Rupture de stock en médicaments : l’intérêt du patient avant tout…

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Numéro: 200

12 Août 2013  

12359   destinataires

 

Rupture de stock en médicaments : l’intérêt du patient avant tout…
Dans un point d’information daté du 9 août 2013(1), l’Agence Nationale de Sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM-France) a déclaré que des mesures ont été prises pour remédier aux problèmes d’approvisionnement des patients en LÉVOTHYROX®. Ce médicament à base de lévothyroxine, permet à près de 3 millions de patients français souffrant dans leur majorité d’hypothyroïdies, de normaliser leur taux en hormones thyroïdiennes.
En effet, depuis que cette agence a été informée par le laboratoire Merck Serono des difficultés d’approvisionnement affectant plusieurs dosages de sa spécialité LÉVOTHYROX®, l'ANSM a pris des mesures pour minimiser l’impact de cette pénurie.
D’une part, la distribution des stocks disponibles a été contingentée afin d’assurer une répartition équitable sur tout le territoire français. D’autre part, et à titre dérogatoire et temporaire, l’ANSM autorise les pharmaciens à délivrer un générique à la place du LÉVOTHYROX®, y compris lorsque la mention «Non substituable» figure sur l’ordonnance. Le pharmacien doit néanmoins, informer le médecin traitant pour parer à d’éventuelles fluctuations du taux des hormones thyroïdiennes qui pourrait être conséquentes à cette substitution.
En parallèle à ces deux initiatives, d’autres mesures ont été prises pour permettre aux patients de s’approvisionner, à titre gracieux, de médicaments à base de lévothyroxine, notamment en puisant dans les stocks des pharmacies hospitalières et dans un stock d’une spécialité importée spécialement par Merck Serono d’Italie.
En prenant de telles mesures, l’ANSM a pris à bras le corps une problématique qui touche de plus en plus de pays. Les origines de ce genre de pénuries sont multiples(2) et tous les stades de la Supply chain (Chaîne de fourniture du médicament) de la prévision de la consommation à la dispensation aux patients peuvent êtres concernés.
Ce problème qui devrait interpeller tous les intervenants du secteur de la santé au Maroc, a été débattu le mardi 18 décembre 2012 à Casablanca lors d’une table ronde organisée par le conseil de l’Ordre des Pharmaciens Fabricants et Répartiteurs qui s’est déroulée en présence des responsables de la Direction du Médicament et de la Pharmacie.
Malgré la promulgation de textes juridiques (3) dans le but de garantir un approvisionnement optimal en médicaments au Maroc, sur le terrain on ne peut que déplorer certaines ruptures récurrentes obligeant le patient à faire le tour de toutes les pharmacies en espérant y trouver un médicament dont il ne peut s’en passer. Pire, le pharmacien comme le médecin sont dans l’incapacité d’informer les patients sur l’imminence d’une rupture de stock d’un médicament et encore moins sur la date prévue pour sa mise à nouveau sur le marché.
Le cas de la rupture de stock du LEVOTHYROX® en France et l’implication effective de l’ANSM pour venir en aide aux patients devrait nous inciter à mener une profonde réflexion pour optimiser le contrôle des stocks de médicaments et particulièrement ceux ne disposant pas d’alternatives thérapeutiques. La publication de listing de médicaments en rupture de stock ou retirés du marché par la direction du médicament et de la pharmacie, devrait permettre aux professionnels de la santé de prendre les mesures nécessaires pour mettre nos malades à l’abri de ce dysfonctionnement pouvant, parfois, mettre leur vie en danger.
 
Abderrahim Derraji, Docteur en Pharmacie

(1) Point d’information de l’ANSM du 8 août 2013 (www.ansm.sante.fr)
(2) ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE : Compte rendu de la séance thématique « Médicaments : Ruptures de stocks, ruptures d’approvisionnement »- Mercredi 20 mars 2013
(3) Loi 17-04, Arrêté n°263-02 du 12 juin 2002, loi n° 009-971 du 12 octobre 1971 et Circulaire n° 140DMP/00 du 11 septembre 2012

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Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.
    
Le soja, une arme anti-VIH ?   (1)
La génistéine, isoflavone connue pour ses propriétés pseudo-œstrogéniques, interagit avec les récepteurs œstrogéniques afin de mimer les effets ou une partie des effets engendrés par les hormones œstrogènes naturellement produites par le corps humain. Utilisée pour soulager l’athérosclérose, la génistéine permet de moduler les inflammations vasculaires en interagissant avec les leucocytes. Cette isoflavone aurait aussi la particularité d’être un inhibiteur de la tyrosine kinase, enzyme qui intervient dans le transfert de phosphate à l’intérieur de la cellule.
Sachant que le VIH pour pénétrer dans une cellule utilise certaines capteurs de surface, Yuntao Wu et ses collaborateurs de l'Université George Mason en Virginie, ont mené une étude dont les résultats ont été publiés dans la dernière édition de la revue RETROVIROLOGY . L’étude a été réalisée sur des singes dans le but de découvrir si la génistéine pouvait avoir un impact sur l’évolution de l’infection au virus du sida.
Après 12 semaines de traitement, les chercheurs ont constaté que l’isoflavone inhibait le processus de communication du VIH avec les lymphocytes TCD4, empêchant ainsi l’infection des cellules du système immunitaire. Par ailleurs, ils ont aussi montré que la prise régulière de génistéine n’entrainait aucun effet indésirable grave.
Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques dans la lutte contre le sida. Toutefois, l’équipe de Yuntao Wu estime que d’autres travaux sont nécessaires pour vérifier l’efficacité de ce composé végétal sur le VIH.
  
Un nouvel espoir de vaccin contre le paludisme  (2)
Le projet de vaccin d'une équipe américaine, qui présente ses résultats dans Science, apporte un nouvel espoir dans la lutte contre le paludisme, bien que ces travaux en soient encore à un stade très préliminaire.
Le vaccin mis au point par le laboratoire privé SANARIA, basé dans le Maryland aux États-Unis, a été testé sur une quarantaine de personnes. Les résultats témoignent d'une efficacité inédite contre le parasite. Six personnes, qui avaient reçu les plus fortes doses testées dans le cadre de ces essais (cinq injections), ont été protégées à 100 % contre le parasite. Ce taux retombait aux deux tiers lorsque les patients ne recevaient que quatre doses. À titre de comparaison, parmi les 12 personnes non vaccinées qui ont été exposées aux moustiques dans les mêmes conditions, onze ont contracté la maladie.
Malgré ces résultats encourageants, les experts rappellent que la route est encore longue avant de pouvoir proposer ce vaccin à grande échelle. D'une part, l'échantillon humain sur lequel le vaccin a été testé est insuffisant pour en déduire qu'il serait aussi efficace sur un plus grand nombre de personnes. D'autre part, les tests actuels ne permettent pas de dire combien de temps durerait la protection contre le parasite. Enfin et surtout, ce vaccin reste pour l'instant peu maniable à grande échelle. D'abord parce qu'il doit être conservé dans l'azote liquide. Ensuite parce qu'il doit être injecté directement dans la circulation sanguine, par voie intraveineuse, et non pas par voie cutanée traditionnelle, sous peine d'inefficacité. Cette contrainte introduit un nouveau risque, celui de contaminer le patient avec d'autres germes si les règles d'asepsie ne sont pas bien respectées. Sachant que la population menacée par le paludisme vit essentiellement dans des pays en développement, il paraît impossible de l'employer tel quel pour des campagnes de vaccination de masse.

   

Le manque de sommeil renforce l'envie de manger (3)
Plusieurs études ont, par le passé, permis de remarquer que les personnes qui ne dormaient pas assez avaient tendance à se nourrir davantage. D'autres recherches étaient même allées plus loin en mettant en avant un lien entre la diminution de la durée du sommeil et l'augmentation rapide de l'obésité dans les pays industrialisés (11% de la population en 2008).
Toutefois, ce lien restait jusqu'ici relativement flou et les chercheurs en ignoraient l'origine. Une étude publiée dans la revue scientifique Nature Communications vient aujourd'hui répondre aux questions en montrant que le manque de sommeil est capable de provoquer des changements non négligeables dans l'activité du cerveau. Pour en arriver là, les chercheurs de l'Université de Californie à Berkeley ont suivi 23 personnes jeunes et en bonne santé pendant quelques jours. Plus précisément, ils ont observé le cerveau des sujets à l'aide d'IRM après une nuit de sommeil normale, et après une nuit passée sans dormir. Ils ont ainsi montré que privés de sommeil, les participants montraient des perturbations dans des régions bien particulières du cerveau : celles gérant les signaux liés au goût et à l'odeur, évaluant la satiété et celles associées aux envies irrésistibles. Les centres cérébraux répondant à la récompense étaient davantage stimulés de même que l'amygdale qui gère la motivation à manger. Des aliments riches plus désirables "Nous avons fait une autre découverte intéressante, c'est que les aliments les plus caloriques étaient particulièrement recherchés par les personnes privées de sommeil", ajoute Matthew Walker, l'un des coauteurs de l'étude. Selon Stephanie Greer, autre membre de l'équipe de recherche, si le corps reste éveillé, il a bien entendu besoin de plus d'énergie. Mais la nourriture riche en calories qui devient plus désirable après une nuit blanche fait bien plus que combler ces besoins supplémentaires. Ce changement d'envie dans la nourriture en cas de manque de sommeil pourrait avoir été au départ une adaptation importante pour l'organisme. Mais il serait mal adapté à notre mode de vie actuel.
"Toutes ces découvertes peuvent potentiellement expliquer le lien entre le manque de sommeil, le gain de poids et l'obésité", a déclaré Matthew Walker cité par l'AFP. Néanmoins, le mécanisme exact de cette modification reste encore un peu flou et nécessitera davantage de recherches pour être mieux compris.
  
L'acide hyaluronique peu efficace pour soigner l’arthrose du genou (4)
Chez les patients souffrant d’arthrose du genou, ou gonarthrose, la prise en charge de la douleur repose sur des traitements antalgiques. Les médecins prescrivent souvent des injections intra-articulaires d’acide hyaluronique, car il protégerait les articulations en augmentant la viscosité du liquide synovial et en rendant le cartilage plus élastique. Cependant, selon une analyse de la littérature scientifique réalisée par la revue Prescrire, ce traitement ne serait pas très efficace et aurait des effets secondaires parfois graves.
Dans cette étude, les auteurs ont comparé une absence de prise en charge thérapeutique à des traitements par placebo ou par acide hyaluronique chez environ 12.500 patients, souffrant de douleurs articulaires du genou. Leurs résultats montrent que l’effet antalgique des injections est faible et que le traitement est peu efficace contre cette pathologie. Les résultats sont les mêmes quels que soient la durée du suivi, le nombre d’injections ou le type de substance injectée. Une analyse précédente du même genre était arrivée à des conclusions similaires, ce qui appuie les résultats obtenus par cette étude.
D’autre part, des réactions locales à la suite des injections intra-articulaires, comme une douleur prolongée ou un épanchement dans le genou, ont été rapportées. Dans plus de huit essais, les auteurs ont notifié des pertes d’autonomie, des hospitalisations ou d’autres événements médicaux graves au cours d’un traitement par injection d’acide hyaluronique.
  
Une nanoarme bactérienne livre ses secrets  (5)
Une des clés de l’efficacité pathologique de Staphylococcus aureus est une structure moléculaire qui, comme un dard, transperce les membranes des cellules attaquées et les tue. Cette stratégie est partagée par plusieurs bactéries, notamment Aeromonas hydrophila.
En combinant cristallographie à rayons X, microscopie électronique cryogénique et modélisation informatique, des chercheurs de l’École polytechnique fédérale de Lausanne ont réussi à élucider la structure de l’excroissance fatale. Grâce à son analyse dans différentes conformations, ils proposent un nouveau mécanisme moléculaire à l’origine de sa formation.
D’après ces travaux, une protéine heptamérique, l’aérolysine, s’assemble à la surface de la membrane de la bactérie pour former l’aiguillon. Les chercheurs et ingénieurs ont découvert le signal à l’origine du changement conformationnel : une torsion est indispensable à l’insertion de l’aérolysine dans la membrane de la bactérie.
Ces recherches participent à la quête de nouveaux moyens de lutte contre les bactéries pathogènes, dans un contexte où les résistances aux antibiotiques ne cessent de s’étendre à travers le monde microbien.
  
Vers un vaccin contre les infections nosocomiales  (6)
Sanofi Pasteur a annoncé le 5 août la phase III des essais cliniques sur leur vaccin contre Clostridium difficile (CD). Il s'agit de la dernière phase avant la demande d'autorisation de mise sur le marché.
Une étude mondiale sur 15.000 patients est mise en place, pour vérifier l'efficacité et l'innocuité du vaccin. Les résultats de la phase II, initiée début 2009, n'ont pas encore été publiés et le laboratoire a déclaré qu'il ne souhaitait pas communiquer avant décembre sur cette étude qui consistait à déterminer les effets indésirables et les doses optimales du vaccin.
«Avec l'apparition, ces dernières années, de souches de Clostridium difficile plus dures à contrôler, les infections à CD sont devenues plus fréquentes, plus graves et plus compliquées à traiter», explique le Dr John Shiver, vice-président pour la recherche et le développement chez Sanofi Pasteur. Deux antibiotiques, le métronidazole et la vancomycine, ont pourtant montré une certaine efficacité. Mais ils conduisent dans 25% des cas à des récidives dans les deux mois. La fidaxomicine, qui a fait son apparition en France fin 2011, présente un taux de récidive deux fois moins important que les précédents médicaments.
L'arrivée d'un vaccin serait une bonne nouvelle pour les patients les plus fragiles. Ce dernier n'immunise pas contre la bactérie, mais contre les toxines qu'elle produit et qui causent les diarrhées.
«L'infection nécessite entre une et trois semaines de traitement à l'hôpital en chambre seule», ajoute le Dr Barbut. L'arrivée d'un vaccin, en plus d'un bénéfice médical, permettrait à l'Assurance-maladie de faire des économies substantielles.
Zitouni Imounachen, docteur en pharmacie


Sources:

(1) Information hospitalière
(2) Le Figaro
(3) 
Maxisciences
(4) Futura-sciences
(5) Biofutur.com
(6) Le Figaro 

 
 
 
 
 

PHARMACOVIGILANCE

L'aristoloche plus cancérigène que le tabac
L'aristoloche est plus cancérigène que le  le tabac et provoque des cancers des conduits urinaires, selon une étude de chercheurs américains.
L'acide aristolochique, extrait d'une plante médicinale utilisée depuis des siècles en Chine est utilisé pour traiter l'arthrite et d'autres inflammations. Extrait notamment de plusieurs espèces de plantes aristoloche (lianes), il est connu pour sa nocivité sur les reins car il peut provoquer des défaillances de cet organe et est aussi considéré comme cancérigène par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il est pour ces raisons interdit dans plusieurs pays, notamment en Europe et au Japon.
Malgré cela et le fait que l'Agence américaine des médicaments (FDA) ait mis en garde contre ces dangers pour la première fois en 2001, ces plantes médicinales peuvent encore être achetées en ligne.
Pour comprendre les effets de cet acide, des chercheurs américains ont donc séquencé les tumeurs cancéreuses du rein de 19 patients à Taïwan qui avaient été mis en contact avec l'acide aristolochique et sept souffrant également d'un cancer rénal mais n'ayant jamais été en exposés avec cette substance.
Les chercheurs ont révélé que l'acide aristolochique était responsable de 753 mutations en moyenne dans chaque tumeur exposée. Le cancer rénal des sept autres patients n'avait que 91 mutations en moyenne.
Selon les scientifiques, ce niveau élevé de mutations cancéreuses est plus important que ceux trouvés dans le mélanome, un cancer de la peau provoqué par les rayons ultraviolets du soleil ou dans des cancers du poumon dû au tabac.
Source:
ouest-france.fr

Blanchiment des dents : des produits interdits

Selon une décision parue vendredi 9 août au Journal officiel, les produits utilisés pour blanchir les dents vont être plus strictement encadrés en France. Cette décision prévoit également le retrait "sans délai" des produits les plus dangereux et la suspension d'autres en attendant leur mise en conformité.
Cette décision provient de la "transposition d'une directive européenne entrée en vigueur en octobre dernier et qui encadre plus étroitement tous les produits contenant du peroxyde d'hydrogène", explique le docteur Joël Trouillet, secrétaire général de l'Association dentaire française (ADF).
Ces petites opérations ont pour but de corriger une coloration anormale, gênante, ou - de plus en plus fréquemment - pour des raisons esthétiques. Actuellement, plusieurs techniques existent pour éclaircir la teinte des dents : chez soi, par voie interne (dit "walking beach"), par produits en vente libre ou simplement en cabinet dentaire. La plus répandue consiste à utiliser des produits à base de peroxyde d'hydrogène (eau oxygénée) qui a un fort pouvoir oxydant et permet de décolorer la substance colorante.
Or, cette technique peut s'avérer dangereuse en cas de concentration importante du produit. C'est la raison pour laquelle depuis un arrêté publié en 2012, il est interdit en France d'utiliser des produits dont la concentration en peroxyde d'hydrogène est supérieure à 6%. Ces produits présentent des risques d'effets aigus et à long terme augmentés tels que l'hypersensibilité dentaire, l'irritation des muqueuses et l'altération de l'émail. Des effets qui peuvent conduire à une usure prématurée voire une fragilisation de la dent.
Cette décision, prise début juillet par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), prévoit que les fabricants et les distributeurs interrompent la distribution de ces produits et procèdent à "leur retrait sans délai".
Par ailleurs, elle remet également de l'ordre dans la dénomination des produits autorisés (ceux dont la concentration de peroxyde d'hydrogène est inférieure à 6%) qui continuent, pour certains, à être présentés comme des dispositifs médicaux alors que selon la réglementation européenne, il s'agit de produits cosmétiques.
Les produits dont la concentration est comprise entre 0,1% et 6% ne peuvent depuis 2012 être vendus qu'à des chirurgiens-dentistes qui doivent également assurer la première séance d'un traitement d'éclaircissement dentaire.
Les produits dont la concentration ne dépasse pas 0,1% de peroxyde d'hydrogène restent en revanche en vente libre et peuvent être utilisés par le consommateur lui-même ou proposés dans les bars à sourire qui se sont multipliés ces dernières années en France.
Source: Nouvel Observateur

        
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Diplôme Inter-universitaire de vaccinologie - Marrakech
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Diplôme Universitaire de Vaccinologie / La Faculté de Médecine et de Pharmacie de Rabat
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Diplôme d’Université Supérieur de Pharmacie Clinique

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Diplôme d’Études Supérieures d’Université de Pharmaco épidémiologie & Pharmaco économie : 2013 -2014
Appel à candidature pour l'année 2013-2014: Lien 
Fiche de pre-inscription:  Lien

      

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Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

S-CITAP®   
Laboratoires: PHI
Composition: escitalopram
Indication:  Antidépresseur inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (5-ht).
Formes et présentations:
S-CITAP 5 mg
Boite de 20 comprimés
PPM: 60,90 Dhs

S-CITAP 10 mg
Boite de 20 comprimés
PPM: 103,20 Dhs

S-CITAP 10 mg
Boite de 60 comprimés
PPM: 271,60 Dhs

BELARA®   
Laboratoires: BOTTU
Composition:
2 mg Acétate de chlormadinone
et 30 μG l'éthinyl-estradiol
Indication: contraception
Forme et présentation: Boite de 21 comprimés.

DESTEC® 
Laboratoires: POLYMEDIC
Compositions: Desloratadine
Propriété:Antihistaminique H1   

Formes et présentations:

Boite de 7 comprimés
PPM: 22.00 Dhs

Boite de 14 comprimés
PPM: 44.80 Dhs

Boite de 30 comprimés
PPM: 79.90 Dhs

QLAIRA® 
Laboratoires: BAYER
Propriété:  Contraception orale
Traitement des saignements menstruels abondants chez les femmes sans pathologie organique désirant une contraception orale.
Composition: Valérate d'estradiol et diénogest
Forme et présentation: Boite de 28 cps
PPM: 153.30 Dh

ASKARDIL® 75mg
Laboratoires: LAPROPHAN 
Propriété:  Antithrombique inhibiteur de l'agrégation plaquettaire
Forme et présentation: Boite de 30 cps

ASKARDIL® 160mg
Laboratoires: LAPROPHAN 
Propriété:  Antithrombique inhibiteur de l'agrégation plaquettaire
Forme et présentation: Boite de 30 cps

S-CORT® 20 Mg 
Laboratoires: MC PHARMA
Composition: Prednisolone

Propriété: Gluco-corticostéroïde   
Forme et présentation: Boite de 20 cps
PPM: 34,70 Dh

BION® ENERGIE PLUS   
Laboratoires: ZENITH PHARMA
Composition: 12 vitamines, 7 minéraux, Tribion Harmonis, extraits de fruit de la Schisandra, extraits de Ginseng et Coenzyme Q10.
Forme et présentation: Boite de 30 comprimés.
PPC: 190 Dhs

GYNOFLOR® Comprimés Vaginaux  
Laboratoires: ZENITH PHARMA
Composition:  Lactobacillus acidophilus et d'Estriol.
Forme et présentation: Boite de 6 comprimés.
PPM: 69,90 Dhs

MALTOFER® 100 mg comprimés  
Laboratoires: ZENITH PHARMA
Indication: Carences en fer latentes et les anémies ferriprives
Forme et présentation: Boite de 30 comprimés à croquer.
PPM: 38,50 Dhs

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