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Médicaments :
entre pénurie et péremption… |
Depuis la déclaration
faite par le ministre de la santé,
El Houssaine Louardi à Genève le 19
février, le scandale des 250 tonnes
de médicaments périmés dont il a
hérité a une fois de plus refait surface(1).
Cette annonce coïncide
malheureusement avec une pénurie en
médicaments qui semble affecter
plusieurs établissements
hospitaliers du Royaume. D’après le
journal Al Akhbar(2),
l’Hôpital Avicenne sera bientôt
touché par cette pénurie de
médicaments. Les praticiens de cet
établissement auraient reçu au début
du mois de janvier un courrier leur
annonçant une rupture de stock
affectant les antibiotiques. Et
depuis peu, les chirurgiens de ce
CHU craignent de ne pas pouvoir
continuer leur activité faute de
médicaments tels que les
anesthésiques, les antalgiques, les
anticoagulants, etc. Toujours,
d’après ce même journal, cette
situation serait liée à une
surconsommation des médicaments par
les malades bénéficiaires du Ramed
Le problème de la péremption n’est
pas propre à notre pays puisque des
nations réputées pour leur
organisation et leur bonne gestion
comme la Suisse, ont une perte
annuelle en médicaments périmés qui
est évaluée entre 500 millions et
1,4 milliard de franc(3).
Mais contrairement à ces pays, le
Maroc et malgré tous les efforts
déployés, n’arrive toujours pas à
subvenir aux besoins en
médicaments de tous les malades . A ceci s’ajoute le fait
qu’il n’a pas, non plus, les moyens
de se débarrasser de ce lourd
fardeau que constituent les
médicaments impropres à la
consommation et fait craindre le
pire pour l’environnement.
Aujourd’hui, le Maroc se démène
comme il peut pour mettre les
médicaments à la disposition des
plus démunis. Le Ramed est un projet
cher à tous les marocains puisqu’il
permettra de combattre certaines
inégalités devenues aujourd’hui
incompatibles avec l’article 31 de
la nouvelle constitution(4).
Mais la concrétisation d’un projet
aussi ambitieux nécessite d’énormes
moyens financiers et surtout des
ressources humaines qualifiées pour
assurer une bonne gestion des stocks
des médicaments et des produits de
santé, et in fine, garantir une
adéquation entre les besoins et les
commandes. Dans le cas contraire,
les assurés continueront à acheter
les médicaments de leurs poches
tandis que d’autres spécialités
pharmaceutiques continueront à se
périmer avec tous les risques
sanitaires et environnementaux que
cela comporte. |
Dr. Abderrahim Derraji |
(1) L’ÉCONOMISTE,
n°3971, page 31, du 19/02/2013
(2) Al AKHBAR, n°81, pages1-3, du 20
/02/ 2013
(3) L’HEBDO 17.08.2011 :
lien
(4) Article 31 (extrait) : L’État,
les établissements publics et les
collectivités territoriales œuvrent
à la mobilisation de tous les moyens
à disposition pour faciliter l’égal
accès des citoyennes et des citoyens
aux conditions leur permettant de
jouir des droits : aux soins de
santé, à la protection sociale, à la
couverture médicale et à la
solidarité mutualiste ou organisée
par l’État,etc. |
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Nous
nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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Les moustiques s'habituent vite aux
répulsifs
(1) |
Une équipe de chercheurs anglais a
montré dans une étude publiée en
février par la revue Plos One qu'Aedes
aegypti,un des moustiques très
répandu, connu pour son rôle dans la
transmission de maladies
vectorielles, pourrait perdre,
durant quelques heures au moins, sa
sensibilité à l'odeur de répulsif.
Tout au moins ceux contenant du DEET
(N, N-diéthyl-m-toluamide). Une
substance chimique découverte dans
les années 1950 qui repousse les
insectes (moustiques, puces, tiques,
mouches piquantes des étables et
aoûtats) et qui est aujourd'hui
largement utilisée.
Dans cette étude, il s'agit d'un
changement de comportement: les
moustiques femelles qui sont une
première fois repoussés par l'odeur
du produit aspergé sur les bras
d'une personne ne le sont plus trois
heures plus tard alors qu'ils se
retrouvent à nouveau en présence de
ce même répulsif.
Pour les chercheurs, cette soudaine
indifférence à l'odeur du produit
pourrait être liée à une diminution
de la sensibilité des récepteurs
olfactifs placés sur leurs antennes.
En raison de la rapidité de la
transformation - quelques heures -
il ne peut en tout cas s'agir d'une
évolution génétique, ajoutent-ils.
Des chercheurs sont à pied d'œuvre
pour tenter de trouver des
substituts à ce type de répulsif. Il
y a un peu plus d'un an, des
entomologistes de l'Université de
Californie à Riverside publiaient
une étude dans Nature sur des
mécanismes permettant de tromper le
flair des moustiques. Des molécules
susceptibles de perturber les
organes sensoriels de l'insecte «qui
présentent de grands avantages pour
réduire les contacts entre
moustiques et humains et peuvent
conduire à une nouvelle génération
de répulsifs et de leurres»,
expliquait Anandasankar Rayn, un des
auteurs de l'étude.
L'enjeu est de taille car ce
moustique est sur le banc des
accusés dans la propagation de la
dengue et du chikungunya dans le
monde. Des maladies qui ne cessent
de s'étendre en Asie et dans les
pays tropicaux et qui pourraient
bien s'installer dans les années qui
viennent en Europe. |
Bientôt une mutuelle pour les
commerçants (2) |
Le ministère de l’Industrie, du
commerce et des nouvelles
technologies s’attelle à un projet
novateur qui permettra aux
commerçants et aux membres de leurs
familles de bénéficier notamment
d’une couverture médicale et d’une
retraite. Pour garantir le succès de
ce nouveau régime de protection
sociale, le département de
Abdelkader Amara adopte une approche
progressive. « La démarche consiste
à procéder par étapes, en commençant
par la couverture maladie, et de
capitaliser sur les enseignements
tirés des expériences passées »,
souligne une source au ministère.
Notre interlocuteur fait référence à
l’expérience « Inaya ». Lancée en
2006, cette expérience s’est avérée
être un véritable fiasco. Les
objectifs escomptés n’ont pas été
atteints. En termes de chiffres, ce
sont 7 000 personnes qui ont opté
pour ce régime de couverture
médicale, soit 1,4% de l’objectif
fixé des 500 000 adhérents en 2008,
et ce pour plusieurs raisons.
« Il s’agit essentiellement de
l’inexistence de mécanismes
permettant le contrôle du respect de
l’obligation instaurée par la loi
n°03-07 relative à l’assurance
maladie obligatoire de base pour les
indépendants et garantissant aux
assurances le recouvrement régulier
des cotisations des commerçants »,
explique la même source.
D’autres raisons sont liées au
produit lui-même et à sa gestion. Le
coût des offres proposées est jugé
trop élevé par rapport aux revenus
de la population cible et par
rapport aux prestations proposées.
Les cotisations varient de 2 300 Dh
à 5 300 Dh par an et par ménage
moyen (2 adultes et 3 enfants). |
Comment valoriser les efforts des
enfants (3) |
Selon cette étude, publiée dans la
revue Child Development , les
marques d'approbation centrées sur
les efforts et les compétences de
l'enfant («tu as vraiment bien
travaillé») produiraient davantage
d'effets positifs que celles
valorisant la personne même de
l'enfant («tu es un bon garçon» ou
«tu as été sage»). Pour arriver à
ces conclusions, les chercheurs des
universités de Chicago et de
Stanford ont filmé 53 enfants et
leurs parents à la maison, pendant
plusieurs séquences de 90 minutes,
espacées selon l'âge des enfants (1,
2 et 3 ans). Elizabeth Gunderson et
ses collègues ont ensuite revu les
enfants à l'âge de 7-8 ans afin de
les interroger sur l'apprentissage,
l'intelligence et le goût des défis.
Comparés aux enfants valorisés quant
à leur propre personne, les enfants
complimentés sur leurs efforts et
leurs compétences ont montré
certaines facilités. Plus aptes au
challenge, ces derniers élaboraient
davantage de stratégies pour lutter
contre l'échec, persistaient dans
une tâche devenue difficile, et
pensaient que l'intelligence et la
personnalité n'étaient pas figées
pour l'avenir. Chez ces derniers,
«le travail et l'effort sont perçus
comme des moyens utiles pour
améliorer leurs capacités, ce qui
les conduit davantage à affronter
les défis avec plaisir et à
persister après un échec», affirme
Elizabeth Gunderson.
Cette étude démontre notamment
pourquoi les enfants valorisés en
fonction de leurs efforts et de
leurs compétences redoutent moins
l'échec. En disant par exemple «je
ne suis pas d'accord avec ta façon
de tenir le guidon», la remarque
devient alors la conséquence d'une
simple erreur de stratégie.
«En France, appréciations et
notations dévalorisantes demeurent
la règle bien qu'elles sapent les
apprentissages, déplore Gisèle
George. Si au contraire, parents
comme enseignants prenaient le temps
de valoriser ce que l'enfant sait
faire, ce dernier intégrerait qu'il
sait choisir lui-même l'option
gagnante. S'il se trompe, l'erreur
devient source d'apprentissage car
ayant réfléchi sur le problème,
l'enfant changera de stratégie et il
pourra apprendre de ses échecs. Sur
le long terme, il parviendrait à une
meilleure estimation de ses
compétences et ses capacités.»
Plus qu'un indice de bonne conduite
parentale, ces travaux pourraient
bien alimenter les réflexions
concernant la réforme de la
refondation de l'école. En ce sens,
le rapport issu de la concertation
prône la disparition des «notes
sanctions» au profit d'une
«évaluation positive». |
Une florissante «industrie» de faux
certificats médicaux (4) |
Quel est le coût de la chaise vide?
Aucune estimation de ce que coûtent
les «absences de confort» à
l’Administration publique, ou au
secteur privé n’existe. Des
absences, justifiées le plus souvent
par des certificats médicaux de
complaisance.
Dans la fonction publique surtout à
l’Education nationale, le phénomène
prend l’ampleur d’une pandémie. Les
statistiques ne sont pas
centralisées et chaque département
garde «jalousement» ses chiffres.
Mais ce tabou a été récemment brisé
par le ministre de l’Education
nationale. Quitte à se fâcher avec
les puissants syndicats du secteur,
Mohamed El Ouafa n’a pas hésité à
dénoncer les absences injustifiées
sans pour autant préciser le nombre
de journées de travail perdues, ni
le coût. En six mois, ce département
a enregistré plus de 17.600
certificats médicaux dont la
majorité est délivrée par le secteur
privé. Et à lui seul, un médecin a
délivré 229 certificats! Ceci ne
veut pas dire que c’est une
exclusivité de quelques praticiens
du privé. Des internes dans les CHU
et des centres de santé publics
arrondissent leur fin de mois avec
les «recettes» de certificats
médicaux.
Le phénomène existe depuis des
années et il est connu de tous au
point de se banaliser. Il est certes
lucratif pour les médecins, mais
source de problèmes dans
l’administration et aussi dans
l’entreprise.
Dans le cas de l’Education
nationale, le «service» rendu aux
profs par certains médecins lèse en
premier les élèves. C’est même un
problème de plus pour le système de
l’enseignement qui a déjà du mal à
s’améliorer. L’Education nationale
n’est pas l’unique fief de
l’absentéisme. La gangrène atteint
tous les départements sans
exception.
Dans le secteur privé, les
statistiques sur les indemnités
journalières de maladie (IJM)
donnent une tendance relative sur le
phénomène même s’il est difficile de
mesurer l’étendue du faux. Le hic
est que l’on peut rarement remettre
en cause un certificat même si un
contrôle médical est opéré après le
dépôt du dossier pour bénéficier des
indemnités journalières maladie.
Tout au plus, les services de la
CNSS peuvent revoir à la baisse le
nombre de jours accordés par le
médecin traitant. En instituant un
délai de carence de 3 jours, la CNSS
a essayé de dissuader les arrêts
maladie bidon. Les indemnités ne
sont accordées qu’à partir du
quatrième jour d’incapacité. Mais la
réalité est là. Les certificats
médicaux de complaisance accordés à
tour de bras dérangent, posent
problème et peuvent être source de
dégâts importants.
Cette enquête montre que se procurer
un certificat médical de
complaisance est aussi facile que
rapide. L’acte s’est banalisé. Pas
besoin de simuler une maladie. Il
suffit de se présenter chez le
médecin et de lui demander
directement un certificat médical.
La réalité du terrain révèle
l’organisation d’une véritable
industrie. Aucun des médecins
auxquels L’Economiste a rendu visite
n’a hésité à délivrer le fameux
«sésame». |
L’Académie de Médecine à la
rescousse des statines (5) |
En
un quart de siècle, chez plus de
170.000 personnes, hommes et femmes,
âgés de trente à quatre-vingt ans,
les scientifiques de tous les pays
ont réalisé des études rigoureuses
sur les effets des statines. Ils ont
démontré leur bénéfice dans la
prévention de la récidive des
accidents cardiovasculaires. Ils ont
ensuite démontré un effet bénéfique
chez les adultes n’ayant pas encore
eu d’accident cardiovasculaire.
Une baisse de 40mg /dl de la
concentration plasmatique de LDL
cholestérol réduit les accidents
cardiovasculaires majeurs d’environ
20 pour cent et la mortalité totale
d’environ 9 pour cent. En
association avec tous les progrès
médicaux et sociaux des dix
dernières années, les statines
participent à une réduction continue
des décès cardiovasculaires.
L’utilisation des génériques
diminuant le coût du traitement le
rend économiquement avantageux dans
toutes les indications actuelles
formulées par la Haute Autorité de
Santé.
Ce résumé de plus d’un demi-siècle
de médecine conduit à recommander
d’éviter tout arrêt d’une
prescription de statine surveillée
régulièrement par le médecin
traitant et le pharmacien. Une
méfiance injustifiée vis-à-vis de
l’intérêt des mesures de la
cholestérolémie et des prescriptions
initiales de statines conformes aux
recommandations actuelles aurait sur
plusieurs années, plus de risque
d’être dangereuse que bénéfique pour
les personnes qui accorderaient
crédit aux opinions défavorables
diffusées largement dans la presse
par quelques-uns. Il est
indispensable que chacun fonde son
opinion sur la base des résultats
bénéfiques validés en toute
indépendance par l’ensemble du monde
scientifique, tels qu’ils sont
résumés dans ce communiqué. Le choix
d’être traité pendant de nombreuses
années relève de chaque personne,
complètement informée par le médecin
traitant et le pharmacien, selon son
histoire médicale complète, son âge,
son sexe, ses antécédents familiaux,
et son taux de lipoprotéines LDL
dans le sang. |
Les perturbateurs endocriniens
inquiètent les agences de l'Onu
(6) |
Dans un rapport publié mardi, deux
agences de l'Onu estiment que de
nombreuses substances chimiques,
dont les effets perturbateurs sur le
système endocrinien pourraient
favoriser l'émergence de cancers ou
de troubles du système nerveux,
doivent faire l'objet de recherches
approfondies.
Le Programme des Nations unies pour
l'environnement (PNUE) et
l'Organisation mondiale de la santé
(OMS) mettent en évidence les
risques que représentent ces
substances, appelées perturbateurs
endocriniens, quand elles pénètrent
dans l'environnement.
Certains perturbateurs endocriniens
sont naturels alors que d'autres,
présents dans les pesticides, les
appareils électroniques, les
produits d'hygiène personnelle et
les cosmétiques, sont synthétiques,
souligne l'étude. « Près de 800
substances chimiques sont reconnues
ou suspectées d'interférer avec les
récepteurs hormonaux et avec la
synthèse ou la conversion des
hormones », soulignent les agences.
« Toutefois, seule une petite
fraction de ces substances ont été
étudiées par des tests à même
d'identifier leurs effets
perturbateurs », ajoutent-elles.
Ces perturbateurs peuvent contribuer
à plusieurs types de pathologies,
comme « la cryptorchidie (absence
d'un ou des deux testicules dans le
scrotum) chez le jeune garçon, du
cancer du sein chez la femme, du
cancer de la prostate, de troubles
du développement du système nerveux
[...] chez l'enfant, ainsi que du
cancer de la thyroïde », selon les
agences de l'ONU. |
|
Dr.
Zitouni
Imounachen
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Sources:
(1)
http://sante.lefigaro.fr
(2)
http://www.lesoir-echos.com
(3)
http://sante.lefigaro.fr
(4)
http://www.leconomiste.com
(5)
http://www.informationhospitaliere.com
(6) http://www.futura-sciences.com |
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Programme
d'Officine Expo 2013:
Lien |
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Journée de OUed - Eddahab Lagouira (Dakhla)
en Photo
Lien |
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Le
CHMP recommande l’autorisation du
vaccin pédiatrique 6-en-1 Hexyon™/
Hexacima™ |
Le
Comité des médicaments à usage
humain (CHMP) de l’Agence européenne
des médicaments (EMA) a recommandé
l’autorisation de mise sur le marché
du vaccin pédiatrique 6-en-1 Hexyon™/
Hexacima™ de Sanofi Pasteur.
« Hexyon™ / Hexacima™ est le seul
vaccin 6-en-1 100 % liquide prêt à
l’emploi pour la protection des
nourrissons contre la diphtérie, le
tétanos, la coqueluche, l’hépatite
B, la poliomyélite et les infections
invasives causées par l’ Haemophilus
influenzae de type b », souligne le
laboratoire dans un communiqué.
Le nouveau vaccin sera commercialisé
sous le nom de marque Hexyon™ dans
les pays d’Europe de l’Ouest* par
Sanofi Pasteur MSD, co- entreprise
entre MSD et Sanofi Pasteur , et
sous le nom de marque Hexacima™ par
Sanofi Pasteur dans les pays
d’Europe de l’ Est.
Une fois enregistré, il sera indiqué
pour la primo – vaccination et la
vaccination de rappel des enfants à
partir de l’âge de six semaines
suivant les recommandations
officielles. L’opinion positive du
CHMP s’appuie sur les résultats
d’études cliniques multicentriques
impliquant près de 5 000 enfants.
Les études cliniques de phase III
comparant Hexacima™ /Hexyon™ aux
vaccins combinés déjà homologués ont
montré que ce dernier est bien
toléré et qu’il induit une réponse
immunitaire robuste contre les six
maladies ciblées.
Source: Mypharma |
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Rôle du générique dans l'accès aux
soins au Maroc |
Diaporama
présenté par le Dr. Reda Hajoui,
Secrétaire général de COOPER-PHARMA
le 13 février 2013
Lien |
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PROCHAINS
EVENEMENTS |
1
& 2 mars 2013
Événement: OFFICINE
EXPO 2013
Lieu:
Palais des Congrès
Ville:
Marrakech
Pays:
Maroc
Programme: lien
Contact:
Easy ComE-Mail : maroc.easycom@gmail.com
1
& 2 mars 2013
Événement: LES
XIX EME ECHANGES INTERNATIONAUX DE
DERMASTIC
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact:
E-Mail: dermastic.asso@hotmail.com
drbourra@hotmail.com
Site web:
www.dermastic.asso.ma
Tél.: 05 22 22 10 86
En savoir plus:
lien
13
mars 2013 au 16 mars 2013
Evénement: ALGeneric
4éme ESalon International du
Médicament Génériquedition d'ALGENERIC
Thème:
" Le générique, d'un défi à
l'autre"
Lieu:
Safex Pavillon S
Ville:
Alger
Pays:
Algérie
Contact:
ALGENCY:
Tél.:+213 (0) 21 94 52 33
E-Mail: info@algeneric.com |
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 |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma. |
TIAFLAM® 100 mg
Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 11,60 Dhs
-Boîte de 20 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 30 comprimés
PPM : 26,00 Dhs
TIAFLAM® 200 mg
Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 20 comprimés
PPM : 36,00 Dhs
NOPOROSE® 35 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Risédronate monosodique
Indication : Bisphosphonate indiqué dans
le traitement de l’ostéoporose
Formes et présentations :
-Boîte de 4 comprimés pelliculés
PPM : 194,60 Dhs
-Boîte de 12 comprimés pelliculés
PPM : 499,40 Dhs
BELMAZOL® 20 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Oméprazole
Indication : Traitement et prévention des
ulcères gastro-duodénaux ; traitement et
prévention des lésions dues aux AINS ;
traitement du reflux gastro-oesophagien
Forme et présentation : Boîte de 7 gélules
PPM : 22,50 Dhs
BIPRETERAX
®
10mg/2,5mg
Laboratoires :SERVIER
Composition : Périndopril/indapamide
Forme et présentation :30 comprimés pélliculés
Indication:Hypertention artérielle
PPM: 243,00 Dhs
NURODOL400 ®
Laboratoires :SYNTHEMEDIC
Composition : Ibuprofène
Forme et présentation :30 comprimés enrobés
Indication: AINS
PPM: 30,00 Dhs
ZUCAM®
Granulés
Laboratoires : MC
PHARMA
Composition : Paracetamol, Acide
ascorbique, phéniramine et phényléphrine.
Forme et présentation :10
sachets
Indication:
États grippaux et rhume
PPM: 20,00 Dhs
BROXYL®
0,3%
Laboratoires : MC
PHARMA
Composition : Ambroxol
Forme et présentation :
Flacon de 250 ml dosé à 15mg/ml
Indication:
Muco-régulateur
PPM: 33,00 Dhs
PARANTAL®
3%
Laboratoires : Laprophan
Composition : Paracetamol
Forme et présentation :
solution buvable avec seringue doseuse
graduée en Kg de poids, en flacon de 90 ml.
Indication:
Antalgique et antipyrétique
PARANTAL®
300 mg, granulés en sachets.
Laboratoires : Laprophan
Composition : Paracetamol
Forme et présentation :Boite de 12
sachets
Indication:
Antalgique et antipyretique
PARANTAL®
300mg, suppositoires enfants
Laboratoires : Laprophan
Composition : Paracetamol
Forme et présentation :
Boite de
10 suppositoires
Indication:
Antalgique et antipyrétique
CARDINOR®
Laboratoires : COOPER-PHARMA
Composition : Carvedilol
Indication:Carvedilol
est un alpha-bêta bloquant indiqué dans le
traitement de
- L'hypertension artérielle
- L'angine de poitrine
- L'insuffisance cardiaque
Formes et présentations:
Boite de
30 comprimés
sécables dosés à 6,25 mg
PPM: 47 Dhs
Boite de
60 comprimés
sécables dosés à 6,25 mg
PPM: 89 Dhs
Boite de 30 comprimés
sécables dosés à 25 mg
PPM: 95 Dhs
Boite de
60 comprimés
sécables dosés à 25 mg
PPM: 180 Dhs
ATAMEL
500 mg®
Laboratoires : PFIZER
Composition : Paracetamol
Forme et présentation : Boite de 20 comprimés
dosés à 500 mg
Indication:Antalgique
et antipyrétique
PPM : 7.00 Dh
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risque cardiovasculaire, PPM d'une
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seront les bienvenues. |
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