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Numéro: 176

25 février 2013  

11857  destinataires

 
Médicaments : entre pénurie et péremption…

Depuis la déclaration faite par le ministre de la santé, El Houssaine Louardi à Genève le 19 février, le scandale des 250 tonnes de médicaments périmés dont il a hérité a une fois de plus refait surface(1).

Cette annonce coïncide malheureusement avec une pénurie en médicaments qui semble affecter plusieurs établissements hospitaliers du Royaume. D’après le journal Al Akhbar(2), l’Hôpital Avicenne sera bientôt touché par cette pénurie de médicaments. Les praticiens de cet établissement auraient reçu au début du mois de janvier un courrier leur annonçant une rupture de stock affectant les antibiotiques. Et depuis peu, les chirurgiens de ce CHU craignent de ne pas pouvoir continuer leur activité faute de médicaments tels que les anesthésiques, les antalgiques, les anticoagulants, etc. Toujours, d’après ce même journal, cette situation serait liée à une surconsommation des médicaments par les malades bénéficiaires du Ramed
Le problème de la péremption n’est pas propre à notre pays puisque des nations réputées pour leur organisation et leur bonne gestion comme la Suisse, ont une perte annuelle en médicaments périmés qui est évaluée entre 500 millions et 1,4 milliard de franc(3). Mais contrairement à ces pays, le Maroc et malgré tous les efforts déployés, n’arrive toujours pas à subvenir aux besoins en médicaments de tous les malades . A ceci s’ajoute le fait qu’il n’a pas, non plus, les moyens de se débarrasser de ce lourd fardeau que constituent les médicaments impropres à la consommation et fait craindre le pire pour l’environnement.
Aujourd’hui, le Maroc se démène comme il peut pour mettre les médicaments à la disposition des plus démunis. Le Ramed est un projet cher à tous les marocains puisqu’il permettra de combattre certaines inégalités devenues aujourd’hui incompatibles avec l’article 31 de la nouvelle constitution(4). Mais la concrétisation d’un projet aussi ambitieux nécessite d’énormes moyens financiers et surtout des ressources humaines qualifiées pour assurer une bonne gestion des stocks des médicaments et des produits de santé, et in fine, garantir une adéquation entre les besoins et les commandes. Dans le cas contraire, les assurés continueront à acheter les médicaments de leurs poches tandis que d’autres spécialités pharmaceutiques continueront à se périmer avec tous les risques sanitaires et environnementaux que cela comporte.

Dr. Abderrahim Derraji

(1) L’ÉCONOMISTE, n°3971, page 31, du 19/02/2013
(2) Al AKHBAR, n°81, pages1-3, du 20 /02/ 2013
(3) L’HEBDO 17.08.2011 : lien
(4) Article 31 (extrait) : L’État, les établissements publics et les collectivités territoriales œuvrent à la mobilisation de tous les moyens à disposition pour faciliter l’égal accès des citoyennes et des citoyens aux conditions leur permettant de jouir des droits : aux soins de santé, à la protection sociale, à la couverture médicale et à la solidarité mutualiste ou organisée par l’État,etc.
 

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Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

Les moustiques s'habituent vite aux répulsifs (1)

Une équipe de chercheurs anglais a montré dans une étude publiée en février par la revue Plos One qu'Aedes aegypti,un des moustiques très répandu, connu pour son rôle dans la transmission de maladies vectorielles, pourrait perdre, durant quelques heures au moins, sa sensibilité à l'odeur de répulsif. Tout au moins ceux contenant du DEET (N, N-diéthyl-m-toluamide). Une substance chimique découverte dans les années 1950 qui repousse les insectes (moustiques, puces, tiques, mouches piquantes des étables et aoûtats) et qui est aujourd'hui largement utilisée.
Dans cette étude, il s'agit d'un changement de comportement: les moustiques femelles qui sont une première fois repoussés par l'odeur du produit aspergé sur les bras d'une personne ne le sont plus trois heures plus tard alors qu'ils se retrouvent à nouveau en présence de ce même répulsif.
Pour les chercheurs, cette soudaine indifférence à l'odeur du produit pourrait être liée à une diminution de la sensibilité des récepteurs olfactifs placés sur leurs antennes. En raison de la rapidité de la transformation - quelques heures - il ne peut en tout cas s'agir d'une évolution génétique, ajoutent-ils.
Des chercheurs sont à pied d'œuvre pour tenter de trouver des substituts à ce type de répulsif. Il y a un peu plus d'un an, des entomologistes de l'Université de Californie à Riverside publiaient une étude dans Nature sur des mécanismes permettant de tromper le flair des moustiques. Des molécules susceptibles de perturber les organes sensoriels de l'insecte «qui présentent de grands avantages pour réduire les contacts entre moustiques et humains et peuvent conduire à une nouvelle génération de répulsifs et de leurres», expliquait Anandasankar Rayn, un des auteurs de l'étude.
L'enjeu est de taille car ce moustique est sur le banc des accusés dans la propagation de la dengue et du chikungunya dans le monde. Des maladies qui ne cessent de s'étendre en Asie et dans les pays tropicaux et qui pourraient bien s'installer dans les années qui viennent en Europe.

Bientôt une mutuelle pour les commerçants  (2) 

Le ministère de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies s’attelle à un projet novateur qui permettra aux commerçants et aux membres de leurs familles de bénéficier notamment d’une couverture médicale et d’une retraite. Pour garantir le succès de ce nouveau régime de protection sociale, le département de Abdelkader Amara adopte une approche progressive. « La démarche consiste à procéder par étapes, en commençant par la couverture maladie, et de capitaliser sur les enseignements tirés des expériences passées », souligne une source au ministère. Notre interlocuteur fait référence à l’expérience « Inaya ». Lancée en 2006, cette expérience s’est avérée être un véritable fiasco. Les objectifs escomptés n’ont pas été atteints. En termes de chiffres, ce sont 7 000 personnes qui ont opté pour ce régime de couverture médicale, soit 1,4% de l’objectif fixé des 500 000 adhérents en 2008, et ce pour plusieurs raisons.
« Il s’agit essentiellement de l’inexistence de mécanismes permettant le contrôle du respect de l’obligation instaurée par la loi n°03-07 relative à l’assurance maladie obligatoire de base pour les indépendants et garantissant aux assurances le recouvrement régulier des cotisations des commerçants », explique la même source.
D’autres raisons sont liées au produit lui-même et à sa gestion. Le coût des offres proposées est jugé trop élevé par rapport aux revenus de la population cible et par rapport aux prestations proposées. Les cotisations varient de 2 300 Dh à 5 300 Dh par an et par ménage moyen (2 adultes et 3 enfants).

Comment valoriser les efforts des enfants (3)

Selon cette étude, publiée dans la revue Child Development , les marques d'approbation centrées sur les efforts et les compétences de l'enfant («tu as vraiment bien travaillé») produiraient davantage d'effets positifs que celles valorisant la personne même de l'enfant («tu es un bon garçon» ou «tu as été sage»). Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs des universités de Chicago et de Stanford ont filmé 53 enfants et leurs parents à la maison, pendant plusieurs séquences de 90 minutes, espacées selon l'âge des enfants (1, 2 et 3 ans). Elizabeth Gunderson et ses collègues ont ensuite revu les enfants à l'âge de 7-8 ans afin de les interroger sur l'apprentissage, l'intelligence et le goût des défis.
Comparés aux enfants valorisés quant à leur propre personne, les enfants complimentés sur leurs efforts et leurs compétences ont montré certaines facilités. Plus aptes au challenge, ces derniers élaboraient davantage de stratégies pour lutter contre l'échec, persistaient dans une tâche devenue difficile, et pensaient que l'intelligence et la personnalité n'étaient pas figées pour l'avenir. Chez ces derniers, «le travail et l'effort sont perçus comme des moyens utiles pour améliorer leurs capacités, ce qui les conduit davantage à affronter les défis avec plaisir et à persister après un échec», affirme Elizabeth Gunderson.
Cette étude démontre notamment pourquoi les enfants valorisés en fonction de leurs efforts et de leurs compétences redoutent moins l'échec. En disant par exemple «je ne suis pas d'accord avec ta façon de tenir le guidon», la remarque devient alors la conséquence d'une simple erreur de stratégie.
«En France, appréciations et notations dévalorisantes demeurent la règle bien qu'elles sapent les apprentissages, déplore Gisèle George. Si au contraire, parents comme enseignants prenaient le temps de valoriser ce que l'enfant sait faire, ce dernier intégrerait qu'il sait choisir lui-même l'option gagnante. S'il se trompe, l'erreur devient source d'apprentissage car ayant réfléchi sur le problème, l'enfant changera de stratégie et il pourra apprendre de ses échecs. Sur le long terme, il parviendrait à une meilleure estimation de ses compétences et ses capacités.»
Plus qu'un indice de bonne conduite parentale, ces travaux pourraient bien alimenter les réflexions concernant la réforme de la refondation de l'école. En ce sens, le rapport issu de la concertation prône la disparition des «notes sanctions» au profit d'une «évaluation positive».

Une florissante «industrie» de faux certificats médicaux  (4)

Quel est le coût de la chaise vide? Aucune estimation de ce que coûtent les «absences de confort» à l’Administration publique, ou au secteur privé n’existe. Des absences, justifiées le plus souvent par des certificats médicaux de complaisance.
Dans la fonction publique surtout à l’Education nationale, le phénomène prend l’ampleur d’une pandémie. Les statistiques ne sont pas centralisées et chaque département garde «jalousement» ses chiffres. Mais ce tabou a été récemment brisé par le ministre de l’Education nationale. Quitte à se fâcher avec les puissants syndicats du secteur, Mohamed El Ouafa n’a pas hésité à dénoncer les absences injustifiées sans pour autant préciser le nombre de journées de travail perdues, ni le coût. En six mois, ce département a enregistré plus de 17.600 certificats médicaux dont la majorité est délivrée par le secteur privé. Et à lui seul, un médecin a délivré 229 certificats! Ceci ne veut pas dire que c’est une exclusivité de quelques praticiens du privé. Des internes dans les CHU et des centres de santé publics arrondissent leur fin de mois avec les «recettes» de certificats médicaux.
Le phénomène existe depuis des années et il est connu de tous au point de se banaliser. Il est certes lucratif pour les médecins, mais source de problèmes dans l’administration et aussi dans l’entreprise.
Dans le cas de l’Education nationale, le «service» rendu aux profs par certains médecins lèse en premier les élèves. C’est même un problème de plus pour le système de l’enseignement qui a déjà du mal à s’améliorer. L’Education nationale n’est pas l’unique fief de l’absentéisme. La gangrène atteint tous les départements sans exception.
Dans le secteur privé, les statistiques sur les indemnités journalières de maladie (IJM) donnent une tendance relative sur le phénomène même s’il est difficile de mesurer l’étendue du faux. Le hic est que l’on peut rarement remettre en cause un certificat même si un contrôle médical est opéré après le dépôt du dossier pour bénéficier des indemnités journalières maladie. Tout au plus, les services de la CNSS peuvent revoir à la baisse le nombre de jours accordés par le médecin traitant. En instituant un délai de carence de 3 jours, la CNSS a essayé de dissuader les arrêts maladie bidon. Les indemnités ne sont accordées qu’à partir du quatrième jour d’incapacité. Mais la réalité est là. Les certificats médicaux de complaisance accordés à tour de bras dérangent, posent problème et peuvent être source de dégâts importants.
Cette enquête montre que se procurer un certificat médical de complaisance est aussi facile que rapide. L’acte s’est banalisé. Pas besoin de simuler une maladie. Il suffit de se présenter chez le médecin et de lui demander directement un certificat médical. La réalité du terrain révèle l’organisation d’une véritable industrie. Aucun des médecins auxquels L’Economiste a rendu visite n’a hésité à délivrer le fameux «sésame».

L’Académie de Médecine à la rescousse des statines   (5)

En un quart de siècle, chez plus de 170.000 personnes, hommes et femmes, âgés de trente à quatre-vingt ans, les scientifiques de tous les pays ont réalisé des études rigoureuses sur les effets des statines. Ils ont démontré leur bénéfice dans la prévention de la récidive des accidents cardiovasculaires. Ils ont ensuite démontré un effet bénéfique chez les adultes n’ayant pas encore eu d’accident cardiovasculaire.

Une baisse de 40mg /dl de la concentration plasmatique de LDL cholestérol réduit les accidents cardiovasculaires majeurs d’environ 20 pour cent et la mortalité totale d’environ 9 pour cent. En association avec tous les progrès médicaux et sociaux des dix dernières années, les statines participent à une réduction continue des décès cardiovasculaires.
L’utilisation des génériques diminuant le coût du traitement le rend économiquement avantageux dans toutes les indications actuelles formulées par la Haute Autorité de Santé.
Ce résumé de plus d’un demi-siècle de médecine conduit à recommander d’éviter tout arrêt d’une prescription de statine surveillée régulièrement par le médecin traitant et le pharmacien. Une méfiance injustifiée vis-à-vis de l’intérêt des mesures de la cholestérolémie et des prescriptions initiales de statines conformes aux recommandations actuelles aurait sur plusieurs années, plus de risque d’être dangereuse que bénéfique pour les personnes qui accorderaient crédit aux opinions défavorables diffusées largement dans la presse par quelques-uns. Il est indispensable que chacun fonde son opinion sur la base des résultats bénéfiques validés en toute indépendance par l’ensemble du monde scientifique, tels qu’ils sont résumés dans ce communiqué. Le choix d’être traité pendant de nombreuses années relève de chaque personne, complètement informée par le médecin traitant et le pharmacien, selon son histoire médicale complète, son âge, son sexe, ses antécédents familiaux, et son taux de lipoprotéines LDL dans le sang.

Les perturbateurs endocriniens inquiètent les agences de l'Onu  (6)

Dans un rapport publié mardi, deux agences de l'Onu estiment que de nombreuses substances chimiques, dont les effets perturbateurs sur le système endocrinien pourraient favoriser l'émergence de cancers ou de troubles du système nerveux, doivent faire l'objet de recherches approfondies.
Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) mettent en évidence les risques que représentent ces substances, appelées perturbateurs endocriniens, quand elles pénètrent dans l'environnement.
Certains perturbateurs endocriniens sont naturels alors que d'autres, présents dans les pesticides, les appareils électroniques, les produits d'hygiène personnelle et les cosmétiques, sont synthétiques, souligne l'étude. « Près de 800 substances chimiques sont reconnues ou suspectées d'interférer avec les récepteurs hormonaux et avec la synthèse ou la conversion des hormones », soulignent les agences. « Toutefois, seule une petite fraction de ces substances ont été étudiées par des tests à même d'identifier leurs effets perturbateurs », ajoutent-elles.
Ces perturbateurs peuvent contribuer à plusieurs types de pathologies, comme « la cryptorchidie (absence d'un ou des deux testicules dans le scrotum) chez le jeune garçon, du cancer du sein chez la femme, du cancer de la prostate, de troubles du développement du système nerveux [...] chez l'enfant, ainsi que du cancer de la thyroïde », selon les agences de l'ONU.

 

Dr. Zitouni Imounachen

Sources:
(1)  http://sante.lefigaro.fr
(2) 
http://www.lesoir-echos.com
(3) http://sante.lefigaro.fr
(4)
http://www.leconomiste.com  
(5)  http://www.informationhospitaliere.com
(6) http://www.futura-sciences.com

 
 
 
 

Programme d'Officine Expo 2013: Lien

 
Journée de OUed - Eddahab Lagouira (Dakhla) en Photo
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Le CHMP recommande l’autorisation du vaccin pédiatrique 6-en-1 Hexyon™/ Hexacima™

Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé l’autorisation de mise sur le marché du vaccin pédiatrique 6-en-1 Hexyon™/ Hexacima™ de Sanofi Pasteur.
« Hexyon™ / Hexacima™ est le seul vaccin 6-en-1 100 % liquide prêt à l’emploi pour la protection des nourrissons contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les infections invasives causées par l’ Haemophilus influenzae de type b », souligne le laboratoire dans un communiqué.
Le nouveau vaccin sera commercialisé sous le nom de marque Hexyon™ dans les pays d’Europe de l’Ouest* par Sanofi Pasteur MSD, co- entreprise entre MSD et Sanofi Pasteur , et sous le nom de marque Hexacima™ par Sanofi Pasteur dans les pays d’Europe de l’ Est.
Une fois enregistré, il sera indiqué pour la primo – vaccination et la vaccination de rappel des enfants à partir de l’âge de six semaines suivant les recommandations officielles. L’opinion positive du CHMP s’appuie sur les résultats d’études cliniques multicentriques impliquant près de 5 000 enfants. Les études cliniques de phase III comparant Hexacima™ /Hexyon™ aux vaccins combinés déjà homologués ont montré que ce dernier est bien toléré et qu’il induit une réponse immunitaire robuste contre les six maladies ciblées.

Source: Mypharma

 

Rôle du générique dans l'accès aux soins au Maroc

Diaporama présenté par le Dr. Reda Hajoui, Secrétaire général de COOPER-PHARMA le 13 février 2013
Lien

 

PROCHAINS EVENEMENTS

 1 & 2 mars 2013  
Événement: OFFICINE EXPO 2013 
Lieu: Palais des Congrès
Ville: Marrakech
Pays: Maroc
Programme: lien
Contact: Easy ComE-Mail : maroc.easycom@gmail.com

 1 & 2 mars 2013

Événement: LES XIX EME ECHANGES INTERNATIONAUX DE DERMASTIC  
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact:  
E-Mail:  dermastic.asso@hotmail.com
drbourra@hotmail.com
Site web: www.dermastic.asso.ma
Tél.:
05 22 22 10 86
En savoir plus: lien

 13 mars 2013 au 16 mars 2013
Evénement: ALGeneric 
4éme ESalon International du Médicament Génériquedition d'ALGENERIC 
Thème: " Le générique, d'un défi à l'autre" 
Lieu: Safex Pavillon S
Ville: Alger
Pays: Algérie
Contact: 
ALGENCY:
Tél.:+213 (0) 21 94 52 33

E-Mail: info@algeneric.com

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

TIAFLAM® 100 mg
Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 11,60 Dhs
-Boîte de 20 comprimés 
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 30 comprimés 
PPM : 26,00 Dhs


TIAFLAM® 200 mg

Laboratoires : PHARMED
Composition : Acide tiaprofinique
Propriété: AINS
Formes et présentations :
-Boîte de 10 comprimés
PPM : 20,00 Dhs
-Boîte de 20 comprimés 
PPM : 36,00 Dhs

NOPOROSE® 35 mg

Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Risédronate monosodique
Indication : Bisphosphonate indiqué dans le traitement de l’ostéoporose
Formes et présentations :
-Boîte de 4 comprimés pelliculés
PPM : 194,60 Dhs
-Boîte de 12 comprimés pelliculés
PPM : 499,40 Dhs


BELMAZOL® 20 mg
Laboratoires : AFRIC-PHAR
Composition : Oméprazole
Indication : Traitement et prévention des ulcères gastro-duodénaux ; traitement et prévention des lésions dues aux AINS ; traitement du reflux gastro-oesophagien
Forme et présentation : Boîte de 7 gélules
PPM : 22,50 Dhs


BIPRETERAX
®

10mg/2,5mg
Laboratoires :SERVIER
Composition :  Périndopril/indapamide
Forme et présentation :
30 comprimés pélliculés
Indication:Hypertention artérielle
PPM:
243,00 Dhs

NURODOL400
®
Laboratoires :SYNTHEMEDIC
Composition :  Ibuprofène
Forme et présentation :
30 comprimés enrobés
Indication: AINS
PPM:
30,00 Dhs

ZUCAM
® Granulés 

Laboratoires : MC PHARMA
Composition :  Paracetamol, Acide ascorbique, phéniramine et phényléphrine.
Forme et présentation :
10 sachets
Indication: États grippaux et rhume
PPM:
20,00 Dhs

BROXYL®  0,3%
Laboratoires : MC PHARMA
Composition : Ambroxol  
Forme et présentation :
Flacon de 250 ml dosé à 15mg/ml
Indication: Muco-régulateur  
PPM: 33
,00 Dhs

PARANTAL® 3% 
Laboratoires : Laprophan
Composition :  Paracetamol
Forme et présentation :
solution buvable avec seringue doseuse graduée en Kg de poids, en flacon de 90 ml.
Indication: Antalgique et antipyrétique

PARANTAL® 300 mg, granulés en sachets.   

Laboratoires : Laprophan
Composition :  Paracetamol
Forme et présentation :Boite de 12 sachets
Indication: Antalgique et antipyretique

PARANTAL® 300mg, suppositoires enfants   

Laboratoires : Laprophan
Composition :  Paracetamol
Forme et présentation : Boite de 10 suppositoires
Indication: Antalgique et antipyrétique

CARDINOR®

Laboratoires : COOPER-PHARMA
Composition : Carvedilol
Indication:Carvedilol est un alpha-bêta bloquant indiqué dans le traitement de
-  L'hypertension artérielle

- L'angine de poitrine
- L'insuffisance cardiaque

Formes et présentations:

Boite de 30 comprimés sécables dosés à 6,25 mg 
PPM: 47 Dhs

Boite de 60 comprimés sécables dosés à 6,25 mg 
PPM: 89 Dhs

Boite de 30 comprimés sécables dosés à 25 mg 
PPM: 95 Dhs

Boite de 60 comprimés sécables dosés à 25 mg 
PPM: 180 Dhs

ATAMEL 500 mg®  
Laboratoires : PFIZER
Composition : Paracetamol
Forme et présentation : Boite de 20 comprimés dosés à 500 mg 
Indication:Antalgique et antipyrétique
PPM : 7.00 Dh 

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
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