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Numéro: 152

10 septembre2012

11003  destinataires

 

Information et désinformation

Le Centre de Démocratie a organisé les 4 et 5 septembre deux journées d’étude dédiées au droit à l’information (DAI) dans le secteur de la santé. Cette rencontre qui s’est déroulée en partenariat avec le ministère de la santé et l’Ambassade de Grande Bretagne a permis à de nombreux participants de suivre des conférences de qualité animées par des orateurs de différents horizons.
La séance inaugurale a rapidement fait place à une série de conférences par les quelles les orateurs ont rappelé les acquis au Maroc en matière de DAI, notamment à l’adoption de la nouvelle constitution qui prévoit dans son article 27, titre 2, que les citoyens jouissent de la liberté d’accéder à l’information détenue par l’administration, les institutions élues et les organismes investis d’une mission de service public,… etc.
L’information médicale qui s’inscrit dans l’esprit de ce nouveau texte, a cependant ses spécificités qui doivent être prises en considération.
Hormis quelques rares exceptions, le devoir d’information est une obligation légale et déontologique s’imposant à tout professionnel de santé. Ce devoir qui permet l’obtention du consentement du malade aux thérapies envisagées, devrait s’accompagner du « droit de ne pas savoir » si tel est le souhait du patient.
Les professionnels de santé doivent par ailleurs, respecter scrupuleusement le secret médical. Mme Anna Likos de l’agence américaine de la santé publique a mis en exergue, lors de son intervention, les problèmes qui peuvent être posés par le stockage des données propres aux malades dans différents supports informatiques. Selon cette experte, des garde-fous devraient être prévus pour préserver le secret médical.
Au Maroc, les sites d’information institutionnels souffrent dans leur majorité d’un manque de réactivité, ce qui explique l’engouement des citoyens pour les sites web non institutionnels, dont plusieurs sites Internet étrangers. Or, la régulation de ces supports est quasiment impossible, ce qui devrait nous inciter à mettre en place un observatoire nous permettant de prémunir nos concitoyens contre la désinformation et ses méfaits.
La presse écrite non spécialisée, de son coté, peut dans certains cas devenir une source de désinformation. Ceci s’explique, par le manque de spécialisation des journalistes d’une part, et par les retards accusés par l’administration avant la publication des communiqués de presse, d’autre part.
Ces retards de communication feront que l’information officielle validée finit par laisser place aux rumeurs qui peuvent être par exemple à l’origine d’un arrêt brusque de traitement avec tous les risques que cela comporte.
In fine, pour lutter contre la désinformation, l’administration n’a d’autre choix que de miser sur les nouveaux outils de communication pour fournir à temps une information complète et validée.

Dr.Abderrahim Derraji

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Nous nous contentons, dans cette rubrique, de résumer quelques articles de presse que nous jugeons intéressants ou importants. Notre rédaction n'approuve pas forcement le contenu de ces articles.

 

Polémique autour de la livraison à domicile de médicaments (1)

C’est un «commerçant» assez particulier que celui arrêté la semaine dernière par les services de la police judiciaire de Casablanca. L’homme était recherché
Un homme a été arrêté par la police suite à une plainte déposée contre lui par le Syndicat national des pharmaciens du Maroc (SNPM). L’homme est suspecté de vente illégale de médicaments. Si l’on se fie aux déclarations du SNPM, il s’agit là d’un «trafic» d’un genre nouveau, avec tous les risques que cela représente pour la santé du citoyen. Nouveau de par le modus operandi adopté par l’homme en question, car il avait réussi à développer tout un réseau de livraison de produits pharmaceutiques.
Pour ce faire, il avait créé une société de services comme celles qui commencent à voir le jour un peu partout. Sur simple coup de fil, ces sociétés peuvent vous livrer ce dont vous avez besoin (boissons, nourriture, produits alimentaires, etc.). La différence est que la société créée par notre ami s’est spécialisée dans la distribution de médicaments. Un acte illicite selon le SNPM, vu que le législateur a limité le secteur du médicament à trois types de métiers : producteur, distributeur et pharmacien. À part ces trois maillons, toute personne qui s’implique dans la vente de produits pharmaceutiques tombe sous le coup du Code du médicament et la loi 17/04.

 
Le ministre de la Santé fait une fleur aux infirmiers issus des écoles privées (2) 

Lors du Conseil du gouvernement tenu jeudi dernier à Rabat, le ministre de la Santé, EL Houssaine Louardi, a soumis à ses pairs un projet de décret portant le n° 2-12-380 modifiant et complétant le décret du 13 avril 2007 formant statut particulier du corps des infirmiers du ministère de la Santé.
L’une des particularités les plus controversées de ce texte est qu’il va à l’encontre de toutes les luttes syndicales menées depuis des décennies par ce corps de métier pour défendre la qualité et l’efficience de la formation que les infirmiers diplômés d’État ont reçues.
En effet, ce projet prévoit de faire participer les titulaires du diplôme de technicien spécialisé dans le domaine paramédical délivré par les établissements de formation professionnelle agréés aux concours organisés pour le recrutement au sein du secteur public, de deuxième catégorie. Ce texte ouvre ainsi les portes des hôpitaux et des CHU à ces "pseudo-infirmiers" au même titre que leurs alter egos des centres de formation du ministère de la Santé publique.

Contacté à ce propos, l’un des responsables du Syndicat national de la santé publique, affilié à la FDT, nous a affirmé que sa Centrale s’est toujours opposée à pareille décision.
La raison du scepticisme des syndicats de la profession réside dans le doute sérieux et motivé concernant la formation dispensée par ces écoles privées qui se sont arrogées le droit d’être juge et partie. C’est-à-dire de dispenser leur formation et de la sanctionner, sans contrôle aucun de la part des autorités compétentes, par des diplômes dont personne ne peut évaluer la qualité.

Ce qui s’inscrit en porte-à-faux avec la stratégie suivie par l’État en matière d’enseignement, puisque tous les élèves des cursus, primaire et secondaire, sont obligés de passer leurs examens pour l’obtention du certificat d’études et du baccalauréat au sein des établissements publics. En outre, les centres de formation aux métiers paramédicaux et aux carrières d’infirmier du ministère de la Santé forment plus de lauréats que de postes budgétaires affectés à leur embauche.

 
Le bio n'est pas meilleur pour la santé (3)

Une étude publiée cette semaine dans la revue Annals of Internal Medicine a clairement révélé que les aliments issus de l'agriculture biologique ne sont pas meilleurs pour la santé que ceux produits par l'agriculture conventionnelle ou «chimique». Pourtant, le consommateur les paie plus cher!
Pour arriver à cette conclusion, des médecins de l'université de Stanford ont épluché pas moins de 237 études scientifiques dans lesquelles aliments biologiques et conventionnels étaient comparés de façon rigoureuse.
À leur grand étonnement, les chercheurs ont constaté qu'il n'y avait pas de différence significative entre les deux catégories de produits. Que ce soit sur le plan des apports nutritionnels ou de la réduction des risques sanitaires.
Contrairement à ce qu'affirment les promoteurs ou les adeptes de l'agriculture biologique, le contenu en vitamines, en minéraux, en protéines ou en lipides est à peu près le même dans les aliments bio et non bio. Seul le phosphore fait exception avec un avantage significatif pour les premiers, mais comme les carences sont rares, l'intérêt sanitaire est faible. Dans la catégorie particulière des fruits et légumes, les chercheurs avouent ne pas avoir été capables de déceler la moindre différence, même après avoir passé en revue des «tonnes d'analyses», selon l'expression du Dr Bravata, auteur principal de l’étude.
Plus surprenant encore, les médecins californiens ont constaté que les aliments conventionnels n'étaient pas significativement plus pollués ou néfastes pour la santé que leurs homologues bio. Certes, le fait de manger des fruits et légumes bio réduit en moyenne de 30 % l'exposition aux pesticides, en particulier chez les enfants. Mais le Dr Bravata note que les concentrations en résidus des fruits et légumes conventionnels ne dépassent pas les limites sanitaires autorisées. En outre les produits bio ne sont pas totalement exempts de pesticides…
Sur le plan microbien, les risques de contaminations bactériennes sont identiques quel que soit le régime, bio ou non. Seule différence, le risque de présence de bactéries résistantes à certains antibiotiques est 33 % plus élevé dans la viande de poulet ou de porc non biologique. Les rares études portant directement sur la santé humaine (17 seulement sur le total) n'ont pas non plus mis en évidence de surcroît de maladies allergiques de type asthme ou eczéma chez les consommateurs de produits non bio.
En 2003, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments avait déjà conclu que «les faibles écarts» constatés entre les deux catégories de produits «n'apparaissent pas significatifs en terme d'apports nutritionnels». Six ans plus tard, la Food Standards Agency, l'équivalent anglaise de l'Afssa, aboutissait à la même conclusion après avoir procédé à l'examen de 162 études scientifiques publiées sur le sujet au cours des 50 dernières années. Et en mai 2010, deux chercheurs de l'Inra, Gérard Pascal et Léon Guéguen, ne décelaient pas eux non plus «d'avantage nutritionnel ou sanitaire significatif».

 
Le ginkgo biloba sans effet contre l'alzheimer, confirme une autre étude(4) 

Le ginkgo biloba pris sous forme de complément alimentaire ne prévient pas la maladie d'Alzheimer et ne permet pas d'en freiner la progression, conclut une vaste étude dont les résultats sont publiés dans la revue britannique The Lancet Neurology.
Dans le cadre de ce premier essai de prévention réalisé en France auprès de 2854 personnes âgées de plus de 70 ans et atteintes de troubles de la mémoire, l'étude a montré que la prise quotidienne d'extrait de ginkgo biloba ne prévient pas la maladie d'Alzheimer.
Sur les 2854 participants de l'étude, 1406 ont reçu au moins 240 milligrammes d'extrait de ginkgo biloba chaque jour, tandis que les autres ont reçu au moins une dose de placebo. Ces personnes ont été soumises à une batterie de tests cognitifs tous les mois, puis tous les six mois, certains sur une période de cinq ans.
Durant ces cinq ans, 61 participants du groupe ayant pris du ginkgo biloba ont été diagnostiqués comme souffrant probablement d'alzheimer, contre 73 dans le groupe placebo. Selon les auteurs, cette différence n'est pas significative du point de vue statistique et pourrait être attribuable au hasard.
Les médecins estiment que l'adoption de saines habitudes de vie est le meilleur moyen de réduire les risques de développer la maladie d'Alzheimer. Il s'agit notamment d'une alimentation équilibrée, d'exercice physique régulier et de contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires.

 

Un pas de géant en génétique(5)

Une équipe internationale de 400 chercheurs vient de découvrir qu’un des éléments formant les chromosomes et appelés «ADN poubelle» jouent un rôle essentiel dans la régulation de l'activité des gènes et dans certaines maladies. Selon le résumé de ces travaux publiés mercredi dans plusieurs revues scientifiques dont Nature et Science, la grande majorité de cet «ADN poubelle» «serait en fait une vaste table de contrôle avec des millions d'interrupteurs régulant l'activité de nos gènes. Sans ces interrupteurs, les gènes ne fonctionneraient pas et des mutations dans ces régions pourraient induire des maladies», souligne un.
Pierre Tambourin, le directeur général du Génopole à Évry, a qualifié cette découverte de très importante car elle montre que l'ADN non codant est essentiel à la vie. «C'est presque aussi important que la publication de la séquence du génome de l'homme», estime-t-il. L'ADN humain est composé de 3,3 milliards de paires de bases. Mais seulement 2 à 3 % de ce matériel sont codants. Le reste du génome, soit 3,25 milliards de paires de base, avait été qualifié au départ «d'ADN poubelle» parce qu'on l'avait jugé inutile.
Dans le vaste projet Encode lancé en 2003 pour réaliser une gigantesque encyclopédie de l'ADN, l'équipe de chercheurs vient d'identifier 4 millions d'«interrupteurs» génétiques. «Notre génome est en vie grâce à ces millions d'interrupteurs qui déterminent si un gène doit être “allumé” ou “éteint”», explique Ewan Birney du Laboratoire européen de biologie moléculaire et de bio-informatique (LEBM-IEB), coordonnateur en chef de l'analyse. «Dans la plupart des cas nous savons quels gènes jouent un rôle dans une maladie, mais pas quels interrupteurs sont impliqués», indique pour sa part Iam Durham, un chercheur au LEBM-IEB, qui souligne qu'Encode fournit des «pistes prometteuses pour la découverte de mécanismes clés dans les maladies».

 
Nanomédecine et cerveau : un verrou pour les nanoparticules a sauté(6)

Un groupe de médecins américains qui s’est lancé dans l’étude du potentiel de la nanotechnologie en médecine vient de publier dans Science un article qui illustre bien les progrès de la nanomédecine.
Un des problèmes auxquels étaient confrontés les chercheurs est de permettre aux nanoparticules de tailles suffisamment grandes de pénétrer en profondeur dans le cerveau. Or, jusqu’à présent, seules des nanoparticules de moins de 64 nanomètres (nm) de diamètre pouvaient efficacement diffuser dans le cerveau. Malheureusement, pour des thérapies contre les cancers du cerveau, les médecins ont besoin de nanoparticules d’un diamètre supérieur.
Pour surmonter ce problème, les chercheurs ont eu l’idée d’utiliser du polyéthylène-glycol (PEG). L’astuce consiste à recouvrir de PEG les nanoparticules vectrices de substances actives contre les tumeurs. Le revêtement de polyéthylène-glycol agit alors comme un bouclier contre les propriétés hydrophobes des cellules nerveuses qui ont tendance à coller les nanoparticules sur leurs membranes. Tout se passe donc comme si on avait ajouté une sorte de lubrifiant.
Les chercheurs ont alors constaté que des nanoparticules dont la taille pouvait atteindre 114 nm pouvaient diffuser facilement dans le cerveau. Seulement, avant de passer à des applications médicales chez l’Homme, des études cliniques doivent être menées. On sait en effet que les nano-objets, comme certaines nanoparticules et certains nanotubes, ne sont pas sans danger pour la santé. Si ces tests ce révélaient concluants, on pourrait donc disposer de nouveaux moyens curatifs en cas de cancer, d’AVC ou inflammation de l'encéphale.

 
Le vaccin de la grippe A pouvait donner le syndrome de Guillain-Barré (7)

Après avoir analysé l'incidence de la maladie de Guillain-Barré dans les semaines qui ont suivi la campagne de vaccination contre la grippe pandémique en 2009-2010, une équipe de la Faculté de médecine du Québec est arrivée à la conclusion selon laquelle la vaccination contre la grippe A (H1N1) aurait entraîné une faible augmentation du nombre de cas de Guillain-Barré au Québec.

Selon Philippe De Wals, l'un des auteurs de l'étude, c’est une stimulation du système immunitaire qui tourne mal. Les anticorps se trompent de cible et attaquent les cellules nerveuses. Comme le mode de fonctionnement des vaccins consiste justement à stimuler une réaction immunitaire, la vaccination est toujours soupçonnée lorsque des cas de Guillain-Barré surviennent.

Dans l'édition du 12 juillet du Journal of the American Medical Association, le professeur De Wals et ses collègues rapportent que 83 cas de Guillain-Barré ont été signalés au Québec dans les six mois qui ont suivi la vaccination de 2009-2010. Selon les analyses des chercheurs, cette incidence dépasse ce que l'on devrait normalement observer. Le vaccin aurait provoqué deux cas de Guillain-Barré par million de doses administrées; les victimes se trouvent surtout chez les 50 ans et plus. La campagne de 2009-2010, au cours de laquelle 4,4 millions de personnes ont été vaccinées au Québec, aurait donc entraîné 9 cas de Guillain-Barré.

Les chercheurs concluent qu'il s'agit là d'un risque significatif sur le plan statistique, quoique faible.

 

Dr. Zitouni Imounachen

Sources:
(1) lematin.ma
;
(2) libe.ma;
(3) sante-sante.fr;
(4) radio-canada.ca;
(5)
lefigaro.fr;
(6) futur-sciences;
(7) techno-science.net;


 

 
 
 
 
 
 
PROCHAINS EVENEMENTS
OFFICINE PLUS   
Date: 15/09/2012
Lieu: Espace Agora
Ville: Casablanca
Pays: Maroc
Site web:Lien  


JPIC 2012
JOURNÉE PHARMACEUTIQUE DE CASABLANCA

Thème: "Observance Thérapeutique"
Date: 22/09/2012
Lieu: Hyat Regency 
Ville: Casablanca
Pays: Maroc

Contact: Syndicat des Pharmaciens de la Wilaya du Grand Casablanca
 

VALORISER LE RÔLE DU PHARMACIEN:
UN EXEMPLE QUÉBÉCOIS
L'OFFICINAL

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Lien 
 

INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE

Accord entre Pierre Fabre et Merz dans la dermatologie esthétique
Les laboratoires pharmaceutiques Pierre Fabre et l’allemand Merz Pharmaceuticals ont signé un accord de partenariat concernant la commercialisation des injectables Glytone® utilisés en dermatologie esthétique pour le comblement des rides.
Par cet accord, Merz devient propriétaire des droits mondiaux pour les produits injectables Glytone® à base d’acide hyaluronique. Ils en assureront la commercialisation à partir du mois de septembre. Les Laboratoires Pierre Fabre restent propriétaires de la marque Glytone®, et continueront d’en assurer la commercialisation aux États-unis, territoire où la marque ne comprend pas de produits injectables à base d’acide hyaluronique.
Selon Hans-Jörg Bergler, directeur Corporate Development du groupe Merz, ce projet avec Pierre Fabre conforte notre position mondiale en
dermatologie esthétique. ce nouveau projet démontre notre volonté de renforcer notre portefeuille à l’aide de produits hautement innovants. Nous avons l’intention de travailler étroitement avec les Laboratoires Pierre Fabre à l’intégration des fillers Glytone® dans notre portefeuille mondial de produits, et d’identifier avec eux d’éventuelles opportunités capitalisant sur nos expertises complémentaires en dermatologie esthétique.
La marque Glytone a été acquise par Pierre Fabre aux États-unis en 2002 et lancée en Europe en 2008. Elle comprend d’une part une gamme complète de produits de dispensing dermatologique vendue principalement aux États-unis, et d’autre part des produits professionnels utilisés en dermatologie esthétique – peelings à l’acide glycolique, injectables à base d’acide hyaluronique utilisés pour le comblement des rides et le repulpage des lèvres – vendus exclusivement en dehors des États-unis.
Source: mypharma

VIENT DE PARAÎTRE

GUIDE MAROCAIN DE VACCINOLOGIE (2éme Edition)
Dr. Mohammed Bouskraoui
Professeur à la faculté de médecine (Université Caddi Ayyad)
Chef de service-Pediatrie A (CHU Mohammed VI)
Marrakech
M'hamed Braikat
Responsable de Programme d'Immunisation.
Cliquez sur le lien suivant pour télécharger le Guide.
Lien
    

DU: APPEL A CANDIDATURE

DIU DE VACCINOLOGIE A MARRAKECH
Cliquer sur le lien pour en savoir plus.
Lien
CERTIFICAT UNIVERSITAIRE
ÉTUDE DE LA BIODISPONIBILITE ET DE LA BIOÉQUIVALENCE
Affiche: Cliquez ici
Pré inscription: Cliquez ici
COURS FRANCOPHONE

La Société Marocaine de Pharmacovigilance organise en collaboration avec le Centre Anti Poison et de Pharmacovigilance le 6ème COURS FRANCOPHONE Inter Pays de Pharmacovigilance qui se tiendra au Centre du 17 au 28 Septembre 2012.
L’inscription à ce cours est ouverte aux Médecins et Pharmaciens désireux d’acquérir une formation de base en pharmacovigilance.
Contact:
Mr Ouammi Lahcen
Email:
louammi@gmail.com

DIPLÔME D'UNIVERSITÉ DE PHARMACOEPIDEMIOLOGIE ET DE PHARMACOECONOMIE
2012 / 2013
Appel à candidature

DIPLOME D'UNIVERSITE SUPERIEUR DE PHARMACIE CLINIQUE
Appel à candidature

 
La société Marocaine d'Infectiologie et de vaccinologie est née

La Société Marocaine d’Infectiologie et de Vaccinologie SOMIPEV vient d’être créée fin avril 2012. Cette société, qui rassemble les compétences marocaines dans le domaine, se donne comme objectif la promotion et le développement des connaissances des maladies infectieuses pédiatriques et la vaccinologie au Maroc, le développement d'une recherche scientifique de niveau international dans cette discipline et la proposition de l'expertise et des orientations à suivre dans le domaine de la prévention des maladies infectieuses pédiatriques et les stratégies nationales de vaccination au Ministère de la santé dans notre pays.

A l’issue de la création de la SOMIPEV, plusieurs groupes d’étude ont été constitués autour des thèmes suivants : Infections respiratoires aigues, Infections urinaires, Infections de système nerveux, Tuberculose, déficits immunitaires, vaccinologie, antibiothérapie….

La SOMIPEV est présidée par le Professeur Mohammed Bouskraoui et les membres du bureau sont les suivants :
Président d’honneur : El Malki Amina

Vice-président : El Hassani Amine
Vice-président adjoint : Bousfiha Ahmed Aziz
Secrétaire général : Zerouali Khalid
Secrétaire général adjoint : Lakhdar Idrissi Mounia
Trésorier : Zineddine Abdelhadi
Trésorier-adjoint : Dini Nouzha
Assesseurs : Hida Mustapha, Abid Abderrahmane, Najib Jilali, Benchekroun Soumia, Braikat M’Hammed, Melhaoui Ben Younes

  

NOUVEAUX AU MAROC
En partenariat avec le site web  MEDICAMENT.MA

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
info@pharmacies.ma.

PRODEFEN® 
Entreprise Versalya SA / Laboratoires IBERMA
Composition : Complément alimentaires qui contient 7 souches probiotiques et des fructooligosaccharides.
Présentation : Boite de 10 sachets
PPM : 99,00 Dh


ARTELAC® 

Laboratoires : Zenith pharma
Composition :Hypromellose
Présentation :Collyre/ Flacon de 10ml.
PPM : 28,80 Dh 


FLUPEN
® 

Laboratoires : Pharmaed
Composition : Flucloxacilline
Présentations : 
- Boite de 24 gélules dosées à 500 mg 
PPM : 67,00 Dh 


- Boite de12 gélules dosées à 500 mg 
PPM : 35,00 Dh 


- Flacon de 100ml: 250mg/5ml 
PPM : 45,00 Dh (Arôme orange)

- Flacon de 60ml: 250mg/5ml 
PPM : 34,00 Dh (Arôme orange)


XOLAMOL®
 

Laboratoires : Bottu
Composition : Dorzolamide et Timolol 
Présentation : Falcon compte gouttes de 5ml
PPM : 110,70 Dh


ICIN®
 0,3%  

Laboratoires : Bottu
Composition : Ciprofloxacine dosée à 15mg
Présentation : Flacon compte gouttes 5 ml
PPM : 27,50 Dhs


DIPREZAR FORT 100mg / 25 mg  
Laboratoires : Bottu
Composition : Losartan
Hydrochlorothiazide
Présentation : Boite de 28 comprimés pelliculés  
PPM : 231,00 Dh 


MILIPREL®
 2mg  

Laboratoires : Synthemedic   
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 36,00 Dh

MILIPREL® 3mg  
Laboratoires : Synthemedic   
Composition : Glimépride
Présentation : 60comprimés
PPM : 97,40 Dh 


MILIPREL®
 3mg  

Laboratoires : Synthemedic   
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 51,30 Dh 


MILIPREL®
 4mg  

Laboratoires : Synthemedic   
Composition : Glimépride
Présentation : 30comprimés
PPM : 68,40 DHS 


DETRUSITOL®
 SR 

Laboratoires : PFIZER  
Composition : Tolterodine tartrate 
Présentation :  28 gélules   
PPM : 265,00 Dh 


PENISTAPH®
Laboratoires : GALENICA
Composition : Flucloxacilline 

Présentations :
 
- Boite de 12 gélules
PPM: 47,85 Dh

- Boite de 16 gélules
PPM: 71,40 Dh

- Boite de 24 gélules
PPM: 89,95 Dh

- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 125mg/5ml
Flacon de 60ml
PPM: 18,85 Dh

- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 125mg/5ml
Flacon de 100ml
PPM: 26,65 Dh

- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 250mg/5ml
Flacon de 60ml
PPM: 36,30 Dh

- Poudre pour suspension buvable
Nourrisson 250mg/5ml
Flacon de 100ml
PPM: 54,15 Dh

OMACOR®  
Laboratoires : PIERRE FABRE MÉDICAMENT et MAPHAR
Composition : Esters éthylique d'acide oméga 3 à 90%
Présentation :  30 capsules molles
PPM : 281,90 Dh 


ARGO® 1,25 mg 

Laboratoires : Pharma5
Présentation : Suspension buvable 250ml 
Composition : 
Alginate de sodium et bicarnonate de sodium
PPM : 30.50 Dh

 

Outils Pharmacies.ma:
Il n' y a pas de temps à perdre...

Pour vous permettre de gagner un temps précieux, notre équipe a développé en partenariat avec les LABORATOIRES LAPROPHAN plus d'une vingtaine d'outils de calcul.
Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
Doses maximales, Calcul de l'IMC, Calendrier vaccinal (PNI), Calcul du poids idéal, Taille et poids du nourrisson, Constantes biologiques, Honoraire d'analyse, Calcul du risque cardiovasculaire, PPM d'une préparation, Bordereau de CNSS et AMO, ...etc
D'autres outils sont en développement et seront mis en ligne dès leur validation.
Cliquez ici pour utiliser les différents outils.
 
Vos remarques et vos suggestions seront les bienvenues.

 
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