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Se
soigner en préservant la nature… |
Ces dernières décennies, le
vieillissement de la population
mondiale, l’augmentation du
pouvoir d’achat des malades et la
généralisation de la
couverture médicale dans de nombreux
pays ont entraîné une
augmentation de la consommation des
médicaments dans de nombreux pays.
Malheureusement, une bonne partie de
ces produits de santé achetés ne sont pas
utilisés. Et en l’absence de
structure permettant leur
récupération, ces médicaments se
retrouvent éparpillés dans les décharges ou
enfouis dans la nature, avec tous
les risques que cela comporte pour
l’environnement.
En France, le recyclage des
médicaments est devenu obligatoire
depuis 2007. Les patients confient
leurs médicaments inutilisés à leurs
pharmaciens qui les remettent à Cyclamed. Cette dernière va
se charger de les incinérer en
produisant de l’énergie au passage.
Un autre organisme similaire à
Cyclamed démarrera son activité à la
fin 2012 et permettra entre autre,
la généralisation du recyclage des
seringues et des aiguilles. Seuls
les spécialités vétérinaires, les
compléments alimentaires et les
produits de cosmétologie
continueront à échapper donc à cette
collecte.
En 2011, la société Cyclamed a
permis l’incinération de 14500
tonnes de médicaments sur les 23330
tonnes de médicaments non utilisés.
Rappelons qu’avant 2005, les
médicaments collectés par cette
société étaient triés et
redistribués par des organismes
humanitaires en France et à
l’étranger. Mais des cas de
détournement et de mésusage des
médicaments collectés ont été
dénoncés par un rapport de L’IGAS.
Depuis, tous les médicaments
récoltés sont incinérés.
Au Maroc, le ministère de la santé a
équipé la plupart des hôpitaux
de broyeurs et d’incinérateurs de grande capacité,
et les industriels incinèrent les
médicaments qui se périment dans les
pharmacies ou dans leurs réserves.
Malheureusement, le coût de
l’incinération a démobilisé la
plupart des associations qui
collectaient les médicaments
inutilisés auprès des malades.
Enfin, gageons que l'administration, les
professionnels de santé, les
industriels et les défenseurs de
l’environnement conjuguent leurs
efforts pour mettre en place un
système de collecte efficace. Faute
de quoi, les mêmes médicaments
sensés nous soigner se voient
transformés en poisons nuisibles
pour notre santé et pour
l’environnement. |
Abderrahim Derraji |
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L’oncologie médicale au Maroc sous
la loupe (1) |
L’oncologie médicale est une
spécialité relativement nouvelle au
Maroc. La formation diplômante en
oncologie médicale n’a démarré qu’en
2004 et les oncologues médicaux de
la première promotion de résidents
ont obtenu leurs diplômes en 2008.
Mais il n’y a actuellement que 28
oncologues médicaux au Maroc et 50
résidents en formation en oncologie
médicale.
Lors du 3e Congrès national
d’oncologie médicale, organisé à Fès
les 30 et 31 mars, par l’Association
marocaine de formation et de
recherche en oncologie médicale (AMFROM),
sous le Haut Patronage de Son
Altesse Royale La Princesse Lalla
Salma, le Dr Saber Boutayeb a fait
la présentation de la première étude
multicentrique sur l’oncologie
médicale au Maroc. Réalisée par le
Groupe de recherche et
d’investigation d’oncologie médicale
marocaine (GRIOMM), relevant de l’AMFROM,
cette étude vise à dresser un état
des lieux de la spécialité de
l’oncologie médicale au Maroc.
Dr Boutayeb a fait savoir, dans ce
cadre, que la densité nationale en
termes d’oncologues ne dépasse pas
0.009 onc./100.000 hab. «Ces
chiffres sont très loin des
recommandations internationales qui
font état de 0.625 onc. /100.000
hab. En outre, selon l’Organisation
mondiale de la santé, le Maroc est
largement au-dessous du seuil de la
pénurie absolue en densité en termes
d’oncologues, qui est de 0.26
onc./100.000 hab.».
D’après ladite étude, Rabat et
Agadir sont les villes qui
enregistrent les plus importantes
pénuries en termes de nombre
d’oncologues par rapport aux
nouveaux patients, avec
respectivement 920 et 720 nouveaux
patients par 1 oncologue. Dr
Boutayeb a signalé également que le
nombre d’infirmiers spécialisés en
chimiothérapie demeure aussi très
insuffisant, concluant qu’il y a un
véritable problème de ressources
humaines en matière de traitement
des cancers au Maroc.
Par ailleurs, le congrès a constitué
une occasion pour les participants
dont des médecins et des experts
nationaux et internationaux,
représentant les États-Unis, la
Suisse, la Belgique et l’Espagne, de
passer au crible les dernières
nouveautés dans le domaine de
l’oncologie et de traitement des
cancers. Le 12e Cours national
d’oncologie médicale a été, par
ailleurs, organisé en parallèle de
ce congrès, sur le thème : «Biologie
des cancers» avec la collaboration
du CHU Hassan II de Fès. |
Renforcer le droit à la santé(2)
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C’est sous le signe du droit aux
soins pour tous, que le Maroc a
choisi de célébrer le 7 avril, la
Journée mondiale de la santé. Le
secteur de la santé au Maroc a
enclenché, au cours des dernières
années, une dynamique illustrée par
le lancement de chantiers
structurant dont le plus éloquent
est la généralisation du Régime
d’assistance médicale pour les
économiquement démunis (Ramed). Ce
régime, ciblant 8,5 millions de
Marocains, parmi les plus démunis,
soit 28% de l’ensemble de la
population et applicable dans les
hôpitaux publics, les centres de
santé et les structures sanitaires
étatiques, propose le même panier de
soins couvert par l’Assurance
maladie obligatoire (AMO). Les soins
pris en charge portent sur
l’hospitalisation, y compris
l’accouchement, les consultations
spécialisées externes et de médecine
d’urgence, les analyses de biologie
et l’imagerie médicale (sauf
scannographie). S’y ajoutent les
prestations relatives à
l’exploration fonctionnelle, les
évacuations sanitaires
inter-hospitalières en cas d’urgence
et les actes de rééducation
fonctionnelle. |
Une forme résistante de paludisme
inquiète en Asie
(3) |
Une équipe du Texas Biomedical
Research Institut a étudié, de 2001
à 2010, un groupe de 3202 personnes
souffrant du paludisme, traitées
dans le nord-ouest de la Thaïlande.
Ces chercheurs, dont les travaux
paraissent dans The Lancet, ont
constaté un fort déclin de
l'efficacité de l’antipaludéen
artémisinine pendant cette période.
Ils n'ont en revanche pas encore
déterminé si la mutation s'était
propagée. Les résistances aux
médicaments émergent dans une
population lorsque les traitements
sont mal utilisés ou que circulent
des médicaments contrefaits de
mauvaise qualité.
Ce que redoutent le plus les
chercheurs c’est une dissémination
des parasites résistants en Asie du
sud-est et le risque de propagation
en Afrique sub-saharienne, où la
plupart des décès se produisent.
Par le passé, la résistance aux
autres anti-paludéens comme la
chloroquine et le fansidar s'est
répandue de l'Asie du sud-est à
l'Afrique, créant un précédent
préoccupant. La propagation des
parasites résistants à l'artémisinine,
si elle se confirme, nous mettra
face à une situation sans autres
traitements efficaces contre le
paludisme. Les recherches sur de
nouveaux traitements ne sont pas
encore assez avancées pour les
substituer à l'artémisinine.
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Les gels pour les mains, dangereux
pour les enfants(4) |
Une étude réalisée par les Centres
antipoison et de toxicovigilance
pour l'Afssaps, et reprise par la
revue Prescrire, a montré que les
gels hydro-alcooliques utilisés pour
le lavage des mains seraient
responsables d'intoxications chez
les enfants.
En effet, cette étude révèle qu'en
2009 "248 cas d'exposition aux
produits hydro-alcooliques pour
lavage des mains ont entraîné des
symptômes" comme des irritations, un
état de somnolence ou d'agitation et
même d'ébriété chez des enfants. Des
expositions causées dans la plupart
des cas par une ingestion
accidentelle du produit et dans 35%
par un contact avec les yeux. Or,
selon les résultats d'analyse
dévoilés, plus de 50% des personnes
souffrant de ces symptômes étaient
âgées de moins de quatre ans.
Selon la revue Prescrire, des effets
neuropsychiques, dus à l'alcool
contenu dans ces gels sont ainsi
survenus dans 12 cas : ébriété (5
fois), agitation (4 fois),
somnolence (2 fois), confusion (1
fois). Dans d'autres cas, notamment
aux États-Unis, l'intoxication a
même conduit au coma.
Dans tous les cas, Prescrire
rappelle l'importance de tenir ces
produits "hors de portée des
enfants" et de veiller à ce que leur
utilisation reste "exceptionnelle,
c'est-à-dire uniquement en l'absence
de point d'eau". |
Identification d'un nouveau gène
impliqué dans la maladie d'Alzheimer (5) |
Les travaux de
chercheurs de l'Inserm, publiés dans
la revue Molecular Psychiatry, mardi
3 avril, mettent en évidence un
nouveau gène impliqué dans les
formes précoces de la maladie
d'Alzheimer. Ces travaux pourraient
constituer à long terme une nouvelle
piste pour mieux comprendre la
maladie et élaborer de nouveaux
traitements.
Pour arriver à cette conclusion, les
chercheurs ont analysé les gènes de
130 familles atteintes d'une forme
précoce de la maladie d'Alzheimer.
Résultat : 116 des familles suivies
étaient porteuses de mutations sur
des gènes déjà connus, et 14 ne
portaient aucune mutation sur ces
gènes.
Les scientifiques ont alors étudié
le génome des 14 familles concernées
et ont découvert des mutations sur
un nouveau gène, baptisé SORL1. Ce
dernier pourrait entraîner une
altération du fonctionnement des
cellules du cerveau.
Même si les mutations observées sur
SORL1 semblent contribuer au
développement de la maladie précoce
d'Alzheimer, il reste à mieux
préciser la manière dont sont
transmises ces mutations sur le gène
SORL1 au sein des familles. |
Le
lupus : mieux compris et mieux
traité(6)
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Le lupus est une
maladie auto-immune, où le système
immunitaire déréglé se retourne
contre les propres cellules du
sujet. Elle est dite systémique car
elle peut toucher n'importe quel
organe. Son pronostic reste sévère,
mais s'est beaucoup amélioré en
quelques années.
Le lupus systémique touche 9 femmes
pour 1 homme, souvent jeunes et en
période d'activité ovarienne. Elle
débute typiquement entre 20 et 40
ans, mais apparaît dans 5% des cas
dès l'enfance, une précocité souvent
synonyme de gravité, et peut aussi
se déclarer chez le sujet âgé.
La maladie s'exprime de façon très
diverse, et le seul signe constant
est, parmi diverses anomalies
immunologiques, la présence
d'anticorps antinucléaires (dirigés
contre le noyau des cellules)
systématiquement recherchés lors du
diagnostic. Mais si leur absence
exclut un lupus systémique, leur
présence ne suffit pas à l'affirmer,
car ils sont présents aussi dans
d'autres circonstances.
Les manifestations les plus
fréquentes du lupus systémique se
traduisent par des atteintes
cutanées (masque de loup et/ou
plaques rouges discoïdes) et souvent
un rhumatisme inflammatoire siégeant
surtout aux mains et aux poignets.
Considérée comme assez bénigne, car
ne touchant aucun organe vital,
cette forme cutanéo-articulaire est
bien contrôlée par le traitement.
Moins fréquentes, les lésions
d'organes sont aussi les plus
graves. 20% des patients ont une
atteinte rénale qui peut conduire en
quelques années à une insuffisance
rénale. Assez fréquente aussi,
l'atteinte des membranes séreuses
recouvrant le cœur ou les poumons
peut provoquer une péricardite ou
une pleurésie, désormais bien
traitées. Des troubles
hématologiques, anémie ou baisse des
plaquettes, surviennent parfois, et
plus rarement des atteintes du
système nerveux central, pouvant
aller jusqu'à une psychose.
Le lupus évolue par poussées. En
moyenne, chaque malade fera deux
poussées durant sa vie, la seconde
pouvant se produire dix à quinze ans
après la première. C'est donc
vraiment une maladie chronique, dont
la prise en charge doit être
régulière et suivie.
Enfin, le traitement du lupus a
beaucoup progressé, et la
surmortalité infectieuse et rénale
due à la maladie s'est effondrée en
trente ans, même si une surmortalité
cardio-vasculaire persiste. Son
évolution reste aléatoire, et ses
conséquences potentiellement graves
justifient un traitement rigoureux
qui vise à en contrôler les effets
en s'appuyant, de plus en plus, sur
la compréhension accrue de cette
maladie énigmatique et sur des
centres de compétence dédiés. |
Zitouni
Imounachen
|
Sources:
(1)
lematin.ma;
(2) lematin.ma;
(3) sante.lefigaro.fr;
(4)
maxisciences.com;
(5) leparisien.fr;
(6)
sante.lefigaro.fr; |
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Physiologie et
physiopathologie
de l’érection |
Cliquez ici pour consulter l'article |
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Industrie Pharmaceutique |
Sanofi et Regeneron: revue
prioritaire de la FDA pour Zaltrap®
dans le cancer colorectal |
Sanofi et la biotech américaine
Regeneron Pharmaceuticals ont
annoncé que la Food and Drug
Administration (FDA) a accordé une
revue prioritaire à la demande de
licence de produit biologique (DLB)
de l’agent expérimental Zaltrap® (aflibercept),
soluté concentrée pour perfusion, en
combinaison avec une chimiothérapie
à base d’irinotecan et de
fluoropyrimidine chez les patients
atteints d’un cancer colorectal
métastatique (mCRC) ayant
précédemment reçu un traitement à
base d’oxaliplatine. La décision de
la FDA sur la DLB de Zaltrap® est
attendue le 4 août 2012.
Selon Debasish Roychowdhury, M.D.,
Senior Vice-Président de Sanofi
Oncologie, « Sanofi et Regeneron
s’engagent à poursuivre le
développement de Zaltrap®. Ils
s’engagent aussi à travailler avec
la FDA dans l’espoir d’apporter une
nouvelle option aux patients
souffrant de cette maladie sévère. »
Rappelons que Zaltrap®, également
dénommé VEGF Trap dans la
littérature scientifique, est un
inhibiteur de l’angiogenèse
expérimental doté d’un mécanisme
d’action unique. Il s’agit d’une
protéine de fusion ciblant le
facteur de croissance de
l’endothélium vasculaire A (VEGF-A)
sous de multiples formes ainsi que
le VEGF-B, le facteur de croissance
placentaire (PIGF) et d’autres
facteurs de croissance angiogénique
qui semblent jouer un rôle dans l’angiogenèse
tumorale et l’inflammation. Zaltrap®
(aflibercept) se lie au VEGF-A, au
VEGF-B et au PIGF avec une plus
grande affinité que leurs récepteurs
naturels. |
Source:
Mypharma |
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Autisme: IntegraGen lance le test
génétique ARISk™ aux États-Unis |
La société de biotechnologie
IntegraGen, spécialisée dans les
tests de diagnostic moléculaire dans
l’autisme et l’oncologie, a annoncé
le lancement de son test
d’évaluation du risque d’autisme
ARISk™, outil qui analyse 65
marqueurs génétiques associés aux
troubles du spectre autistique (TSA).
Ce test vise à évaluer le risque
d’autisme chez les enfants de
familles multiplexes âgés de 6 à 30
mois, frères ou sœurs d’enfants déjà
atteints de TSA.
D’après le Centre pour le contrôle
et la prévention des maladies
(Center for Disease Control – CDC),
organe du Ministère de la Santé de
l’État fédéral américain, l’âge
moyen du diagnostic des TSA est de 4
ans. Des travaux attestent pourtant
qu’une intervention précoce peut
améliorer significativement le
quotient intellectuel et réduire les
troubles du langage et de
socialisation des enfants atteints.
« Les derniers chiffres de
prévalence du CDC font ressortir une
prévalence de TSA de 1 enfant sur
88, dont 40 % ne sont pas
diagnostiqués avant l’âge de 4 ou 5
ans », explique Bernard Courtieu,
qui souligne par ailleurs que le
questionnaire de dépistage de
l’autisme chez les jeunes enfants (
Modified Checklist for Autism in
Toddlers – M-CHAT™) recommandé par
l’Académie Américaine de Pédiatrie,
n’est validé que pour les enfants
âgés de 16 mois ou plus.
Le test ARISk™ a été développé puis
validé sur deux cohortes distinctes
de patients représentant au total
près de 2 000 individus affectés de
TSA : 545 familles, incluant 964
enfants atteints d’autisme et 317
enfants non atteints, issues de la
base de données AGRE ( Autism Speaks
– Autism Genetic Resource Exchange)
et 627 familles, incluant 1 000
enfants atteints d’autisme et 288
enfants non atteints, issues d’une
population indépendante. |
Source:
Mypharma |
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THESAURUS
DES INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Mise à jour de mars 2012 |
Listing des interactions
médicamenteuses (Site de l'Afssaps). |
Cliquez ici |
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PROCHAINEMENT |
Autres RDV |
21 avril
2012 |
JOURNEE NATIONAL
DU CROPS |
Lieu: Hyat
Regency / Casablanca
Organisateur:
CRPOS |
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21 avril
2012 |
13 éme Congrès
National de la Société Marocaine de
Médecine physique et de Réadaptation |
thème: "SPORT ET
SANTE" |
A partir de15h00, des
conférences destinées au grand
public et animées par des médecins
spécialistes en médecine physique et
de réadaptation sur les thèmes
suivants:
Diabète et sport,
L'équilibre diététique chez le
sportif,
Obésité et sport,
Asthme et sport,
Les chaussures du sportif,
le sport: les critères d'un bon
choix |
Contact:
infotopmedical@gmail.com |
|
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En partenariat evec
le site web MEDICAMENT.MA |
Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles
spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous
diffusons , sans contre partie, des extraits des
mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces
informations, nous demandons à tous les
laboratoires de nous envoyer les mailings
correspondants à leurs nouveaux produits à
l'email suivant:
info@pharmacies.ma. |
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Laboratoires: Maphar
Composition: Paroxetine
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Laboratoires:
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PPM:
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AMLOR®
5 mg
Laboratoires:
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AMLOR®
5 mg
Laboratoires:
Pfizer
Composition:
Amlodipine
Présentation:
56 cps
PPM:
200,00 Dhs
AMLOR®
10 mg
Laboratoires:
Pfizer
Composition:
Amlodipine
Présentation:
14 cps
PPM:
99,00 Dhs
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10 mg
Laboratoires:
Pfizer
Composition:
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