|
 |
LA COLLABORATION NORD-SUD PASSERA-ELLE PAR LE
MAROC? |
Alors qu’une crise
latente semble compromettre, de plus
en plus, l’investissement dans de
nombreux secteurs au Maroc en
faisant craindre le pire pour
l’emploi, le secteur pharmaceutique
semble avoir le vent en poupe.
En effet, le groupe pharmaceutique
Sanofi vient d’inaugurer ce mercredi
une nouvelle plateforme de
distribution de médicaments qui
dotera le Maroc du plus grand centre
de distribution de produits
pharmaceutiques Sanofi sur le
continent africain.
L’inauguration de ce centre, qui a
demandé un investissement de 20
millions d’euros, a eu lieu à
quelques mois seulement de
l’inauguration de la nouvelle unité
de production de Biocodex à Nouaceur
et du lancement des travaux
entrepris par le Groupe
pharmaceutique portugais Tecnimede
dans la zone industrielle de
Berrechid.
D’autres inaugurations sont prévues
dans les prochains mois, notamment
dans la zone industrielle de Had
Soualem, zone qui abrite le
laboratoire Promopharm dont le
capital est aujourd’hui détenu à
plus de 90% par le laboratoire
jordanien Hikma.
Les laboratoires nationaux, de leur
côté, continuent d’investir au
Maroc. Leur production en
médicaments ajoutée à celle des
multinationales qui ont élu domicile
au royaume, couvrent aujourd’hui
presque 70% des besoins du pays. Une
partie de cette production marocaine
est destinée à l’exportation.
Le traitement antipaludique de choix
qui associe l’artésunate et l’amodiaquine,
produit au Maroc par le laboratoire
Sanofi avant d’être exporté dans de
nombreux pays d’Afrique et
d’Amérique Latine, est la meilleure
illustration du rôle stratégique de
plateforme de production que peut
jouer le royaume pour l’industrie
pharmaceutique. Car, en plus de son
emplacement géographique de choix,
de la stabilité politique qui le
caractérise, le Maroc dispose de
ressources humaines qualifiées et la
main d’œuvre y est très attractive
par rapport aux pays européens.
Rappelons que la production de cette
spécialité antipaludique a démarré
en 2007 à raison de 7 millions de
traitements par an. Elle a atteint
80 millions de traitements fin 2012
et d’après Christopher A. Viehbacher,
Directeur général du groupe
pharmaceutique Sanofi, cette
production devrait atteindre, à
moyen terme, 100 millions de
traitements par an.
Tous ces investissements ne peuvent
que nous rassurer sur le capital
confiance dont jouit notre pays
auprès des firmes pharmaceutiques.
On espère que tous intervenants du
secteur conjuguent leurs efforts
pour faciliter ces investissements
et faire du Maroc un Hub de choix où
sera délocalisée une partie de la
production européenne en
médicaments.
Dr. Abderrahim Derraji |
|
|
 |
|

Nous
nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
Les
conséquences de la précarité sur la
santé. (1)
Comme à l’accoutumée, les
laboratoires Cooper Pharma ont
gratifié les professionnels de la
santé d’une conférence de haute
volée. Cette conférence qui a eu
lieu dans un cadre agréable à
Casablanca a eu pour thème : «
Nouveaux aspects de la précarité et
de ses conséquences sur la santé :
l’expansion des maladies
métaboliques. Un problème planétaire
». Elle a été animée par Pr. Claude
Jaffiol, professeur enseignant,
chercheur et spécialiste des
problématiques de nutrition, obésité
et diabète.
« Si par le passé le diabète était
considéré comme une maladie de
riche, aujourd’hui c’est une maladie
intimement liée à la précarité »,
c’est par cette phrase que le Pr.
Jaffiol a commencé sa présentation.
En effet, la précarité influe
défavorablement sur toutes les
composantes de la santé, avec
l’émergence de nouvelles
pathologies. Elle apparait
aujourd’hui, comme l’un des
principaux facteurs responsables de
l’expansion actuelle des maladies de
surcharge, d’obésité, de diabète et
de syndrome métabolique.
Au cours de son exposé, Ce Membre de
l’Académie nationale de médecine, a
brillamment défini la précarité et
la pauvreté, tout en insistant sur
les différences entre les deux
concepts. Car, les études
scientifiques réalisées auparavant
se faisaient toujours par rapport à
la pauvreté. Or, la pauvreté ne
prend en compte que la situation
financière des patients, alors que
la précarité correspond à une
situation économiquement,
socialement et subjectivement
dégradée. Il a par la suite fait le
point sur la situation du diabète de
par le monde, et mis en exergue le
rôle très important de l’éducation
thérapeutique (ETP) dans la prise en
charge du diabète. Il a ensuite
insisté sur l’importance du
diagnostic précoce de la maladie,
plus particulièrement chez les
personnes ayant des facteurs de
risque du diabète, car le diagnostic
précoce d’états pré diabétiques
permet de retarder, voire d’éviter
le passage au diabète, et permet
surtout d’éviter les handicaps qui
peuvent être engendrés par cette
maladie. Au terme de cette
présentation, les professionnels de
la santé, venus en très grand
nombre, ont pu échanger avec le
Professeur en lui posant leurs
questions.
Enfin, nous tenons à féliciter les
Laboratoires Cooper Pharma, qui se
sont toujours distingués en
s’engageant aux cotés des
professionnels de la santé,
notamment en prenant part à la
formation continue de manière
active.
La pertinence du thème, d’un coté,
et le choix d’une sommité
internationale pour le présenter, de
l’autre, s’inscrivent dans la droite
ligne de l’esprit de Cooper Pharma :
offrir toujours le meilleur.
PRÉSENTATION COMPLETTE:
Lien
Tiers payant : le premier
bénéficiaire a payé 144 DH au lieu
de 7 700 DH (2)
Le premier bénéficiaire du tiers
payant pour les médicaments coûteux,
un retraité atteint d’insuffisance
rénale, a pu pour la première fois
acheter un traitement de soutien
pour la dialyse. Sur une facture de
7 700 DH, l’assuré n’a payé que 144
DH puisqu’il bénéficie d’une
couverture à hauteur de 98%.
Rappelons que les organismes
gestionnaires de l’AMO (CNSS et
CNOPS) ont signé en février dernier
une convention nationale avec les
pharmaciens régissant le mode du
tiers payant pour les médicaments
des porteurs d’affections longue
durée (ALD) et affections longues et
coûteuses (ALC). La liste des
médicaments comprend 29 produits qui
sont prescrits pour le traitement de
32 maladies de longue durée.
Allergie au pollen : se soigner
dès les premiers signes (3)
Cette année, à l'issue d'un hiver
qui a traîné en longueur, le
déclenchement des allergies pourrait
être plus brutal qu'à l'ordinaire.
«Avec la dispersion soudaine des
pollens dans l'air, les symptômes
risquent d'être plus violents, mais
ils dureront moins longtemps»,
assure le Dr Jean-Pol Dumur,
pneumologue à Aix-en-Provence.
L'allergie se déclarera alors dans
sa forme sévère sans signe
annonciateur. Le Dr Stéphane Guez,
au CHU de Bordeaux, recommande de ne
pas se laisser surprendre: «Il faut
commencer son traitement dès la
première irritation et le prendre
tous les jours jusqu'à la fin de la
saison.»
Des antihistaminiques et des
anti-inflammatoires locaux, qui ont
aujourd'hui peu d'effets
indésirables, sont prescrits pour
combattre les symptômes. Le
traitement s'accompagne, autant que
possible, de mesures telles que
l'éviction des promenades en pleine
nature au moment des pics de chaleur
ou du sport en plein air,
susceptible de déclencher des crises
d'asthme. Il est aussi conseillé de
se laver les cheveux avant de dormir
ou de se rincer le nez pour chasser
les allergènes.
Dans les cas les plus sévères, une
désensibilisation allergénique
préventive du patient peut être mise
en œuvre. Le traitement, curatif,
est commencé quatre mois avant la
saison et se poursuit jusqu'à la
fin. «Son efficacité apparaît dès la
première année, mais il faut
attendre au minimum trois ans pour
obtenir un résultat rémanent»,
souligne le Dr Bertrand Delaisi,
pédiatre et allergologue à l'hôpital
Robert-Debré.
La revue Prescrire note toutefois
dans une fiche publiée en juin 2012
que «chez les adultes comme chez les
enfants, la désensibilisation par
voie sublinguale semble avoir une
faible efficacité. Il faut plusieurs
mois de traitement continu par des
extraits de pollen de fléole pour
éviter seulement quelques jours de
symptômes». Par ailleurs, le
traitement est très contraignant et
son coût élevé.
Cancer du col de l’utérus :
vaccination recommandée dès 11 ans (4)
Dans un communiqué paru cette
semaine, l'Institut du cancer (Inca)
recommande désormais la vaccination
contre le papillomavirus dès 11 ans
au lieu de 14 comme c’est le cas
actuellement.
Cette décision fait suite à l’avis
émis en janvier dernier par le
Haut-Conseil de santé publique.
L’objectif est de lutter de manière
efficace contre ce virus responsable
du cancer du col de l’utérus. Par
ailleurs, l’Inca conseille aussi aux
femmes de ne pas négliger
l’importance du frottis
cervico-vaginal qui permet de
détecter précocement l’apparition de
lésions pré-cancéreuses.
Malgré les recommandations du Plan
cancer 2009-2013 qui a notamment
pour ambition d’améliorer
considérablement la couverture
vaccinale contre le HPV, les
spécialistes estiment que moins d’un
tiers des adolescentes françaises
ont reçu les doses de vaccin
nécessaires pour une bonne
prévention contre l’HPV.
Afin de mieux faire passer le
message et de sensibiliser le grand
public, dès juin, l’Inca devrait
lancer une grande campagne
d’information sur l’intérêt du
dépistage du cancer du col de
l’utérus et de la vaccination contre
l’HPV.
On ne devient pas macrophage par
hasard (5)
La différenciation des cellules
souches hématopoïétiques en
macrophages circulants est parfois
induite par l’infection elle-même.
Contrairement à l’idée généralement
admise, la voie de différenciation
dans laquelle s’orientent les
cellules souches hématopoïétique
(CSH) ne doit pas tout au hasard.
Des chercheurs du Centre
d’immunologie de Marseille-Luminy
(Inserm, CNRS) ont démontré que des
situations de stress pour
l’organisme, telles qu’une infection
ou une inflammation, peuvent inciter
les CSH à se différencier
préférentiellement en macrophage, ce
qui apporte une réponse à la
situation d’urgence.
Cette découverte est issue de
l’étude de la réponse des CSH à la
M-CSF (macrophage colony-stimulating
factor), une cytokine libérée lors
d’épisodes infectieux ou
inflammatoires. Les chercheurs de
Marseille ont démontré que cette
molécule signal active directement
un gène codant le facteur de
transcription PU.1, central dans la
voie de différenciation myéloïde.
In vitro, la vidéo-microscopie en
fluorescence montre une activation
du promoteur de PU.1 sous
l’influence d’un milieu riche en
M-CSF. De plus en plus de cellules
vont exprimer ce gène et s’inscrire
dans une voie de différenciation
marquée par la signature génique des
cellules myéloïdes. In vivo, de
fortes concentrations systémiques de
M-CSF activent l’expression de PU.1
via un récepteur spécifique à la
cytokine et induisent la
différenciation préférentielle en
cellules myéloïdes.
Ces résultats mettent à mal l’idée
que le choix de la lignée dans
laquelle se différencient les CSH se
fait au hasard. Sensibles aux
signaux physiologiques, elles
réagissent à un marqueur moléculaire
de l’infection en augmentant le
nombre de macrophages circulants.
Ces données ouvrent un nouvel axe de
recherche pour le développement de
traitements stimulant la réponse
naturelle aux infections, une
approche très attendue en
particulier chez des patients
immunodéprimés suite à une greffe.
L’UNICEF rappelle qu’un enfant
sur cinq n’est toujours pas vacciné (6)
A l’occasion de la Semaine mondiale
de la vaccination, l’UNICEF a
affirmé qu’un million et demi
d’enfants ne seraient pas morts en
2011 s’ils avaient été vaccinés.
Mais un enfant sur cinq ne bénéficie
pas des vaccins essentiels à cause
de l’exclusion sociale ou
géographique, du manque de
ressources, de systèmes de santé
défaillants ou de conflits comme
ceux qui font rage aujourd’hui en
Syrie et dans certaines régions
d’Afrique de l’Ouest.
Pendant la Semaine mondiale de la
vaccination 2013, l’UNICEF et ses
partenaires gouvernementaux et des
Nations Unies sensibiliseront la
communauté internationale au
problème, en expliquant qu’il est
urgent de toucher jusqu’au dernier
enfant, au moyen de manifestations
nationales et d’activités de
communication dans les médias
sociaux ou traditionnels.
L’UNICEF publiera sur son site web
et dans les médias sociaux des
articles sur les initiatives en
matière de vaccination dans le monde
entier, notamment en Afghanistan, au
Nigéria et au Pakistan où la polio
est encore endémique.
En bref : un peu de stress serait
bon pour la santé(7)
Dans une étude publiée dans la revue
eLife, des chercheurs de
l’université de Californie à
Berkeley détaillent comment un
stress modéré peut agir sur le
cerveau et améliorer les
performances chez le rat.
L’expérience est simple :
immobiliser les rats dans leur cage
pour quelques heures. Ce stress
modéré aboutit à la sécrétion d’une
protéine appelée facteur de
croissance des fibroblastes 2 (FGF2)
par les astrocytes. Ces derniers
constituent une famille de cellules
gliales particulières connues
jusqu’ici pour maintenir et protéger
les neurones. Ces résultats montrent
qu’elles auraient également un rôle
critique dans la régulation des
fonctions cérébrales et dans la
gestion du stress.
Les chercheurs ont démontré que le
FGF2 aboutissait à la libération
d’une hormone appelée
corticostérone. Cette dernière
induit la prolifération de cellules
nerveuses dans l’hippocampe, une
région cérébrale qui joue un rôle
central dans la mémoire. Les auteurs
ont observé que la mémoire des rats
ne changeait pas après deux jours,
mais se perfectionnait deux semaines
après le test. « Il faut un peu de
temps pour que les nouvelles
cellules deviennent matures et
fonctionnent correctement »,
explique Daniela Kaufer, directrice
de l’étude. Elle ajoute que « dans
l’environnement, des situations de
stress modéré se produisent très
régulièrement. Elles permettent aux
animaux d’être en alerte constante
et de faire face à différentes
situations. »
Cancer du sein : la progression
des métastases mieux comprise (8)
Des chercheurs de l'Université de
Montréal affirment avoir trouvé une
cible potentielle pour freiner la
progression des métastases. Ces
tumeurs secondaires sont considérées
comme la principale cause de décès
chez les personnes atteintes du
cancer du sein. En fait, elles sont
responsables de 90 % des décès de
personnes atteintes du cancer.
Selon l’étude publiée dans le
Proceedings of the National Academy
of Sciences (PNAS), le Pr
Jean-François Côté et ses collègues
de la Faculté de médecine estiment
leur découverte importante dans la
compréhension des mécanismes
moléculaires et cellulaires à la
base de ce processus néfaste.
La médecine savait déjà que deux
principaux sous-types de cancer du
sein (HER2+ et les Basal) ont
tendance à être métastatiques et
récurrents et sont associés à un
faible taux de survie.
L'équipe montréalaise s'est
concentrée sur le HER2+ chez la
souris qui représente environ 25 %
des cas de cancer du sein chez
l'humain.
Elle a identifié la protéine DOCK1
comme étant un régulateur important
des métastases. Ainsi, lorsque cette
protéine est éliminée chez les
souris, les chercheurs ont observé
une nette diminution des métastases
aux poumons.
Pour établir une corrélation entre
cette protéine et le pronostic du
cancer du sein, les chercheurs ont
réalisé une analyse de plusieurs
bases de données d'expression
génique de patientes. Constat : une
présence élevée de DOCK1 chez les
personnes atteintes des cancers du
sein HER2+ ou Basal est associée à
un plus faible pronostic, soit la
réapparition de la maladie.
Ces travaux ont permis de définir
une nouvelle molécule essentielle à
la progression du cancer du sein
jusqu'au stade de la métastase. Ils
ont aussi permis d'identifier
d'autres marqueurs qui pourraient
devenir des cibles potentielles pour
bloquer la progression des
métastases.
« Ces résultats pourraient
éventuellement mener au
développement de médicaments qui
limiteraient la propagation des
cancers du sein métastatiques et qui
pourraient ainsi améliorer le
pronostic des personnes atteintes. »
— Pr Jean-François Côté
Le détail de ces travaux est publié
dans les Proceedings of the National
Academy of Sciences (PNAS).
|
Dr.
Zitouni
Imounachen
|
Sources:
(1)
PMA
(2) http://www.pharmacies.ma
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4)
http://www.informationhospitaliere.com
(5)
http://www.biofutur.com
(6)
http://www.mypharma-editions.com
(7)
http://www.futura-sciences.com
(8)
http://www.radio-canada.ca |
|
|
 |
|
 |
|
 |
|
INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE |
Sanofi a signé trois conventions avec
l'état marocain
En marge de l'inauguration, mercredi
à Casablanca, d'une nouvelle
plateforme logistique pour la
distribution des produits
pharmaceutiques du groupe
pharmaceutique Sanofi, trois
conventions viennent d’être signées
entre le premier groupe
pharmaceutique Français et le
ministère de la Santé.
La première convention, sur une
durée de trois ans, sera consacrée
au diabète avec l'objectif
d'élaborer des protocoles de prise
en charge standard de l'enfant et de
l'adolescent diabétiques, à mettre
en place un programme d'éducation
thérapeutique standardisé, à mettre
à niveau onze des centres de
consultation en diabétologie
pédiatrique existants, à créer deux
nouveaux centre à Oujda et Agadir et
à former des professionnels de santé
et du personnel paramédical à la
prise en charge de l'enfant et de
l'adolescent diabétiques.
La 2e convention, conclue entre
Sanofi-Aventis Groupe et plus
particulièrement la division accès
aux médicaments, Sanofi-Aventis
Maroc et le ministère de la Santé,
sur une durée de cinq ans, sera
consacrée aux troubles mentaux et à
l'épilepsie. Elle a pour objectif de
renforcer la prise en charge des
personnes atteintes de ces
pathologies au Maroc, grâce à la
formation de quelque 40 psychiatres,
40 neurologues, 160 médecins
généralistes et 160 infirmiers ainsi
qu'à la sensibilisation de la
population marocaine.
La 3e convention, conclue entre
Sanofi-Aventis Maroc, le ministère
de la Santé et le ministère du
Commerce, de l'Industrie et des
Nouvelles technologies, porte sur la
contribution de Sanofi-Aventis Maroc
au Contrat Programme national visant
à définir un cadre général pour le
développement de l'industrie
pharmaceutique marocaine.
Sanofi-Aventis Maroc contribuera à
la formation des opérateurs,
techniciens et cadres du ministère
de la Santé aux métiers de
l'industrie pharmaceutique notamment
aux bonnes pratiques de
distribution, à
l'hygiène, la sécurité et
l'environnement et à la
logistique-distribution.
Source: PMA |
|
Inauguration de la plateforme de
distribution Sanofi:
.
Photos:
lien
Vidéo:
lien |
|
Vidéo intéressante:
La HAS
vous parle du diabète type 2
Lien |
|
AGENDA |
AVRIL
25 avril 2013
Événement: Première
Journée Nationale sur les
Dispositifs médicaux
Thème: "Quelle
matériovigilance pour le Maroc?"
Lieu:
Amphithéâtre du Centre Anti Poison
et de Pharmacovigilance du Maroc
Ville: Rabat
Pays: Maroc
Programme: lien
Affiche: lien
Contact: Dr.
F. Abadi Email : abadifatima7@yahoo.fr
26 au 27 avril 2013
Événement: Xèmes
Journées d'Internat et de Résidanat
en pharmacie
Lieu: Conseil
de l'ordre des Médecins
Ville: Rabat
Pays: Maroc
Programme et inscription: jirp2013.on.ma
Contact: jirp2013@gmail.com
MAI
Samedi 10 & 11 mai 2013
Événement: PREMIER
COLLOQUE NATIONAL DE
PHARMACOEPIDEMIOLOGIE &
PHARMACOECONOMIE
Lieu: Faculté
de Médecine et de Pharmacie de Rabat
Organisateurs: Équipe
de Recherche de
Pharmacoépidémiologie &
pharmacoéconomie
Ville: Rabat
Pays: Maroc
Pré-programme: lien
Annonce: lien
Inscription: lien
Site: lien
Samedi 11 et 12 mai
2013
Événement: VIIèmes
Journées Pharmaceutiques de la
région de Tadla-Azial
Ville: Beni
Mellal
Pays: Maroc
Organisateurs: USPORETA
17 & 18 mai 2013
Événement: 10ème
Édition du Cours Supérieur
Francophone de Sénologie
Thème: "La
chimiothérapie neoadjuvante
changera-t-elle la stratégie
thérapeutique?"
Lieu: Faculté
de Médecine et de Pharmacie d'Oujda
Ville: Essaouira
Pays: Maroc
Programme : Lien
Contact:
Président du Cours: Dr. Faouzi Habib
17 & 18 mai 2013
Événement: QUATRIEME
EDITION DU PRIX SRPOO DE RECHERCHE
ET JOURNEE DU SRPOO
Lieu: Faculté
de Médecine et de Pharmacie d'Oujda
Ville:Oujda
Pays: Maroc
Appel à candidature ( Dernier délai
15 mars 2013 ) : Lien
Programme: lien
Contact:
Email: fatiha_miri@hotmail.com
Tél.: 05 36 6834 90
25 mai 2013
Événement: 3ème
JOURNÉE PHARMACEUTIQUE DE ZEMMOUR
Lieu: Hôtel
Dayet Roumi-Khemisset
Ville: Khemisset
Pays: Maroc
Contact: abdelhamid.nacer@gmail.com
24 et 25 mai 2013
Événement: 7èmes
Journées Pharmaceutiques de Fès
Thème: "Maladies
cancéreuses, implication du
Pharmacien d’officine"
Ville: Fès
Pays: Maroc
Organisateurs: Chambre
Syndicale des Pharmaciens d'Officine
de Fès
Programme: lien |
|
 |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma.
HYPOSALIX®
Laboratoire:
IdexPharme-groupe Biocodex
Propriété:
PHYPOZALIX est un substitut salivaire indiqué
dans les Hyposialies ou les Asialies notamment
celles secondaires à l’irradiation des voies
supérieures aéro-digestives.
Forme et présentation:
solution pour pulvérisation endo-buccale en
flacon de 100 ml
PPM:
100,00 Dhs
OTILYS®
Laboratoire:
IdexPharme-groupe Biocodex
Composition:
Solution d’eau de mer filtrée et contrôlée
microbiologiquement contenant environ 24g/L de
NaCl.
Présentation:
flacon de 30 ml
Indication:
flacon de 30 ml au PPM de 65 dirhams.
PPM:
65 dirhams.
VOLTFAST® 50 MG
Laboratoire:
Novartis
Composition:
Diclofenac
Propriété:
AINS
Forme et présentation:
Boite de 9 sachets de poudre pour solution à
boire.
PPM:
49,70 Dhs
TIAFLAM® 100 mg
Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 11,60 Dhs
-Boîte de 20 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 30 comprimés
PPM : 26,00 Dhs
TIAFLAM® 200 mg
Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 20 comprimés
PPM : 36,00 Dhs
CEDOL ®
Laboratoires : SYNTHEMEDIC
Composition : Paracétamol et codéïne
Propriété: Antalgique
Propriété: traitement de la douleur chez
l'adulte d'intensité modérée à intense.
Formes et présentations :
Boîte de 20 comprimés
PPM : 22,00 Dhs
NOPOROSE® 35 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Risédronate monosodique
Indication : Bisphosphonate indiqué dans
le traitement de l’ostéoporose
Formes et présentations :
-Boîte de 4 comprimés pelliculés
PPM : 194,60 Dhs
-Boîte de 12 comprimés pelliculés
PPM : 499,40 Dhs
BELMAZOL® 20 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Oméprazole
Indication : Traitement et prévention des
ulcères gastro-duodénaux ; traitement et
prévention des lésions dues aux AINS ;
traitement du reflux gastro-oesophagien
Forme et présentation : Boîte de 7 gélules
PPM : 22,50 Dhs
|
|
Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre... |
Pour vous permettre de gagner un
temps précieux, notre équipe a développé
en partenariat avec les
LABORATOIRES LAPROPHAN plus
d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les
différents outils.
Vos remarques et vos suggestions
seront les bienvenues. |
|
BON A
SAVOIR |
Anciennes
Pharmanews
Cliquer sur le lien suivant pour consulter
les
anciennes Pharmanews.
Lien
A vos plumes
N'hésitez pas de nous envoyer vos écrits, vos
remarques et vos suggestions à l'adresse:
info@pharmacies.ma
Syndicats
et associations: à vos claviers
Nous vous informons que nous sommes disposés à diffuser toute
information en provenance des syndicats , des conseils ou des
associations.
Pour ce faire, les syndicats et les associations sont priés de
nous envoyer leur écrits à l'adresse électronique :
info@pharmacies.ma
Partagez Pharmanews avec vos amis
Si vous souhaitez qu'un ou
plusieurs de vos amis reçoivent Pharmanews, il vous suffit
d'envoyer leurs adresses électroniques à l'adresse:
info@pharmacies.ma
Mentions légales
Visiter pharmacies.ma
Qui sommes-nous? |
|
|