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Santé des enfants, le Maroc fait de
son mieux… |
En 1954, l’Assemblée générale des
Nations Unis a recommandé, à tous
les pays, dans sa résolution 836(1)
,d’instituer une Journée mondiale de
l’enfance.
Cette Journée, célébrée le 20
novembre de chaque année, est une
journée de fraternité et de
compréhension entre tous les
enfants, et d’activités favorisant
leur bien-être à travers tous les
pays du monde.
Le principe 2 de la résolution 836
précitée stipule que : « l’enfant
doit bénéficier d’une protection
spéciale et se voir accorder des
possibilités et des facilités par
l’effet de la loi et par d’autres
moyens, afin d’être en mesure de se
développer d’une façon saine et
normale sur le plan physique,
intellectuel, moral, spirituel et
social, dans des conditions de
liberté et de dignité ».
Par ailleurs, l’Objectif du
Millénaire pour le Développement n°4
(OMD4)(2)
traduit la volonté des différents
pays de réduire de deux tiers, entre
1990 et 2015, le taux de mortalité
des enfants de moins de 5 ans. Ceci
ne peut se faire sans une politique
sanitaire intégrant la lutte contre
les maladies infectieuses, telles
que la pneumonie, la diarrhée et le
paludisme, tout en améliorant la
nutrition des enfants.
Le Maroc fait partie de la zone EMRO,
région qui s’étend entre le Maghreb
et le Pakistan. La mortalité
infantile qui prévaut dans cette
région varie entre 200 pour mille en
Afghanistan et 7 pour mille aux
Émirats Arabes Unies. Le taux de
mortalité au Maroc avoisine
actuellement les 30 pour mille(3).
La mortalité affectant les enfants
de moins de 5 ans est en grande
partie évitable au Maroc puisqu’elle
est due à 50% aux maladies
infectieuses, et à 37% à des causes
périnatales. Le taux de diminution
de la mortalité infantile est
néanmoins de 4,5%(3),
ce qui classe le Maroc parmi les
pays considérés comme étant sur la
bonne voie pour atteindre l’OMD4.
Ce progrès a été rendu possible
grâce à l’excellent Plan National
d’Immunisation, ainsi qu’aux
interventions en matière de
nutrition. Ces avancées devraient,
en principe, permettre à notre pays
d’atteindre un taux de mortalité de
20 pour mille en 2016(3).
Enfin, tout en saluant les efforts
entrepris par notre pays dans ce
domaine, nous espérons arriver un
jour à enrayer les disparités qui
subsistent entre le milieu rural et
le milieu urbain, ainsi qu’entre les
enfants de différents niveaux
sociaux. Car c’est bien là, la
condition sine qua non, pour
atteindre un jour, des taux de
mortalité infantiles proches de ceux
de nos voisins de la rive nord de la
méditerranée, dont les enfants ont 5(4)
fois plus de chance que les nôtres
de souffler leur cinquième bougie. |
Dr. Abderrahim Derraji
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Sources:
(1)
Résolution 836:
lien
(2)
: OMD4:
lien
(3)
Présentation du Dr. Aziza
LYAGHFOURI
Chef de service de protection de la
santé infantile
au Ministère de la Santé le 21
novembre 2012
(4)
Données de la banque mondiale |
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Nous
nous contentons, dans cette
rubrique, de résumer quelques
articles de presse que nous jugeons
intéressants ou importants. Notre
rédaction n'approuve pas forcement
le contenu de ces articles.
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SAR la Princesse Lalla Salma
préside la cérémonie de célébration
de la Journée nationale de lutte
contre le cancer (1) |
Son Altesse Royale la Princesse
Lalla Salma, présidente de
l'Association Lalla Salma de lutte
contre le cancer (ALSLC), a présidé,
jeudi au Palais des Hôtes à Rabat,
la cérémonie de célébration de la
Journée nationale de lutte contre le
cancer.
Cette cérémonie a été marquée par la
remise de prix international et
national, le label "Entreprise sans
tabacs", le prix Lalla Salma de
lutte contre le cancer au titre du
programme "Collège et lycée sans
tabacs". Il a été aussi procédé à la
clôture des travaux de l'Assemblée
générale ordinaire de l'Association
Lalla Salma de lutte contre le
cancer (ALSLC).
Afin de permettre à chacune des
entreprises ayant adhéré au
programme Collèges, Lycées et
Entreprises sans tabacs (CLEs) de
faire le point sur les activités de
lutte anti-tabac, la direction
exécutive de l'ALSLC a mis au point
un processus de certification sous
forme de label "Entreprises sans
tabac". |
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Journée nationale de lutte contre le
cancer : dépistage précoce pour un
meilleur traitement (2) |
Le Maroc
vient de célébrer la 5e journée
nationale de lutte contre le cancer.
Selon les estimations du ministère
de la Santé, le cancer est
responsable de 7,2% des cas de décès
au Maroc.
Chez la femme, le cancer du sein
arrive en premier avec 36,1% des
cas, suivi de celui du col de
l’utérus avec 12,83%. Chez l’homme,
c’est le cancer du poumon qui occupe
la première place, devançant celui
de la prostate et des lymphomes.
Comme chaque année, cette journée
nationale se veut une occasion de
sensibiliser le grand public aux
moyens susceptibles de faire reculer
sa propagation. Le meilleur moyen
demeure encore et toujours la
prévention.
C’est ce que les médecins rappellent
régulièrement. Pour lutter contre le
cancer et sa propagation, la
prévention et le diagnostic précoce
demeurent encore les meilleurs
moyens. Pour beaucoup de cancers,
plus le diagnostic est réalisé tôt,
moins les traitements sont lourds,
et meilleures sont les chances de
guérison. Les oncologues s’accordent
à dire qu’on pourrait guérir un
tiers des cas de cancers s'ils
étaient détectés à temps et traités
correctement. De même, 40% des
cancers pourraient être évités grâce
à un meilleur mode de vie (pas de
tabac, pas d’alcool, bonne hygiène,
alimentation saine et exercices
physiques réguliers).
Des 30.500 cas enregistrés chaque
année au Maroc, seulement 12.000
sont pris en charge. Le reste se
retrouve face à des retombées
sociales et économiques extrêmement
lourdes, d'autant plus que pour
certains cancers, les coûts de
traitement sont souvent à la charge
des patients à hauteur de 90%.
En conséquence, beaucoup de malades
renoncent au traitement et
s’abandonnent à la maladie, d’où la
nécessité d’établir une égalité
entre tous les cancéreux, quant à
l’accès aux soins, aux structures
spécialisées et à la prise en charge
thérapeutique. Et pour ce faire,
seule une couverture médicale
adéquate sera à même d’améliorer la
situation. |
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Les polycliniques de la CNSS
affichent des indicateurs en
demi-teinte(3) |
Selon le dernier bilan présenté lors
de la dernière réunion du conseil
d’administration, le chiffre
d’affaires global des polycliniques
a progressé de 4% en 2011 par
rapport à l’année antérieure,
passant de 415 MDH à 426 millions.
Une amélioration due, selon les
responsables de la CNSS, à
l’extension des prestations des
unités médicales à de nouvelles
spécialités à forte valeur ajoutée
et au renforcement de leurs plateaux
techniques. Cependant,
l’introduction des nouvelles
spécialités ne s’est pas faite dans
l’ensemble des polycliniques. Ainsi,
les projets de dialyse pédiatrique (Hay
Hassani, à Casablanca), de
rééducation fonctionnelle (Tanger)
et néonatale (Inara, à Casablanca)
n’ont pas été réalisés.
Malgré l’élargissement de l’offre de
soins, le taux d’occupation a reculé
de 2 points par rapport à 2010, à
47% en 2011. Une évolution qui
s’explique, selon des sources
syndicales, «par la détérioration de
la qualité des prestations». D’après
le bilan de la CNSS, 90 audits et
150 visites inopinées effectuées
dans toutes les filières du pôle
médical montrent que le degré moyen
de conformité est tombé de 85% en
février 2011 à 60% en septembre
2011. Les volets hôtellerie et
hygiène ont été les plus touchés,
particulièrement dans les trois
polycliniques de Ziraoui, Bernoussi
et Inara de Casablanca.
Cette situation confirme, expliquent
des sources proches du dossier, que
«les polycliniques n’ont plus une
bonne réputation et nécessitent un
sérieux redressement». Le
gestionnaire des unités médicales en
est conscient et s’attelle donc à
les mettre à niveau, d’une part,
parce qu’elles jouent un rôle social
indéniable et, d’autre part, pour
pouvoir trouver un gestionnaire
délégué. Preuve en est la hausse de
44% de la subvention accordée en
2011. Son montant a été de 183 MDH
contre 127 millions une année
auparavant. Il est à noter que cette
tendance est contraire au principe
de base adopté par la CNSS au moment
de mettre en place cette subvention.
Le montant devait être revu à la
baisse chaque année pour disparaître
après l’assainissement des unités
médicales. |
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VIH/sida : l’épidémie recule
(4) |
La plupart des indices dévoilés par
l’Onusida lors de la présentation de
son rapport annuel, cette semaine,
sont plutôt encourageants et vont
dans le sens d’un enrayement
progressif de la pandémie du VIH/SIDA.
Actuellement, 34 millions de
personnes vivent avec le sida dans
le monde, soit 0,8% des adultes
(15-49 ans). Si le chiffre reste
important, pour la cinquième année
consécutive, le nombre de morts liés
au virus, ainsi que le nombre de
nouvelles infections a diminué. Le
nombre d’enfants contaminés est
aussi en baisse. Ces données
confirment l’efficacité des
politiques de prévention et d’accès
aux traitements antirétroviraux à
grande échelle, mises en place par
la communauté internationale depuis
maintenant plusieurs années.
Alors qu’en 2010, 1,8 millions de
personnes séropositives décédaient
des suites de l’infection au VIH,
elles ne sont plus que 1,7 millions
en 2011. Cette baisse relative de
mortalité est particulièrement
marquée sur le continent africain.
En six ans, le recul du nombre de
décès avoisine les 30 %.
Par ailleurs, l’année dernière, ont
été recensées à travers le monde un
peu plus de 2,5 millions de
nouvelles contaminations, soit un
peu moins qu’en 2010. En 10 ans, on
estime que la baisse du nombre de
nouvelles infections est proche de
22 %. De même, c’est en Afrique
subsaharienne, pourtant région du
monde la plus touchée, que les
progrès sont les plus importants.
Ainsi, au Malawi, le taux de
contamination a chuté de plus de 74
%.
Enfin, le manque de financement
reste un frein à la généralisation
des traitements antirétroviraux,
seule solution pour enrayer
durablement l’épidémie. Selon l’Onusida,
alors qu’en 2011, 13,1 milliards
d’euros ont été débloqués pour
lutter contre le sida dans le monde,
il faudra de 20 à 23 milliards à
l’horizon 2015... |
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Les hommes préfèrent les femmes qui
leur ressemblent(5) |
Une étude
française de l'Institut des sciences
de l'évolution de Montpellier
publiée jeudi dans la revue PLOS
One, a révélé que les hommes
seraient plus attirés par les femmes
présentant des traits proches des
leurs.
Pour aboutir à cette conclusion, les
chercheurs ont d'abord demandé à une
centaine de participants de
sélectionner des photos et des
images de visages reconstruits par
ordinateur qu'ils trouvaient
séduisants. Après analyse, près de
deux hommes sur cinq étaient attirés
par les femmes qui partageaient avec
eux la même couleur de cheveux,
d'yeux, l'épaisseur des lèvres, des
sourcils, et la présence ou non
d'une fossette au menton.
Les scientifiques ont ensuite
observé 155 couples unis dans la
vraie vie, ayant eu au moins un
enfant ensemble. Là encore, le lien
a été établi: les amoureux
partageant certains traits étaient
surreprésentés, dans une proportion
variant selon les traits. «C'est
davantage une ressemblance globale
qui prime plutôt qu'une
particularité identifiée, comme
avoir les yeux bleus ou une fossette
au menton», analyse Jeanne Bovet,
auteur de l'étude.
Selon la chercheuse, « l'attirance
que nous ressentons pour une
personne proche de nous a déjà été
prouvée, notamment sur le plan
social. Mais la sensibilité à un
visage ressemblant au nôtre ne
tombait pas sous le sens. Et nous
avons volontairement choisi des
traits neutres comme la couleur des
yeux ou des cheveux, qui ne font pas
référence à la fertilité ou à la
santé de la femme, pour ne pas
brouiller les résultats».
Concernant les femmes, de
précédentes études ont montré que le
physique a une importance beaucoup
moindre pour elles. Ces dernières
favorisant davantage des traits de
personnalité et l'appartenance
sociale. |
|
Dr.
Zitouni
Imounachen
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Sources:
(1)
http://www.map.ma
(2) http://www.aufaitmaroc.com
(3)
http://www.lavieeco.com
(3)
http://www.informationhospitaliere.com
(4)
http://sante.lefigaro.fr
(5) http://sante.lefigaro.fr |
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ANALYSE
D'ORDONNANCE
Auteur: D. Han Dupont,
Docteur en pharmacie Présidente d'Adapco
21 novembre 2012
Lien |
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INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE |
Les produits
biomédicaux devront prouver leur
efficacité
Selon un récent rapport d'Ernst &
Young, l'industrie des technologies
médicales a connu l'an dernier une
croissance à deux chiffres pour
peser plus de 200 milliards d'euros
au plan mondial. Mais elle s'apprête
à entrer dans une zone de
turbulences. Une nouvelle
réglementation concernant
l'obtention du marquage CE
permettant de mettre les dispositifs
médicaux sur le marché est en effet
en cours d'examen devant le Conseil
et le Parlement européens.
Pour obtenir le marquage CE, le
niveau de l'évaluation clinique sera
plus élevé, en particulier pour les
dispositifs médicaux implantables.
Pour être ensuite pris en charge par
les systèmes de soins au niveau
national, ces produits devront en
outre démontrer qu'ils apportent aux
patients un bénéfice par rapport aux
produits déjà existants. Enfin, une
fois commercialisés, ces dispositifs
devront prouver dans la durée, leur
capacité à améliorer la qualité de
vie des patients en conditions
d'utilisation réelle.
Dans ce contexte plus contraignant,
une issue pour les entreprises
désireuses de préserver leurs marges
peut être de s'adresser non plus aux
seuls médecins mais aussi à des
patients de plus en plus désireux de
prendre en main leur santé. Les
nouveaux dispositifs médicaux
devront ainsi être conçus dès le
départ pour générer des informations
accessibles aux patients qui
décideront avec qui ils veulent les
partager. « On va assister à une «
consumérisation » des produits
médicaux » prédit le rapport Ernst &
Young. Sanofi a par exemple lancé un
lecteur de glycémie sur iPhone et la
société française Withings propose
un tensiomètre via iPhone.
Source:
pharmanetwork.info
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L’initiative Pédiatrie de Sanofi en
Afrique : « Des enfants en bonne
santé, des enfants heureux »
Lors d’une conférence organisée à
Casablanca, Sanofi a présenté son
initiative Pédiatrie en Afrique : «
Des enfants en bonne santé, des
enfants heureux ».
Cette initiative repose sur trois
axes: le premier concerne le
développement du portefeuille de
médicaments et de vaccins. Celui-ci
sera élargi à de nouvelles aires
thérapeutiques afin de développer
des formulations et des dosages
adaptés aux besoins des jeunes
patients africains. C’est le cas de
l’ASAQ Winthrop®, qui est le premier
antipaludéen issu d’un partenariat
public-privé, développé entre Sanofi
et la fondation DNDi (Drugs for
Neglected Diseases initiative) pour
répondre aux exigences de l’OMS. Le
second axe de l’initiative Pédiatrie
de Sanofi en Afrique sera consacré à
la formation des professionnels de
santé grâce à des programmes de
formation médicale continue sur les
thèmes pédiatriques (vaccination et
antibiothérapie, paludisme,
épilepsie, diabète…). Le troisième
axe prévoit des actions
d’information et d’éducation du
grand public, et la mise à
disposition d’outils de suivi de la
santé des enfants comme le carnet de
santé ou des applications pour
téléphones mobiles.
Durant cette conférence, organisée
en collaboration avec l’Association
Casablancaise des Pédiatres Privés,
Infovac Maroc et l’Association des
Parents pour le Soutien aux Enfants
Malades « Noujoum », une
présentation sur le thème «
Réduction de la mortalité
infanto-juvénile au Maroc : progrès
et défis » a été exposée.
Cette présentation a révélé que les
statistiques nationales indiquent
que 50% des décès des enfants de
moins de 5 ans résultent de maladies
infectieuses et 37% de causes
périnatales. Les programmes de santé
infantile menés par le Ministère de
la Santé ont permis des avancées
majeures notamment au niveau de la
réduction de la mortalité
infanto-juvénile. A cet effet, la
vaccination dans le secteur libéral
constitue un support à l’action du
Ministère de la Santé et du
calendrier national de vaccination.
L’action des pédiatres du secteur
libéral consiste à dépasser les
réticences des parents et convaincre
du bien-fondé de la vaccination
infantile contre les différentes
pathologies : hépatite A et B ;
Coqueluche ; Poliomyélite ; Grippe…
Source:
Pharmacies.ma |
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Attention aux
collyres pour les tout-petits
? |
Selon
l'Agence nationale de sécurité du
médicament, les collyres
mydriatiques utilisés pour dilater
la pupille lors d'examens
ophtalmologiques font courir un
risque de «toxicité systémique» chez
les plus petits.
«Une quarantaine de cas graves, tous
âges confondus, ont été signalés ces
dernières années en France. Cela
inclut trois décès, dont un bébé en
2011», explique l'ANSM. «Une enquête
a été ouverte en 2008 et ces
produits figurent sur la liste des
77 médicaments que nous surveillons
depuis 2011», précise l'agence.
Les enfants de moins de 8 ans sont
particulièrement sensibles aux
effets de l'atropine, avec un risque
de problèmes digestifs et de
troubles neuropsychiatriques tels
que convulsions, délire, agitation
ainsi que des troubles de la
régulation thermique. Les enfants
les plus à risques sont les
prématurés et les nouveau-nés, en
raison de graves risques digestifs.
L'agence insiste sur la nécessité
d'éviter tout surdosage, notamment
en limitant l'administration à une
seule goutte de collyre par œil lors
de chaque instillation et en
respectant strictement le temps
recommandé entre les instillations.
Source:
http://sante.lefigaro.fr |
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PROCHAINS
EVENEMENTS |
26 novembre 2012
25 journée de
l'Ordre
Thème: " La santé et les
territoires"
Lieu: Maison de la Chimie (Paris 7e)
Ville: Paris
Pays:France
Contact: jordre@ordre.pharmacien.fr
13 décembre 2012 et 14 décembre 2012
6ème Congrès
Scientifique National de La Société
Marocaine de Pharmacovigilance
Thème: " Sécurité du Patient et
Maladies à Programme"
Pré-programme: Lien
Lieu: Amphithéatre du Centre Anti
Poison et de Pharmacovigilance du
Maroc
Ville: Rabat
Pays: Maroc
15 décembre 2012
MED'CONTACT
Thème: "LA PRESCRIPTION HORS AMM ET
RESPONSABILITES"
Pré-programme:
Lieu: SOFITEL
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact
Tél.: 05 22 25 76 72 / 05 22 25 77
33
E-Mail: maroc.easycom@gmail.com |
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NOUVEAUX AU MAROC
En partenariat
avec
le site web MEDICAMENT.MA |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma. |
PEDOVEX®
75 Mg
Laboratoires : ZENITH
PHARMA
Composition : Clopidogrel
Forme et présentation : Boite de 10 comprimés
pelliculés dosés à 75 mg
Indication:Prévention
des événements d'arthérothrombose
PPM : 97.20 Dh
PEDOVEX®
75 Mg
Laboratoires : ZENITH
PHARMA
Composition : Clopidogrel
Forme et présentation : Boite de 30 comprimés
pelliculés dosés à 75 mg
Indication:Prévention
des événements d'arthérothrombose
PPM : 255.80 Dh
ATAMEL
500 mg®
Laboratoires : PFIZER
Composition : Paracetamol
Forme et présentation : Boite de 20 comprimés
dosés à 500 mg
Indication:Antalgique
et antipyrétique
PPM : 7.00 Dh
VIGOREX
100 mg®
Laboratoires : PHI
Composition : Sildénafil
Forme et présentation : 4 comprimés
dosés à 100 mg
Indication:Inhibiteurs
de la phosphodiestérase de type 5
(Dysfonctionnement érectile)
PPM : 200 Dh
VIGOREX
100 mg®
Laboratoires : PHI
Composition : Sildénafil
Forme et présentation : 1 comprimé
dosés à 100 mg
Indication:Inhibiteurs
de la phosphodiestérase de type 5
(Dysfonctionnement érectile)
PPM : 55 Dh
TIASUREX®
LP
Laboratoires : LAPROPHAN
Composition : Indapamide
Forme et présentation : Boite de 30 comprimés
à libération prolongée dosés à 1,5mg
Indication:
Hypertension artérielle essentielle
PPM : 29,30Dh
PRODEFEN®
Entreprise Versalya SA / Laboratoire IBERMA
Composition : Complément
alimentaires qui contient 7 souches probiotiques
et des fructooligosaccharides.
Présentation : Boite
de 10 sachets
PPM : 99,00 Dh |
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d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
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