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Obésité infantile
: l’épidémie qui ne dit pas son nom
En cette période estivale, tout le monde a pu
constater que le nombre d’enfants en surpoids se
dandinant sur nos plages est en nette
augmentation. Les enfants maigrichons et
filiformes, mais très actifs, que nous étions
jadis, ont laissé place à des enfants ronds,
grassouillets et parfois obèses ayant toutes les
difficultés à soutenir un petit effort sans
s’essouffler. Ce nouveau phénomène qui
s’installe doucement mais sûrement dans notre
société porte bien un nom: le surpoids et
l’obésité infantile.
L’OMS considère l’obésité des enfants comme l’un
des plus grands défis pour la santé publique au
21ème siècle. Il s’agit d’un problème mondial
qui affecte la plupart des pays et
particulièrement les pays à revenu faible et
intermédiaire. Le milieu urbain est davantage
touché que le milieu rural et la prévalence
s’est accrue à un rythme alarmant. On estimait
le nombre d’enfants en surpoids dans le monde en
2010, à plus de 42 millions. Près de 35 millions
de ces enfants vivent dans des pays en
développement.
Le Maroc n’échappe pas à cette tendance et on
estime que 3% des enfants souffrent d’obésité.
Ce pourcentage passe à 10% si on y inclut les
enfants souffrant de surpoids.
Les causes de cette nouvelle épidémie sont
multiples. En plus des facteurs génétiques et de
certaines pathologies, deux facteurs
environnementaux sont clairement incriminés: La
sédentarité et la mauvaise alimentation. Comme
beaucoup de pays en voie de développement, le
Maroc a subi de profonds changements des
comportements alimentaires, en relation avec les
évolutions du niveau de vie, des activités et
des conditions de résidence. Les enfants
marocains mangent de plus en plus gras, de plus
en plus sucré et font de moins en moins
d’activités physiques. Les longues heures
passées à regarder la télévision ou à jouer aux
jeux vidéo, et la consommation excessive de
sodas, de sandwichs, de pizzas, de chocolat (…)
sont autant de facteurs majeurs expliquant les
chiffres alarmants de l’obésité infantile dans
notre pays.
Les
répercussions néfastes de ce fléau sont
multiples.
Au niveau sanitaire, les enfants en surpoids et
obèses risquent de rester obèses une fois
adultes et sont plus susceptibles de contracter
des maladies non transmissibles telles que le
diabète, les maladies cardiovasculaires,
certains cancers, ….etc. De plus, l’impact
psychologique préjudiciable de cette pathologie
n’est pas à négliger, car l’enfant obèse va se
réfugier dans la solitude et se couper de son
milieu, ce qui va aggraver son état.
Au niveau économique, les complications
sanitaires engendrées par l’obésité infantile
auront un coût exorbitant pour la société. Et si
on ne réussit pas à inverser la tendance
actuelle de cette évolution, c’est tout
l’équilibre financier de nos caisses d’assurance
maladie que nous mettons en péril.
Le surpoids et l’obésité, ainsi que les maladies
qui leur sont liées, sont en grande partie
évitables. Pour enrayer cette épidémie, il faut,
donc, faire de la prévention notre cheval de
bataille. Il faut inciter nos enfants à
consommer davantage de fruits et de légumes, à
limiter leurs apports énergétiques provenant de
la consommation des graisses et des sucreries,
et à avoir une activité physique modérée à
intense, d’au moins 60 minutes par jour.
Ces actions individuelles nécessaires certes, ne
sont malheureusement pas suffisantes. Car, il
faut en plus, un engagement politique soutenu et
la collaboration de tous intervenants aussi bien
publics que privés dans le but d’inciter les
citoyens à adopter un mode de vie plus sain.
Parmi les mesures adoptées dans d’autres pays
pour lutter contre l’obésité infantile, on peut
citer, en plus des campagnes de sensibilisation,
l’augmentation de la taxation sur les boissons
sucrés et les aliments gras favorisant
l’obésité, l’affichage clair et simple sur les
emballages alimentaires (signalétique feu vert,
orange ou rouge en fonction de la qualité
alimentaire du produit) et la limitation de la
publicité pour les aliments gras et sucrés et
les boissons sucrées.
Enfin, si le
sort de notre progéniture ne préoccupe guère nos
décideurs, qu’ils fassent, au moins, preuve de
pragmatisme. En effet, les enfants d’aujourd’hui
feront le Maroc de demain, et pour que ceux-ci
puissent veiller sur nous demain et nous
permettre de vivre notre vieillesse dans la
sérénité, nous devons veiller sur leur santé
aujourd’hui.
Zitouni Imounachen, Docteur en Pharmacie
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Nous
nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
Union Européenne-Maroc : 110
millions d’euros pour la couverture
médicale et les petits agriculteurs
(1)
Le jeudi 29 août, la Commission
européenne a annoncé qu’elle vient
de donner le coup d’envoi de la
première partie de son programme
d'action 2013 en faveur du Maroc.
« Ce programme, d'un montant total
de 110 millions d'euros, traduit
l’engagement de l’Union européenne
(UE) en faveur du développement
économique et social au Maroc »
souligne la Commission dans un
communiqué.
Le programme vise à soutenir, d’une
part, l'établissement d’un système
de couverture médicale universelle
et, d’autre part, la politique de
développement agricole en faveur de
la petite agriculture paysanne et
familiale.
Selon la commission européenne, ce
programme, d’un montant de 50
millions d’euros, visera à soutenir
les efforts du gouvernement pour
traduire dans les faits le principe
d’accès universel aux soins de santé
consacré par la réforme
constitutionnelle de 2011.
Son objectif sera d’accompagner le
pays vers la généralisation du Ramed
(régime d’assistance médicale des
économiquement démunis) et
l'intégration dans l’AMO des
populations éligibles mais assurées
par d’autres biais. Le but consiste
aussi à généraliser la couverture
médicale de base afin que l’ensemble
des Marocains en bénéficient.
Le programme d’action de la
commission contient aussi un
programme d’appui à la politique
sectorielle agricole (phase 2), d’un
montant de 60 millions d’euros,
s’inscrit dans le sillage d’un appui
précédent de l’UE.
Les fonds européens vos permettre
d’encourager la politique
sectorielle en faveur des petits
producteurs : accroître la
productivité, créer des emplois,
améliorer les capacités de
transformation, de valorisation et
de commercialisation et augmenter
les revenus du monde agricole.
Les migraines abîment le cerveau (2)
Une analyse, menée par une équipe de
l’université de Copenhague, portant
sur 19 études chez des patients
migraineux, et dont les résultats
ont été publiés dans la revue
médicale Neurology, a montré que la
migraine est corrélée à un risque
accru de lésion cérébrale,
d’anomalie de la matière blanche et
d'une modification du volume du
cerveau.
Les personnes souffrant de migraine
avec aura (c'est-à-dire accompagnée
de troubles sensorio-visuels) sont
les plus concernées par ces
altérations. Les résultats ont
montré chez elles une augmentation
de 68 % des lésions de la substance
blanche (versus 34% chez celles qui
ont des migraines sans aura). La
substance blanche du cerveau
participerait à l'apprentissage et
serait même impliquée dans diverses
maladies mentales. Cependant, à ce
stade, rien ne permet encore
d’affirmer que ces altérations du
cerveau ont des conséquences.
Dans un contexte où d'autres études
ont commencé à montrer que les
migraineux seraient plus à risque
d’être victime d’un accident
vasculaire cérébral (AVC), les
auteurs recommandent de faire passer
des examens du cerveau aux personnes
ayant souffert de migraines avec ou
sans aura.
Drogues : bilan mondial (3)
Une première étude mondiale sur les
drogues les plus consommées dans le
monde, a révélé que si la marijuana
est la drogue la plus consommée dans
le monde, ce sont les analgésiques
comme l'Oxycontin, la codéine et le
Vicodin qui tuent le plus de gens.
En plus du cannabis et des
analgésiques opioïdes, les
scientifiques ont aussi examiné la
consommation de cocaïne et
d'amphétamines en 2010, en se basant
largement sur des études
antérieures. L'ecstasy et les
drogues hallucinogènes n'ont pas été
considérés en raison du manque de
données à leur sujet.
Les chercheurs ont découvert que
pour toutes les substances étudiées,
ce sont les hommes dans la vingtaine
qui ont le taux de consommation le
plus élevé. Les pays les plus
durement touchés par la toxicomanie
sont l'Australie, la
Grande-Bretagne, la Russie et les
États-Unis.
Selon Theo Vos, auteur principal de
l'étude et chercheur pour l'institut
de métrologie et d'évaluation de la
santé de l'Université de Washington,
a expliqué que les gens avaient
tendance à consommer les drogues et
les médicaments produits près de
chez eux : la cocaïne en Amérique du
Nord, les amphétamines et les
opioïdes en Asie et en Australie.
L'Asie et l'Afrique présentent les
taux de consommation les plus bas.
Sur les quelque 78 000 décès liés à
la toxicomanie en 2010, plus de la
moitié ont été causés par des
analgésiques.
D'après le professeur Vos, les pays
disposant des lois les plus strictes
contre la consommation de drogues
ont aussi les pires taux de
mortalité pour les toxicomanes,
comparativement aux pays qui
privilégient d'autres approches
comme les programmes d'échange de
seringues et les cliniques de
méthadone.
Le fer de la viande rouge
pourrait-il favoriser la maladie
d’Alzheimer ? (4)
La maladie d’Alzheimer est associée
à l’accumulation de deux protéines
dans et entre les neurones : les
bêta-amyloïdes et la protéine Tau.
Sont-elles la cause ou la
conséquence de la démence ? Le
mystère n’est pas vraiment résolu.
Si des gènes augmentent les risques
ou, au contraire, protègent de ce
trouble neurologique, le rôle de
l’environnement reste encore peu
clair. Pourtant, des chercheurs
états-uniens de l’université de
Californie à Los Angeles (UCLA)
suspectent notamment l’alimentation
d’être l’une des causes facilitant
le développement de la maladie
d’Alzheimer. Car le fer, contenu en
grande quantité dans certains
aliments (la viande rouge en tête),
pourrait contribuer au développement
de la maladie. C’est du moins ce que
suggère leur recherche, publiée dans
le Journal of Alzheimer’s Disease.
En tout, 99 personnes âgées ont été
mises à contribution. En tout, 31
présentaient la démence, tandis que
les 68 restantes, du même âge,
faisaient office de contrôle. Toutes
ont eu à passer une IRM
sophistiquée, combinant des champs
magnétiques faibles et forts, afin
de détecter la présence de ferritine,
protéine chargée de transporter le
fer, dans deux régions du cerveau.
La première (l’hippocampe) joue un
rôle clé dans la mémoire et dégénère
très vite dans la maladie
d’Alzheimer. La seconde (le
thalamus) est affectée par la
pathologie seulement dans ses phases
terminales.
Les résultats montrent que le fer
s’est accumulé uniquement dans
l’hippocampe des malades, et qu’en
plus sa présence est associée à des
dommages tissulaires dans les
régions concernées. Aucune
observation de ce type n’a été
retrouvée chez les seniors en bonne
santé ni dans aucun thalamus. Les
auteurs soulignent donc le rôle que
pourrait jouer le métal dans
l’occurrence de la démence.
L’hypothèse de George Bartzokis,
l’un des auteurs de ce travail, est
la suivante. D’abord, la
neurodégénérescence se caractérise
par la perte progressive de la gaine
de myéline autour des neurones. Ce
tissu gras, qui entoure les axones
des neurones, joue le rôle d’isolant
et permet au message nerveux de
mieux circuler. Lorsqu’il est abîmé,
la communication est altérée, et
peuvent alors se former les plaques
séniles riches en bêta-amyloïdes.
Celles-ci contribuent à détruire
davantage de myéline, ce qui
détériore encore la qualité du
message.
Tout partirait donc de la myéline.
Celle-ci est synthétisée par des
cellules cérébrales appelées
oligodendrocytes. Or, ce sont ces
cellules qui présentent les taux les
plus élevés en fer, et qui
pourraient donc être les premières à
succomber du fait de l'excédent.
Parmi les pistes envisagées par les
auteurs : la consommation de viande
rouge, puisqu’elle doit sa couleur à
la présence du métal lié à
l’oxygène. La prise de compléments
alimentaires riches en fer ou une
hystérectomie (ablation de l’utérus)
pratiquée avant la ménopause
pourraient également y contribuer.
Le syndrome du décalage horaire dû à
une protéine (5)
En étudiant les petits rongeurs, des
chercheurs de l'université d'Oxford
(Royaume-Uni) ont trouvé l'origine
des troubles liés au décalage
horaire, dans une molécule qui,
ayant pour fonction d'assurer la
stabilité de notre horloge
biologique, empêcherait notre corps
de comprendre quand arrivent le jour
et la nuit.
"Nous avons identifié un système qui
empêche activement l'horloge
biologique de se réadapter",
explique Stuart Peirson, co-auteur
de l'étude. "Quand on y pense, il
est logique d'avoir un mécanisme
tampon qui assure la stabilité de
cette horloge, afin que notre corps
reçoive des signaux stables (...)
Mais ce même système ralentit notre
capacité à nous adapter à un nouveau
fuseau horaire", détaille-t-il, sur
le site de la Wellcome Trust (en
anglais), fondation qui a en partie
financé l'étude.
L'expérience, réalisée sur des
souris et publiée dans la revue
scientifique Cell, montre
l'existence de "freins
moléculaires", causés par une
protéine, qui empêche les gênes de
s'activer pour répondre à la
lumière. D'où la sensation de
jet-lag. "Séparer" ces freins a
permis aux rongeurs de s'adapter
rapidement. Ces résultats donnent
aux chercheurs l'espoir de trouver
un traitement pour le syndrome du
décalage horaire.
Zitouni
Imounachen, Docteur en pharmacie
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Sources:
(1) PAM
(2)
sciencesetavenir.nouvelobs.com
(3) www.radio-canada.ca
(4) www.futura-sciences.com
(5)
www.francetvinfo.fr
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Sony vers
un service de séquençage du génome
humain
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Selon le journal
japonais Nukkei de mercredi dernier,
le géant japonais de l'électronique
Sony, proposera bientôt un service
d'analyse du génome humain.
Pour ce faire, il va s'allier avec
l'entreprise américaine Illumina.
M3, son service d'informations en
ligne dédié au corps médical fera
également partie du groupe. Ce
partenariat aura pour mission de
faire des analyses de génome pour
des laboratoires pharmaceutiques et
des instituts de recherche en
employant les appareils derniers cri
d'Illumina. Durant la première année
de séquençage du génome humain, Sony
compte faire des études et des
collectes de données sur les gènes
de 1000 personnes.
Via l'information génétique, on
pourra déterminer à l'avance divers
problèmes de santé, accroître
l'efficacité des médicaments donnés
aux malades et en réduire les effets
secondaires. Selon les
scientifiques, avec ce procédé, il
serait plus facile de créer des
traitements adaptés aux
caractéristiques génomiques d'un
patient.
Pour information, le marché de
l'analyse génomique est encore en
pleine croissance même si les firmes
comme Takara Bio ou Mitsui Knowledge
proposent déjà un service identique
au Japon. Avec une grande nécessité
de maitrise des traitements
informatiques, il se pourrait
également que les géants mondiaux
des technologies de l'information
tels que Google ou Amazon.com s'y
intéressent.
Source:
techno-science.net
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Formations |
Certificat Universitaire de Médecine
de la Famille
New
Affiche
Dépliant
Diplôme de médecine et de
réanimation néonatale
New
Affiche
Dépliant
Diplôme
Inter-universitaire
de vaccinologie - Marrakech
Année 2013-2014
En savoir plus: Lien
Diplôme Universitaire
de Vaccinologie / La Faculté de
Médecine et de Pharmacie de Rabat
Pour en savoir plus: lien
Diplôme
d’Université Supérieur de Pharmacie
Clinique
Appel à candidatures pour l’année
universitaire 2013-2014
Pour en savoir plus: lien
Diplôme d’Études Supérieures
d’Université de Pharmaco
épidémiologie & Pharmaco économie : 2013
-2014
Appel à candidature pour l'année
2013-2014: Lien
Fiche de pre-inscription: Lien |
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PREMIER CONGRÈS
AFRICAIN
DE PHARMACOVIGILANCE
AU MAROC
La société marocaine de
Pharmacovigilance et la société
Africaine de Pharmacovigilance
organisent
le premier Congrès Africain de de
pharmacovigilance les 12 & 13
DÉCEMBRE 2013 à Rabat (Maroc)
sous le thème:
“ L’INTÉRÊT DES PARTENARIATS
POUR UNE PHARMACOVIGILANCE
EFFICIENTE EN AFRIQUE”
DATE LIMITE DE SOUMISSION DES
ABSTRACTS: 30 OCTOBRE 2013
CONTACT:
raja.benkirane@gmail.com
EN SAVOIR
PLUS: LIEN
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Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma.
ZŒGAS®
Laboratoires:
Gynebio Pharma SA et Cooper Pharma
Composition:
Esomeprazole
Indication: Inhibiteur de la pompe à protons de
2ème génération
Formes et présentation:
ZŒGAS®
20mg
Boite
de 7 gélules
PPM: 49,40 Dhs
ZŒGAS®
20mg
Boite
de 14 gélules
PPM: 86,90 Dhs
ZŒGAS®
20mg
Boite
de 28 gélules
PPM: 152,90 Dhs
ZŒGAS®
40mg
Boite
de 7 gélules
PPM: 69,80 Dhs
ZŒGAS®
40mg
Boite
de 14 gélules
PPM: 122,80 Dhs
ZŒGAS®
40mg
Boite
de 28 gélules
PPM: 216,00 Dhs
S-CITAP®
Laboratoires:
PHI
Composition:
escitalopram
Indication:
Antidépresseur inhibiteur sélectif de la
recapture de la sérotonine (5-ht).
Formes et présentations:
S-CITAP 5 mg
Boite de 20 comprimés
PPM: 60,90 Dhs
S-CITAP 10 mg
Boite de 20 comprimés
PPM: 103,20 Dhs
S-CITAP 10 mg
Boite de 60 comprimés
PPM: 271,60 Dhs
BELARA®
Laboratoires:
BOTTU
Composition:
2 mg Acétate de chlormadinone
et 30 μG l'éthinyl-estradiol
Indication:
contraception
Forme et présentation:
Boite de 21 comprimés.
DESTEC®
Laboratoires:
POLYMEDIC
Compositions:
Desloratadine
Propriété:Antihistaminique
H1
Formes et présentations:
Boite de 7 comprimés
PPM: 22.00 Dhs
Boite de 14 comprimés
PPM: 44.80 Dhs
Boite de 30 comprimés
PPM: 79.90 Dhs
QLAIRA®
Laboratoires:
BAYER
Propriété:
Contraception orale
Traitement des saignements menstruels abondants
chez les femmes sans pathologie organique
désirant une contraception orale.
Composition:
Valérate d'estradiol et diénogest
Forme et présentation:
Boite de 28 cps
PPM: 153.30 Dh
ASKARDIL®
75mg
Laboratoires:
LAPROPHAN
Propriété:
Antithrombique inhibiteur de l'agrégation
plaquettaire
Forme et présentation:
Boite de 30 cps
ASKARDIL®
160mg
Laboratoires:
LAPROPHAN
Propriété:
Antithrombique inhibiteur de l'agrégation
plaquettaire
Forme et présentation:
Boite de 30 cps
S-CORT®
20 Mg
Laboratoires: MC PHARMA
Composition: Prednisolone
Propriété:
Gluco-corticostéroïde
Forme et présentation:
Boite de 20 cps
PPM: 34,70 Dh
|
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Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre... |
Pour vous permettre de gagner un
temps précieux, notre équipe a développé
en partenariat avec les
LABORATOIRES LAPROPHAN plus
d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les
différents outils.
Vos remarques et vos suggestions
seront les bienvenues. |
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