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Information et désinformation |
Le Centre de
Démocratie a organisé les 4 et 5
septembre deux journées d’étude
dédiées au droit à l’information
(DAI) dans le secteur de la santé.
Cette rencontre qui s’est déroulée
en partenariat avec le ministère de
la santé et l’Ambassade de Grande
Bretagne a permis à de nombreux
participants de suivre des
conférences de qualité animées par
des orateurs de différents horizons.
La séance inaugurale a rapidement
fait place à une série de
conférences par les quelles les
orateurs ont rappelé les acquis au
Maroc en matière de DAI, notamment à
l’adoption de la nouvelle
constitution qui prévoit dans son
article 27, titre 2, que les
citoyens jouissent de la liberté
d’accéder à l’information détenue
par l’administration, les
institutions élues et les organismes
investis d’une mission de service
public,… etc.
L’information médicale qui s’inscrit
dans l’esprit de ce nouveau texte, a
cependant ses spécificités qui
doivent être prises en
considération.
Hormis quelques rares exceptions, le
devoir d’information est une
obligation légale et déontologique
s’imposant à tout professionnel de
santé. Ce devoir qui permet
l’obtention du consentement du
malade aux thérapies envisagées,
devrait s’accompagner du « droit de
ne pas savoir » si tel est le
souhait du patient.
Les professionnels de santé doivent
par ailleurs, respecter
scrupuleusement le secret médical.
Mme Anna Likos de l’agence
américaine de la santé publique a
mis en exergue, lors de son
intervention, les problèmes qui
peuvent être posés par le stockage
des données propres aux malades dans
différents supports informatiques.
Selon cette experte, des garde-fous
devraient être prévus pour préserver
le secret médical.
Au Maroc, les sites d’information
institutionnels souffrent dans leur
majorité d’un manque de réactivité,
ce qui explique l’engouement des
citoyens pour les sites web non
institutionnels, dont plusieurs
sites Internet étrangers. Or, la
régulation de ces supports est
quasiment impossible, ce qui devrait
nous inciter à mettre en place un
observatoire nous permettant de
prémunir nos concitoyens contre la
désinformation et ses méfaits.
La presse écrite non spécialisée, de
son coté, peut dans certains cas
devenir une source de
désinformation. Ceci s’explique, par
le manque de spécialisation des
journalistes d’une part, et par les
retards accusés par l’administration
avant la publication des communiqués
de presse, d’autre part.
Ces retards de communication feront
que l’information officielle validée
finit par laisser place aux rumeurs
qui peuvent être par exemple à
l’origine d’un arrêt brusque de
traitement avec tous les risques que
cela comporte.
In fine, pour lutter contre la
désinformation, l’administration n’a
d’autre choix que de miser sur les
nouveaux outils de communication
pour fournir à temps une information
complète et validée. |
Dr.Abderrahim Derraji
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Nous nous
contentons, dans cette rubrique, de
résumer quelques articles de presse
que nous jugeons intéressants ou
importants. Notre rédaction
n'approuve pas forcement le contenu
de ces articles.
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Polémique autour de la livraison
à domicile de médicaments (1) |
C’est un «commerçant» assez
particulier que celui arrêté la
semaine dernière par les services de
la police judiciaire de Casablanca.
L’homme était recherché
Un homme a été arrêté par la police
suite à une plainte déposée contre
lui par le Syndicat national des
pharmaciens du Maroc (SNPM). L’homme
est suspecté de vente illégale de
médicaments. Si l’on se fie aux
déclarations du SNPM, il s’agit là
d’un «trafic» d’un genre nouveau,
avec tous les risques que cela
représente pour la santé du citoyen.
Nouveau de par le modus operandi
adopté par l’homme en question, car
il avait réussi à développer tout un
réseau de livraison de produits
pharmaceutiques.
Pour ce faire, il avait créé une
société de services comme celles qui
commencent à voir le jour un peu
partout. Sur simple coup de fil, ces
sociétés peuvent vous livrer ce dont
vous avez besoin (boissons,
nourriture, produits alimentaires,
etc.). La différence est que la
société créée par notre ami s’est
spécialisée dans la distribution de
médicaments. Un acte illicite selon
le SNPM, vu que le législateur a
limité le secteur du médicament à
trois types de métiers : producteur,
distributeur et pharmacien. À part
ces trois maillons, toute personne
qui s’implique dans la vente de
produits pharmaceutiques tombe sous
le coup du Code du médicament et la
loi 17/04. |
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Le ministre de la Santé fait une
fleur aux infirmiers issus des
écoles privées (2) |
Lors du Conseil du gouvernement tenu
jeudi dernier à Rabat, le ministre
de la Santé, EL Houssaine
Louardi, a
soumis à ses pairs un projet de
décret portant le n° 2-12-380
modifiant et complétant le décret du
13 avril 2007 formant statut
particulier du corps des infirmiers
du ministère de la Santé.
L’une des particularités les plus
controversées de ce texte est qu’il
va à l’encontre de toutes les luttes
syndicales menées depuis des
décennies par ce corps de métier
pour défendre la qualité et
l’efficience de la formation que les
infirmiers diplômés d’État ont
reçues.
En effet, ce projet prévoit de faire
participer les titulaires du diplôme
de technicien spécialisé dans le
domaine paramédical délivré par les
établissements de formation
professionnelle agréés aux concours
organisés pour le recrutement au
sein du secteur public, de deuxième
catégorie. Ce texte ouvre ainsi les
portes des hôpitaux et des CHU à ces
"pseudo-infirmiers" au même titre que
leurs alter egos des centres de
formation du ministère de la Santé
publique.
Contacté à ce propos, l’un des
responsables du Syndicat national de
la santé publique, affilié à la FDT,
nous a affirmé que sa Centrale s’est
toujours opposée à pareille
décision.
La raison du scepticisme des
syndicats de la profession réside
dans le doute sérieux et motivé
concernant la formation dispensée
par ces écoles privées qui se sont
arrogées le droit d’être juge et
partie. C’est-à-dire de dispenser
leur formation et de la sanctionner,
sans contrôle aucun de la part des
autorités compétentes, par des
diplômes dont personne ne peut
évaluer la qualité.
Ce qui s’inscrit en porte-à-faux
avec la stratégie suivie par l’État
en matière d’enseignement, puisque
tous les élèves des cursus, primaire
et secondaire, sont obligés de
passer leurs examens pour
l’obtention du certificat d’études
et du baccalauréat au sein des
établissements publics. En outre,
les centres de formation aux métiers
paramédicaux et aux carrières
d’infirmier du ministère de la Santé
forment plus de lauréats que de
postes budgétaires affectés à leur
embauche. |
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Le bio n'est pas meilleur pour la
santé (3) |
Une étude
publiée cette semaine dans la revue
Annals of Internal Medicine a
clairement révélé que les aliments
issus de l'agriculture biologique ne
sont pas meilleurs pour la santé que
ceux produits par l'agriculture
conventionnelle ou «chimique».
Pourtant, le consommateur les paie
plus cher!
Pour arriver à cette conclusion, des
médecins de l'université de Stanford
ont épluché pas moins de 237 études
scientifiques dans lesquelles
aliments biologiques et
conventionnels étaient comparés de
façon rigoureuse.
À leur grand étonnement, les
chercheurs ont constaté qu'il n'y
avait pas de différence
significative entre les deux
catégories de produits. Que ce soit
sur le plan des apports
nutritionnels ou de la réduction des
risques sanitaires.
Contrairement à ce qu'affirment les
promoteurs ou les adeptes de
l'agriculture biologique, le contenu
en vitamines, en minéraux, en
protéines ou en lipides est à peu
près le même dans les aliments bio
et non bio. Seul le phosphore fait
exception avec un avantage
significatif pour les premiers, mais
comme les carences sont rares,
l'intérêt sanitaire est faible. Dans
la catégorie particulière des fruits
et légumes, les chercheurs avouent
ne pas avoir été capables de déceler
la moindre différence, même après
avoir passé en revue des «tonnes
d'analyses», selon l'expression du
Dr Bravata, auteur principal de
l’étude.
Plus surprenant encore, les médecins
californiens ont constaté que les
aliments conventionnels n'étaient
pas significativement plus pollués
ou néfastes pour la santé que leurs
homologues bio. Certes, le fait de
manger des fruits et légumes bio
réduit en moyenne de 30 %
l'exposition aux pesticides, en
particulier chez les enfants. Mais
le Dr Bravata note que les
concentrations en résidus des fruits
et légumes conventionnels ne
dépassent pas les limites sanitaires
autorisées. En outre les produits
bio ne sont pas totalement exempts
de pesticides…
Sur le plan microbien, les risques
de contaminations bactériennes sont
identiques quel que soit le régime,
bio ou non. Seule différence, le
risque de présence de bactéries
résistantes à certains antibiotiques
est 33 % plus élevé dans la viande
de poulet ou de porc non biologique.
Les rares études portant directement
sur la santé humaine (17 seulement
sur le total) n'ont pas non plus mis
en évidence de surcroît de maladies
allergiques de type asthme ou eczéma
chez les consommateurs de produits
non bio.
En 2003, l'Agence française de
sécurité sanitaire des aliments
avait déjà conclu que «les faibles
écarts» constatés entre les deux
catégories de produits
«n'apparaissent pas significatifs en
terme d'apports nutritionnels». Six
ans plus tard, la Food Standards
Agency, l'équivalent anglaise de l'Afssa,
aboutissait à la même conclusion
après avoir procédé à l'examen de
162 études scientifiques publiées
sur le sujet au cours des 50
dernières années. Et en mai 2010,
deux chercheurs de l'Inra, Gérard
Pascal et Léon Guéguen, ne
décelaient pas eux non plus
«d'avantage nutritionnel ou
sanitaire significatif». |
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Le ginkgo biloba sans effet contre
l'alzheimer, confirme une autre
étude(4) |
Le ginkgo biloba pris sous forme de
complément alimentaire ne prévient
pas la maladie d'Alzheimer et ne
permet pas d'en freiner la
progression, conclut une vaste étude
dont les résultats sont publiés dans
la revue britannique The Lancet
Neurology.
Dans le cadre de ce premier essai de
prévention réalisé en France auprès
de 2854 personnes âgées de plus de
70 ans et atteintes de troubles de
la mémoire, l'étude a montré que la
prise quotidienne d'extrait de
ginkgo biloba ne prévient pas la
maladie d'Alzheimer.
Sur les 2854 participants de
l'étude, 1406 ont reçu au moins 240
milligrammes d'extrait de ginkgo
biloba chaque jour, tandis que les
autres ont reçu au moins une dose de
placebo. Ces personnes ont été
soumises à une batterie de tests
cognitifs tous les mois, puis tous
les six mois, certains sur une
période de cinq ans.
Durant ces cinq ans, 61 participants
du groupe ayant pris du ginkgo
biloba ont été diagnostiqués comme
souffrant probablement d'alzheimer,
contre 73 dans le groupe placebo.
Selon les auteurs, cette différence
n'est pas significative du point de
vue statistique et pourrait être
attribuable au hasard.
Les médecins estiment que l'adoption
de saines habitudes de vie est le
meilleur moyen de réduire les
risques de développer la maladie
d'Alzheimer. Il s'agit notamment
d'une alimentation équilibrée,
d'exercice physique régulier et de
contrôle des facteurs de risques
cardiovasculaires. |
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Un pas de géant en génétique(5) |
Une équipe internationale de 400
chercheurs vient de découvrir qu’un
des éléments formant les chromosomes
et appelés «ADN poubelle» jouent un
rôle essentiel dans la régulation de
l'activité des gènes et dans
certaines maladies. Selon le résumé
de ces travaux publiés mercredi dans
plusieurs revues scientifiques dont
Nature et Science, la grande
majorité de cet «ADN poubelle»
«serait en fait une vaste table de
contrôle avec des millions
d'interrupteurs régulant l'activité
de nos gènes. Sans ces
interrupteurs, les gènes ne
fonctionneraient pas et des
mutations dans ces régions
pourraient induire des maladies»,
souligne un.
Pierre Tambourin, le directeur
général du Génopole à Évry, a
qualifié cette découverte de très
importante car elle montre que l'ADN
non codant est essentiel à la vie.
«C'est presque aussi important que
la publication de la séquence du
génome de l'homme», estime-t-il.
L'ADN humain est composé de 3,3
milliards de paires de bases. Mais
seulement 2 à 3 % de ce matériel
sont codants. Le reste du génome,
soit 3,25 milliards de paires de
base, avait été qualifié au départ
«d'ADN poubelle» parce qu'on l'avait
jugé inutile.
Dans le vaste projet Encode lancé en
2003 pour réaliser une gigantesque
encyclopédie de l'ADN, l'équipe de
chercheurs vient d'identifier 4
millions d'«interrupteurs»
génétiques. «Notre génome est en vie
grâce à ces millions d'interrupteurs
qui déterminent si un gène doit être
“allumé” ou “éteint”», explique Ewan
Birney du Laboratoire européen de
biologie moléculaire et de
bio-informatique (LEBM-IEB),
coordonnateur en chef de l'analyse.
«Dans la plupart des cas nous savons
quels gènes jouent un rôle dans une
maladie, mais pas quels
interrupteurs sont impliqués»,
indique pour sa part Iam Durham, un
chercheur au LEBM-IEB, qui souligne
qu'Encode fournit des «pistes
prometteuses pour la découverte de
mécanismes clés dans les maladies». |
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Nanomédecine et cerveau : un
verrou pour les nanoparticules a
sauté(6) |
Un groupe de médecins américains qui
s’est lancé dans l’étude du
potentiel de la nanotechnologie en
médecine vient de publier dans
Science un article qui illustre bien
les progrès de la nanomédecine.
Un des problèmes auxquels étaient
confrontés les chercheurs est de
permettre aux nanoparticules de
tailles suffisamment grandes de
pénétrer en profondeur dans le
cerveau. Or, jusqu’à présent, seules
des nanoparticules de moins de 64
nanomètres (nm) de diamètre
pouvaient efficacement diffuser dans
le cerveau. Malheureusement, pour
des thérapies contre les cancers du
cerveau, les médecins ont besoin de
nanoparticules d’un diamètre
supérieur.
Pour surmonter ce problème, les
chercheurs ont eu l’idée d’utiliser
du polyéthylène-glycol (PEG).
L’astuce consiste à recouvrir de PEG
les nanoparticules vectrices de
substances actives contre les
tumeurs. Le revêtement de
polyéthylène-glycol agit alors comme
un bouclier contre les propriétés
hydrophobes des cellules nerveuses
qui ont tendance à coller les
nanoparticules sur leurs membranes.
Tout se passe donc comme si on avait
ajouté une sorte de lubrifiant.
Les chercheurs ont alors constaté
que des nanoparticules dont la
taille pouvait atteindre 114 nm
pouvaient diffuser facilement dans
le cerveau. Seulement, avant de
passer à des applications médicales
chez l’Homme, des études cliniques
doivent être menées. On sait en
effet que les nano-objets, comme
certaines nanoparticules et certains
nanotubes, ne sont pas sans danger
pour la santé. Si ces tests ce
révélaient concluants, on pourrait
donc disposer de nouveaux moyens
curatifs en cas de cancer, d’AVC ou
inflammation de l'encéphale. |
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Le vaccin de la grippe A pouvait
donner le syndrome de Guillain-Barré (7) |
Après avoir analysé l'incidence de
la maladie de Guillain-Barré dans
les semaines qui ont suivi la
campagne de vaccination contre la
grippe pandémique en 2009-2010, une
équipe de la Faculté de médecine du
Québec est arrivée à la conclusion
selon laquelle la vaccination contre
la grippe A (H1N1) aurait entraîné
une faible augmentation du nombre de
cas de Guillain-Barré au Québec.
Selon Philippe De Wals, l'un des
auteurs de l'étude, c’est une
stimulation du système immunitaire
qui tourne mal. Les anticorps se
trompent de cible et attaquent les
cellules nerveuses. Comme le mode de
fonctionnement des vaccins consiste
justement à stimuler une réaction
immunitaire, la vaccination est
toujours soupçonnée lorsque des cas
de Guillain-Barré surviennent.
Dans l'édition du 12 juillet du
Journal of the American Medical
Association, le professeur De Wals
et ses collègues rapportent que 83
cas de Guillain-Barré ont été
signalés au Québec dans les six mois
qui ont suivi la vaccination de
2009-2010. Selon les analyses des
chercheurs, cette incidence dépasse
ce que l'on devrait normalement
observer. Le vaccin aurait provoqué
deux cas de Guillain-Barré par
million de doses administrées; les
victimes se trouvent surtout chez
les 50 ans et plus. La campagne de
2009-2010, au cours de laquelle 4,4
millions de personnes ont été
vaccinées au Québec, aurait donc
entraîné 9 cas de Guillain-Barré.
Les chercheurs concluent qu'il
s'agit là d'un risque significatif
sur le plan statistique, quoique
faible. |
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Dr.
Zitouni
Imounachen |
Sources:
(1)
lematin.ma;
(2)
libe.ma;
(3) sante-sante.fr;
(4)
radio-canada.ca;
(5)
lefigaro.fr;
(6) futur-sciences;
(7)
techno-science.net;
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PROCHAINS
EVENEMENTS |
OFFICINE PLUS
Date:
15/09/2012
Lieu: Espace Agora
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Site web:Lien
JPIC 2012
JOURNÉE PHARMACEUTIQUE DE CASABLANCA
Thème: "Observance Thérapeutique"
Date:
22/09/2012
Lieu: Hyat Regency
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Contact: Syndicat des Pharmaciens de
la Wilaya du Grand Casablanca |
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VALORISER LE RÔLE DU PHARMACIEN:
UN EXEMPLE QUÉBÉCOIS
L'OFFICINAL
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Cliquez sur le lien pour lire
l'article:
Lien
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INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE
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Accord
entre Pierre Fabre et Merz dans la
dermatologie esthétique
Les laboratoires pharmaceutiques
Pierre Fabre et l’allemand Merz
Pharmaceuticals ont signé un accord
de partenariat concernant la
commercialisation des injectables
Glytone® utilisés en dermatologie
esthétique pour le comblement des
rides.
Par cet accord, Merz devient
propriétaire des droits mondiaux
pour les produits injectables
Glytone® à base d’acide hyaluronique.
Ils en assureront la
commercialisation à partir du mois
de septembre. Les Laboratoires
Pierre Fabre restent propriétaires
de la marque Glytone®, et
continueront d’en assurer la
commercialisation aux États-unis,
territoire où la marque ne comprend
pas de produits injectables à base
d’acide hyaluronique.
Selon Hans-Jörg Bergler, directeur
Corporate Development du groupe
Merz, ce projet avec Pierre Fabre
conforte notre position mondiale en
dermatologie esthétique. ce nouveau
projet démontre notre volonté de
renforcer notre portefeuille à
l’aide de produits hautement
innovants. Nous avons l’intention de
travailler étroitement avec les
Laboratoires Pierre Fabre à
l’intégration des fillers Glytone®
dans notre portefeuille mondial de
produits, et d’identifier avec eux
d’éventuelles opportunités
capitalisant sur nos expertises
complémentaires en dermatologie
esthétique.
La marque Glytone a été acquise par
Pierre Fabre aux États-unis en 2002
et lancée en Europe en 2008. Elle
comprend d’une part une gamme
complète de produits de dispensing
dermatologique vendue principalement
aux États-unis, et d’autre part des
produits professionnels utilisés en
dermatologie esthétique – peelings à
l’acide glycolique, injectables à
base d’acide hyaluronique utilisés
pour le comblement des rides et le
repulpage des lèvres – vendus
exclusivement en dehors des
États-unis.
Source: mypharma |
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VIENT DE
PARAÎTRE |
GUIDE
MAROCAIN DE VACCINOLOGIE (2éme
Edition)
Dr. Mohammed Bouskraoui
Professeur à la faculté de médecine
(Université Caddi Ayyad)
Chef de service-Pediatrie A (CHU
Mohammed VI)
Marrakech
M'hamed Braikat
Responsable de Programme
d'Immunisation.
Cliquez sur le lien suivant pour
télécharger le Guide.
Lien |
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DU:
APPEL A CANDIDATURE |
DIU DE VACCINOLOGIE A MARRAKECH
Cliquer sur le lien
pour en savoir plus.
Lien |
CERTIFICAT UNIVERSITAIRE
ÉTUDE DE LA BIODISPONIBILITE ET DE
LA BIOÉQUIVALENCE |
Affiche:
Cliquez ici
Pré inscription:
Cliquez ici |
COURS FRANCOPHONE
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La Société Marocaine de
Pharmacovigilance organise en
collaboration avec le Centre Anti
Poison et de Pharmacovigilance le
6ème
COURS FRANCOPHONE
Inter Pays de Pharmacovigilance qui
se tiendra au Centre du 17 au 28
Septembre 2012.
L’inscription à ce cours est ouverte
aux Médecins
et Pharmaciens
désireux d’acquérir une formation de
base en pharmacovigilance.
Contact:
Mr Ouammi Lahcen
Email: louammi@gmail.com |
DIPLÔME D'UNIVERSITÉ DE
PHARMACOEPIDEMIOLOGIE ET DE
PHARMACOECONOMIE
2012 / 2013
Appel à candidature |
DIPLOME
D'UNIVERSITE SUPERIEUR DE PHARMACIE
CLINIQUE
Appel à candidature |
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La
société Marocaine d'Infectiologie et
de vaccinologie est née |
La Société Marocaine d’Infectiologie
et de Vaccinologie SOMIPEV vient
d’être créée fin avril 2012. Cette
société, qui rassemble les
compétences marocaines dans le
domaine, se donne comme objectif la
promotion et le développement des
connaissances des maladies
infectieuses pédiatriques et la
vaccinologie au Maroc, le
développement d'une recherche
scientifique de niveau international
dans cette discipline et la
proposition de l'expertise et des
orientations à suivre dans le
domaine de la prévention des
maladies infectieuses pédiatriques
et les stratégies nationales de
vaccination au Ministère de la santé
dans notre pays.
A l’issue de la création de la
SOMIPEV, plusieurs groupes d’étude
ont été constitués autour des thèmes
suivants : Infections respiratoires
aigues, Infections urinaires,
Infections de système nerveux,
Tuberculose, déficits immunitaires,
vaccinologie, antibiothérapie….
La SOMIPEV
est présidée par le Professeur
Mohammed Bouskraoui et les membres
du bureau sont les suivants :
Président d’honneur : El Malki Amina
Vice-président : El Hassani Amine
Vice-président adjoint : Bousfiha
Ahmed Aziz
Secrétaire général : Zerouali Khalid
Secrétaire général adjoint : Lakhdar
Idrissi Mounia
Trésorier : Zineddine Abdelhadi
Trésorier-adjoint : Dini Nouzha
Assesseurs : Hida Mustapha, Abid
Abderrahmane, Najib Jilali,
Benchekroun Soumia, Braikat M’Hammed,
Melhaoui Ben Younes |
|
NOUVEAUX AU MAROC
En partenariat
avec
le site web MEDICAMENT.MA |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma. |
PRODEFEN®
Entreprise Versalya SA / Laboratoires IBERMA
Composition : Complément
alimentaires qui contient 7 souches probiotiques
et des fructooligosaccharides.
Présentation : Boite
de 10 sachets
PPM : 99,00 Dh
ARTELAC®
Laboratoires : Zenith
pharma
Composition :Hypromellose
Présentation :Collyre/
Flacon de 10ml.
PPM : 28,80 Dh
FLUPEN®
Laboratoires : Pharmaed
Composition : Flucloxacilline
Présentations :
- Boite de 24 gélules dosées à 500 mg
PPM : 67,00 Dh
- Boite de12 gélules dosées à 500 mg
PPM : 35,00 Dh
-
Flacon de 100ml: 250mg/5ml
PPM
: 45,00 Dh (Arôme
orange)
-
Flacon de 60ml: 250mg/5ml
PPM
: 34,00 Dh (Arôme
orange)
XOLAMOL®
Laboratoires : Bottu
Composition : Dorzolamide
et Timolol
Présentation : Falcon
compte gouttes de 5ml
PPM : 110,70 Dh
ICIN® 0,3%
Laboratoires : Bottu
Composition : Ciprofloxacine
dosée à 15mg
Présentation : Flacon
compte gouttes 5 ml
PPM : 27,50 Dhs
DIPREZAR FORT 100mg / 25 mg
Laboratoires : Bottu
Composition : Losartan
Hydrochlorothiazide
Présentation : Boite
de 28 comprimés pelliculés
PPM : 231,00 Dh
MILIPREL® 2mg
Laboratoires : Synthemedic
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 36,00 Dh
MILIPREL® 3mg
Laboratoires : Synthemedic
Composition : Glimépride
Présentation : 60comprimés
PPM : 97,40 Dh
MILIPREL® 3mg
Laboratoires : Synthemedic
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 51,30 Dh
MILIPREL® 4mg
Laboratoires : Synthemedic
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 68,40 DHS
DETRUSITOL® SR
Laboratoires : PFIZER
Composition : Tolterodine
tartrate
Présentation : 28 gélules
PPM : 265,00 Dh
PENISTAPH®
Laboratoires : GALENICA
Composition : Flucloxacilline
Présentations :
- Boite de 12 gélules
PPM: 47,85 Dh
- Boite de 16 gélules
PPM: 71,40 Dh
- Boite de 24 gélules
PPM: 89,95 Dh
- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 125mg/5ml
Flacon de 60ml
PPM: 18,85 Dh
- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 125mg/5ml
Flacon de 100ml
PPM: 26,65 Dh
- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 250mg/5ml
Flacon de 60ml
PPM: 36,30 Dh
- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 250mg/5ml
Flacon de 100ml
PPM: 54,15 Dh
OMACOR®
Laboratoires : PIERRE
FABRE MÉDICAMENT et MAPHAR
Composition : Esters
éthylique d'acide oméga 3 à 90%
Présentation : 30 capsules molles
PPM : 281,90 Dh
ARGO® 1,25
mg
Laboratoires : Pharma5
Présentation : Suspension
buvable 250ml
Composition :
Alginate de sodium et bicarnonate de sodium
PPM : 30.50 Dh |
|
Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre... |
Pour vous permettre de gagner un
temps précieux, notre équipe a développé
en partenariat avec les
LABORATOIRES LAPROPHAN plus
d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles
actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC,
Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du
poids idéal, Taille et poids du
nourrisson, Constantes biologiques,
Honoraire d'analyse, Calcul du
risque cardiovasculaire, PPM d'une
préparation, Bordereau de CNSS et
AMO, ...etc
D'autres outils sont en
développement et seront mis en ligne
dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les
différents outils.
Vos remarques et vos suggestions
seront les bienvenues. |
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BON A
SAVOIR |
Anciennes
Pharmanews
Cliquer sur le lien suivant pour consulter
les
anciennes Pharmanews.
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info@pharmacies.ma
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Nous vous informons que nous sommes disposés à diffuser toute
information en provenance des syndicats , des conseils ou des
associations.
Pour ce faire, les syndicats et les associations sont priés de
nous envoyer leur écrits à l'adresse électronique :
info@pharmacies.ma
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