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Numéro: 163

26 novembre 2012

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CNIA SAADA PROFESSIONNEL DE SANTE MEDECINS PHARMACIENS
Santé des enfants, le Maroc fait de son mieux…

En 1954, l’Assemblée générale des Nations Unis a recommandé, à tous les pays, dans sa résolution 836(1) ,d’instituer une Journée mondiale de l’enfance.
Cette Journée, célébrée le 20 novembre de chaque année, est une journée de fraternité et de compréhension entre tous les enfants, et d’activités favorisant leur bien-être à travers tous les pays du monde.
Le principe 2 de la résolution 836 précitée stipule que : « l’enfant doit bénéficier d’une protection spéciale et se voir accorder des possibilités et des facilités par l’effet de la loi et par d’autres moyens, afin d’être en mesure de se développer d’une façon saine et normale sur le plan physique, intellectuel, moral, spirituel et social, dans des conditions de liberté et de dignité ».
Par ailleurs, l’Objectif du Millénaire pour le Développement n°4 (OMD4)
(2) traduit la volonté des différents pays de réduire de deux tiers, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans. Ceci ne peut se faire sans une politique sanitaire intégrant la lutte contre les maladies infectieuses, telles que la pneumonie, la diarrhée et le paludisme, tout en améliorant la nutrition des enfants.
Le Maroc fait partie de la zone EMRO, région qui s’étend entre le Maghreb et le Pakistan. La mortalité infantile qui prévaut dans cette région varie entre 200 pour mille en Afghanistan et 7 pour mille aux Émirats Arabes Unies. Le taux de mortalité au Maroc avoisine actuellement les 30 pour mille
(3).
La mortalité affectant les enfants de moins de 5 ans est en grande partie évitable au Maroc puisqu’elle est due à 50% aux maladies infectieuses, et à 37% à des causes périnatales. Le taux de diminution de la mortalité infantile est néanmoins de 4,5%
(3), ce qui classe le Maroc parmi les pays considérés comme étant sur la bonne voie pour atteindre l’OMD4.
Ce progrès a été rendu possible grâce à l’excellent Plan National d’Immunisation, ainsi qu’aux interventions en matière de nutrition. Ces avancées devraient, en principe, permettre à notre pays d’atteindre un taux de mortalité de 20 pour mille en 2016
(3).
Enfin, tout en saluant les efforts entrepris par notre pays dans ce domaine, nous espérons arriver un jour à enrayer les disparités qui subsistent entre le milieu rural et le milieu urbain, ainsi qu’entre les enfants de différents niveaux sociaux. Car c’est bien là, la condition sine qua non, pour atteindre un jour, des taux de mortalité infantiles proches de ceux de nos voisins de la rive nord de la méditerranée, dont les enfants ont 5
(4) fois plus de chance que les nôtres de souffler leur cinquième bougie.

Dr. Abderrahim Derraji  

Sources:
(1) Résolution 836: lien
(2) : OMD4: lien
(3) Présentation du Dr.  Aziza LYAGHFOURI
Chef de service de protection de la santé infantile
au Ministère de la Santé le 21 novembre 2012
(4) Données de la banque mondiale

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Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

 

SAR la Princesse Lalla Salma préside la cérémonie de célébration de la Journée nationale de lutte contre le cancer (1)

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Salma, présidente de l'Association Lalla Salma de lutte contre le cancer (ALSLC), a présidé, jeudi au Palais des Hôtes à Rabat, la cérémonie de célébration de la Journée nationale de lutte contre le cancer.
Cette cérémonie a été marquée par la remise de prix international et national, le label "Entreprise sans tabacs", le prix Lalla Salma de lutte contre le cancer au titre du programme "Collège et lycée sans tabacs". Il a été aussi procédé à la clôture des travaux de l'Assemblée générale ordinaire de l'Association Lalla Salma de lutte contre le cancer (ALSLC).
Afin de permettre à chacune des entreprises ayant adhéré au programme Collèges, Lycées et Entreprises sans tabacs (CLEs) de faire le point sur les activités de lutte anti-tabac, la direction exécutive de l'ALSLC a mis au point un processus de certification sous forme de label "Entreprises sans tabac".

 
Journée nationale de lutte contre le cancer : dépistage précoce pour un meilleur traitement  (2) 

Le Maroc vient de célébrer la 5e journée nationale de lutte contre le cancer. Selon les estimations du ministère de la Santé, le cancer est responsable de 7,2% des cas de décès au Maroc.
Chez la femme, le cancer du sein arrive en premier avec 36,1% des cas, suivi de celui du col de l’utérus avec 12,83%. Chez l’homme, c’est le cancer du poumon qui occupe la première place, devançant celui de la prostate et des lymphomes.
Comme chaque année, cette journée nationale se veut une occasion de sensibiliser le grand public aux moyens susceptibles de faire reculer sa propagation. Le meilleur moyen demeure encore et toujours la prévention.
C’est ce que les médecins rappellent régulièrement. Pour lutter contre le cancer et sa propagation, la prévention et le diagnostic précoce demeurent encore les meilleurs moyens. Pour beaucoup de cancers, plus le diagnostic est réalisé tôt, moins les traitements sont lourds, et meilleures sont les chances de guérison. Les oncologues s’accordent à dire qu’on pourrait guérir un tiers des cas de cancers s'ils étaient détectés à temps et traités correctement. De même, 40% des cancers pourraient être évités grâce à un meilleur mode de vie (pas de tabac, pas d’alcool, bonne hygiène, alimentation saine et exercices physiques réguliers).
Des 30.500 cas enregistrés chaque année au Maroc, seulement 12.000 sont pris en charge. Le reste se retrouve face à des retombées sociales et économiques extrêmement lourdes, d'autant plus que pour certains cancers, les coûts de traitement sont souvent à la charge des patients à hauteur de 90%.
En conséquence, beaucoup de malades renoncent au traitement et s’abandonnent à la maladie, d’où la nécessité d’établir une égalité entre tous les cancéreux, quant à l’accès aux soins, aux structures spécialisées et à la prise en charge thérapeutique. Et pour ce faire, seule une couverture médicale adéquate sera à même d’améliorer la situation.

 
Les polycliniques de la CNSS affichent des indicateurs en demi-teinte(3)

Selon le dernier bilan présenté lors de la dernière réunion du conseil d’administration, le chiffre d’affaires global des polycliniques a progressé de 4% en 2011 par rapport à l’année antérieure, passant de 415 MDH à 426 millions. Une amélioration due, selon les responsables de la CNSS, à l’extension des prestations des unités médicales à de nouvelles spécialités à forte valeur ajoutée et au renforcement de leurs plateaux techniques. Cependant, l’introduction des nouvelles spécialités ne s’est pas faite dans l’ensemble des polycliniques. Ainsi, les projets de dialyse pédiatrique (Hay Hassani, à Casablanca), de rééducation fonctionnelle (Tanger) et néonatale (Inara, à Casablanca) n’ont pas été réalisés.

Malgré l’élargissement de l’offre de soins, le taux d’occupation a reculé de 2 points par rapport à 2010, à 47% en 2011. Une évolution qui s’explique, selon des sources syndicales, «par la détérioration de la qualité des prestations». D’après le bilan de la CNSS, 90 audits et 150 visites inopinées effectuées dans toutes les filières du pôle médical montrent que le degré moyen de conformité est tombé de 85% en février 2011 à 60% en septembre 2011. Les volets hôtellerie et hygiène ont été les plus touchés, particulièrement dans les trois polycliniques de Ziraoui, Bernoussi et Inara de Casablanca.

Cette situation confirme, expliquent des sources proches du dossier, que «les polycliniques n’ont plus une bonne réputation et nécessitent un sérieux redressement». Le gestionnaire des unités médicales en est conscient et s’attelle donc à les mettre à niveau, d’une part, parce qu’elles jouent un rôle social indéniable et, d’autre part, pour pouvoir trouver un gestionnaire délégué. Preuve en est la hausse de 44% de la subvention accordée en 2011. Son montant a été de 183 MDH contre 127 millions une année auparavant. Il est à noter que cette tendance est contraire au principe de base adopté par la CNSS au moment de mettre en place cette subvention. Le montant devait être revu à la baisse chaque année pour disparaître après l’assainissement des unités médicales.

 
VIH/sida : l’épidémie recule  (4) 

La plupart des indices dévoilés par l’Onusida lors de la présentation de son rapport annuel, cette semaine, sont plutôt encourageants et vont dans le sens d’un enrayement progressif de la pandémie du VIH/SIDA.
Actuellement, 34 millions de personnes vivent avec le sida dans le monde, soit 0,8% des adultes (15-49 ans). Si le chiffre reste important, pour la cinquième année consécutive, le nombre de morts liés au virus, ainsi que le nombre de nouvelles infections a diminué. Le nombre d’enfants contaminés est aussi en baisse. Ces données confirment l’efficacité des politiques de prévention et d’accès aux traitements antirétroviraux à grande échelle, mises en place par la communauté internationale depuis maintenant plusieurs années.

Alors qu’en 2010, 1,8 millions de personnes séropositives décédaient des suites de l’infection au VIH, elles ne sont plus que 1,7 millions en 2011. Cette baisse relative de mortalité est particulièrement marquée sur le continent africain. En six ans, le recul du nombre de décès avoisine les 30 %.
Par ailleurs, l’année dernière, ont été recensées à travers le monde un peu plus de 2,5 millions de nouvelles contaminations, soit un peu moins qu’en 2010. En 10 ans, on estime que la baisse du nombre de nouvelles infections est proche de 22 %. De même, c’est en Afrique subsaharienne, pourtant région du monde la plus touchée, que les progrès sont les plus importants. Ainsi, au Malawi, le taux de contamination a chuté de plus de 74 %.
Enfin, le manque de financement reste un frein à la généralisation des traitements antirétroviraux, seule solution pour enrayer durablement l’épidémie. Selon l’Onusida, alors qu’en 2011, 13,1 milliards d’euros ont été débloqués pour lutter contre le sida dans le monde, il faudra de 20 à 23 milliards à l’horizon 2015...

 
Les hommes préfèrent les femmes qui leur ressemblent(5)

Une étude française de l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier publiée jeudi dans la revue PLOS One, a révélé que les hommes seraient plus attirés par les femmes présentant des traits proches des leurs.
Pour aboutir à cette conclusion, les chercheurs ont d'abord demandé à une centaine de participants de sélectionner des photos et des images de visages reconstruits par ordinateur qu'ils trouvaient séduisants. Après analyse, près de deux hommes sur cinq étaient attirés par les femmes qui partageaient avec eux la même couleur de cheveux, d'yeux, l'épaisseur des lèvres, des sourcils, et la présence ou non d'une fossette au menton.
Les scientifiques ont ensuite observé 155 couples unis dans la vraie vie, ayant eu au moins un enfant ensemble. Là encore, le lien a été établi: les amoureux partageant certains traits étaient surreprésentés, dans une proportion variant selon les traits. «C'est davantage une ressemblance globale qui prime plutôt qu'une particularité identifiée, comme avoir les yeux bleus ou une fossette au menton», analyse Jeanne Bovet, auteur de l'étude.
Selon la chercheuse, « l'attirance que nous ressentons pour une personne proche de nous a déjà été prouvée, notamment sur le plan social. Mais la sensibilité à un visage ressemblant au nôtre ne tombait pas sous le sens. Et nous avons volontairement choisi des traits neutres comme la couleur des yeux ou des cheveux, qui ne font pas référence à la fertilité ou à la santé de la femme, pour ne pas brouiller les résultats».
Concernant les femmes, de précédentes études ont montré que le physique a une importance beaucoup moindre pour elles. Ces dernières favorisant davantage des traits de personnalité et l'appartenance sociale.

 

Dr. Zitouni Imounachen

Sources:
(1)  http://www.map.ma
(2)  http://www.aufaitmaroc.com
(3)  http://www.lavieeco.com
(3) http://www.informationhospitaliere.com
(4)
http://sante.lefigaro.fr
(5) http://sante.lefigaro.fr

 
 
 
 

ANALYSE D'ORDONNANCE
Auteur: D. Han Dupont, Docteur en pharmacie Présidente d'Adapco
21 novembre 2012
Lien

 

INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE  

Les produits biomédicaux devront prouver leur efficacité
Selon un récent rapport d'Ernst & Young, l'industrie des technologies médicales a connu l'an dernier une croissance à deux chiffres pour peser plus de 200 milliards d'euros au plan mondial. Mais elle s'apprête à entrer dans une zone de turbulences. Une nouvelle réglementation concernant l'obtention du marquage CE permettant de mettre les dispositifs médicaux sur le marché est en effet en cours d'examen devant le Conseil et le Parlement européens.
Pour obtenir le marquage CE, le niveau de l'évaluation clinique sera plus élevé, en particulier pour les dispositifs médicaux implantables. Pour être ensuite pris en charge par les systèmes de soins au niveau national, ces produits devront en outre démontrer qu'ils apportent aux patients un bénéfice par rapport aux produits déjà existants. Enfin, une fois commercialisés, ces dispositifs devront prouver dans la durée, leur capacité à améliorer la qualité de vie des patients en conditions d'utilisation réelle.
Dans ce contexte plus contraignant, une issue pour les entreprises désireuses de préserver leurs marges peut être de s'adresser non plus aux seuls médecins mais aussi à des patients de plus en plus désireux de prendre en main leur santé. Les nouveaux dispositifs médicaux devront ainsi être conçus dès le départ pour générer des informations accessibles aux patients qui décideront avec qui ils veulent les partager. « On va assister à une « consumérisation » des produits médicaux » prédit le rapport Ernst & Young. Sanofi a par exemple lancé un lecteur de glycémie sur iPhone et la société française Withings propose un tensiomètre via iPhone.
Source:
pharmanetwork.info  

 

L’initiative Pédiatrie de Sanofi en Afrique : « Des enfants en bonne santé, des enfants heureux »
Lors d’une conférence organisée à Casablanca, Sanofi a présenté son initiative Pédiatrie en Afrique : « Des enfants en bonne santé, des enfants heureux ».
Cette initiative repose sur trois axes: le premier concerne le développement du portefeuille de médicaments et de vaccins. Celui-ci sera élargi à de nouvelles aires thérapeutiques afin de développer des formulations et des dosages adaptés aux besoins des jeunes patients africains. C’est le cas de l’ASAQ Winthrop®, qui est le premier antipaludéen issu d’un partenariat public-privé, développé entre Sanofi et la fondation DNDi (Drugs for Neglected Diseases initiative) pour répondre aux exigences de l’OMS. Le second axe de l’initiative Pédiatrie de Sanofi en Afrique sera consacré à la formation des professionnels de santé grâce à des programmes de formation médicale continue sur les thèmes pédiatriques (vaccination et antibiothérapie, paludisme, épilepsie, diabète…). Le troisième axe prévoit des actions d’information et d’éducation du grand public, et la mise à disposition d’outils de suivi de la santé des enfants comme le carnet de santé ou des applications pour téléphones mobiles.
Durant cette conférence, organisée en collaboration avec l’Association Casablancaise des Pédiatres Privés, Infovac Maroc et l’Association des Parents pour le Soutien aux Enfants Malades « Noujoum », une présentation sur le thème « Réduction de la mortalité infanto-juvénile au Maroc : progrès et défis » a été exposée.
Cette présentation a révélé que les statistiques nationales indiquent que 50% des décès des enfants de moins de 5 ans résultent de maladies infectieuses et 37% de causes périnatales. Les programmes de santé infantile menés par le Ministère de la Santé ont permis des avancées majeures notamment au niveau de la réduction de la mortalité infanto-juvénile. A cet effet, la vaccination dans le secteur libéral constitue un support à l’action du Ministère de la Santé et du calendrier national de vaccination. L’action des pédiatres du secteur libéral consiste à dépasser les réticences des parents et convaincre du bien-fondé de la vaccination infantile contre les différentes pathologies : hépatite A et B ; Coqueluche ; Poliomyélite ; Grippe…
Source: Pharmacies.ma

 
Attention aux collyres pour les tout-petits ?

Selon l'Agence nationale de sécurité du médicament, les collyres mydriatiques utilisés pour dilater la pupille lors d'examens ophtalmologiques font courir un risque de «toxicité systémique» chez les plus petits.
«Une quarantaine de cas graves, tous âges confondus, ont été signalés ces dernières années en France. Cela inclut trois décès, dont un bébé en 2011», explique l'ANSM. «Une enquête a été ouverte en 2008 et ces produits figurent sur la liste des 77 médicaments que nous surveillons depuis 2011», précise l'agence.
Les enfants de moins de 8 ans sont particulièrement sensibles aux effets de l'atropine, avec un risque de problèmes digestifs et de troubles neuropsychiatriques tels que convulsions, délire, agitation ainsi que des troubles de la régulation thermique. Les enfants les plus à risques sont les prématurés et les nouveau-nés, en raison de graves risques digestifs.
L'agence insiste sur la nécessité d'éviter tout surdosage, notamment en limitant l'administration à une seule goutte de collyre par œil lors de chaque instillation et en respectant strictement le temps recommandé entre les instillations.
Source: http://sante.lefigaro.fr

 

PROCHAINS EVENEMENTS

26 novembre 2012
25 journée de l'Ordre
Thème: " La santé et les territoires"
Lieu: Maison de la Chimie (Paris 7e)
Ville: Paris
Pays:France
Contact: jordre@ordre.pharmacien.fr

13 décembre 2012 et 14 décembre 2012
6ème Congrès Scientifique National de La Société Marocaine de Pharmacovigilance
Thème: " Sécurité du Patient et Maladies à Programme"
Pré-programme: Lien
Lieu: Amphithéatre du Centre Anti Poison et de Pharmacovigilance du Maroc
Ville: Rabat
Pays: Maroc

15 décembre 2012
MED'CONTACT
Thème: "LA PRESCRIPTION HORS AMM ET RESPONSABILITES"
Pré-programme:
Lieu: SOFITEL
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact
Tél.: 05 22 25 76 72 / 05 22 25 77 33
E-Mail: maroc.easycom@gmail.com
 

NOUVEAUX AU MAROC
En partenariat avec le site web  MEDICAMENT.MA

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

PEDOVEX® 75 Mg
Laboratoires : ZENITH PHARMA
Composition : Clopidogrel
Forme et présentation : Boite de 10 comprimés pelliculés dosés à  75 mg 
Indication:Prévention des événements d'arthérothrombose
PPM : 97.20 Dh 

PEDOVEX® 75 Mg
Laboratoires : ZENITH PHARMA
Composition : Clopidogrel
Forme et présentation : Boite de 30 comprimés pelliculés dosés à  75 mg 
Indication:Prévention des événements d'arthérothrombose
PPM : 255.80 Dh 

ATAMEL 500 mg®  
Laboratoires : PFIZER
Composition : Paracetamol
Forme et présentation : Boite de 20 comprimés dosés à 500 mg 
Indication:Antalgique et antipyrétique
PPM : 7.00 Dh 

VIGOREX 100 mg®  
Laboratoires : PHI
Composition : Sildénafil
Forme et présentation : 4 comprimés dosés à 100 mg 
Indication:Inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (Dysfonctionnement érectile)
PPM : 200 Dh 

VIGOREX 100 mg®  
Laboratoires : PHI
Composition : Sildénafil
Forme et présentation : 1 comprimé dosés à 100 mg 
Indication:Inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (Dysfonctionnement érectile)
PPM : 55 Dh 

TIASUREX
® LP 

Laboratoires : LAPROPHAN
Composition : Indapamide
Forme et présentation : Boite de 30 comprimés à libération prolongée dosés à 1,5mg   
Indication: Hypertension artérielle essentielle
PPM : 29,30Dh 


PRODEFEN
® 

Entreprise Versalya SA / Laboratoire IBERMA
Composition : Complément alimentaires qui contient 7 souches probiotiques et des fructooligosaccharides.
Présentation : Boite de 10 sachets
PPM : 99,00 Dh

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
 
Vos remarques et vos suggestions seront les bienvenues.

 
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