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Numéro: 130

9 avril 2012

10364 destinataires

 
 
Se soigner en préservant la nature…

Ces dernières décennies, le vieillissement de la population mondiale, l’augmentation du pouvoir d’achat des malades et la généralisation de la couverture médicale dans de nombreux pays ont entraîné une augmentation de la consommation des médicaments dans de nombreux pays.
Malheureusement, une bonne partie de ces produits de santé achetés ne sont pas utilisés. Et en l’absence de structure permettant leur récupération, ces médicaments se retrouvent éparpillés dans les décharges ou enfouis dans la nature, avec tous les risques que cela comporte pour l’environnement.
En France, le recyclage des médicaments est devenu obligatoire depuis 2007. Les patients confient leurs médicaments inutilisés à leurs pharmaciens qui les remettent à Cyclamed. Cette dernière va se charger de les incinérer en produisant de l’énergie au passage.
Un autre organisme similaire à Cyclamed démarrera son activité à la fin 2012 et permettra entre autre, la généralisation du recyclage des seringues et des aiguilles. Seuls les spécialités vétérinaires, les compléments alimentaires et les produits de cosmétologie continueront à échapper donc à cette collecte.
En 2011, la société Cyclamed a permis l’incinération de 14500 tonnes de médicaments sur les 23330 tonnes de médicaments non utilisés.
Rappelons qu’avant 2005, les médicaments collectés par cette société étaient triés et redistribués par des organismes humanitaires en France et à l’étranger. Mais des cas de détournement et de mésusage des médicaments collectés ont été dénoncés par un rapport de L’IGAS. Depuis, tous les médicaments récoltés sont incinérés.

Au Maroc, le ministère de la santé a équipé la plupart des hôpitaux de broyeurs et d’incinérateurs de grande capacité, et les industriels incinèrent les médicaments qui se périment dans les pharmacies ou dans leurs réserves. Malheureusement, le coût de l’incinération a démobilisé la plupart des associations qui collectaient les médicaments inutilisés auprès des malades.

Enfin, gageons que l'administration, les professionnels de santé, les industriels et les défenseurs de l’environnement conjuguent leurs efforts pour mettre en place un système de collecte efficace. Faute de quoi, les mêmes médicaments sensés nous soigner se voient transformés en poisons nuisibles pour notre santé et pour l’environnement.

Abderrahim Derraji

 

 
L’oncologie médicale au Maroc sous la loupe (1)

L’oncologie médicale est une spécialité relativement nouvelle au Maroc. La formation diplômante en oncologie médicale n’a démarré qu’en 2004 et les oncologues médicaux de la première promotion de résidents ont obtenu leurs diplômes en 2008. Mais il n’y a actuellement que 28 oncologues médicaux au Maroc et 50 résidents en formation en oncologie médicale.
Lors du 3e Congrès national d’oncologie médicale, organisé à Fès les 30 et 31 mars, par l’Association marocaine de formation et de recherche en oncologie médicale (AMFROM), sous le Haut Patronage de Son Altesse Royale La Princesse Lalla Salma, le Dr Saber Boutayeb a fait la présentation de la première étude multicentrique sur l’oncologie médicale au Maroc. Réalisée par le Groupe de recherche et d’investigation d’oncologie médicale marocaine (GRIOMM), relevant de l’AMFROM, cette étude vise à dresser un état des lieux de la spécialité de l’oncologie médicale au Maroc.
Dr Boutayeb a fait savoir, dans ce cadre, que la densité nationale en termes d’oncologues ne dépasse pas 0.009 onc./100.000 hab. «Ces chiffres sont très loin des recommandations internationales qui font état de 0.625 onc. /100.000 hab. En outre, selon l’Organisation mondiale de la santé, le Maroc est largement au-dessous du seuil de la pénurie absolue en densité en termes d’oncologues, qui est de 0.26 onc./100.000 hab.».
D’après ladite étude, Rabat et Agadir sont les villes qui enregistrent les plus importantes pénuries en termes de nombre d’oncologues par rapport aux nouveaux patients, avec respectivement 920 et 720 nouveaux patients par 1 oncologue. Dr Boutayeb a signalé également que le nombre d’infirmiers spécialisés en chimiothérapie demeure aussi très insuffisant, concluant qu’il y a un véritable problème de ressources humaines en matière de traitement des cancers au Maroc.
Par ailleurs, le congrès a constitué une occasion pour les participants dont des médecins et des experts nationaux et internationaux, représentant les États-Unis, la Suisse, la Belgique et l’Espagne, de passer au crible les dernières nouveautés dans le domaine de l’oncologie et de traitement des cancers. Le 12e Cours national d’oncologie médicale a été, par ailleurs, organisé en parallèle de ce congrès, sur le thème : «Biologie des cancers» avec la collaboration du CHU Hassan II de Fès.

Renforcer le droit à la santé(2)

C’est sous le signe du droit aux soins pour tous, que le Maroc a choisi de célébrer le 7 avril, la Journée mondiale de la santé. Le secteur de la santé au Maroc a enclenché, au cours des dernières années, une dynamique illustrée par le lancement de chantiers structurant dont le plus éloquent est la généralisation du Régime d’assistance médicale pour les économiquement démunis (Ramed). Ce régime, ciblant 8,5 millions de Marocains, parmi les plus démunis, soit 28% de l’ensemble de la population et applicable dans les hôpitaux publics, les centres de santé et les structures sanitaires étatiques, propose le même panier de soins couvert par l’Assurance maladie obligatoire (AMO). Les soins pris en charge portent sur l’hospitalisation, y compris l’accouchement, les consultations spécialisées externes et de médecine d’urgence, les analyses de biologie et l’imagerie médicale (sauf scannographie). S’y ajoutent les prestations relatives à l’exploration fonctionnelle, les évacuations sanitaires inter-hospitalières en cas d’urgence et les actes de rééducation fonctionnelle.

Une forme résistante de paludisme inquiète en Asie (3)


Une équipe du Texas Biomedical Research Institut a étudié, de 2001 à 2010, un groupe de 3202 personnes souffrant du paludisme, traitées dans le nord-ouest de la Thaïlande. Ces chercheurs, dont les travaux paraissent dans The Lancet, ont constaté un fort déclin de l'efficacité de l’antipaludéen artémisinine pendant cette période. Ils n'ont en revanche pas encore déterminé si la mutation s'était propagée. Les résistances aux médicaments émergent dans une population lorsque les traitements sont mal utilisés ou que circulent des médicaments contrefaits de mauvaise qualité.
Ce que redoutent le plus les chercheurs c’est une dissémination des parasites résistants en Asie du sud-est et le risque de propagation en Afrique sub-saharienne, où la plupart des décès se produisent.
Par le passé, la résistance aux autres anti-paludéens comme la chloroquine et le fansidar s'est répandue de l'Asie du sud-est à l'Afrique, créant un précédent préoccupant. La propagation des parasites résistants à l'artémisinine, si elle se confirme, nous mettra face à une situation sans autres traitements efficaces contre le paludisme. Les recherches sur de nouveaux traitements ne sont pas encore assez avancées pour les substituer à l'artémisinine.
 

Les gels pour les mains, dangereux pour les enfants(4)

Une étude réalisée par les Centres antipoison et de toxicovigilance pour l'Afssaps, et reprise par la revue Prescrire, a montré que les gels hydro-alcooliques utilisés pour le lavage des mains seraient responsables d'intoxications chez les enfants.
En effet, cette étude révèle qu'en 2009 "248 cas d'exposition aux produits hydro-alcooliques pour lavage des mains ont entraîné des symptômes" comme des irritations, un état de somnolence ou d'agitation et même d'ébriété chez des enfants. Des expositions causées dans la plupart des cas par une ingestion accidentelle du produit et dans 35% par un contact avec les yeux. Or, selon les résultats d'analyse dévoilés, plus de 50% des personnes souffrant de ces symptômes étaient âgées de moins de quatre ans.
Selon la revue Prescrire, des effets neuropsychiques, dus à l'alcool contenu dans ces gels sont ainsi survenus dans 12 cas : ébriété (5 fois), agitation (4 fois), somnolence (2 fois), confusion (1 fois). Dans d'autres cas, notamment aux États-Unis, l'intoxication a même conduit au coma.
Dans tous les cas, Prescrire rappelle l'importance de tenir ces produits "hors de portée des enfants" et de veiller à ce que leur utilisation reste "exceptionnelle, c'est-à-dire uniquement en l'absence de point d'eau".

Identification d'un nouveau gène impliqué dans la maladie d'Alzheimer (5)

Les travaux de chercheurs de l'Inserm, publiés dans la revue Molecular Psychiatry, mardi 3 avril, mettent en évidence un nouveau gène impliqué dans les formes précoces de la maladie d'Alzheimer. Ces travaux pourraient constituer à long terme une nouvelle piste pour mieux comprendre la maladie et élaborer de nouveaux traitements.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les gènes de 130 familles atteintes d'une forme précoce de la maladie d'Alzheimer. Résultat : 116 des familles suivies étaient porteuses de mutations sur des gènes déjà connus, et 14 ne portaient aucune mutation sur ces gènes.
Les scientifiques ont alors étudié le génome des 14 familles concernées et ont découvert des mutations sur un nouveau gène, baptisé SORL1. Ce dernier pourrait entraîner une altération du fonctionnement des cellules du cerveau.
Même si les mutations observées sur SORL1 semblent contribuer au développement de la maladie précoce d'Alzheimer, il reste à mieux préciser la manière dont sont transmises ces mutations sur le gène SORL1 au sein des familles.

Le lupus : mieux compris et mieux traité(6)

Le lupus est une maladie auto-immune, où le système immunitaire déréglé se retourne contre les propres cellules du sujet. Elle est dite systémique car elle peut toucher n'importe quel organe. Son pronostic reste sévère, mais s'est beaucoup amélioré en quelques années.
Le lupus systémique touche 9 femmes pour 1 homme, souvent jeunes et en période d'activité ovarienne. Elle débute typiquement entre 20 et 40 ans, mais apparaît dans 5% des cas dès l'enfance, une précocité souvent synonyme de gravité, et peut aussi se déclarer chez le sujet âgé.
La maladie s'exprime de façon très diverse, et le seul signe constant est, parmi diverses anomalies immunologiques, la présence d'anticorps antinucléaires (dirigés contre le noyau des cellules) systématiquement recherchés lors du diagnostic. Mais si leur absence exclut un lupus systémique, leur présence ne suffit pas à l'affirmer, car ils sont présents aussi dans d'autres circonstances.
Les manifestations les plus fréquentes du lupus systémique se traduisent par des atteintes cutanées (masque de loup et/ou plaques rouges discoïdes) et souvent un rhumatisme inflammatoire siégeant surtout aux mains et aux poignets. Considérée comme assez bénigne, car ne touchant aucun organe vital, cette forme cutanéo-articulaire est bien contrôlée par le traitement.
Moins fréquentes, les lésions d'organes sont aussi les plus graves. 20% des patients ont une atteinte rénale qui peut conduire en quelques années à une insuffisance rénale. Assez fréquente aussi, l'atteinte des membranes séreuses recouvrant le cœur ou les poumons peut provoquer une péricardite ou une pleurésie, désormais bien traitées. Des troubles hématologiques, anémie ou baisse des plaquettes, surviennent parfois, et plus rarement des atteintes du système nerveux central, pouvant aller jusqu'à une psychose.
Le lupus évolue par poussées. En moyenne, chaque malade fera deux poussées durant sa vie, la seconde pouvant se produire dix à quinze ans après la première. C'est donc vraiment une maladie chronique, dont la prise en charge doit être régulière et suivie.
Enfin, le traitement du lupus a beaucoup progressé, et la surmortalité infectieuse et rénale due à la maladie s'est effondrée en trente ans, même si une surmortalité cardio-vasculaire persiste. Son évolution reste aléatoire, et ses conséquences potentiellement graves justifient un traitement rigoureux qui vise à en contrôler les effets en s'appuyant, de plus en plus, sur la compréhension accrue de cette maladie énigmatique et sur des centres de compétence dédiés.

Zitouni Imounachen
 

Sources:
(1) lematin.ma
;
(2) lematin.ma;
(3) sante.lefigaro.fr;
(4)
maxisciences.com;
(5) leparisien.fr; 
(6) sante.lefigaro.fr

 

 

 
 
 

Physiologie et physiopathologie
de l’érection

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Industrie Pharmaceutique

Sanofi et Regeneron: revue prioritaire de la FDA pour Zaltrap® dans le cancer colorectal

Sanofi et la biotech américaine Regeneron Pharmaceuticals ont annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) a accordé une revue prioritaire à la demande de licence de produit biologique (DLB) de l’agent expérimental Zaltrap® (aflibercept), soluté concentrée pour perfusion, en combinaison avec une chimiothérapie à base d’irinotecan et de fluoropyrimidine chez les patients atteints d’un cancer colorectal métastatique (mCRC) ayant précédemment reçu un traitement à base d’oxaliplatine. La décision de la FDA sur la DLB de Zaltrap® est attendue le 4 août 2012.
Selon Debasish Roychowdhury, M.D., Senior Vice-Président de Sanofi Oncologie, « Sanofi et Regeneron s’engagent à poursuivre le développement de Zaltrap®. Ils s’engagent aussi à travailler avec la FDA dans l’espoir d’apporter une nouvelle option aux patients souffrant de cette maladie sévère. »
Rappelons que Zaltrap®, également dénommé VEGF Trap dans la littérature scientifique, est un inhibiteur de l’angiogenèse expérimental doté d’un mécanisme d’action unique. Il s’agit d’une protéine de fusion ciblant le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire A (VEGF-A) sous de multiples formes ainsi que le VEGF-B, le facteur de croissance placentaire (PIGF) et d’autres facteurs de croissance angiogénique qui semblent jouer un rôle dans l’angiogenèse tumorale et l’inflammation. Zaltrap® (aflibercept) se lie au VEGF-A, au VEGF-B et au PIGF avec une plus grande affinité que leurs récepteurs naturels.

Source:  Mypharma
Autisme: IntegraGen lance le test génétique ARISk™ aux États-Unis

La société de biotechnologie IntegraGen, spécialisée dans les tests de diagnostic moléculaire dans l’autisme et l’oncologie, a annoncé le lancement de son test d’évaluation du risque d’autisme ARISk™, outil qui analyse 65 marqueurs génétiques associés aux troubles du spectre autistique (TSA). Ce test vise à évaluer le risque d’autisme chez les enfants de familles multiplexes âgés de 6 à 30 mois, frères ou sœurs d’enfants déjà atteints de TSA.
D’après le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (Center for Disease Control – CDC), organe du Ministère de la Santé de l’État fédéral américain, l’âge moyen du diagnostic des TSA est de 4 ans. Des travaux attestent pourtant qu’une intervention précoce peut améliorer significativement le quotient intellectuel et réduire les troubles du langage et de socialisation des enfants atteints.
« Les derniers chiffres de prévalence du CDC font ressortir une prévalence de TSA de 1 enfant sur 88, dont 40 % ne sont pas diagnostiqués avant l’âge de 4 ou 5 ans », explique Bernard Courtieu, qui souligne par ailleurs que le questionnaire de dépistage de l’autisme chez les jeunes enfants ( Modified Checklist for Autism in Toddlers – M-CHAT™) recommandé par l’Académie Américaine de Pédiatrie, n’est validé que pour les enfants âgés de 16 mois ou plus.
Le test ARISk™ a été développé puis validé sur deux cohortes distinctes de patients représentant au total près de 2 000 individus affectés de TSA : 545 familles, incluant 964 enfants atteints d’autisme et 317 enfants non atteints, issues de la base de données AGRE ( Autism Speaks – Autism Genetic Resource Exchange) et 627 familles, incluant 1 000 enfants atteints d’autisme et 288 enfants non atteints, issues d’une population indépendante.

Source:  Mypharma
 

THESAURUS
DES INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Mise à jour de mars 2012

Listing des interactions médicamenteuses (Site de l'Afssaps).

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PROCHAINEMENT

Autres RDV

21 avril    2012 
JOURNEE NATIONAL DU CROPS
Lieu: Hyat Regency / Casablanca
Organisateur: CRPOS
 
 21 avril    2012 

13 éme Congrès National de la Société Marocaine de Médecine physique et de Réadaptation

thème: "SPORT ET SANTE"
A partir de15h00, des conférences destinées au grand public et animées par des médecins spécialistes en médecine physique et de réadaptation sur les thèmes suivants:
Diabète et sport,
L'équilibre diététique chez le sportif,
Obésité et sport,
Asthme et sport,
Les chaussures du sportif,
le sport: les critères d'un bon choix
Contact: infotopmedical@gmail.com

NOUVEAUX AU MAROC
En partenariat evec le site web  MEDICAMENT.MA

Pour informer les pharmaciens et les médecins sur les nouvelles spécialités pharmaceutiques commercialisées au Maroc, nous diffusons , sans contre partie, des extraits des mailings les concernant.
Pour nous permettre de diffuser à temps ces informations, nous demandons à tous les laboratoires de nous envoyer les mailings correspondants à leurs nouveaux produits à l'email suivant:
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Nouveau PPM
PAROXETINE WIN
® 20 mg  
Laboratoires: Maphar
Composition: Paroxetine
 
Présentation:
30
cps  
PPM:
132,00 Dhs

AMLOR® 5 mg
Laboratoires:
Pfizer 
Composition:
Amlodipine  
Présentation:
14
cps  
PPM: 63,00 Dhs

AMLOR® 5 mg
Laboratoires:
Pfizer 
Composition:
Amlodipine  
Présentation:
28 cps  
PPM:
126,00 Dhs

AMLOR® 5 mg
Laboratoires:
Pfizer 
Composition:
Amlodipine  
Présentation:
56 cps  
PPM:
200,00 Dhs

AMLOR® 10 mg
Laboratoires:
Pfizer 
Composition:
Amlodipine  
Présentation:
14 cps  
PPM:
99,00 Dhs

AMLOR® 10 mg
Laboratoires:
Pfizer 
Composition:
Amlodipine  
Présentation:
28 cps  
PPM:
178,00 Dhs
NORMALITE 1000 ®
Laboratoires : IPHARMA.
Présentation : BOITE DE 30 GELULES.
Composition :
PANAX DE GINSENG
(10mg ginsénosides).
VITAMINES NATURELLES (C et E).
OLIGO-ELEMENTS CHELATES
MAGNESIUM à 150mg
PPM : 109,00 DHS
 
COURRIERS DE PARTENAIRE
ESPERANCE MEDICALE [+]
L'OFFICINAL [+]
 

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Parmi les outils disponibles actuellement sur pharmacies.ma:
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