien d'autre
n'existe.» En tout, on réalise en
France quelque 60 000 examens chaque
année pour lesquels la médecine ne
disposera tout simplement pas
d'alternatives. Certains sont très
fréquents: la recherche du ganglion
sentinelle (quasi systématique en
cas d'opération pour un cancer du
sein), de l'embolie pulmonaire chez
la femme enceinte, d'une
hyperparathyroïdie, ainsi que la
plupart des scintigraphies réalisées
sur l'enfant et les scintigraphies
rénales, permettant d'observer le
fonctionnement séparé de chacun des
reins.
Les enfants de pères âgés
souffriraient plus de troubles
psychiatriques (4)
Selon une vaste étude
américano-suédoise publiée mercredi
aux Etats-Unis, les enfants nés de
père âgés ne sont pas franchement
rassurantes. Ils auraient plus de
risques de souffrir de troubles
psychiatriques et de problèmes
d'apprentissage,
Les chercheurs ont constaté un lien
très fort entre l'âge avancé du père
à la naissance des enfants et un
éventail de pathologies
psychiatriques dont l'autisme, le
déficit d'attention, le trouble
bipolaire, la schizophrénie, des
tentatives de suicide et des
problèmes de drogues ainsi que
d'échec scolaire et des résultats
faibles aux tests de quotient
intellectuel.
Ainsi, comparé à un enfant né quand
le père avait 24 ans, celui dont le
père avait 45 ans à sa naissance
avait 3,5 fois plus de risque de
souffrir d'autisme et 13 fois plus
de probabilité d'avoir des troubles
de l'attention. Le risque d'être
bipolaire était aussi 25 fois plus
grand tandis que la probabilité
d'avoir un comportement suicidaire
et des problèmes de drogue étaient
2,5 fois plus élevé.
"Nous avons été choqué par les
résultats de cette étude", a affirmé
Brian D'Onofrio, professeur adjoint
de psychologie à l'Université
d'Indiana, principal auteur de ces
travaux parus dans le Journal of the
American Medical Association
Psychiatry daté du 26 février.
"Les liens spécifiques entre l'âge
paternel étaient beaucoup plus
marqués que dans les études
précédentes", a-t-il précisé. Les
chercheurs ont aussi pris en compte
le niveau de formation des parents
et leurs revenus, des facteurs qui
peuvent contrebalancer les effets
négatifs d'une paternité tardive sur
les enfants.
Méningite : régression du taux de
mortalité (5)
Selon un communiqué du ministère de
la Santé, les décès imputés aux
méningites sont en régression. Le
taux de mortalité parmi les cas de
méningites confirmées est passé de
10,8% en 2013, à 9,8% durant les
mois de janvier-février 2014.
«A chaque cas détecté de méningite,
les services sanitaires provinciaux
réalisent dans les 24h, une enquête
épidémiologique autour des cas, et
des mesures prophylactiques sont
entreprises au profit des personnes
contacts, par chimio-prophylaxie et
par vaccination, dans le cas des
méningites bactériennes à
méningocoque», a poursuivi la même
source.
Ce département, ajoute-t-on de même
source, suit de près la situation
épidémiologique et informera
l'opinion publique sur les mesures
de veille et de vigilance sanitaires
requises pour protéger la santé des
citoyens.
L'oméga-3 pour prévenir le cancer du
sein (6)
La revue Cancer Causes Control vient
de publier une étude réalisée par
deux chercheuses de la Faculté de
Médecine sur 1500 femmes.
Caroline Diorio et Isabelle Dumas
ont fait prendre de l'oméga-3 à 777
femmes pré ménopausées et 783 femmes
ménopausées. Elles ont également
étudié le cas de l'oméga-6, un acide
gras qui provoque de nombreux
problèmes de santé. Elles ont pu
relever la densité mammaire des
participantes après une mammographie
durant la même période. D'après les
résultats, les femmes qui ont
consommé une quantité importante
d'oméga-3 ont une densité mammaire
très faible, ce qui diminue le
risque de cancer du sein.
Chez les femmes ménopausées, plus la
consommation d'oméga-3 augmente,
plus la densité mammaire diminue.
Par contre, une grande ration
oméga-6/oméga-3 augmente la densité
mammaire chez les femmes ménopausées
et pré ménopausées. Les chercheuses
ont pu conclure qu'une forte
consommation d'oméga-3 pourrait
augmenter l'effet protecteur de ces
derniers en diminuant la densité
mammaire. Toutefois, pour confirmer
les effets bénéfiques de l'oméga-3,
il faudrait suivre un groupe de
femmes pendant une longue période
En bref : l’ail, une arme redoutable
contre les germes (7)
Selon Tim Holm Jakobsen, un
chercheur de la faculté de médecine
de Copenhague, une substance
contenue dans l’ail, appelée ajoène,
permettrait de contrer les bactéries
les plus virulentes. « Nous savions
que l’ail renfermait un composé
susceptible de neutraliser des
bactéries résistantes en paralysant
leur système de communication au
sein des biofilms, explique Tim Holm
Jakobsen. Dans mon mémoire, je
démontre que l’ajoène empêche aussi
les bactéries de sécréter une toxine
qui détruit les globules blancs, et
par conséquent qui affaiblit le
système immunitaire. »
Pour ce travail, le chercheur s’est
intéressé à Pseudomonas aeruginosa,
une bactérie pathogène responsable
de 11 % des infections nosocomiales.
Il a montré que l’ajoène améliorait
les traitements conventionnels par
antibiothérapie. La combinaison
antibiotiques-ajoène permet ainsi de
tuer plus de 90 % des bactéries
ciblées.
Inutile toutefois de se jeter sur
l’ail dans l’espoir d’un quelconque
effet thérapeutique. « L’ajoène est
présent en si faibles quantités dans
l’ail qu’il faudrait en consommer 55
gousses par jour pour observer
l’effet désiré, tempère Tim Holm
Jakobsen. Nous espérons que
l’industrie pharmaceutique s’y
intéressera et produira de l’ajoène
à grande échelle. »
Zitouni Imounachen, docteur en
pharmacie
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Sources:
(1) http://www.aujourdhui.ma
(2) http://www.maxisciences.com
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4) http://www.bfmtv.com
(5) http://www.lematin.ma
(6) http://www.techno-science.net
(7)
http://www.futura-sciences.com |
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Insuline glargine et risque de
cancer : conclusion de l’évaluation
des nouvelles données de sécurité -
Point d'Information
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L’insuline glargine, analogue de
l’insuline humaine, est autorisée
dans l’Union européenne depuis le 9
juin 2000 dans le traitement du
diabète non insulinodépendant (dit
de type 2) de l’adulte, de
l’adolescent et de l’enfant à partir
de 2 ans.
En 2009, la publication de quatre
études observationnelles dans la
revue Diabetologia a entraîné des
interrogations au sein de la
communauté scientifique quant à une
possible relation entre un
traitement par l’insuline glargine
et le risque de survenue de tumeurs
malignes chez les diabétiques.
Compte-tenu des limites
méthodologiques importantes de ces
études, aucune conclusion sur ce
lien éventuel n’avait pu être tirée.
Dans ce contexte, l’ANSM avait
demandé à la Caisse Nationale
d’Assurance Maladie des Travailleurs
Salariés (CNAMTS) de réaliser une
étude portant sur les données du
Système national d’informations
inter-régimes de l’assurance maladie
(SNIIRAM) à partir d’un protocole
élaboré conjointement.
Dans une première phase, l’étude a
ainsi inclu plus de 70 000
diabétiques de type 2, âgés de 40 à
79 ans, ayant initié un traitement
par insuline glargine, détémir ou
insuline humaine. Ces patients ont
été suivis en moyenne un peu moins
de 3 ans. L’analyse principale a
porté sur l’ensemble des cancers
(toute localisation confondue) et
sur des cancers spécifiques (sein,
colorectal ou prostate). Les
résultats n’ont pas mis en évidence
d’association significative entre la
consommation d’insuline glargine et
le risque de survenue de cancers
(toute localisation confondue ou
spécifiques). Les résultats de cette
étude ont été publiés dans Diabetes
care[1] en février 2013.../....
Lire la suite :
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Appel à candidature au 5ème Édition
du Prix Scientifique du SRPOO
AVANT 10
AVRIL 2014 |
Cliquez sur le lien pour en savoir
plus:
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PROCHAINS RDV |
18 mars 2014
Événement: Workshop
sur la
pré-qualification OMS
Thème: "Technical
Assistance toward WHO
Prequalification of Second-line
Anti-tuberculosis (TB) Medicines and
Medicines for other Diseases"
Lieu : Hôtel
Sheraton à Casablanca
En savoir plus: lien
9 au 23 mars 2014
Événement: MEDICAL
EXPO 2014
Thème: "Renforcement
de la Coopération Arabo africaine
pour le développement de la Santé"
Lieu: OFEC ( Office
des Foires et Expositions de
Casablanca)
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Organisateur: OFEC &
BH Events
Contact:
Adresse: BH Event :
Angle Bd Moulay Youssef et Rue
Nadaud Casablanca
Tél.: 05 22 47 44 35
Email: info@medicalexpo-maroc.com
Site web: www.medicalexpo.ma
/
www.africaarabhealth.com
29 et 30 mars 2014
Événement :
PHARMAGORA
Lieu : Paris Porte de Versailles
Ville : Paris
Pays : France
En savoir plus :
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Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma.
DESENIL®
5mg et DESENIL® 10mg
Laboratoire : COOPER-PHARMA
Composition : Donépézil
Propriété : Inhibiteur de
l’acétylchlinestérase indiqué dans le traitement
symptomatique des formes légères à modérément
sévères de la maladie d’Alzheimer
Présentations :
DESENIL®
5MG
Boite de 30 comprimés
PPM : 298 DH
DESENIL®
10MG
Boite de 30 comprimés
PPM : 498 DH
CO-VALSARTAN Win ®
80/12,5
Laboratoires : Maphar
Composition :
Valsartan+HCTZ
Propriétés: Antagoniste
de l’angiotensine II associé à un
diurétique
Formes et présentation:
Boite de 28 comprimés .
PPM : 148 DH
CO-VALSARTAN Win®
160/25
Laboratoires : Maphar
Composition :
Valsartan+HCTZ
Propriétés : Antagoniste
de l’angiotensine II associé à un
diurétique
Formes et présentation:
Boite de 28 comprimés .
PPM: 186,30 DH
LOTEMAX®
Laboratoires : ZENITHPHARMA
Composition :Loteprednol etabonate
Indication : Traitement
des affections inflammatoires de l'oeil.
Formes et présentation:
Solution ophtalmique à 0,5% ( 5mg/ml). Flacon de
5 ml.
PPM: 112,50 DH
ROSUSTAR®
10 mg et 20 mg,
Laboratoires : SANDOZ/ NOVARTIS
Composition : Rosuvastatine
Indication : Traitement des
hypercholéstérolémies
Présentations :
Boîte de 28 comprimés pelliculés
dosés à 10mg
PPM : 157,70,00 DH
Boîte de 28 comprimés pelliculés
dosés à 20mg
PPM : 255,00 DH
RHINACARE®
Laboratoire : SANOFI
Composition : Eau de mer isotonique
Présentations :
Eau de mer isotonique stérilisée en vaporisation
nasale
PPC: 89 DH
Sérum physiologique en unidose
20 unidoses
PPC: 49 DH
40 unidoses
PPC: 89 DH
C-BAC®
500 mg,
Laboratoires : PROMOPHARM
Composition :
Clarithromycine
Propriété : Macrolide en C14
Formes et présentation:
Boite de 14 comprimés
dosés à 500mg.
PPM : 132 DH
PROGRAF®
1 mg,
Laboratoire : PROMOPHARM
Composition :
Tacrolimus
Indication :
Immunologie,
transplantation, immunosuppresseurs sélectifs :
Inhibiteurs des cytokines
Formes et présentation :
Boite de 100 gélules dosées à 1 Mg
PPM : 3610 DH
EXJAD®
250 mg,
Laboratoires : NOVARTIS PHARMA
Composition :
Déférasirox
Indication :
Traitement de
la surcharge en fer chronique
Présentation :
28, sous plaquettes thermoformées.
PPM :
2700 DH
TABUNEX®
0,05
Laboratoire :ZENITH PHARMA
Composition :
Mométasone
furoate
Propriété :
Corticoïde
Présentation :
Spray nasal de 120 doses
PPM : 110 DH
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temps précieux, notre équipe a développé
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Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
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