Pharmanews 184

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Numéro: 184

22 avril 2013  

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LA COLLABORATION NORD-SUD PASSERA-ELLE PAR LE MAROC? 

Alors qu’une crise latente semble compromettre, de plus en plus, l’investissement dans de nombreux secteurs au Maroc en faisant craindre le pire pour l’emploi, le secteur pharmaceutique semble avoir le vent en poupe.
En effet, le groupe pharmaceutique Sanofi vient d’inaugurer ce mercredi une nouvelle plateforme de distribution de médicaments qui dotera le Maroc du plus grand centre de distribution de produits pharmaceutiques Sanofi sur le continent africain.
L’inauguration de ce centre, qui a demandé un investissement de 20 millions d’euros, a eu lieu à quelques mois seulement de l’inauguration de la nouvelle unité de production de Biocodex à Nouaceur et du lancement des travaux entrepris par le Groupe pharmaceutique portugais Tecnimede dans la zone industrielle de Berrechid.
D’autres inaugurations sont prévues dans les prochains mois, notamment dans la zone industrielle de Had Soualem, zone qui abrite le laboratoire Promopharm dont le capital est aujourd’hui détenu à plus de 90% par le laboratoire jordanien Hikma.
Les laboratoires nationaux, de leur côté, continuent d’investir au Maroc. Leur production en médicaments ajoutée à celle des multinationales qui ont élu domicile au royaume, couvrent aujourd’hui presque 70% des besoins du pays. Une partie de cette production marocaine est destinée à l’exportation.
Le traitement antipaludique de choix qui associe l’artésunate et l’amodiaquine, produit au Maroc par le laboratoire Sanofi avant d’être exporté dans de nombreux pays d’Afrique et d’Amérique Latine, est la meilleure illustration du rôle stratégique de plateforme de production que peut jouer le royaume pour l’industrie pharmaceutique. Car, en plus de son emplacement géographique de choix, de la stabilité politique qui le caractérise, le Maroc dispose de ressources humaines qualifiées et la main d’œuvre y est très attractive par rapport aux pays européens.
Rappelons que la production de cette spécialité antipaludique a démarré en 2007 à raison de 7 millions de traitements par an. Elle a atteint 80 millions de traitements fin 2012 et d’après Christopher A. Viehbacher, Directeur général du groupe pharmaceutique Sanofi, cette production devrait atteindre, à moyen terme, 100 millions de traitements par an.
Tous ces investissements ne peuvent que nous rassurer sur le capital confiance dont jouit notre pays auprès des firmes pharmaceutiques. On espère que tous intervenants du secteur conjuguent leurs efforts pour faciliter ces investissements et faire du Maroc un Hub de choix où sera délocalisée une partie de la production européenne en médicaments.  
Dr. Abderrahim Derraji

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Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.  

Les conséquences de la précarité sur la santé. (1)
Comme à l’accoutumée, les laboratoires Cooper Pharma ont gratifié les professionnels de la santé d’une conférence de haute volée. Cette conférence qui a eu lieu dans un cadre agréable à Casablanca a eu pour thème : « Nouveaux aspects de la précarité et de ses conséquences sur la santé : l’expansion des maladies métaboliques. Un problème planétaire ». Elle a été animée par Pr. Claude Jaffiol, professeur enseignant, chercheur et spécialiste des problématiques de nutrition, obésité et diabète.
« Si par le passé le diabète était considéré comme une maladie de riche, aujourd’hui c’est une maladie intimement liée à la précarité », c’est par cette phrase que le Pr. Jaffiol a commencé sa présentation. En effet, la précarité influe défavorablement sur toutes les composantes de la santé, avec l’émergence de nouvelles pathologies. Elle apparait aujourd’hui, comme l’un des principaux facteurs responsables de l’expansion actuelle des maladies de surcharge, d’obésité, de diabète et de syndrome métabolique.
Au cours de son exposé, Ce Membre de l’Académie nationale de médecine, a brillamment défini la précarité et la pauvreté, tout en insistant sur les différences entre les deux concepts. Car, les études scientifiques réalisées auparavant se faisaient toujours par rapport à la pauvreté. Or, la pauvreté ne prend en compte que la situation financière des patients, alors que la précarité correspond à une situation économiquement, socialement et subjectivement dégradée. Il a par la suite fait le point sur la situation du diabète de par le monde, et mis en exergue le rôle très important de l’éducation thérapeutique (ETP) dans la prise en charge du diabète. Il a ensuite insisté sur l’importance du diagnostic précoce de la maladie, plus particulièrement chez les personnes ayant des facteurs de risque du diabète, car le diagnostic précoce d’états pré diabétiques permet de retarder, voire d’éviter le passage au diabète, et permet surtout d’éviter les handicaps qui peuvent être engendrés par cette maladie. Au terme de cette présentation, les professionnels de la santé, venus en très grand nombre, ont pu échanger avec le Professeur en lui posant leurs questions.
Enfin, nous tenons à féliciter les Laboratoires Cooper Pharma, qui se sont toujours distingués en s’engageant aux cotés des professionnels de la santé, notamment en prenant part à la formation continue de manière active.
La pertinence du thème, d’un coté, et le choix d’une sommité internationale pour le présenter, de l’autre, s’inscrivent dans la droite ligne de l’esprit de Cooper Pharma : offrir toujours le meilleur.
  PRÉSENTATION COMPLETTE: Lien

Tiers payant : le premier bénéficiaire a payé 144 DH au lieu de 7 700 DH (2)
Le premier bénéficiaire du tiers payant pour les médicaments coûteux, un retraité atteint d’insuffisance rénale, a pu pour la première fois acheter un traitement de soutien pour la dialyse. Sur une facture de 7 700 DH, l’assuré n’a payé que 144 DH puisqu’il bénéficie d’une couverture à hauteur de 98%.
Rappelons que les organismes gestionnaires de l’AMO (CNSS et CNOPS) ont signé en février dernier une convention nationale avec les pharmaciens régissant le mode du tiers payant pour les médicaments des porteurs d’affections longue durée (ALD) et affections longues et coûteuses (ALC). La liste des médicaments comprend 29 produits qui sont prescrits pour le traitement de 32 maladies de longue durée.

Allergie au pollen : se soigner dès les premiers signes (3)
Cette année, à l'issue d'un hiver qui a traîné en longueur, le déclenchement des allergies pourrait être plus brutal qu'à l'ordinaire. «Avec la dispersion soudaine des pollens dans l'air, les symptômes risquent d'être plus violents, mais ils dureront moins longtemps», assure le Dr Jean-Pol Dumur, pneumologue à Aix-en-Provence. L'allergie se déclarera alors dans sa forme sévère sans signe annonciateur. Le Dr Stéphane Guez, au CHU de Bordeaux, recommande de ne pas se laisser surprendre: «Il faut commencer son traitement dès la première irritation et le prendre tous les jours jusqu'à la fin de la saison.»
Des antihistaminiques et des anti-inflammatoires locaux, qui ont aujourd'hui peu d'effets indésirables, sont prescrits pour combattre les symptômes. Le traitement s'accompagne, autant que possible, de mesures telles que l'éviction des promenades en pleine nature au moment des pics de chaleur ou du sport en plein air, susceptible de déclencher des crises d'asthme. Il est aussi conseillé de se laver les cheveux avant de dormir ou de se rincer le nez pour chasser les allergènes.
Dans les cas les plus sévères, une désensibilisation allergénique préventive du patient peut être mise en œuvre. Le traitement, curatif, est commencé quatre mois avant la saison et se poursuit jusqu'à la fin. «Son efficacité apparaît dès la première année, mais il faut attendre au minimum trois ans pour obtenir un résultat rémanent», souligne le Dr Bertrand Delaisi, pédiatre et allergologue à l'hôpital Robert-Debré.
La revue Prescrire note toutefois dans une fiche publiée en juin 2012 que «chez les adultes comme chez les enfants, la désensibilisation par voie sublinguale semble avoir une faible efficacité. Il faut plusieurs mois de traitement continu par des extraits de pollen de fléole pour éviter seulement quelques jours de symptômes». Par ailleurs, le traitement est très contraignant et son coût élevé.

Cancer du col de l’utérus : vaccination recommandée dès 11 ans  (4)
Dans un communiqué paru cette semaine, l'Institut du cancer (Inca) recommande désormais la vaccination contre le papillomavirus dès 11 ans au lieu de 14 comme c’est le cas actuellement.
Cette décision fait suite à l’avis émis en janvier dernier par le Haut-Conseil de santé publique. L’objectif est de lutter de manière efficace contre ce virus responsable du cancer du col de l’utérus. Par ailleurs, l’Inca conseille aussi aux femmes de ne pas négliger l’importance du frottis cervico-vaginal qui permet de détecter précocement l’apparition de lésions pré-cancéreuses.
Malgré les recommandations du Plan cancer 2009-2013 qui a notamment pour ambition d’améliorer considérablement la couverture vaccinale contre le HPV, les spécialistes estiment que moins d’un tiers des adolescentes françaises ont reçu les doses de vaccin nécessaires pour une bonne prévention contre l’HPV.

Afin de mieux faire passer le message et de sensibiliser le grand public, dès juin, l’Inca devrait lancer une grande campagne d’information sur l’intérêt du dépistage du cancer du col de l’utérus et de la vaccination contre l’HPV.
 

On ne devient pas macrophage par hasard (5)
La différenciation des cellules souches hématopoïétiques en macrophages circulants est parfois induite par l’infection elle-même.
Contrairement à l’idée généralement admise, la voie de différenciation dans laquelle s’orientent les cellules souches hématopoïétique (CSH) ne doit pas tout au hasard. Des chercheurs du Centre d’immunologie de Marseille-Luminy (Inserm, CNRS) ont démontré que des situations de stress pour l’organisme, telles qu’une infection ou une inflammation, peuvent inciter les CSH à se différencier préférentiellement en macrophage, ce qui apporte une réponse à la situation d’urgence.
Cette découverte est issue de l’étude de la réponse des CSH à la M-CSF (macrophage colony-stimulating factor), une cytokine libérée lors d’épisodes infectieux ou inflammatoires. Les chercheurs de Marseille ont démontré que cette molécule signal active directement un gène codant le facteur de transcription PU.1, central dans la voie de différenciation myéloïde.
In vitro, la vidéo-microscopie en fluorescence montre une activation du promoteur de PU.1 sous l’influence d’un milieu riche en M-CSF. De plus en plus de cellules vont exprimer ce gène et s’inscrire dans une voie de différenciation marquée par la signature génique des cellules myéloïdes. In vivo, de fortes concentrations systémiques de M-CSF activent l’expression de PU.1 via un récepteur spécifique à la cytokine et induisent la différenciation préférentielle en cellules myéloïdes.
Ces résultats mettent à mal l’idée que le choix de la lignée dans laquelle se différencient les CSH se fait au hasard. Sensibles aux signaux physiologiques, elles réagissent à un marqueur moléculaire de l’infection en augmentant le nombre de macrophages circulants. Ces données ouvrent un nouvel axe de recherche pour le développement de traitements stimulant la réponse naturelle aux infections, une approche très attendue en particulier chez des patients immunodéprimés suite à une greffe.

L’UNICEF rappelle qu’un enfant sur cinq n’est toujours pas vacciné  (6)
A l’occasion de la Semaine mondiale de la vaccination, l’UNICEF a affirmé qu’un million et demi d’enfants ne seraient pas morts en 2011 s’ils avaient été vaccinés. Mais un enfant sur cinq ne bénéficie pas des vaccins essentiels à cause de l’exclusion sociale ou géographique, du manque de ressources, de systèmes de santé défaillants ou de conflits comme ceux qui font rage aujourd’hui en Syrie et dans certaines régions d’Afrique de l’Ouest.
Pendant la Semaine mondiale de la vaccination 2013, l’UNICEF et ses partenaires gouvernementaux et des Nations Unies sensibiliseront la communauté internationale au problème, en expliquant qu’il est urgent de toucher jusqu’au dernier enfant, au moyen de manifestations nationales et d’activités de communication dans les médias sociaux ou traditionnels.
L’UNICEF publiera sur son site web et dans les médias sociaux des articles sur les initiatives en matière de vaccination dans le monde entier, notamment en Afghanistan, au Nigéria et au Pakistan où la polio est encore endémique.

En bref : un peu de stress serait bon pour la santé(7)
Dans une étude publiée dans la revue eLife, des chercheurs de l’université de Californie à Berkeley détaillent comment un stress modéré peut agir sur le cerveau et améliorer les performances chez le rat.
L’expérience est simple : immobiliser les rats dans leur cage pour quelques heures. Ce stress modéré aboutit à la sécrétion d’une protéine appelée facteur de croissance des fibroblastes 2 (FGF2) par les astrocytes. Ces derniers constituent une famille de cellules gliales particulières connues jusqu’ici pour maintenir et protéger les neurones. Ces résultats montrent qu’elles auraient également un rôle critique dans la régulation des fonctions cérébrales et dans la gestion du stress.
Les chercheurs ont démontré que le FGF2 aboutissait à la libération d’une hormone appelée corticostérone. Cette dernière induit la prolifération de cellules nerveuses dans l’hippocampe, une région cérébrale qui joue un rôle central dans la mémoire. Les auteurs ont observé que la mémoire des rats ne changeait pas après deux jours, mais se perfectionnait deux semaines après le test. « Il faut un peu de temps pour que les nouvelles cellules deviennent matures et fonctionnent correctement », explique Daniela Kaufer, directrice de l’étude. Elle ajoute que « dans l’environnement, des situations de stress modéré se produisent très régulièrement. Elles permettent aux animaux d’être en alerte constante et de faire face à différentes situations. »

Cancer du sein : la progression des métastases mieux comprise (8)
Des chercheurs de l'Université de Montréal affirment avoir trouvé une cible potentielle pour freiner la progression des métastases. Ces tumeurs secondaires sont considérées comme la principale cause de décès chez les personnes atteintes du cancer du sein. En fait, elles sont responsables de 90 % des décès de personnes atteintes du cancer.
Selon l’étude publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), le Pr Jean-François Côté et ses collègues de la Faculté de médecine estiment leur découverte importante dans la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires à la base de ce processus néfaste.
La médecine savait déjà que deux principaux sous-types de cancer du sein (HER2+ et les Basal) ont tendance à être métastatiques et récurrents et sont associés à un faible taux de survie.
L'équipe montréalaise s'est concentrée sur le HER2+ chez la souris qui représente environ 25 % des cas de cancer du sein chez l'humain.
Elle a identifié la protéine DOCK1 comme étant un régulateur important des métastases. Ainsi, lorsque cette protéine est éliminée chez les souris, les chercheurs ont observé une nette diminution des métastases aux poumons.
Pour établir une corrélation entre cette protéine et le pronostic du cancer du sein, les chercheurs ont réalisé une analyse de plusieurs bases de données d'expression génique de patientes. Constat : une présence élevée de DOCK1 chez les personnes atteintes des cancers du sein HER2+ ou Basal est associée à un plus faible pronostic, soit la réapparition de la maladie.
Ces travaux ont permis de définir une nouvelle molécule essentielle à la progression du cancer du sein jusqu'au stade de la métastase. Ils ont aussi permis d'identifier d'autres marqueurs qui pourraient devenir des cibles potentielles pour bloquer la progression des métastases.
« Ces résultats pourraient éventuellement mener au développement de médicaments qui limiteraient la propagation des cancers du sein métastatiques et qui pourraient ainsi améliorer le pronostic des personnes atteintes. » — Pr Jean-François Côté
Le détail de ces travaux est publié dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

Dr. Zitouni Imounachen

Sources:
(1)  PMA
(2) http://www.pharmacies.ma 
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4) http://www.informationhospitaliere.com
(5)
http://www.biofutur.com
(6) http://www.mypharma-editions.com
(7) http://www.futura-sciences.com
(8)
http://www.radio-canada.ca

 
 
 
 

INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE

Sanofi a signé trois conventions avec l'état marocain
En marge de l'inauguration, mercredi à Casablanca, d'une nouvelle plateforme logistique pour la distribution des produits pharmaceutiques du groupe pharmaceutique Sanofi, trois conventions viennent d’être signées entre le premier groupe pharmaceutique Français et le ministère de la Santé.

La première convention, sur une durée de trois ans, sera consacrée au diabète avec l'objectif d'élaborer des protocoles de prise en charge standard de l'enfant et de l'adolescent diabétiques, à mettre en place un programme d'éducation thérapeutique standardisé, à mettre à niveau onze des centres de consultation en diabétologie pédiatrique existants, à créer deux nouveaux centre à Oujda et Agadir et à former des professionnels de santé et du personnel paramédical à la prise en charge de l'enfant et de l'adolescent diabétiques.

La 2e convention, conclue entre Sanofi-Aventis Groupe et plus particulièrement la division accès aux médicaments, Sanofi-Aventis Maroc et le ministère de la Santé, sur une durée de cinq ans, sera consacrée aux troubles mentaux et à l'épilepsie. Elle a pour objectif de renforcer la prise en charge des personnes atteintes de ces pathologies au Maroc, grâce à la formation de quelque 40 psychiatres, 40 neurologues, 160 médecins généralistes et 160 infirmiers ainsi qu'à la sensibilisation de la population marocaine.

La 3e convention, conclue entre Sanofi-Aventis Maroc, le ministère de la Santé et le ministère du Commerce, de l'Industrie et des Nouvelles technologies, porte sur la contribution de Sanofi-Aventis Maroc au Contrat Programme national visant à définir un cadre général pour le développement de l'industrie pharmaceutique marocaine. Sanofi-Aventis Maroc contribuera à la formation des opérateurs, techniciens et cadres du ministère de la Santé aux métiers de l'industrie pharmaceutique notamment aux bonnes pratiques de distribution, à l'hygiène, la sécurité et l'environnement et à la logistique-distribution.
Source: PMA

Inauguration de la plateforme de distribution Sanofi: .
Photos: lien

Vidéo: lien

Vidéo intéressante:
La HAS vous parle du diabète type 2  
Lien

AGENDA

 AVRIL 
  25 avril 2013
Événement: Première Journée Nationale sur les Dispositifs médicaux  
Thème: "Quelle matériovigilance pour le Maroc?"
Lieu:  Amphithéâtre du Centre Anti Poison et de Pharmacovigilance du Maroc
Ville: Rabat
Pays: Maroc
Programme: lien
Affiche: lien
Contact: Dr. F. Abadi Email : abadifatima7@yahoo.fr

 26 au 27 avril 2013
Événement: 
Xèmes Journées d'Internat et de Résidanat en pharmacie 
Lieu:  Conseil de l'ordre des Médecins 
Ville: Rabat
Pays: Maroc

Programme et inscription: jirp2013.on.ma
Contact: jirp2013@gmail.com 

 MAI 
 Samedi 10 & 11 mai 2013 
Événement: PREMIER COLLOQUE NATIONAL DE PHARMACOEPIDEMIOLOGIE & PHARMACOECONOMIE    
Lieu: Faculté de Médecine et de Pharmacie de Rabat
Organisateurs: Équipe de Recherche de Pharmacoépidémiologie & pharmacoéconomie
Ville: Rabat
Pays: Maroc
Pré-programme: lien
Annonce: lien
Inscription: lien 
Site
: lien 

 Samedi 11 et 12 mai 2013 
Événement: VIIèmes Journées Pharmaceutiques de la région de Tadla-Azial    

Ville: Beni Mellal
Pays: Maroc

Organisateurs: USPORETA 

 17 & 18 mai 2013 
Événement: 10ème Édition du Cours Supérieur Francophone de Sénologie 
Thème: "La chimiothérapie neoadjuvante changera-t-elle la stratégie thérapeutique?"
Lieu: Faculté de Médecine et de Pharmacie d'Oujda
Ville: Essaouira
Pays: Maroc
Programme : Lien 
Contact: Président du Cours: Dr. Faouzi Habib

 17 & 18 mai 2013 
Événement: QUATRIEME EDITION DU PRIX SRPOO DE RECHERCHE ET JOURNEE DU SRPOO
Lieu: Faculté de Médecine et de Pharmacie d'Oujda
Ville:Oujda
Pays: Maroc
Appel à candidature ( Dernier délai 15 mars 2013 ) Lien 
Programme: lien
Contact:
Email: fatiha_miri@hotmail.com 

Tél.: 05 36 6834 90


 25 mai 2013 
Événement: 3ème JOURNÉE PHARMACEUTIQUE DE ZEMMOUR 
Lieu: Hôtel Dayet Roumi-Khemisset  
Ville: Khemisset
Pays: Maroc
Contact: 
abdelhamid.nacer@gmail.com

 24 et 25 mai 2013 
Événement: 7èmes Journées Pharmaceutiques de Fès
Thème: "Maladies cancéreuses, implication du Pharmacien d’officine
Ville: Fès
Pays: Maroc
Organisateurs: Chambre Syndicale des Pharmaciens d'Officine de Fès
Programme: 
lien

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

HYPOSALIX®
Laboratoire: IdexPharme-groupe Biocodex
Propriété: PHYPOZALIX est un substitut salivaire indiqué dans les Hyposialies ou les Asialies notamment celles secondaires à l’irradiation des voies supérieures aéro-digestives.
Forme et présentation: solution pour pulvérisation endo-buccale en flacon de 100 ml
PPM: 100,00 Dhs


OTILYS
®
Laboratoire: IdexPharme-groupe Biocodex
Composition: Solution d’eau de mer filtrée et contrôlée microbiologiquement contenant environ 24g/L de NaCl.
Présentation:
flacon de 30 ml
Indication: flacon de 30 ml au PPM de 65 dirhams.
PPM: 65 dirhams.


VOLTFAST
® 50 MG
Laboratoire: Novartis
Composition: Diclofenac
Propriété: AINS
Forme et présentation: Boite de 9 sachets de poudre pour solution à boire.
PPM: 49,70 Dhs

TIAFLAM® 100 mg

Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 11,60 Dhs
-Boîte de 20 comprimés 
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 30 comprimés 
PPM : 26,00 Dhs


TIAFLAM® 200 mg

Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 20 comprimés 
PPM : 36,00 Dhs

CEDOL ®
Laboratoires : SYNTHEMEDIC
Composition : Paracétamol et codéïne
Propriété: Antalgique
Propriété: traitement de la douleur chez l'adulte d'intensité modérée à intense.
Formes et présentations :
Boîte de 20 comprimés
PPM : 22,00 Dhs

NOPOROSE® 35 mg

Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Risédronate monosodique
Indication : Bisphosphonate indiqué dans le traitement de l’ostéoporose
Formes et présentations :
-Boîte de 4 comprimés pelliculés
PPM : 194,60 Dhs
-Boîte de 12 comprimés pelliculés
PPM : 499,40 Dhs


BELMAZOL® 20 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Oméprazole
Indication : Traitement et prévention des ulcères gastro-duodénaux ; traitement et prévention des lésions dues aux AINS ; traitement du reflux gastro-oesophagien
Forme et présentation : Boîte de 7 gélules
PPM : 22,50 Dhs

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Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
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