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Internet: quand la passion devient
addiction…... |
Le phénomène
inquiétant des "Cyber junkies"
chinois a poussé Pékin à considérer
la dépendance à Internet comme une
maladie à part entière. Si l'on
croit les chiffres officiellement
annoncés par les autorités
sanitaires de ce pays, 24 millions
de jeunes chinois seraient addicts à
Internet. Ces enfants passent, en
moyenne, plus de six heures par jour
rivés devant leur écran à jouer en
réseau.
Pour faire face à cette situation,
400 centres gérés par des militaires
ont été ouverts dans différents
cantons chinois pour essayer de
débarrasser ces enfants de leur
dépendance.
Cette prise en charge combine des
traitements médicaux, des thérapies
individuelles et familiales et un
parcour de combattant. Le coût
mensuel de cette prise en charge
avoisine 10000 yuans (1200 euros),
ce qui représente deux fois le
salaire moyen d'un chinois.
Ce problème n'est pas propre à ce
pays puisqu'une enquête menée
l'année dernière au Japon sur 100000
adolescents par un institut rattaché
au ministère de la santé, a démontré
que 8,1% d'entre eux souffriraient
d'une dépendance aux échanges de
messages, jeux ou autres activités
en ligne. Autrement dit, ils
seraient incapables d'arrêter sans y
être forcés.
"C'est un gros problème que les
jeunes sensés accumuler des
expériences en découvrant le monde,
s'enferment sur internet. Il est
indispensable de prendre des
dispositions éducatives pour
prévenir l'expansion de ce
phénomène", a commenté sur la
chaîne NHK le professeur Susumu
Higuchi, membre de l'équipe qui a
mené cette étude.
Leur voisine la Corée du Sud
appréhende à son tour les méfaits de
cette dépendance, d'autant plus que
70% des 50 millions de Sud-Coréens
possèdent un smartphone. Le ministre
de la Science Sud-Coréen, a déclaré
au mois de juin dernier “Nous
ressentons un besoin urgent
d’entreprendre un vaste effort face
au danger croissant de l’addiction
numérique (…), notamment en raison
de la popularité des téléphones
multifonctions".
Avec les ministères de la Santé et
de l’Éducation, il a demandé aux
écoles d’organiser des cours de
prévention sur l’addiction à
Internet, et des camps de vacances
pour “désintoxiquer” les écoliers
trop dépendants.
Au mois de septembre dernier, le
Bradford Regional Medical Center
(Pennsylvanie) a aussi inauguré son
programme de désintoxication à
Internet de 10 jours, pour les
volontaires qui souffrent d'une
grave addiction à la toile.
La première phase de cette cure de
"désintoxication numérique" commence
par un sevrage de 72 heures. Pendant
cette période, le patient sera
interdit de tout accès à Internet.
Le sevrage est suivi d’une série de
thérapies, de séminaires et d’autres
traitements pouvant aider les
patients à contrôler leur obsession.
Au Maroc, même si nous manquons
d'enquêtes nous permettant d'évaluer
l'ampleur de ce phénomène, on peut
dire sans risque de se tromper que
la situation n’est pas aussi
préoccupante que dans les pays
précités. Néanmoins et eu égard à
l’augmentation exponentielle du
nombre de personnes connectées dans
notre pays, des campagnes de
sensibilisation envers les parents
et leurs enfants doivent être menées
pour un usage rationnel et dépourvu
de risque d'Internet. Car on ne le
dira jamais assez « mieux vaut
prévenir que guérir ».
Abderrahim Derraji,
Docteur en pharmacie |
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Nous
nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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AMO : plus de 7,5 millions
immatriculés en 2012(1)
Selon un rapport de l’AMO, on estime
à plus de 7,5 millions le nombre
d’immatriculés à l’AMO en 2012. Ce
nombre a connu en 2012 une hausse
importante de 13%. Les taux
d’évolution diffèrent entre le
secteur public et le secteur privé.
Ainsi, la population immatriculée à
l'AMO-Public a augmenté en moyenne
de 1,7% entre 2009 et 2011, passant
de 2.628.882 à 2.719.722, puis s'est
élevée de 8,1% en 2012 atteignant
ainsi 2.940.071. S'agissant du
secteur privé, elle a atteint
4.692.348 enregistrant ainsi une
hausse de 16,2% par rapport à 2011.
Sur le plan des ressources, le
document souligne que le total des
cotisations et contributions dues à
l'ensemble des assurés AMO en 2012 a
atteint 8,11 milliards de dirhams,
dont 54% provenant du secteur
public.
Dans ce cadre, les auteurs du
rapport indiquent que cette
évolution annuelle moyenne est
beaucoup plus importante au secteur
privé puisqu'elle est de 14,5%
contre une croissance 6,3 % au
secteur public.
Les dépenses de l'AMO ont atteint
5,1 milliards de dirhams, dont 33%
destinées aux médicaments.
Le rapport indique que 28% des
dépenses inhérentes aux affections
de longue durée (ALD) sont relatives
à l'insuffisance rénale critique
terminale, 20% aux tumeurs malignes,
12% à l'hypertension artérielle (HTA),
et 12% au diabète insulinodépendant
et diabète non insulinodépendant.
D'autre part, le document note que
l'excédent cumulé s'est élevé à 17,4
MMDH, alors que la réserve de
sécurité cumulée a atteint 949,3 MDH.
Ce rapport met enfin la lumière sur
la feuille de route 2014-2018 qui
«veillera à la réussite du chantier
de la couverture médicale des
indépendants dont la population
représente à peu près le tiers de la
population marocaine».
Plus de 220.000 fraudeurs démasqués (2)
Hazim Jilali a décidé de tirer la
sonnette d’alarme à l’issue des deux
conseils d’administration de
l’Agence nationale de l’assurance
maladie (ANAM) consacrés à l’AMO et
au Ramed, tenus mercredi dernier.
En effet, le DG de l’Anam a déclaré
que « si les dysfonctionnements
persistent, le déficit des
organismes de gestion d’assurance
maladie sera inévitable ». Il a
cité notamment «l’intolérable
dérapage de 220.000 personnes qui
bénéficient à la fois du Ramed et
des soins offerts par l’AMO».
En tout cas, la tutelle ne compte
pas rester les bras croisés. «Des
mesures légales ont été prises
contre les contrevenants qui devront
rembourser les frais des prestations
dont ils ont bénéficié, conformément
à la loi relative à la couverture
médicale qui stipule que toute
fraude est passible de sanctions»,
a affirmé le ministre de la Santé.
D’autant que l’administration compte
renforcer le contrôle. En effet,
«le département de l’Intérieur,
chargé de la gestion du volet
d’identification des personnes
éligibles et l’octroi des cartes
Ramed, ne tolérera aucune
infraction», a prévenu le DG de
l’Anam. Mais cela suffira-t-il? Pour
les responsables de cette agence,
«la création d’un organisme chargé
de diriger le Ramed est nécessaire
pour freiner la transgression de la
loi». Une proposition favorablement
accueillie par le ministre de
tutelle qui reconnaît que de
nombreux dysfonctionnements
entachent ce système, notamment au
niveau de son mode de financement.
Lutte contre l’obésité: Une nouvelle
association voit le jour
Une nouvelle association vient de
voir le jour au Maroc, il s’agit de
«AVieSaine» . Cette association se
donne comme mission, la promotion du
mode de vie sain et la lutte contre
l’obésité. La prévention de la
survenue de l’obésité et la lutte
contre ses conséquences désastreuses
figurent parmi les objectifs de
cette association qui réunit des
experts dans divers domaines
(nutrition, épidémiologie,
enseignement…).
Selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP),
32,9% des Marocains sont affectés
par le surpoids (pré-obésité) et
17,9% présentent une obésité sévère
morbide qui serait responsable de
plusieurs maladies chroniques telles
que le diabète, l’hypertension
artérielle et le cancer.
L’Association «AVieSaine» a organisé
dernièrement son premier
séminaire-atelier pour définir les
grandes orientations stratégiques de
lutte contre cette problématique de
santé publique.
Faut-t-il soigner le rhume?(4)
En cette période hivernale, nombreux
sont les personnes qui, victimes
d’un rhume, vont se tourner vers des
médicaments disponibles en vente
libre dans n’importe quelle
pharmacie. seulement le magazine 60
millions de consommateurs accuse
certains de ces médicaments d'être
inefficaces voire potentiellement
dangereux.
Ces médicaments auraient plusieurs
effets secondaires et des
contre-indications qui ne seraient
pas assez pris en compte par les
consommateurs. "Un bon nombre
d'entre eux, notamment parmi les
plus vendus, n'ont pas leur place en
automédication car leurs
contre-indications et risques
d'effets indésirables sérieux sont
trop nombreux", explique le journal
dans son numéro de février 2014.
Il est vrai que les personnes qui
ont un rhume ne se posent pas tout
le temps la question de savoir si
des interactions médicamenteuses
sont à craindre, surtout avec des
médicaments jugés anodins. Et les
pharmaciens, pourtant censés se
renseigner sur les antécédents du
patient, ne posent pas souvent les
questions nécessaires pour délivrer
ce type de médicaments en toute
tranquillité. Aussi, d'après 60
millions de consommateurs, ils
devraient être soumis à une
prescription médicale.
Selon La Dépêche du midi, qui a eu
accès à l'enquête, 14 médicaments
sont à éviter. Il s’agit tout
simplement des plus vendus. Tout
d’abord ceux à base
d’antihistaminiques, qui sont
contre-indiqués dans certains
glaucomes et en cas de troubles
urinaires d'origine prostatique et
qui entraînent des risques de
somnolence (outre les risques de
troubles visuels, palpitations,
troubles de la mémoire ou de la
concentration, confusion, vertiges,
hallucinations…). D’autres produits,
parmi les best- sellers "exposent à
des risques d'AVC ou neurologiques
sévères". Quant aux médicaments
contenant de l'ibuprofène, ils sont
susceptibles de provoquer des
troubles digestifs, des ulcères à
l'estomac ou encore des troubles
dermatologiques.
Reste que ce n'est pas la première
fois qu'une mise en garde est émise
envers ces médicaments. C'est même
régulièrement le cas. Il y a deux
ans, l’ANSM (Agence nationale de
sécurité du médicament et des
produits de santé) avait signalé
"une persistance des effets
indésirables cardiovasculaires et
neurologiques, exceptionnels mais
graves". Elle avait alors appelé les
consommateurs à prêter grandement
attention aux effets indésirables
qui sont clairement mentionnés et
consultables sur le site de
l'agence.
Myopathie: Une thérapie génique
testée avec succès sur le chien (5)
La myopathie congénitale
myotubulaire, ou myopathie
centronucléaire liée à l'X, est une
maladie neuromusculaire extrêmement
rare qui ne s'exprime que chez le
garçon. Les bébés concernés
présentent dès leur venue au monde
des symptômes graves - détresse
respiratoire et faiblesse musculaire
importante - qui rendent nécessaire
la mise en place d'une assistance
ventilatoire et entraînent souvent
un décès au cours des premiers mois
de vie. Alors qu'aucun traitement ne
permet aujourd'hui de guérir cette
maladie héréditaire, une thérapie
génique mise au point par des
chercheurs français et américains a
montré des résultats très
prometteurs chez l'animal, publiés
mercredi dans la revue Science
Translational Medicine.
L'équipe française d'Anna Buj-Bello,
chercheuse au Généthon (Essonne), le
laboratoire financé par
l'Association française contre les
myopathies, est parvenue à annuler
les effets de la maladie sur des
chiens en leur injectant un vecteur
viral par voie sanguine. Le vecteur,
un virus rendu inoffensif, avait été
génétiquement modifié pour rétablir
la production d'une enzyme, la
myotubularine, qui fait défaut aux
malades. Un an et demi après avoir
reçu une dose unique de cette
thérapie génique, les chiens
respiraient et se déplaçaient
toujours normalement.
«Il s'agit de la première thérapie
gé¬nique montrant une efficacité
aussi élevée sur des grands animaux
dans le cadre d'une maladie
musculaire. C'est un encouragement à
passer à l'étape suivante, qui
consiste à tester le produit sur des
humains», explique Fulvio ¬Mavilio,
directeur scientifique du Généthon
et coauteur de l'étude. Selon lui,
ces essais pourraient avoir lieu
d'ici deux ou trois ans.
Des billes de plastique
protègeraient après une crise
cardiaque
Lorsqu’une des artères qui mènent au
cœur se bouche, les tissus
cardiaques ne sont plus oxygénés
correctement ce qui peut entraîner
une nécrose et conduire à la crise
cardiaque. Les médecins doivent
alors réagir très rapidement pour
déboucher les vaisseaux et
réapprovisionner le cœur en oxygène.
Cependant, même en cas de succès, la
crise cardiaque entraîne des lésions
irréversibles et fragilise le cœur.
Une nouvelle étude, publiée dans la
revue Science Translational Medecine,
propose une nouvelle stratégie pour
éviter les complications qui suivent
une crise cardiaque. Cette fois-ci,
il s’agit d’injecter des microbilles
de plastique pour limiter la réponse
inflammatoire au niveau du cœur. Les
scientifiques de l’université
Northwestern dans l’Illinois
(États-Unis) à l’origine de cette
découverte ont observé ce phénomène
par hasard alors qu’ils
s’intéressaient à la réponse
inflammatoire chez la souris.
L’équipe avait trouvé une solution
idéale pour étiqueter et observer le
déplacement des monocytes, des
cellules immunitaires responsables
de l’inflammation et de la
dégradation des cellules après un
traumatisme tissulaire. À cette
époque, ils utilisaient des souris
infectées par le virus du Nil
occidental et leur injectaient des
billes de plastiques microscopiques,
environ 200 fois moins épaisses
qu’un cheveu, capables de se fixer
sur les monocytes. Les scientifiques
pouvaient ainsi suivre le mouvement
de ces cellules immunitaires de la
circulation sanguine vers le cerveau
où elles s’attaquent aux tissus
nerveux.
Mais par erreur, un lot de billes
s’est chargé négativement. C’est
alors que l’impensable s’est produit
: au lieu de mourir d’une
inflammation cérébrale, la majorité
des souris est restée vivante. «
Cette découverte s’est faite
complètement par accident », raconte
Daniel Getts, le directeur de
l’étude. En regardant plus en
détail, les auteurs se sont alors
rendu compte que les monocytes
s’étaient accrochés aux
microparticules mais qu’au lieu
d’aller au cerveau ils se
dirigeaient vers la rate.
Pourquoi et comment les monocytes
avaient-ils changé de trajectoire ?
Pour le savoir, les scientifiques
ont analysé de plus près la liaison
entre les microparticules et les
monocytes. Ils ont alors montré que
les billes étaient attachées sur un
récepteur de surface particulier
appelé MARCO. Ce dernier est utilisé
par les monocytes pour détecter et
se lier aux régions chargées
négativement présentes sur les
agents infectieux, les cellules
mortes ou les débris cellulaires qui
circulent dans le sang. Selon les
chercheurs, la fixation sur MARCO
serait un signal qui ordonnerait aux
monocytes de se diriger vers la rate
où leur cargaison est détruite.
Les chercheurs ont alors testé
l’effet de ses microparticules après
une crise cardiaque chez la souris.
Pour cela, ils les ont injectées
dans les rongeurs 12 heures après un
accident cardiaque. Ils ont alors
démontré que leur cœur fonctionnait
mieux que celui de souris n’ayant
pas reçu de traitement et que les
lésions cardiaques étaient deux fois
moins sévères ! Mais ce n’est pas
tout. Les scientifiques ont
également montré que les
microparticules pouvaient limiter la
progression d’autres maladies
inflammatoires comme la sclérose en
plaques ou les maladies chroniques
de l’intestin.
Ces recherches ouvrent la voie vers
le développement de nouvelles
stratégies de traitement des
maladies inflammatoires.
Zitouni
Imounachen, docteur en pharmacie
|
Sources:
(1)
http://www.lematin.ma
(2 ) http://www.leconomiste.com
(3)http://www.aujourdhui.ma
(4) http://www.maxisciences.com
(5) http://sante.lefigaro.fr
(6)
http://www.futura-sciences.com
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Bilan
de la troisième campagne nationale
de détection du VIH. |
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Le
Ministère de la Santé a organisé du
20 novembre au 31 décembre 2013, en
partenariat avec la société civile
qui œuvre dans le domaine de lutte
contre le sida, la troisième
campagne nationale de détection du
VIH.
Durant cette campagne, 460.867 tests
de dépistage ont été réalisés
gratuitement, ce qui représente 126%
de l’objectif prédéfini de la
campagne. Les femmes enceintes ont
également bénéficié de 73,053 tests
de dépistage gratuits, soit 80% de
l'objectif fixé. Ces résultats
constituent un bilan record par
rapport à l’année précédente qui a
enregistré 120.000 tests de
dépistage.
Cette campagne a aboutit à la
détection de 778 cas atteints du
VIH, dont 50 chez les femmes
enceintes.
Cette campagne s’inscrit dans le
cadre de « l'initiative de
traitement à l'horizon de 2015 »
lancée par le Programme des Nations
Unis, l’Organisation Mondiale de la
Santé et le Fond Mondial, ainsi que
la nouvelle initiative régionale
visant à accélérer l'accès au
traitement anti-rétroviral pour les
personnes vivant avec le VIH.
Dans le cadre du programme national
de lutte contre le SIDA, les tests
de dépistage continueront après la
campagne au niveau des centres
dédiés à la détection du VIH qui
dépendent au ministère de la santé
ou aux associations qui œuvrent dans
la lutte contre le sida.
Source: Site du Ministère
de la Santé |
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Novartis reçoit un avis favorable du
CHMP pour Xolair® |
Le Comité des médicaments à usage
humain (CHMP) a émis un avis
favorable pour l’usage du Xolair
comme thérapie additionnelle dans le
traitement de l’urticaire spontané
chronique (CSU) chez les adultes et
les adolescents âgés de plus de 12
ans qui n’ont pas de réponse
adéquate au traitement par
antihistaminiques H1.
La Commission européenne suit
généralement les avis du CHMP et
prend sa décision deux mois après
l’avis de ce dernier, a rappelé
Novartis.
Si le Xolair est approuvé pour cette
indication, ce médicament « sera le
premier et seul traitement dans l’UE
pour les 50% de patients souffrant
de CSU et qui ne répondent pas aux
traitements aux antihistaminiques »,
a indiqué Tim Wright, Global Head of
Development, chez Novartis
Pharmaceuticals.
« La Commission européenne suit
généralement les recommandations du
CHMP et rend sa décision finale dans
un délai de deux mois après l’avis
du CHMP en général », rappelle le
laboratoire |
Source:
Mypharma-editions |
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PROCHAINS RDV |
Mercredi 29 janvier
au samedi 1er Février 2014
Événement: 11éme
Biennale Monégasque de Cancérologie
Lieu: Grimaldi
Forum Monaco : (En
savoir plus)
Site Web: Lien
Programme: Lien
Inscription:Lien
Intervenants:Lien
Comité scientifique: Lien
Contact: Secrétariat
Organisateur: PUBLI
CREATIONS 74, Bd. d'Italie MC 98000
Monaco Ph.
Tél.: +377 97 97 35 55
Fax: +377 97 97 35 50
E-mail: bmc@publicreations.com
Vendredi 7 février
2014
(8H00 à 18H00)
Événement: COLLOQUE
NATIONAL - 2ÈME Édition
Thème: "Les
bactéries multirésistantes
émergentes"
Présidence: Pr.
François Bricaire
Organisateurs: Centre
de Liaison d'Étude et de Formation (C.L.E.F)
Lieu: Espace Notre
Dame des Champs
92, Bd du Montparnasse Paris 14
Pays:France
En savoir: lien
1 et 2 mars 2014
Événement: Officine
Expo 2014
Le salon de référence
de la pharmacie Sud-Méditerranéenne
Lieu:Plais des
Congrès PGP
(Palmeraie Golf Palace)
Ville:Marrakech
Pays: Maroc
Organisateur: EASYCOM
Site web: lien |
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Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma.
INEGY®,
Laboratoires: MSD
Composition:
Ezétimibe et simavastatine
Indication: Hypercholestérolémie
et dyslipidémie
Formes et présentation:
Boite de 28 cps dosés à 10mg d'Ezétimibe et 40
mg de simavastatine.
PPM: 460 Dh
MEZOR®,
Laboratoires: MC PHARMA
Composition: Esoméprazole
Indication:
Inhibiteurs de la pompe à protons
Formes et présentations:
-
Boite de 28
gélules dosées à 40 mg
PPM: 216 Dhs
- Boite de 14 gélules dosées à 40 mg
PPM: 122.80 Dhs
- Boite de 7 gélules dosées à 40 mg
PPM: 69.80 Dhs
-
Boite de 28
gélules dosées à 20 mg
PPM: 152.90 Dhs
- Boite de 14 gélules dosées à 20 mg
PPM: 86.90 Dhs
- Boite de 7 gélules dosées à 20 mg
PPM: 49.40 Dhs
DIAMICRON®,
Laboratoires: SERVIER
Composition: Gliclazid
Indication: Diabète
type 2
Formes et présentations:
-
Boite de 15
cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 25 Dhs
-
Boite de 30
cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 44.70 Dhs
-
Boite de 60
cps à LM dosés à 60 mg
PPM: 78.70 Dhs
OEDES®
10MG,
Laboratoires: COOPER PHARMA
Composition:
Oméprazole
Indication: Inhibiteur de la
pompe à protons
Formes et présentations:
Boite de 28 comprimés dosés à
10Mg
PPM:
38.40
XERIUM®
20MG,
Laboratoires: LAPROPHAN
Composition:
Paroxétine
Indication:
Antidépresseur appartenant à la classe des
inhibiteurs sélectifs de la recapture de la
sérotonine
Formes et présentations:
-
Boite de
de 14 comprimés dosés à 20Mg
PPM: 70 Dhs
-
Boite de
de 28 comprimés dosés à 20Mg
PPM:123.20 Dh
Boite de
de 56 comprimés dosés à 20Mg
PPM: 216.80
FERPLEX
®
40MG,
Laboratoires: IBERMA
Composition:
Fer proteinsuccinylate (FPS)
Indication:
prévention et
traitement des anémies férriprives.
Formes et présentations:
Boite de
10 flacons prêt à l'emploi.
PPM:
60 Dhs
FOSTER®
Laboratoires: PROMOPHARM
Composition: Béclométasone
&
formotérol
Indicatios: Traitement
continu de l'asthme
Formes et présentations:
Solution pour inhalation en flacon pressurisé
Flacon de
120 doses 100/6ug par dose
PPM: 293 Dhs
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Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
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