Internet: quand la passion devient addiction…...

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Numéro: 224

27 janvier  2014  

14090  destinataires

 
Internet: quand la passion devient addiction…...

Le phénomène inquiétant des "Cyber junkies" chinois a poussé Pékin à considérer la dépendance à Internet comme une maladie à part entière. Si l'on croit les chiffres officiellement annoncés par les autorités sanitaires de ce pays, 24 millions de jeunes chinois seraient addicts à Internet. Ces enfants passent, en moyenne, plus de six heures par jour rivés devant leur écran à jouer en réseau.
Pour faire face à cette situation, 400 centres gérés par des militaires ont été ouverts dans différents cantons chinois pour essayer de débarrasser ces enfants de leur dépendance.
Cette prise en charge combine des traitements médicaux, des thérapies individuelles et familiales et un parcour de combattant. Le coût mensuel de cette prise en charge avoisine 10000 yuans (1200 euros), ce qui représente deux fois le salaire moyen d'un chinois.
Ce problème n'est pas propre à ce pays puisqu'une enquête menée l'année dernière au Japon sur 100000 adolescents par un institut rattaché au ministère de la santé, a démontré que 8,1% d'entre eux souffriraient d'une dépendance aux échanges de messages, jeux ou autres activités en ligne. Autrement dit, ils seraient incapables d'arrêter sans y être forcés.
"C'est un gros problème que les jeunes sensés accumuler des expériences en découvrant le monde, s'enferment sur internet. Il est indispensable de prendre des dispositions éducatives pour prévenir l'expansion de ce phénomène", a commenté sur la chaîne NHK le professeur Susumu Higuchi, membre de l'équipe qui a mené cette étude.
Leur voisine la Corée du Sud appréhende à son tour les méfaits de cette dépendance, d'autant plus que 70% des 50 millions de Sud-Coréens possèdent un smartphone. Le ministre de la Science Sud-Coréen, a déclaré au mois de juin dernier “Nous ressentons un besoin urgent d’entreprendre un vaste effort face au danger croissant de l’addiction numérique (…), notamment en raison de la popularité des téléphones multifonctions".
Avec les ministères de la Santé et de l’Éducation, il a demandé aux écoles d’organiser des cours de prévention sur l’addiction à Internet, et des camps de vacances pour “désintoxiquer” les écoliers trop dépendants.
Au mois de septembre dernier, le Bradford Regional Medical Center (Pennsylvanie) a aussi inauguré son programme de désintoxication à Internet de 10 jours, pour les volontaires qui souffrent d'une grave addiction à la toile.
La première phase de cette cure de "désintoxication numérique" commence par un sevrage de 72 heures. Pendant cette période, le patient sera interdit de tout accès à Internet. Le sevrage est suivi d’une série de thérapies, de séminaires et d’autres traitements pouvant aider les patients à contrôler leur obsession.
Au Maroc, même si nous manquons d'enquêtes nous permettant d'évaluer l'ampleur de ce phénomène, on peut dire sans risque de se tromper que la situation n’est pas aussi préoccupante que dans les pays précités. Néanmoins et eu égard à l’augmentation exponentielle du nombre de personnes connectées dans notre pays, des campagnes de sensibilisation envers les parents et leurs enfants doivent être menées pour un usage rationnel et dépourvu de risque d'Internet. Car on ne le dira jamais assez « mieux vaut prévenir que guérir ».
Abderrahim Derraji, Docteur en pharmacie

 

Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.


AMO : plus de 7,5 millions immatriculés en 2012(1) 
Selon un rapport de l’AMO, on estime à plus de 7,5 millions le nombre d’immatriculés à l’AMO en 2012. Ce nombre a connu en 2012 une hausse importante de 13%. Les taux d’évolution diffèrent entre le secteur public et le secteur privé. Ainsi, la population immatriculée à l'AMO-Public a augmenté en moyenne de 1,7% entre 2009 et 2011, passant de 2.628.882 à 2.719.722, puis s'est élevée de 8,1% en 2012 atteignant ainsi 2.940.071. S'agissant du secteur privé, elle a atteint 4.692.348 enregistrant ainsi une hausse de 16,2% par rapport à 2011.
Sur le plan des ressources, le document souligne que le total des cotisations et contributions dues à l'ensemble des assurés AMO en 2012 a atteint 8,11 milliards de dirhams, dont 54% provenant du secteur public.
Dans ce cadre, les auteurs du rapport indiquent que cette évolution annuelle moyenne est beaucoup plus importante au secteur privé puisqu'elle est de 14,5% contre une croissance 6,3 % au secteur public.
Les dépenses de l'AMO ont atteint 5,1 milliards de dirhams, dont 33% destinées aux médicaments.
Le rapport indique que 28% des dépenses inhérentes aux affections de longue durée (ALD) sont relatives à l'insuffisance rénale critique terminale, 20% aux tumeurs malignes, 12% à l'hypertension artérielle (HTA), et 12% au diabète insulinodépendant et diabète non insulinodépendant.
D'autre part, le document note que l'excédent cumulé s'est élevé à 17,4 MMDH, alors que la réserve de sécurité cumulée a atteint 949,3 MDH.
Ce rapport met enfin la lumière sur la feuille de route 2014-2018 qui «veillera à la réussite du chantier de la couverture médicale des indépendants dont la population représente à peu près le tiers de la population marocaine».

Plus de 220.000 fraudeurs démasqués (2)
Hazim Jilali a décidé de tirer la sonnette d’alarme à l’issue des deux conseils d’administration de l’Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) consacrés à l’AMO et au Ramed, tenus mercredi dernier.
En effet, le DG de l’Anam a déclaré que « si les dysfonctionnements persistent, le déficit des organismes de gestion d’assurance maladie sera inévitable ». Il a cité notamment «l’intolérable dérapage de 220.000 personnes qui bénéficient à la fois du Ramed et des soins offerts par l’AMO».
En tout cas, la tutelle ne compte pas rester les bras croisés. «Des mesures légales ont été prises contre les contrevenants qui devront rembourser les frais des prestations dont ils ont bénéficié, conformément à la loi relative à la couverture médicale qui stipule que toute fraude est passible de sanctions», a affirmé le ministre de la Santé. D’autant que l’administration compte renforcer le contrôle. En effet, «le département de l’Intérieur, chargé de la gestion du volet d’identification des personnes éligibles et l’octroi des cartes Ramed, ne tolérera aucune infraction», a prévenu le DG de l’Anam. Mais cela suffira-t-il? Pour les responsables de cette agence, «la création d’un organisme chargé de diriger le Ramed est nécessaire pour freiner la transgression de la loi». Une proposition favorablement accueillie par le ministre de tutelle qui reconnaît que de nombreux dysfonctionnements entachent ce système, notamment au niveau de son mode de financement.

Lutte contre l’obésité: Une nouvelle association voit le jour
Une nouvelle association vient de voir le jour au Maroc, il s’agit de «AVieSaine» . Cette association se donne comme mission, la promotion du mode de vie sain et la lutte contre l’obésité. La prévention de la survenue de l’obésité et la lutte contre ses conséquences désastreuses figurent parmi les objectifs de cette association qui réunit des experts dans divers domaines (nutrition, épidémiologie, enseignement…).
Selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), 32,9% des Marocains sont affectés par le surpoids (pré-obésité) et 17,9% présentent une obésité sévère morbide qui serait responsable de plusieurs maladies chroniques telles que le diabète, l’hypertension artérielle et le cancer.
L’Association «AVieSaine» a organisé dernièrement son premier séminaire-atelier pour définir les grandes orientations stratégiques de lutte contre cette problématique de santé publique.

Faut-t-il soigner le rhume?(4)
En cette période hivernale, nombreux sont les personnes qui, victimes d’un rhume, vont se tourner vers des médicaments disponibles en vente libre dans n’importe quelle pharmacie. seulement le magazine 60 millions de consommateurs accuse certains de ces médicaments d'être inefficaces voire potentiellement dangereux.
Ces médicaments auraient plusieurs effets secondaires et des contre-indications qui ne seraient pas assez pris en compte par les consommateurs. "Un bon nombre d'entre eux, notamment parmi les plus vendus, n'ont pas leur place en automédication car leurs contre-indications et risques d'effets indésirables sérieux sont trop nombreux", explique le journal dans son numéro de février 2014.
Il est vrai que les personnes qui ont un rhume ne se posent pas tout le temps la question de savoir si des interactions médicamenteuses sont à craindre, surtout avec des médicaments jugés anodins. Et les pharmaciens, pourtant censés se renseigner sur les antécédents du patient, ne posent pas souvent les questions nécessaires pour délivrer ce type de médicaments en toute tranquillité. Aussi, d'après 60 millions de consommateurs, ils devraient être soumis à une prescription médicale.
Selon La Dépêche du midi, qui a eu accès à l'enquête, 14 médicaments sont à éviter. Il s’agit tout simplement des plus vendus. Tout d’abord ceux à base d’antihistaminiques, qui sont contre-indiqués dans certains glaucomes et en cas de troubles urinaires d'origine prostatique et qui entraînent des risques de somnolence (outre les risques de troubles visuels, palpitations, troubles de la mémoire ou de la concentration, confusion, vertiges, hallucinations…). D’autres produits, parmi les best- sellers "exposent à des risques d'AVC ou neurologiques sévères". Quant aux médicaments contenant de l'ibuprofène, ils sont susceptibles de provoquer des troubles digestifs, des ulcères à l'estomac ou encore des troubles dermatologiques.
Reste que ce n'est pas la première fois qu'une mise en garde est émise envers ces médicaments. C'est même régulièrement le cas. Il y a deux ans, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) avait signalé "une persistance des effets indésirables cardiovasculaires et neurologiques, exceptionnels mais graves". Elle avait alors appelé les consommateurs à prêter grandement attention aux effets indésirables qui sont clairement mentionnés et consultables sur le site de l'agence.

Myopathie: Une thérapie génique testée avec succès sur le chien (5)
La myopathie congénitale myotubulaire, ou myopathie centronucléaire liée à l'X, est une maladie neuromusculaire extrêmement rare qui ne s'exprime que chez le garçon. Les bébés concernés présentent dès leur venue au monde des symptômes graves - détresse respiratoire et faiblesse musculaire importante - qui rendent nécessaire la mise en place d'une assistance ventilatoire et entraînent souvent un décès au cours des premiers mois de vie. Alors qu'aucun traitement ne permet aujourd'hui de guérir cette maladie héréditaire, une thérapie génique mise au point par des chercheurs français et américains a montré des résultats très prometteurs chez l'animal, publiés mercredi dans la revue Science Translational Medicine.
L'équipe française d'Anna Buj-Bello, chercheuse au Généthon (Essonne), le laboratoire financé par l'Association française contre les myopathies, est parvenue à annuler les effets de la maladie sur des chiens en leur injectant un vecteur viral par voie sanguine. Le vecteur, un virus rendu inoffensif, avait été génétiquement modifié pour rétablir la production d'une enzyme, la myotubularine, qui fait défaut aux malades. Un an et demi après avoir reçu une dose unique de cette thérapie génique, les chiens respiraient et se déplaçaient toujours normalement.
«Il s'agit de la première thérapie gé¬nique montrant une efficacité aussi élevée sur des grands animaux dans le cadre d'une maladie musculaire. C'est un encouragement à passer à l'étape suivante, qui consiste à tester le produit sur des humains», explique Fulvio ¬Mavilio, directeur scientifique du Généthon et coauteur de l'étude. Selon lui, ces essais pourraient avoir lieu d'ici deux ou trois ans.

Des billes de plastique protègeraient après une crise cardiaque
Lorsqu’une des artères qui mènent au cœur se bouche, les tissus cardiaques ne sont plus oxygénés correctement ce qui peut entraîner une nécrose et conduire à la crise cardiaque. Les médecins doivent alors réagir très rapidement pour déboucher les vaisseaux et réapprovisionner le cœur en oxygène. Cependant, même en cas de succès, la crise cardiaque entraîne des lésions irréversibles et fragilise le cœur.
Une nouvelle étude, publiée dans la revue Science Translational Medecine, propose une nouvelle stratégie pour éviter les complications qui suivent une crise cardiaque. Cette fois-ci, il s’agit d’injecter des microbilles de plastique pour limiter la réponse inflammatoire au niveau du cœur. Les scientifiques de l’université Northwestern dans l’Illinois (États-Unis) à l’origine de cette découverte ont observé ce phénomène par hasard alors qu’ils s’intéressaient à la réponse inflammatoire chez la souris.
L’équipe avait trouvé une solution idéale pour étiqueter et observer le déplacement des monocytes, des cellules immunitaires responsables de l’inflammation et de la dégradation des cellules après un traumatisme tissulaire. À cette époque, ils utilisaient des souris infectées par le virus du Nil occidental et leur injectaient des billes de plastiques microscopiques, environ 200 fois moins épaisses qu’un cheveu, capables de se fixer sur les monocytes. Les scientifiques pouvaient ainsi suivre le mouvement de ces cellules immunitaires de la circulation sanguine vers le cerveau où elles s’attaquent aux tissus nerveux.
Mais par erreur, un lot de billes s’est chargé négativement. C’est alors que l’impensable s’est produit : au lieu de mourir d’une inflammation cérébrale, la majorité des souris est restée vivante. « Cette découverte s’est faite complètement par accident », raconte Daniel Getts, le directeur de l’étude. En regardant plus en détail, les auteurs se sont alors rendu compte que les monocytes s’étaient accrochés aux microparticules mais qu’au lieu d’aller au cerveau ils se dirigeaient vers la rate.
Pourquoi et comment les monocytes avaient-ils changé de trajectoire ? Pour le savoir, les scientifiques ont analysé de plus près la liaison entre les microparticules et les monocytes. Ils ont alors montré que les billes étaient attachées sur un récepteur de surface particulier appelé MARCO. Ce dernier est utilisé par les monocytes pour détecter et se lier aux régions chargées négativement présentes sur les agents infectieux, les cellules mortes ou les débris cellulaires qui circulent dans le sang. Selon les chercheurs, la fixation sur MARCO serait un signal qui ordonnerait aux monocytes de se diriger vers la rate où leur cargaison est détruite.
Les chercheurs ont alors testé l’effet de ses microparticules après une crise cardiaque chez la souris. Pour cela, ils les ont injectées dans les rongeurs 12 heures après un accident cardiaque. Ils ont alors démontré que leur cœur fonctionnait mieux que celui de souris n’ayant pas reçu de traitement et que les lésions cardiaques étaient deux fois moins sévères ! Mais ce n’est pas tout. Les scientifiques ont également montré que les microparticules pouvaient limiter la progression d’autres maladies inflammatoires comme la sclérose en plaques ou les maladies chroniques de l’intestin.
Ces recherches ouvrent la voie vers le développement de nouvelles stratégies de traitement des maladies inflammatoires.
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie

Sources:
(1) http://www.lematin.ma
(2 ) http://www.leconomiste.com
(3)http://www.aujourdhui.ma
(4) http://www.maxisciences.com
(5) http://sante.lefigaro.fr
(6) http://www.futura-sciences.com
 
 
 

 

 

 

 

Bilan de la troisième campagne nationale de détection du VIH.

Le Ministère de la Santé a organisé du 20 novembre au 31 décembre 2013, en partenariat avec la société civile qui œuvre dans le domaine de lutte contre le sida, la troisième campagne nationale de détection du VIH.
Durant cette campagne, 460.867 tests de dépistage ont été réalisés gratuitement, ce qui représente 126% de l’objectif prédéfini de la campagne. Les femmes enceintes ont également bénéficié de 73,053 tests de dépistage gratuits, soit 80% de l'objectif fixé. Ces résultats constituent un bilan record par rapport à l’année précédente qui a enregistré 120.000 tests de dépistage.
Cette campagne a aboutit à la détection de 778 cas atteints du VIH, dont 50 chez les femmes enceintes.
Cette campagne s’inscrit dans le cadre de « l'initiative de traitement à l'horizon de 2015 » lancée par le Programme des Nations Unis, l’Organisation Mondiale de la Santé et le Fond Mondial, ainsi que la nouvelle initiative régionale visant à accélérer l'accès au traitement anti-rétroviral pour les personnes vivant avec le VIH.
Dans le cadre du programme national de lutte contre le SIDA, les tests de dépistage continueront après la campagne au niveau des centres dédiés à la détection du VIH qui dépendent au ministère de la santé ou aux associations qui œuvrent dans la lutte contre le sida.
Source:  Site du Ministère de la Santé

 
Novartis reçoit un avis favorable du CHMP pour Xolair®

Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) a émis un avis favorable pour l’usage du Xolair comme thérapie additionnelle dans le traitement de l’urticaire spontané chronique (CSU) chez les adultes et les adolescents âgés de plus de 12 ans qui n’ont pas de réponse adéquate au traitement par antihistaminiques H1.
La Commission européenne suit généralement les avis du CHMP et prend sa décision deux mois après l’avis de ce dernier, a rappelé Novartis.
Si le Xolair est approuvé pour cette indication, ce médicament « sera le premier et seul traitement dans l’UE pour les 50% de patients souffrant de CSU et qui ne répondent pas aux traitements aux antihistaminiques », a indiqué Tim Wright, Global Head of Development, chez Novartis Pharmaceuticals.
« La Commission européenne suit généralement les recommandations du CHMP et rend sa décision finale dans un délai de deux mois après l’avis du CHMP en général », rappelle le laboratoire

Source: Mypharma-editions
 
PROCHAINS RDV
Mercredi 29 janvier au samedi 1er Février 2014 
Événement: 11éme Biennale Monégasque de Cancérologie 
Lieu: Grimaldi Forum Monaco : (En savoir plus)
Site Web: Lien  
Programme: Lien 
Inscription:Lien 
Intervenants:Lien
Comité scientifique: Lien
Contact: Secrétariat Organisateur: PUBLI CREATIONS 74, Bd. d'Italie MC 98000 Monaco Ph.
Tél.: +377 97 97 35 55
Fax: +377 97 97 35 50
E-mail: bmc@publicreations.com 

Vendredi 7 février 2014
(8H00 à 18H00)

Événement: COLLOQUE NATIONAL - 2ÈME Édition 
Thème: "Les bactéries multirésistantes émergentes"
Présidence: Pr. François Bricaire
Organisateurs: Centre de Liaison d'Étude et de Formation (C.L.E.F) 
Lieu:  Espace Notre Dame des Champs
92, Bd du Montparnasse Paris 14

Pays:France
En savoir: lien  

1 et 2 mars 2014 
Événement: Officine Expo 2014  
Le salon de référence de la pharmacie Sud-Méditerranéenne 
Lieu:Plais des Congrès PGP
(Palmeraie Golf Palace)  

Ville:Marrakech
Pays: Maroc
Organisateur: EASYCOM
Site web: 
lien

 

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

INEGY®,       
Laboratoires: MSD
Composition: Ezétimibe et simavastatine
Indication: Hypercholestérolémie et dyslipidémie 
Formes et présentation: Boite de 28 cps dosés à 10mg d'Ezétimibe et 40 mg de simavastatine.

PPM: 460 Dh


MEZOR®, 
Laboratoires: MC PHARMA
Composition: Esoméprazole
Indication:  Inhibiteurs de la pompe à protons
Formes et présentations:

-
Boite de 28 gélules dosées à 40 mg
PPM: 216 Dhs

- Boite de 14 gélules dosées à 40 mg
PPM: 122.80 Dhs

- Boite de 7 gélules dosées à 40 mg
PPM: 69.80 Dhs

- Boite de 28 gélules dosées à 20 mg
PPM: 152.90 Dhs

- Boite de 14 gélules dosées à 20 mg
PPM: 86.90 Dhs

- Boite de 7 gélules dosées à 20 mg
PPM: 49.40 Dhs

DIAMICRON®, 
Laboratoires: SERVIER
Composition: Gliclazid 
Indication:   Diabète type 2
Formes et présentations:

-
Boite de 15 cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 25 Dhs

- Boite de 30 cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 44.70 Dhs

- Boite de 60 cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 78.70 Dhs


OEDES® 10MG,
Laboratoires: COOPER PHARMA
Composition: Oméprazole
Indication: Inhibiteur de la pompe à protons
Formes et présentations:
Boite de 28 comprimés dosés à 10Mg 
PPM:
38.40

XERIUM® 20MG,       
Laboratoires: LAPROPHAN
Composition: Paroxétine
Indication:  Antidépresseur appartenant à la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
Formes et présentations:

-
Boite de de 14 comprimés dosés à 20Mg 
PPM:
70 Dhs

-
Boite de de 28 comprimés dosés à 20Mg
PPM:123.20 Dh

Boite de de 56 comprimés dosés à 20Mg
PPM: 216.80   

FERPLEX ® 40MG,     
Laboratoires: IBERMA
Composition: Fer proteinsuccinylate (FPS)
Indication: prévention et traitement des anémies férriprives.
Formes et présentations:
Boite de 10 flacons prêt à l'emploi.
PPM:
60 Dhs

FOSTER®       
Laboratoires: PROMOPHARM
Composition: Béclométasone & formotérol
Indicatios:  Traitement continu de l'asthme
Formes et présentations:
Solution pour inhalation en flacon pressurisé
Flacon de 120 doses 100/6ug par dose
PPM:
293 Dhs

 

Outils Pharmacies.ma:
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Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
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